Presses Universitaires De France broché Bristol illustré Paris 1979 "collection "" nouvelle clio - l' histoire et ses problèmes "" - 460 pages en format 13.5 - 18.5 cm"
Très Bon État
Mommsen, Theodor (Édition établie et présentée par Claude Nicolet)
Reference : 38603
(2011)
Robert Laffont Couvertures souples Paris 2011
Très bon 2 vol. forts in-8. 1141 et 1076 pages. Réédition de qualité de ce classique du 19e siècle. Coll. "Bouquins".
Hachette Pluriel 1996
in12, broche, 1996, 342p, bon etat, Hachette, Coll. Pluriel (Collection format POCHE)
Presses universitaires de France Vendôme Impr. des P.U.F. Broché D'occasion état correct 01/01/1961 128 pages
Gallimard, 1989, in-8°, 317 pp, broché, bon état (Bibliothèque des Histoires)
Les Anciens ne sont pas les Modernes. Sont-ils, pour autant, habitants d'une autre planète, à tout jamais séparés par une altérité sans appel ? Les quatre essais réunis dans ce livre posent implicitement ce problème, sous l'angle particulier de l'histoire économique et sociale : peut-on écrire une histoire économique de l'Antiquité romaine et à quelles conditions ? Ce n'est pas aujourd'hui que la question se pose. La pensée libérale naissante à l'aube du XIXe siècle avait déjà glosé sur la « liberté des Anciens » irréductible à la « liberté des Modernes ». L'« économie » – découverte en tant qu'objet de science et science autonome peu avant, dans l'Europe des Lumières – permettait, de manière analogue, au sentiment orgueilleux de la Modernité de se poser en s'opposant à l'Antiquité. Rome avait péri pour avoir maintenu l'esclavage, méprisé le commerce et l'entreprise, ruiné l'agriculture par les effets cumulés des « privilèges » juridiques, de la fiscalité abusive et du développement d'un état bureaucratique. Jusqu'où les progrès de la philologie, de l'histoire, de l'archéologie et de l'économie ont-ils permis de remanier ces certitudes moralisantes ? C'est en rappelant liminairement ces conditions « critiques » du travail historique que Claude Nicolet présente, dans un style qui est tantôt celui du bilan, tantôt celui de l'essai, l'acquis et le programme d'une histoire économique et sociale de Rome, de la fin de la République au « modèle » de l'Empire.
Nicolet (Claude) sur Tiberius Gracchus et Caius Gracchus ou les Gracques
Reference : 86411
(1980)
Gallimard et Julliard , Collection Archives Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1980 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée de monnaies antiques In-8 1 vol. - 236 pages
16 pages de planches hors-texte en noir et blanc (complet) nouvelle édition de 1980 "Contents, Chapitres : Le dossier des Gracques - La saga trois siècles après - Crise italienne et lois agraires - Les Gracques et leur temps - Les stipulations de la loi agraire - Pourquoi Tibérius Gracchus - Qu'est-ce que le Caïus Gracchus ? - Sens d'une révolution - Appendices : Chronologie 155-121 avant J.C. - Recensement civique - Un document d'histoire agraire - Deux lois agraires - Bibliographie - Les « Gracques » est le nom donné à deux frères et hommes d'État romains, Tiberius Gracchus et Caius Gracchus, célèbres pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain. Issus de la nobilitas plébéienne, fils du consul Tiberius Sempronius et de Cornelia Africana, ils sont les petits-fils de Scipion l'Africain. - Tiberius, né en 168 ou 163 av. J.-C.1, tribun de la plèbe en 133 av. J.-C., soumet une proposition de loi agraire connue sous le nom de Rogatio Sempronia (-133) qui reprend le principe de l'anadasmos, prévoyant la limitation au droit de possessio individuelle et la redistribution aux citoyens pauvres des terres récupérées. Cette proposition va à l'encontre des intérêts des sénateurs, qui s'opposent à cette loi et achètent un autre tribun de la plèbe, Octavius, pour qu'il fasse usage de son intercessio (droit de veto). Tiberius en appelle au peuple pour destituer Octavius, une première, et la loi est votée. Tiberius se représente à un second tribunat, lors de l'été 133 av. J.-C., pour l'année 132 ; ce nouveau mandat lui est refusé. Il décide de faire pression sur l'assemblée avec quelques partisans. Une émeute conduite par le Grand Pontife Scipion Nasica éclate, au cours de laquelle Tiberius est tué ainsi que 300 de ses partisans. Le corps de Tiberius sera jeté dans le Tibre. - Caius, né en 154 av. J.-C., est à son tour élu tribun de la plèbe en 124 av. J.-C. pour l'année 123 av. J.-C. Il ambitionne de diminuer les pouvoirs du Sénat romain et d'accroître ceux des comices afin de relever la République. Il s'alloue les faveurs de la plèbe et les chevaliers, principaux opposants au Sénat, avec plusieurs lois dont ils sont bénéficiaires. Il tente dans un second temps de faire passer sa réforme agraire, qui va dans le même sens que celle de son frère : la juridiction des triumvirs, supprimée en 129 av. J.-C., est rétablie ; les assignations de terre passent de trente à deux cents jugères pour permettre aux citoyens pauvres d'améliorer leur condition sociale ; la création de colonies afin de soutenir son projet : deux en Italie et une à Carthage. Cela lui procure une grande popularité et lui permet de se faire réélire tribun de la plèbe en 123 av. J.-C. Pour lutter contre lui, le Sénat utilise le tribun Marcus Livius Drusus, qui surenchérit sur les lois de Caius, détournant l'attention du peuple, et fait voter une loi supprimant les vectigales (redevances de l'ager publicus), exonérant les grands propriétaires et donc beaucoup de sénateurs. Caius réplique en proposant la création d'une colonie de six mille hommes sur le site de Carthage et l'octroi de la citoyenneté romaine complète aux Latins et partielle (sine suffragio) aux Italiens afin de s'attirer leurs faveurs. Mais les propositions de Caius sont trop avancées pour la Rome de l'époque. Caius perd l'appui d'une partie du peuple et celui du consul Caius Fannius Strabo, dont il avait soutenu l'élection. Lorsque Caius part superviser la construction de la colonie à Carthage, ses adversaires en profitent pour le discréditer. Lors de l'élection des tribuns pour l'année 121 av. J.-C., il n'est pas réélu. Aussitôt une loi ordonne le démantèlement de la colonie de Carthage. Caius tente alors de faire sécession avec ses partisans comme la plèbe jadis avait fait sécession contre les patriciens au Mont Sacré. Le Sénat réplique en promulguant un senatus consultum ultimum qui autorise l'élimination de Gaius par n'importe quel moyen. Gaius et son esclave fuient et arrivent au bois sacré de Furrina, sur le Janicule, où ils trouvent la mort en 121 av. J.-C. C'est la première fois, mais non la dernière, qu'un senatus consultum ultimum est prononcé et qu'une telle vague de violence envahit Rome à cause de divergences politiques. (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie avec d'infimes traces de pliures aux coins des plats, intérieur propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire, bien complet des 16 planches hors-texte d'illustrations - format de poche
Nicolet (Claude) sur Tiberius Gracchus et Caius Gracchus ou les Gracques
Reference : 85522
(1980)
Gallimard et Julliard , Collection Archives Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1980 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée de monnaies antiques In-8 1 vol. - 236 pages
16 pages de planches hors-texte en noir et blanc (complet) nouvelle édition de 1980 "Contents, Chapitres : Le dossier des Gracques - La saga trois siècles après - Crise italienne et lois agraires - Les Gracques et leur temps - Les stipulations de la loi agraire - Pourquoi Tibérius Gracchus - Qu'est-ce que le Caïus Gracchus ? - Sens d'une révolution - Appendices : Chronologie 155-121 avant J.C. - Recensement civique - Un document d'histoire agraire - Deux lois agraires - Bibliographie - Les « Gracques » est le nom donné à deux frères et hommes d'État romains, Tiberius Gracchus et Caius Gracchus, célèbres pour leur tentative infructueuse de réformer le système social romain. Issus de la nobilitas plébéienne, fils du consul Tiberius Sempronius et de Cornelia Africana, ils sont les petits-fils de Scipion l'Africain. - Tiberius, né en 168 ou 163 av. J.-C.1, tribun de la plèbe en 133 av. J.-C., soumet une proposition de loi agraire connue sous le nom de Rogatio Sempronia (-133) qui reprend le principe de l'anadasmos, prévoyant la limitation au droit de possessio individuelle et la redistribution aux citoyens pauvres des terres récupérées. Cette proposition va à l'encontre des intérêts des sénateurs, qui s'opposent à cette loi et achètent un autre tribun de la plèbe, Octavius, pour qu'il fasse usage de son intercessio (droit de veto). Tiberius en appelle au peuple pour destituer Octavius, une première, et la loi est votée. Tiberius se représente à un second tribunat, lors de l'été 133 av. J.-C., pour l'année 132 ; ce nouveau mandat lui est refusé. Il décide de faire pression sur l'assemblée avec quelques partisans. Une émeute conduite par le Grand Pontife Scipion Nasica éclate, au cours de laquelle Tiberius est tué ainsi que 300 de ses partisans. Le corps de Tiberius sera jeté dans le Tibre. - Caius, né en 154 av. J.-C., est à son tour élu tribun de la plèbe en 124 av. J.-C. pour l'année 123 av. J.-C. Il ambitionne de diminuer les pouvoirs du Sénat romain et d'accroître ceux des comices afin de relever la République. Il s'alloue les faveurs de la plèbe et les chevaliers, principaux opposants au Sénat, avec plusieurs lois dont ils sont bénéficiaires. Il tente dans un second temps de faire passer sa réforme agraire, qui va dans le même sens que celle de son frère : la juridiction des triumvirs, supprimée en 129 av. J.-C., est rétablie ; les assignations de terre passent de trente à deux cents jugères pour permettre aux citoyens pauvres d'améliorer leur condition sociale ; la création de colonies afin de soutenir son projet : deux en Italie et une à Carthage. Cela lui procure une grande popularité et lui permet de se faire réélire tribun de la plèbe en 123 av. J.-C. Pour lutter contre lui, le Sénat utilise le tribun Marcus Livius Drusus, qui surenchérit sur les lois de Caius, détournant l'attention du peuple, et fait voter une loi supprimant les vectigales (redevances de l'ager publicus), exonérant les grands propriétaires et donc beaucoup de sénateurs. Caius réplique en proposant la création d'une colonie de six mille hommes sur le site de Carthage et l'octroi de la citoyenneté romaine complète aux Latins et partielle (sine suffragio) aux Italiens afin de s'attirer leurs faveurs. Mais les propositions de Caius sont trop avancées pour la Rome de l'époque. Caius perd l'appui d'une partie du peuple et celui du consul Caius Fannius Strabo, dont il avait soutenu l'élection. Lorsque Caius part superviser la construction de la colonie à Carthage, ses adversaires en profitent pour le discréditer. Lors de l'élection des tribuns pour l'année 121 av. J.-C., il n'est pas réélu. Aussitôt une loi ordonne le démantèlement de la colonie de Carthage. Caius tente alors de faire sécession avec ses partisans comme la plèbe jadis avait fait sécession contre les patriciens au Mont Sacré. Le Sénat réplique en promulguant un senatus consultum ultimum qui autorise l'élimination de Gaius par n'importe quel moyen. Gaius et son esclave fuient et arrivent au bois sacré de Furrina, sur le Janicule, où ils trouvent la mort en 121 av. J.-C. C'est la première fois, mais non la dernière, qu'un senatus consultum ultimum est prononcé et qu'une telle vague de violence envahit Rome à cause de divergences politiques. (source : Wikipedia)" couverture un peu jaunie, intérieur à peine jauni, quelques rousseurs sur les pages de gardes, cela reste un bon exemplaire - format de poche
Puf Broché D'occasion état correct 01/01/1987 150 pages
Seuil, 1992, gr. in-8°, 216 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. Libre examen)
"Dans le prolongement de sa monumentale Idée républicaine en France (Gallimard, 1982), Claude Nicolet passe au crible les institutions séculaires de la France, mais aussi les notions de laïcité, d'universalité, d'intérêt général et d'instruction civique. Il en dégage une même logique, dont le fondement est avant tout intellectuel et moral. A l'opposé d'un simple catéchisme, ce livre invite à réfléchir sur ce qui fait la substance de la condition de citoyen, et sur ce qui pourrait bien aujourd'hui la mettre en péril." (Pierre-Olivier Monteil, Autres Temps. Les cahiers du christianisme social, 1992)
Maisonneuve et Larose, Ecole française de Rome, Paris, 2000. Un fort volume in-8 broché, couverture illustrée à rabats, 1071 pages, tableaux et illustrations in-texte. Bon état.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Gallimard, 1976, in-8°, 535 pp, 16 illustrations sur 4 pl. hors texte, 4 tableaux, 4 plans, reliure toile éditeur, jaquette, bon état (Coll. Bibliothèque des Histoires). Edition originale
Ce n'est pas tant sur la classe politique qu'a reposé la grandeur de Rome, cette oligarchie de sénateurs et de magistrats auxquels se sont surtout intéressés les historiens, mais sur l'adhésion morale de la masse civique, légionnaires et contribuables, émigrants, négociants et colons qui ont romanisé le monde. "Senatus Populusque Romanus", "Civis Romanus sum", que cachent ces orgueilleuses formules ? Une longue tradition depuis Mommsen, attachée à l'analyse du droit public et privé, a répondu à la question, mais en termes surtout juridiques. L'entreprise ici tentée par Claude Nicolet est toute neuve : par une relecture attentive de tous les textes historiques, littéraires, épigraphiques, juridiques, ainsi que par une analyse savante du décor monumental et du cadre topographique, essayer de faire revivre le contenu quotidien, le vécu existentiel de la citoyenneté romaine aux deux derniers siècles de la République. Au fondement de la vie civique, la "déclaration" qui assure le consensus, fixant la place du déclarant dans le système censitaire. A partir de quoi l'enquête suit pas à pas le citoyen dans les trois aspects essentiels de sa participation militaire, fiscale et financière, électorale et délibérative ; et elle montre comment ces trois aspects s'imbriquent étroitement les uns dans les autres, mais ne touchent que très inégalement les individus, mettant en lumière les clivages sociaux et géographiques.
Paris, Gallimard, Collection " Bibliothèques des Histoires ", 1976. Fort in-8, cartonnage et jaquette blanche imprimée de l'éditeur, 535 pp.
Bel exemplaire. Photos sur demande.
NICOLET (Claude), Robert Ilbert, Jean-Charles Depaule (dir.).
Reference : 113689
(2000)
ISBN : 9782706813771
Maisonneuve & Larose,MMSH, Ecole française de Rome, 2000, fort gr. in-8°, 1071 pp, biblio, annexes, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. U. L'atelier méditerranéen)
C'est dans la zone méditerranéenne que sont apparues, voici quelque 2 500 ans, les premières « mégapoles » de l'histoire : des villes qui se détachent très fortement, sur le fond commun du développement urbain d'abord, parle caractère exceptionnel de leurs dimensions (topographiques et démographiques) ensuite par la conscience que les contemporains et la postérité ont eue, et souvent conservée, de cette exceptionnalité. De la Rome antique à Istanbul et Le Caire modernes, en passant par Carthage, Alexandrie, Athènes, Antioche ou, plus près de nous, Naples et même Venise, ces villes-mondes (ou villes-monstres) ont fasciné les voyageurs ou les historiens. Elles ont connu des croissances spectaculaires, mais aussi des décadences ou même des éclipses, suivies parfois de résurrections frappantes. Réunies, ou séparées, par les vicissitudes de l'histoire, elles racontent à leur manière, celle de la Méditerranée. Au-delà des différences spatiales et temporelles évidentes, qu'ont-elles en commun dans leurs essors, leurs faillites ou leurs renaissances ? Quelles formes nouvelles de fonctionnement ont-elles inventées ? — "Il est difficile de rendre compte d'un colloque aussi riche, d'un colloque concluant quatre années de travail menées par Cl. Nicolet, associant antiquisants, médiévistes, orientalistes, modernistes et contemporanéistes autour du thème des mégapoles méditerranéennes. Les participants ont dans leur très grande majorité répondu à cette demande et il est sûr que les actes de ce colloque publiés à l'École Française de Rome feront date dans les études d'histoire et de géographie urbaines..." (Marie-Dominique Nenna, Topoi, 1996)
Puf.1987.1978. 1/ Les Structures de l'Italie romaine. 2/ Genèse d'un empire, 940 pages au total.BE.
Fayard 1988 352 pages 14x3 8x21 6cm. 1988. Broché. 352 pages.
Bon état bonne tenue intérieur propre
1976 Editions Gallimard NRF, collection "Bibliothèque des Histoires" - 1976 - Fort in-8, cartonnage toilé beige, sous jaquette - 528 pages - Petit cahier d'illustrations en N&B en fin de volume
Bon état - Jaquette légèrement insolée
, Paris, Seuil 1992, in-8, br., (couv. fanée), 218p.
Phone number : 01 43 29 46 77
Éditions de Boccard 1974 2 volumes in-8 brochés, XVII- 1150 pp. Couverture ternie et effrangée, intérieur frais. Edition originale.
Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome. 207 Mauvais état d’occasion
Couverture souple. Broché. 128 pages.
Livre. Editions P.U.F (Collection : Que sais-je? N° 761), 1957.
Couverture souple. Broché. 128 pages.
Livre. Editions P.U.F (Collection : Que sais-je? N° 761), 1983.
2000 Paris, Odile Jacob, 2000, in 8° broché, 342 pages ; couverture illustrée.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Ecole pratique des Hautes Etudes - IVè section. Sciences historiques et philosophiques.III. Hautes études du monde Gréco-romain.16. Cahier du Centre Glotz.I. Du Pouvoir dans l'Antiquité: Mots et Réalités.Genève, Librairie Droz - 1990 - 238 pages.Broché sous couverture imprimée. Tampon. Très bon état. Format in-8°(24x16).
Format moyen, couverture souple. 512 pages. Bon Ètat. Une expÈdition par Mondial Relay pourra vous Ítre proposÈe 1982 NRF Gallimard. BibliothËque des histoires
Puf, coll. « Nouvelle Clio - l’histoire et ses problèmes » 2004 2 volumes. In-8 broché 21,8 cm sur 15. 940 pages en 2 tomes. Bon état d’occasion.
Tome 1 : édition de 2001, tome 2 édition de 2004 Bon état d’occasion