11 books for « clotilde marguerite e... »Edit

‎Poésies de Marguerite-Eléonore CLOTILDE DE VALLON-CHALYS, depuis Madame DE SURVILLE, poète français du XVe siècle publiées par Ch.-VANDERBOURG.‎

‎Chez Henrichs Paris 1803 In-8 ( 205 X 135 mm ), de faux-titre, titre frontispice par DEBRET gravé par FORTIER, titre, CXXIII-259 pages, cul-de-lampe gravé ( DEBRET ), demi-veau marbré acajou, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin anthracite, tranches jaspées ( Reliure de l'époque ). 4 planches de musique gravées hors-texte. Publiées par Ch.-VANDERBOURG. Edition Originale, très rare. Lors de sa publication, cet ouvrage était vendu 4 fr. sans gravures, 6 fr. avec gravures et musique et 12 fr. sur papier vélin. ( cf. Quérard IX-p. 297 ).Les poésies de madame de Surville ont donné lieu à de nombreuses polémiques leur authenticité a été mise en doute. Il semblerait aujourd'hui qu'elles soient apocryphes. D'après Gaston Paris, le véritable auteur serait le marquis de Surville qui, arrêté comme émissaire royaliste, a été fusillé au Puy-en-Velay, le 18 octobre 1798.‎

‎Poésies de Marguerite-Eléonore Clotilde de Vallon-Chalys, depuis madame de Surville, poète français du XVe siècle. 1 volume - Poésies inédites. 1 volume.‎

‎Paris Ch. Vanderbourg 1824 2 volumes in-4, maroquin chaudron orné sur les plats d'un décor gothique composé d'une croix centrale aux formes celtiques poussée or dans un encadrement de filets dorés, pièce de titre en maroquin havane sur les dos à quatre nerfs ornés d'une succession de petites croix celtiques poussées or, filets poussés or sur les coupes; encadrements intérieurs ornés de fers et filets dorés, doublures et gardes de vélin, tranches dorées, non rognés, couvertures imprimées (Carroll).Nouvelle édition du premier volume, illustrée d'un frontispice, de 5 gravures hors texte et de plusieurs vignettes in texte. Edition originale du second volume, illustrée de 4 gravures hors texte et de plusieurs vignettes in texte. Les poésies de madame de Surville ont donné lieu à de nombreuses polémiques; leur authenticité a été mise en doute. Il semblerait aujourd'hui qu'elles soient apocryphes. D'après Gaston Paris, le véritable auteur serait le marquis de Surville qui, arrêté comme émissaire royaliste, a été fusillé au Puy-en-Velay, le 18 octobre 1798. Exemplaires sur vélin d'Annonay avec les gravures sur papier de Chine.‎

‎POÉSIES DE MARGUERITE ELEONORE CLOTILDE DE VALLON CHALYS, depuis Madame de Surville, poète français du XVe siècle ‎

‎Paris Chez Heinrichs, An XI 1803 1803 in 8 (20,5x13,5) 1 volume reliure pleine basane fauve porphyre de l'époque, dos lisse très orné, pièce de titre de cuir rouge et vert, guirlande dorée d'encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, faux-titre, titre frontispice gravé illustré (Debret, gavé par Fortier), titre, CXXIII et 259 pages, cul-de-lampe gravé (Debret), avec 5 figures hors-texte gravées, et 4 planches de musique gravées, quelques rares rousseurs éparses. Publiées par Ch. Vanderbourg. Edition Originale, très rare. Bel exemplaire, très décoratif ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎

‎Très bon Couverture rigide ‎

‎POÉSIES DE MARGUERITE ELEONORE CLOTILDE DE VALLON CHALYS, depuis Madame de Surville, poète français du XVe siècle ‎

‎Paris Chez Heinrichs, An XI 1803 1803 in 8 (20,5x12,5) 1 volume reliure plein veau fauve marbré de l'époque, dos lisse orné de fleurons dorés romantiques, pièce de titre de cuir rouge, filet doré d'encadrement sur les plats, faux-titre, titre gravé illustré (Debret, gavé par Fortier), CXXIII et 259 pages, cul-de-lampe gravé (Debret) et 4 planches de musique gravées in fine, dernier feuillet de garde renouvelé. Publiées par Ch. Vanderbourg. Edition Originale, très rare. Bel exemplaire, très décoratif ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request ) ‎

‎Très bon Couverture rigide ‎

‎Poésies de Marguerite -Eléonore Clotilde de Wallon-Thalys, depuis Madame de Surville, poète français du XVe siècle. Nouvelle édition, publiée par Ch. Vanderbourg, ornée de gravures dans le genre gothique d'après les dessins de Colin, élève de Girodet.‎

‎ Paris, Nepveu, 1824-1825. In-8, CXXVII-(5)-312 pp., broché, couverture imprimée entièrement illustrée. ‎

‎Illustré de 6 planches gravées hors-texte. Joint : une SUITE complète des illustrations (dont une en double). Exemplaire tel que paru sous sa jolie couverture ornée de style troubadour. * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

‎Poésies de Clotilde de Surville, poëte français du XVe siècle. Nouvelle édition, publiée par C. Vanderbourg, ornée de gravures d'après Colin, élève de Girodet.‎

‎Paris, Nepveu, 1825, 1 volume, in-12, relié, LXXXVIII-156 p.. Sans doute quatrième édition, réimpression de la troisième édition (1824), la couverture de brochage porte la date de 1827. 8 gravures hors-texte, glossaire en fin de volume. Reliure postérieure (vers 1870), demi chagrin marron à coins, dos à nerfs avec caissons et fleurons dorés, titre doré, filet doré aux marges des cuirs, tête dorée, couvertures conservées, petites rousseurs au dos des couvertures, petite usure aux coins.‎

4 Images

‎L'histoire racontée par Vanderbourg de la découverte des manuscrits de Clotilde fut traitée de fable ; on ne vit dans ces compositions que des productions toutes récentes. Des défenseurs s'élevèrent ; Vanderbourg maintint énergiquement ses assertions ; il fut appuyé par un écrivain ingénieux, mais trop ami du paradoxe, Charles Nodier (Questions de littérature légale [1812-1828], éd. critique Genève, Droz, 2003). Mais les savants les plus accrédités se prononcèrent contre l'authenticité de l'œuvre, tout en mêlant parfois à leurs jugements des affirmations erronées dues à ce que la situation vraie des choses ne leur était pas bien connue. Raynouard (Journal des savants, juillet 1824) mit les poésies de Clotilde de Surville au même rang que celles que Thomas Chatterton avait voulu faire passer comme l'œuvre d'un vieux poète inconnu nommé Bowley ; il ne vit dans ces vers qu'un jeu d'esprit, une fraude habile, et sans rien préciser, il donna à entendre que c'était à Vanderbourg qu'il fallait s'en prendre d'un tort bien excusable, puisqu'il ajoutait des richesses nouvelles à la poésie française. Quelques années plus tard, Villemain, reprenant cette question dans le cours de littérature qu'il professait (Cours de littérature française, Paris, 1830, t. II, p. 243), signalait le volume publié en 1803 comme une habile supercherie, et il ajoutait : « Le monument est curieux ; mais c'est une petite construction gothique élevée à plaisir par un moderne architecte ». Il attribuait l'ouvrage à Joseph Étienne, marquis de Surville, un descendant de Clotilde. En 1839, le savant et judicieux Dannou, lisant à l'Institut une notice sur Vanderbourg (mort depuis douze ans), discutait les choses et se prononçait pour reconnaître dans l'ancien membre de l'Académie des inscriptions l'auteur des poésies de Clotilde : « les meilleurs morceaux du recueil étaient sortis de sa plume, et personne ne pouvait lui reprocher une fiction à laquelle on devait une lecture agréable et quelquefois profitable ». Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

‎Poésies de Marguerite-Eléonore Clotilde de Vallon-Chalys, depuis Madame de Surville, poète français du XVe siècle‎

‎Publiées par Ch. Vanderbourg, 1 vol. in-12 reliure de l'époque plein veau marbré, dos lisse orné, toutes tranches marbrées, coupes et chasses ornées (grecques), De l'Imprimerie de P. Didot l'Aîné, Paris, An XII, 1804, cj-257 pp.‎

10 Images

‎Présentées comme l'oeuvre d'une poétesse française du XVe siècle, ces vers sont l'ouvrage de Joseph Etienne, Marquis de Surville, fusillé au Puy en octobre 1798. La critique se déchira tout au long du XIXe siècle à propos de l'authenticité de ces vers, ni Vanderbourg ni la veuve de Surville n'étant impliqués dans la rédaction de ces vers charmants, dont l'édition originale remonte à 1803. Bon état pour cet exemplaire orné de deux ex-libris dont un curieux ex-libris d'époque : "De la Bibliothèque de M. Rousseau Gde Min des Wivres".‎

‎Poésies de Marguerite-Eléonore Clotilde de Vallon-Chalys, depuis, Madame Surville, poète français du XVe siècle ; publiées par CH. Vanderbourg‎

‎ A Paris, De L'imprimerie De P. Didot L'aîné, 1804., CI (préface), 257 pp., (1) (table). In-12, plein veau marbré, dos plat orné, pièce de titre, dentelle en encadrement des plats, tranches dorées. Mors faibles, mais bel exemplaire néanmoins. ‎

‎An XII In-12 Frontispice gravé. ‎

‎"Poésies de Marguerite-Eléonore Clotilde de Vallon-Chalys, depuis Madame de Surville, poëte françois du XVe siècle; publiées par Ch. Vanderbourg."‎

‎Paris, Chez Henrichs, An XI, 1803. "12 x 21, 259 pp., 4 pages de partitions, reliure plein cuir d'époque, dos : riches décors dorés avec un pièce de titre, plats encadrés d'une guirlande fleurie, chants et chasses décorés, 3 tranches dorées, bon état (très peu de rousseurs; reliure état d'usage, un mors légèrement fendu (8 cm.)."‎

‎Poésies de Marguerite-Eléonore Clotide de Vallon-Chalys, depuis, Madame de Surville, poëte françois du XVe siècle ; publiées par Ch. Vanderbourg.‎

‎ 1803 P., chez Henrichs, an XI - 1803, 1 vol. in-8° (202 x 127) 1/2 reliure d'époque basane mouchetée fauve, dos lisse richement orné de fleurons et roulettes dorés, pièce de titre en maroquin orange, plats de papier raciné fauve, tranches jaunes mouchetées de rouge, de CXXII pp. (préface) - 259 pp.Rares rousseurs, très bel exemplaire bien relié. ‎

4 Images

‎Edition originale de cette supercherie littéraire qui serait de la plume du marquis de Surville, un de ses descendants.Titre frontispice illustré par Debret et gravé par Sorlier, vignettes en entête du début du texte et en cul-de-lampe à la fin, et 3 planches de musique gravées dont une double reliées ici in-fine.L'exemplaire ne possède pas les 5 figures gravées que cite Vicaire, d'après Quérard, elles étaient proposées en supplément lors de la mise en vente (4 fr. sans les gravures, 6 fr. avec).Réf. biblio. : Vicaire, VII-714 ; Quérard, IX-297. ‎