Paris, Alphonse Lemerre, Paris, Alphonse Lemerre1881 ; petit in-12°, bradel demi maroquin brun, coins, dos lisse orné de fleurs Art - Nouveau mosaïquées, tête or, couverture, (Relié vers 1900). 2 ff., frontispice, 266 pp., 1 f. n. ch. SECONDE EDITION, publié dans la Petite Bibliothèque Littéraire Lemerre. Elles ornée d’un portrait à l’eau-forte signé Lenain et contient en tête une notice de l’auteur datée du 1er nov. 1880: «Je date, à ce qu’il paraît, de ce livre, où j’ai trouvé, dit-on, une «manière», en le relisant après seize ou dix-sept ans de travaux forcés (l’écrivain consciencieux, qui doit vivre de sa plume, n’est-il pas un forçat et le plus excédé de tous?) je me suis rappelé ma libre jeunesse et, fort attendri, j’ai pleuré de vraies larmes sur mes auteurs à jamais disparus.» En 1865, après la publication dans le journal «L’Europe de Francfort» de son second roman «Pierre Patient» qui n’eut pas davantage de succès que le premier – Léon Cladel, las de dix années de vie parisienne, revint dans le Quercy. Il y retrouva la plénitude, une voie pour son talent, et dans la grisante euphorie de la terre natale, composa le Bouscassié, truculente évocation de la rude paysannerie quereynole. Le livre lui valut un début de notoriété. Mais ce succès ne pouvait contenter Cladel s’il n’était reconnu par son père. Ce dernier ne lui pardonnait pas d’avoir abandonné une solide carrière notariale pour s’essayer au métier d’écrivain, métier de «crève-la-faim». Léon Cladel, avec le précieux concours de Paul Arène (qui n’était pas à une fumisterie près) obtint d’Alphonse Millaud, directeur du «Petit Journal» - l’unique journal lu par son père- qu’il passât un article fort élogieux du Bouscassié. Seulement en 1869, le grand quotidien populaire (plus de 200000 ex.), spécialisé dans les conseils pratiques et les faits divers mélodramatisés, ne se préoccupait nullement de littérature. Il fallut mettre en scène… une «cause célèbre» et raconter l’histoire du Bouscassié comme si elle était réellement arrivée, la fin de l’article dévoilant qu’il s’agissait d’un roman et que l’auteur en était Cladel. C’est ainsi que parut – dans le «Petit journal» du 20 août 1869, sous la rubrique «Tribunaux» - l’article qui consacra la réhabilitation de Léon Cladel dans le cœur de ce rude Montauban-Tu-Ne-Le-Sauras-Pas. Vicaire II p. 716 – Talvart 2 B. UN DES 20 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE CHINE, numérotés et paraphés par l’éditeur (avant 25 Hollande), avec le portrait en 2 états, noir et bistre. Quelques rousseurs.
H. Kistemaekers, éditeur, Bruxelles, 1878.
Un volume in 12°, reliure rigide , dos toilé de couleur jaune avec une pièce de titre en maroquin rouge brun, plats légèrement marbrés, couverture initiale conservée (couleur vert pâle), 326 pages dont une table des matières et, en ouverture, une importante préface de Léon CLADEL (XXXII). Il ne s’agit ici que du 2ème tome d’un récit complet mais sa force est considérable. Difficile de trouver l’équivalent dans la dénonciation littéraire des excés -euphémisme- de la colonisation de l’Algérie par la France. Dénonciation littéraire, certes, mais inspirée à son auteur pas sa propre expérience. Sous ce XXX se cache le nom de Hector FRANCE qui fut officier de cette guerre de conquête et qui participa , par ailleurs, à l’insurrection de la Commune de Paris (qu’il a relatée dans un texte intitulé “Revanche!”). Lisons quelques lignes du préfacier Léon CLADEL, écrivain lui aussi (L’HOMME DE LA CROIX-AUX-BOEUFS, OMPRDRAILLES etc): “Nous assistons brusquement, enflammés de courroux et soulevés d’indignation, à des sacs inouïs, à des tueries sans nom, à des carnages, à des holocaustes que nul fumeur d’opium, aucun mangeur de haschish n’a rêvés, à des viols trois fois sacrilèges accomplis, en une mare poupre sur la mère étreignant ses fils morts, sur les vierges en présence de leurs frères et de leurs amants garottés, sur l’épouse baisant le sein, percé par les baïonettes de son époux encore vivant, à des saturnales, à des priapées, à d’horribles sabbats où Lesbos et Sodome s’entremêlent, à quelque nuit de Walpurgis, à l’on ne sait quelle Messe Noire enfin, où la soldatesque en rut force des filles publiques et les laisse déchirées, souillées, pantelantes, béantes, crevées sur place , après de sauvages coïts perpétrés au cri tutélaire de Vive l’Empereur”… Quant à l’auteur lui-même, Hector FRANCE (1837-1908, fils d’un militaire suspendu pour avoir dénoncé l’esclavage dans les Antilles), il commence ce tome 2 intitulé A L’ASSAUT DES LUPANARS de la manière suivante: “TUER”. Et on peut lire à la fin de ce premier chapitre les lignes suivantes “Tout petit, les jeux cruels de mes camarades me répugnaient et ce n’est qu’avec horreur et indignation que je les voyais martyriser les insectes, arracher les ailes aux mouches, décapiter les hannetons... Cependant, tout à coup, sans que je sache comment, il me vint comme aux autres une rage de sang dont je fus moi-même stupéfait, et je ne rêvais plus, moi aussi, qu’à déflorer mon sabre”.Cet exemplaire, rare et édition originale, est en TRES BON ETAT.
Paris, Poulet-Malassis, 1862. In-8 de [2]-XII-[2]-350-[2]p. demi-percaline chocolat à la Bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre en maroquin prune, premier plat de couverture conservé, coins à peine frottés.
Édition originale du premier livre de Léon Cladel, et de l'importante préface de douze pages de Charles Baudelaire. Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). De là à considérer ce texte comme le seul roman de Baudelaire il n'y a qu'un pas. On joint à l'exemplaire un poème manuscrit autographe de Léon Cladel dédicacé "A mon ami Alphonse Daudet" intitulé Palinodia, signé et daté du 5 janvier 1868. Il semble avoir été publié dans La Plume en 1892. Sans le faux-titre. Le tirage en a été limité à 500 exemplaires et un seul exemplaire sur Wathman, pour Baudelaire. Vicaire II, 402.
Paris, Lemerre, Paris, Lemerre1874 ; In-12°, bradel percaline verte, 1er plat de couverture conservé, non rogné (Reliure de l'époque). 2 f.., IV pp., 378 pp. 1 f. blanc, 1 f. de table, 1 f. "EDITION ORIGINALE. 12 nouvelles : « Mon Ami le Sergent de ville : Achille & Patrocle ; Le nommé Qouael ; Les Aurentys ; Eral le dompteur ; l'enterrement d'un Ilote ; Un Noctambule ; La Citoyenne Isidore ; Nâzi ; l'Hercule ; Montauban-Tu-Ne-Le-Sauras-Pas ; Revanche. Les Va-nu-pieds rassemble les premiers textes de Cladel parus dans les journaux. Ce sont des « morceaux de littérature » où l'art se met au service de la polémique journalistique et des idées sociales, républicaines, fraternelles ou révolutionnaires. A propos de ce recueil Clovis Hugues évoquait l'image « d'un paquet de cartouches sous un bloc de marbre ciselé par Phidias ». Toutes les courtes nouvelles qui le composent mettent en lumière une existence humaine aux prises avec les fatalités naturelles et les inégalités sociales, et constituent autant de plaidoyers à la cause des humbles, des petits, oubliés et dédaignés, humiliés et offensés... Cladel est, là, proche du Vallès des « Réfractaires ». Tous deux ont la même sincérité, la même tendresse, parfois la même ironie, et ce même réflexe irrépressible qui les jette du coté des faibles. Les nouvelles des « Va-nu-pieds » et, par la suite, celles « d'Urbains & Ruraux, Gueux de marque » ou des « Petits Cahiers » forment une vaste épopée populaire où la fiction romanesque se lie à la vérité de l'histoire. La presse réactionnaire fit rage contre le livre, dénonçant « Revanche » - ce terrible coup de gueule communard- comme une intolérable provocation. Pourtant Cladel ne fut ni poursuivi ni inquiété par la justice, mais « Revanche » ne figura plus au sommaire de la seconde édition, en 1876. Dans « Montauban-Tu-Ne-Le-Sauras-Pas », nouvelle presque littéralement autobiographique, Cladel évoque la figure de son père, compagnon bourrelier mené à la Révolution de 1830 au cours de son tour de France. Le titre singulier de la nouvelle n'est autre que le nom porté par son père en tant que compagnon du Devoir. Vicaire T. II p. 403 - Talvart 4 A. Mention de la deuxième édition sur la couverture. Ex-libris d'Olivier de Gourcuff, homme de lettres, né à Paris en 1853."
Alphonse Lemerre, Paris 1905, 16,5x25cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Envoi autographe signé de Judith Cladel à Judith Gautier : "... à l'auteur émouvant du Collier des jours..." Ouvrage illustré d'un portrait de Léon Cladel par Félix Bracquemond en frontispice. Dos ridé comportant une déchirure en tête au niveau d'un mors. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bruxelles, chez l'Éditeur Henry Kistemaeckers, 186. In-12 broché de [4]-321-[3] pages.
Seconde édition, imprimée sur papier bleuté, avec un avis de Léon Cladel en préambule qui semble désapprouver cette publication, ce "volume, tombé dans le domaine public, reparaît à présent, bien malgré nous. […] et nous voici l'obligé de qui nous désoblige en tirant ce bouquin de l'ombre où nous eussions désiré qu'il restât enseveli."Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). Un poème intitulé "Mon Ane", extrait d'une ancienne revue, est collé sur la page de titre, avec l'inexorable marque due au papier de piètre qualité. Mais le poème est sympa, et il n'est pas inutile de préciser que l'auteur avait une passion pour les ânes, bardots, et autres bourricots.
Léon Cladel déclare : ...Retenu chez moi par une indisposition assez violente, je vous prie de vouloir bien venir causer quelques minutes avec moi, demain jeudi. J'ai à vous proposer une affaire qui pourrait être excellente pour Le Nain jaune & pour moi.Venez, si cela vous est possible, dans la matinée, il y a urgence...Après avoir publié ses premières nouvelles dans La Revue fantaisiste, Léon Cladel, publia, en 1862, Les Martyrs ridicules, dont Charles Baudelaire écrivit la préface. Par la suite, il écrivit de nombreux romans (Bonhommmes, 1789 ; Crête-rouge, 1880) qui firent l'admiration de Victor Hugo et Emile Zola qui louèrent son style vigoureux et coloré.
Paris et Nancy, Berger-Levrault, 1916 ; in-8 carré de xii-134 pp., [1] f., chagrin rouge de l'époque, filets dorés en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de caissons de filets dorés, filets intérieurs, tête dorée, couverture et dos (Stroobants).
Édition originale de cette intéressante biographie du général Gallieni, par la fille de Léon Cladel. Un portrait frontispice du général d'après une photographie de H. Manuel. EXEMPLAIRE D'HOMMAGE, SUR VÉLIN TEINTÉ, ENRICHI DE 6 LETTRES AUTOGRAPHES DE L'AUTEUR, datées du 1er mars au 5 juin 1916 et adressées au ministre des Affaires étrangères Gabriel Hanotaux. Judith Cladel demande à ce dernier une préface pour son ouvrage, les éditeurs – doutant de la crédibilité d'une femme pour parler d'un militaire – lui ayant conseillé de trouver du soutien auprès d'une personnalité masculine. Émouvante correspondance, par ailleurs, car on suit au travers des propos de l'auteur le déclin de la santé du général Gallieni, puis sa mort ; Judith Cladel entretenait en effet une autre correspondance avec Gallieni et elle se réjouit, dans ses lettres à Hanotaux, que le général ait eu le temps d'approuver son travail. Cinq des six lettres sont reliées dans l'ouvrage ; on y trouve aussi un billet de la main de Hanotaux. Exemplaire offert par l'auteur à Gabriel Hanotaux. Le beau papier vélin teinté n'est certainement pas le papier d'édition annoncé à 2 fr. par Talvart. Bel exemplaire à toutes marges. Légères rousseurs sur les premiers feuillets. Talvart et Place, III, p. 114.
Bruxelles, Henry Kistemaeckers (imprimerie E-J. Carlier), [1881] ; in-16, bradel demie-percaline bleue, pièce de titre bordeaux, roulettes dorées en tête et en pied, couverture conservée, non rogné (reliure de l'époque) ; III, [1 bl.], 321, [3] pp.
Réédition de l'ouvrage paru chez Poulet-Malassis en 1862 ; le dernier ouvrage annoncé en 4e de couverture, "Raison et Religion" par A. Fleury est paru en 1881. Ouvrage imprimé sur papier bleu lavande. Très intéressante préface de Baudelaire ; la première édition avait été publiée à compte d'auteur, financée par Mme Cladel mère et tirée à 500 exemplaires seulement. Dans un Avis au début de cette édition, Léon Cladel indique pourquoi il le réédite. Bel exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris, Henry Oriol, Paris, Henry Oriol1883 ; In-12, demi chagrin rouge, nerfs, caissons et fleurons dorés, non rogné, couverture et dos conservé (reliure de l'époque). 2 ff., XLIX pp., 190 pp., 1 f. "EDITION ORIGINALE. Pierre Patient - ce Jacques Bonhomme des villes, lecteur méditatif de Rousseau et de Proudhon - est, sous les allures d'une épopée faubourienne, un roman révolutionnaire aux accents d'un socialisme inspiré de Pierre Leroux, un roman dirigé contre ce coup d'Etat de 1851 et le despotisme florissant du Second Empire. Bien qui publié en volume en 1883, c'est le second roman de Léon Cladel. Il parut en feuilleton dans « L'Europe de Francfort » journal politique rédigé à Paris, imprimé en Allemagne puis diffusé en France, «où un groupe d'irréconciliables - comme on disait à l'époque - (Ganesco, Ranc, Floquet, Spuller, Castagnary, Gambetta et sous le pseudonyme d'Omikron, Cladel) tirait sur l'Empire à travers les meurtrières d'une imprimerie de la ville libre » (préface de Jean Bernard). Dénonçant monarques et tyrans, Cladel concluait en ses termes son récit : « ... que Pierre-Patient exerce, aujourd'hui ou demain, ce qu'il appelle son devoir et son droit de justicier, je n'en serai nullement étonné ; je m'y attends. Il est forgé, le glaive rédempteur, et peut-être, ainsi que celui de Brutus, entrera-t-il jusqu'à la garde, et comme une gaine, dans le cœur infâme de César. » C'est au début du mois d'avril 1865 que parut le feuilleton dont est tiré cet extrait. Le 15 du même mois ; le Président Lincoln, sera assassiné. Le feuilleton fut dénoncé par un obscur journaleux du « Pays » comme faisant l'apologie du meurtre politique. La bastringue impériale s'émut et réagit promptement ; e disposant encore d'aucune loi punissant les délits de presse commis à l'étranger, « L'Europe de Francfort » fut interdit par décret à l'entrée du territoire et « Pierre-Patient » mis à l'index par la censure gouvernementale. (Cf. Zévaès, pp. 187-88). Couverture et illustrations hors-texte de Fernand BESNIER, peintre et illustrateur né à Orléans, mort en 1927. Voir Fonds Français II p. 348. Vicaire T. II p. 406 - Talvart 15. UN DES 60 EXEMPLAIRES NUMEROTES SUR HOLLANDE, APRES 10 CHINE. Les couvertures de tirage de tête sont en parchemin. Un tache à l'angle supérieur droit du premier plat de couverture, le second plat est sali."
1888 Paris, E. Dentu, éditeur, 1888. In-4 demi chagrin rouge, dos à nerfsorné tête dorée, (XXIII+243pp+t.). Ouvrage insolite et curieux composé des lettres d'un chien se qualifiant lui-même de "déclassé"; elles retracent son périple à travers Paris, ses observations, ses réflexions sur la condition animale, les propriétaires d'animaux, la SPA (créé en France), etc. Illustré de nombreux dessins originaux de grands artistes du temps, tels que: Benjamin-Constant, Bracquemond, Frémiet, Gérome, Puvis de Chavannes, etc, pamphlet sur la condition animale; accompagné d'une lettre-préface de Léon Cladel et d'un poème inédit de Jean Richepin.Quelques rousseurs sinon bel exemplaire
ARENE (Paul), BANVILLE (Théodore de), CLADEL (Léon), GINISTY (Paul), MAUPASSANT (Guy de), MENDES (Catulle).
Reference : 117624
Paris C. Marpon et E. Flammarion [1887] 1 vol. relié 3 tomes reliés en 1 vol. in-8, bradel demi-percaline bleue à coins, pièce de titre bordeaux et fleuron doré au dos, 3 couvertures illustrées conservées, 141 pp. (pagination continue), illustrations en noir de Combat, Gorguet, Myrbach, Caran d'Ache, Gambard, Anquetin et Eugène Courboin. Réunion complète en édition originale des trois recueils de contes précédemment publiés dans les pages de Gil Blas : Paul Arène "Les coups de fusil", Théodore de Banville "La dame anglaise", Léon Cladel, "Ça ! non", Paul Ginisty "La demoiselle en deuil", Grosclaude "La jolie parfumeuse", Paul Hervieu "Le taureau du Jouvet", René Maizeroy "Thérèse Vigneaux", Guy de Maupassant "Un échec", Catulle Mendès "Le prix de la gloire", Joseph Montet "La balle de Pierrot", Armand Silvestre "Le melon pastoral". Coins un peu usés, sinon bon exemplaire.
P., Corrêa,, 1951, in-12, br., non rogné, 120 pp., 2 portraits-frontispices, notes. (SB42)
Édition originale.Ex. numéroté sur vélin. Envoi de l'auteur : "À la duchesse de la Rochefoucauld, ces images d'un poète pour Gilbert Mauge. En sympathie confraternelle - Judith Cladel. Paris février 1951".
Paris, Poulet-Malassis, 1862. 1 vol. in-12 relié demi-toile bordeaux, pièce de titre noire, couvertures conservées (salies), tampon à sec sur la couverture, XII 350 pp. Envoi de lauteur au Courrier de Tarn-et-Garonne. Etiquette « Quercy » collée sur le contre-plat supérieur. Deux ou trois taches marginales dans louvrage.Edition originale du premier livre de Léon Cladel, décrivant la bohême et « ses Martyrs ridicules », et dont on pense que Baudelaire a corrigé le manuscrit et conseillé lauteur. On sait que le tirage est de 500exemplaires. Bon exemplaire dans une reliure modeste, recherché également pour la longue préface donnée par Baudelaire.Catalogue G. Oberlé, Léon Cladel.
[Bibliothèque des Deux-Mondes, L. Frinzine et Cie] - CLADEL, Léon
Reference : 58080
(1885)
1 vol. in-12 br., Bibliothèque des Deux-Mondes, L. Frinzine et Cie, Paris, 1885, 317 pp.
Edition originale, exemplaire du tirage ordinaire (après 15 hollande), en bon état, tel que paru avec sa très belle couverture illustrée par G. Fraipont (deux infimes mq. en coiffes, cachet "offert par les éditeurs" en faux-titre). Etrange titre pour cette autobiographie de l'écrivain naturaliste Léon Cladel
Paris, Editeur Monnier, de Brunhoff et Cie éditeurs, 16, rue des Vosges, 1886. In-12 relié de 440 pages au format 18 x 3,5 x 12 cm. Sobre mais assez élégante reliure demi chagrin marron avec plats et pages de garde en papier marbré. Dos rond à 4 nerfs avec titre, filets et fleurons dorés. Petits frottis en haut et bas du dos, ainsi qu'aux coins. Couverture illustrée non conservée. Intérieur assez frais malgré des pages avec papier jaunissant, ainsi que des petites rousseurs et quelques pâles auréoles éparses. Longue préface de l'auteur en souvenir de Charles Baudelaire. Belles illustrations en noir in-texte. Assez bel état général. Rarissime édition originale d'un des plus curieux romans de Léon Cladel.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
1880 Bruxelles, chez l'éditeur Henry Kistemaeckers, sans date (1880); In -12 de (4) - III - (I)p. bl. - 321 - (3)pp., sous couverture bleu pale imprimée en noir sur les deux plats et dos. Nouvelle édition tirée à 1000 exemplaires et imprimée sur papier bleu azur. (Cf. Vicaire II - 402/403). Dans son avis au lecteur Léon Cladel déplore en partie la réédition de cet ouvrage malgré les appréciations "si subtiles et combien indulgentes du maître" , Charles Baudelaire, qui rédigea la préface de la première édition de 1862. Léon Cladel précise que Poulet-Malassis éditeur du livre en 1862, avait "négligé de réserver les droits d'auteur", par conséquent, Kistemaechers a pu faire cette nouvelle édition sans frais.
Dos et bordure des plats de la couverture jaunis, trace de colle (?) au 2ème plat avec petit arrachage. (CO2)
Paris, Alphonse Lemerre, 1905. 1 vol. in-8° broché, couv. bleu pâle imprimée, fente au dos. Bon exemplaire. Portrait h.-t. en frontispice d'après Bracquemond, et portrait photographique h.-t., XV-174 pp., (1) f. blanc, (32) ff., III pp., (2) pp., (1) f. blanc.[C57]
Edition originale.
Phone number : 02 47 97 01 40
L. Frinzine & Cie, Paris 1885, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale. Quelques légères rousseurs sans gravité. Reliure moderne pastiche en demi basane souris, dos à cinq nerfs orné de fleurons à froid, couvertures conservées (restaurations angulaires sur le premier plat). Envoi autographe signé de Léon Cladel. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1879 Bruxelles henry Kistemaeckers éditeur 1879 In12 broché couverture velin frontispice gravé de Lenain 142 pages
Tirage très limité Un des 200 exemplaires sur vergépetit manque dans le bas droite de la couverturebon état pas de mouilluresRARE
1885 Paris : E. Monnier, 1885,In-8, 128 p.,couverture illustrée conservée, relié avec:Cadol, Édouard :Le Cheveu du diable, voyage fantastique au Japon, Paris : E. Monnier, (1886), 138 p.,illustrations de Wogel,Choubrac,Destez,Myrbach,Roy et Willette,couvertures en couleurs conservées,le tout en un volume 1/2 chagrin tabac,à coins, dos à nerfs orné de fleurons dorés,texte frais,reliure frottée,
Paris Librairie française Alphonse Piaget 1887 In-12 Demi-reliure
Edition originale. ENVOI AUTOGRAPHE signé de Cladel sur le faux titre. Reliure ancienne usée : demi-chagrin brun, fleurons et lettre or au dos, tête dorée, couverture conservée. > La dédicace de Cladel est à Madame Mulheim : un des chapitre du livre est lui dédié à Félix Mulheim - son mari, son fils ?.. Il existe ds exemplaires avec une fausse mention de deuxième édition, ce qui n'est pas le cas ici. Assez bon 0
LIB.NILSSON ED.D'ART et de LITTERATURE s.d.(vers 1900) IN12 br.-275p.-3ht.
P., Corrêa,, 1951, in-12, br., 126 pp., 2 illustrations. (DE5)
Envoi de l'auteur à Pierre-Jean Launay.