J.J. Dubochet et compagnie , Paris, 1843
5 volumes petits in-4°, demi-reliures chagrin noir-mauve à coins, dos à 4 nerfs ornés et soulignés., plats marbrés de couleur noir-mauve. Le texte est divisé en deux colonnes sur chaques pages l’une en latin, l’autre en français. Les cinq volumes sont compsés comme suit: -TOME 1, 554 pages + une table des matières , avec en tête de l’ouvrage un avant-propos des éditeurs, et tout une suite de textes introductifs (pp I-CXLJ): deux vies de CICERON dont celle de PLUTARQUE traduite par AMYOT, un Tableau synchronique des Evénements qui se rattachent à la vie de CICERON, un Tableau et Analyse des Lois citées dans les ouvrages de CICÉRON, Un Tableau de l’Ancien calendrier romain depuis l’an de Rome 691 jusqu’à l’an 709, suivi d’un Tableau comparatif des mois de l’ancienne année romaine et de ceux de l’année de JULES CESAR, la suite des Consuls depuis l’an de Rome 690 jusqu’à l’an 711, selon la chronologie de Caton et celle de Varron, la Suite des Consuls depuis l’An de Rome 690 jusqu’à l’an 711 . Puis vient le texte proprement dit des oeuvres de CICÉRON.-TOME 2: 756 pages dont des Notes sur le Discours de CICERON pour sa maison , plus une Table des matières-TOME 3: 675 pages dont des Notes des TUSCULANES, plus une Table des Matière.-TOME 4 : 659 pages dont des Notes sur la demande du Consulat, plus un Table des matières.-TOME 5: 711 pages dont une liste alphabétique des Correspondants de CICERON, un Index géographiqiue des Lettres de CICERON, un Index des passages d’AUTEURS cités dans les Lettres de CICÉRON, et une Table des Lettres de CICÉRON.Les cinq tomes sont en TRES BON ETAT.
Nouvelle édition comprenant une lettre de M.Le Président Bouhier à M.L'Abbé d'Olivier "De Natura Deorum" (Les Trois Livres de la Nature des Dieux) : C'est l'une des œuvres philosophiques les plus célèbres de Cicéron. Dans cet ouvrage, Cicéron présente un débat entre trois personnages représentant les principales écoles philosophiques de l'époque : les épicuriens, les stoïciens et les académiciens. Ils discutent de l'existence des dieux, de leur nature et de leurs attributs. Le livre explore divers arguments en faveur et contre l'existence des dieux et offre une riche source de réflexions sur la théologie et la métaphysique de l'Antiquité romaine. "Les Catilinaires" (Catilinariae) : Il s'agit d'une série de quatre discours prononcés par Cicéron en 63 avant notre ère pour dénoncer la conjuration de Catilina. Catilina était un homme politique ambitieux qui conspirait pour renverser le gouvernement romain. Les Catilinaires sont des discours célèbres où Cicéron expose les preuves de la conspiration et exhorte le Sénat à agir contre Catilina pour protéger la République. "La Première Tusculane" (Tusculanae Disputationes) : C'est l'un des dialogues philosophiques de Cicéron dans lequel il aborde des questions liées à la philosophie morale. Dans ce dialogue, Cicéron se réfère aux leçons qu'il a données dans sa villa de Tusculum et traite de sujets tels que la sagesse, la vertu, le bonheur, la douleur, la mort et l'âme. "Le Songe de Scipion" (Somnium Scipionis) : C'est un passage célèbre tiré du livre VI du dialogue philosophique de Cicéron intitulé "De Republica" (De la République). Dans ce rêve, Scipion l'Africain, un général romain du passé, rend visite à son petit-fils adoptif, Scipion l'Africain le Jeune, et lui enseigne des principes philosophiques et moraux sur la nature de l'âme, de l'univers et de la vertu. Ces œuvres de Cicéron sont parmi les plus importantes de la littérature latine classique et continuent d'être étudiées et lues pour leur contribution à la philosophie, à la politique et à la rhétorique de l'Antiquité romaine. Table; Remarques sur les trois livres de la Nature des Dieux - Les Catilinaires - La première Tusculane & le songe de Scipion. vol in-12, 170x100, reliure pleine basane époque, bon état intérieur, bien frais, 548pp. Paris Chez La Veuve Gandon MDCCXLVI ref/27/2
Rangées par ordre chronologique, avec des petites notes françoises par Mr Gaullyer Les "Lettres de Cicéron à ses amis" font référence à une collection de lettres écrites par Marcus Tullius Cicero (Cicéron) à ses amis, collègues et associés. Cicéron était un homme politique romain, un avocat et un philosophe célèbre pour ses talents oratoires et sa pensée politique. Pendant sa carrière politique et littéraire, Cicéron a entretenu une correspondance abondante avec de nombreuses personnalités de son époque, dont Atticus, Brutus, Caelius, et d'autres amis proches. Ces lettres couvrent une période de sa vie allant de sa jeunesse jusqu'à sa mort. Ces lettres sont d'une grande valeur historique et littéraire, car elles fournissent des informations détaillées sur les événements politiques, sociaux et culturels de la Rome antique. Elles révèlent également des détails intimes sur la personnalité de Cicéron, ses sentiments, ses doutes, ses espoirs et ses peurs. Outre leur aspect historique, les lettres de Cicéron sont également importantes pour la compréhension de la rhétorique et de la prose latine classique. Elles montrent la maîtrise de la langue latine par Cicéron et son talent pour la composition épistolaire. Ces lettres ont été préservées au fil des siècles et sont un témoignage précieux de la vie et des pensées d'un homme politique et intellectuel influent de l'histoire romaine. De nombreux chercheurs et étudiants en histoire, en littérature et en philosophie continuent d'étudier ces lettres pour mieux comprendre la Rome antique et la personnalité complexe de Cicéron. Lettres I-CCCXXV en Latin + notes grammaticales sur chaque lettre + tables des Consuls, des sesterces, des années de la ville de Rome vol. in-12, 150x70, relié pleine basane époque, accrocs, solidement relié, 471pp , rare exemplaire ! Paris Nicolas Lottin MDCCXXI c23
1794 1794. Reliure plein veau d'epoque , A Paris, chez les frères Barbou, 1744, In 8 de LXXXIV-296pp., reliure en plein veau marbré de l’époque, dos à 5 nerfs ornés de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de basane rouge encadré d’un filet doré, titre doré.
ray D3*
Très exceptionnel lot de publications d’oeuvres de Cicéron sorties des presses de Jean Rihel à Strasbourg en 1574 et conservées dans leur reliure d’époque à l’esthétique homogène. Ensemble comprenant : In Hoc Volumine Haec Continentur (ou Rhetoricorum) reprenant ainsi que le volumen secundum de l’Orationum volumina tria et les deux tomes du Librorum Philosophicorum, ces deux dernières ayant éditées d’après les éditions aldines par l’humaniste protestant Jean Sturm, fondateur de l’université de Strasbourg connu pour ses éditions et commentaires des antiques et plus particulièrement Cicéron auquel il vouait une admiration toute particulière. Jean, ou Josias, Rihel est libraire-imprimeur à la suite de son père de Wendelin dont il prend la suite en 1555. Travaillant directement pour le gymnase, ils firent paraître Jean Sturm, Jean Sleidan (dont Jean Rihel fut le tuteur) mais aussi Calvin, qui leur confia la deuxième puis la troisième édition de son Institutio Religionis Christianae. Reliure 1574, Strasbourg. Quatre volumes in-8, reliure pleine peau de truie à encadrement de l’époque, décors identiques sur chaque volume, dos à quatre nerfs, caissons estampés à motifs floraux, tranches rouges. Textes imprimés en italiques à la façon d’Alde. Philosophicorum (VD16 C 2857) - T.I: [8], 251ff. et [41]; T.II: [8], 214, [14] ff. Orationum volumen secundum (VD16 C 3346) - [8], 281, [17] ff. In Hoc Volumine Haec Continentur (VD16 C 3894) - [8], 382, [9] ff. Si l’encadrement du cartouche central est identique sur les deux plats, se composant de roulettes, de portraits en médaillons et de la citation Gott Ist Mein Heil découpée en quatre petits cartouches, les scènes figurées diffèrent quant à elles. Celle du premier plat reprend l’allégorie du serpent et du crucifix telle qu’interprétée par le philologue et traducteur de la Bible Sante Pagnini dans son Isagoge ad mysticos sacrœ scripturæ sensus. Un passage en a d’ailleurs été inscrit Sicut Moses Exaltauit Serpentis. Le second plat quant à lui montre Jonas rejeté de la baleine sur le sable et envoyé par Dieu vers Ninive, passage également accompagné infra d’une citation en allemand. L’ensemble des reliures ainsi que les corps de textes demeurent encore aujourd’hui dans un très bel état de conservation. Seules sont à signaler les annotations à l’encre qui parcourent les ouvrages. In Hoc Volumine Haec Continentur Traité de rhétorique calqué sur l’édition aldine du De Arte Rhetorica augmenté ici des commentaires de Jean Sturm. Le volume comprend la Rhétorique à Herennius, dont l’attribution à Cicéron était déjà soumise à caution dans cette édition. Ouvrage abondamment annoté à l’encre dans les marges tout au long du texte. Infime déchirure du coin supérieur de la page de garde. Orationum volumina tria, volumen secundum Deuxième volume sur trois des Discours de Cicéron publiés par Sturm et reprenant également une édition aldine. Page de titre affichant une élégante marque typographique représentant vraisemblablement l’allégorie de la tempérance. Quelques annotations à l’encre sur le contreplat et discrète mention de Pausanias sur la garde. Annotations à l’encre disséminée dans l’ouvrage. Librorum Philosophicorum volumen I et II Recueil d'œuvres philosophiques de Cicéron publiée en deux tomes et comprenant notamment le Somnio Scipionis, fragment emprunt d’une poésie qu’on ne soupçonne pas et l’un des très rares (sinon le seul) de la République de Cicéron qui nous soit parvenu. Infime travail de ver sur le premier plat et le contreplat. Coin supérieur de la garde des deux volumes légèrement déchirés. Ex-libris au graphite sur le dernier contreplat.
1732 Couverture rigide Gandouin, Paris, 1732. Un volume in-12 (16,5 x 10 cm), reliure plein veau fauve de l'époque, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin, roulette dorée d'encadrement sur les plats, roulette dorée sur les coupes et contreplats, tranches dorées, signet. 401(5) pages, quelques rousseurs, quelques feuillets jaunis. Edition originale de cette traduction. L'ouvrage contient la première des cinq conférences philosophiques de Cicéron prononcées dans sa villa de Tusculum en 45 avant J. C., "Sur le mépris de la mort". On notera une lettre de Erasme adressée à Froben en vue d'une nouvelle édition : "Sentiment d'Erasme sur Cicéron" (pages 14-30). La traduction de l'abbé d'Olivet est suivie du texte original en latin enrichi des commentaires du président Bouhier (pages 197-400). Bon exemplaire, en très bon état.
Très bon
Garnier Frères, Paris. 1870. In-12. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Mouillures. 20 tomes d'env. 500 pages chacun. Texte en français, et en latin en notes (en bas de pages). Couvertures des tomes 6, 7, 8, 10, 11, 15, 16, 17, 18 fortement défraîchies et abîmées.. . . . Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
'Bibliothèque latine-française'. Traductions revues, notamment par M. Charpentier, Inspecteur honoraire de l'Académie de Paris, Agrégé de la Faculté des Lettres. Tome 1: Etude sur sa vie et ses ouvrages. Tome 2: Rhétorique à Herennius, par M. Delcasso; De l'Invention, trad. de E. Greslou. Tome 3: De l'Orateur, trad. de S. Andrieux. Tome 4: Brutus; L'Orateur; Les Orateurs parfaits; Dialogue sur les paritions oratoires; Les Topiques, trad. de M. Delcasso. Tome 5: Discours oour Roscius d'Amérie; Pour Publius Quintus, pour Q. Roscius le Comédien, trad. de Ch. du Rozoir; Discours contre Cécilius; Contre Verrès, trad. de MM. du Rozoir et Guéroult. Tome 6: Seconde action contre Verrès, trad. de Guéroult. Tome 7: Seconde action contre Verrès (fin), trad. de Guéroult; Discours, trad. par M. Cabaret-Dupaty. Tome 8: Disocurs, trad. de Guéroult, Durozoir et de Guerle; De Cicéron au peuiple après son retour, trad. de Guéroult. Tome 9: Discours pour sa maison, pour Sextius, trad. de M. Cabaret-Dupaty. Contre Vatinius, etc., trad. par M. Héguin de Guerle. Tome 10: Discours, trad. de J.P. Charpentier; Pour Marcellus, Pour Ligarius, etc., trad. par M. Héguin de Guerle. Tome 11: Discours contre Marc Antoine, 2e à 14e Philippiques, trad. par M. Héguin de Guerle. Tome 12: Lettres de M.T. Cicéron (685-701), trad. revue par M. H. Durand. Tome 13: Lettres de M.T. Cicéron (702-704), trad. revue par Paul Charpentier. Tome 14: Lettres de M.T. Cicéron (704-708), trad. revue par MM. Legoüez et Héguin de Guerle. Tome 15: Lettres de M.T. Cicéron (704-708), trad. revue par MM. Héguin de Guerle et Paul Charpentier. Tome 16: Les Académiques; Des vrais biens et des vrais maux; Les Paradoxes, trad. de MM. Delcasso et Stiévenart. Tome 17: Les Tusculanes; L'Amitié; La Demande du Consulat, trad. de MM. Matter, Jules Pierrot. Tome 18: Les devoirs; Sur la vieillesse; De la nature des dieux, trad. de MM. Stiévenart, Jules Pierrot. Tome 19: La Divination, La répubolique des lois, trad. de MM. de Golbery, Liez, J.P. Charpentier. Tome 20: Fragments, Ouvrages apocryphes, suivis d'une Table générale. Classification Dewey : 870-Littératures des langues italiques. Littérature latine
Paris Werdet et Lequien Paris Werdet et Lequien fils 1826, Tome XXXIV seul , In-12 relié demi basane verte, 365 pages. Reliure un peu frottée. Quelques petites rousseurs
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Lyon Chez Amable Leroy 1808 3/4 vol. in-12 ( 17 x 10 cm ) XII (dont fx.t., t.) 439 pp. + fx.t., t., 360 pp. + fx.t., t., 399 pp. Texte latin et traduction en regard , du Livre I au Livre XII. Avec Avertissement.Pleine basane de l'époque. Dos lisse orné doré, p. de titre et de tomaison rouges. Tranches et gardes marbrées. Qqs épidermures et éraflures . Des coins obtondus surtout aux vol. I et II. Mors supérieur du vol. II fendu . Une tâche sur le plat supérieur du vol. III. MANQUE LE VOL. IV . Papier jauni, qqs rousseurs. Erreurs de pagination en fin du vol. III : pp. 384, 387, 388, 385, 386 , 391, 392, 389, 390, 395, 396 ,393, 394, 399.(Aucune ne manque.)
Il s' agit d'un recueil de lettres écrites par Cicéron entre 68 et 44 av.J.-C. à son ami et confident Atticus qui les a publiées. Il nous reste 454 lettres (sur 813) qui tiennent du journal intime et concernent les questions les plus variées. L'humaniste florentin Coluccio Salutati fit connaître la version conservée dans un manuscrit découvert en 1345 dans la bibliothèque capitulaire de Vérone. ( d'après Wikipédia) N. H. Mongault ( Paris 1674 - id 1746 ) : homme d 'Eglise et homme de lettres. Fils naturel de G. Colbert marquis de Saint-Pouange. Oratorien, précepteur de Louis d'Orléans , traducteur du grec et du latin. Fit paraître la traduction des Lettres de Cicéron à Atticus en 1701. Voltaire dit de lui , dans son " Siècle de Louis XIV" : "La meilleure traduction qu'on ait faite des Lettres de Cicéron est de lui. Elle est enrichie de notes judicieuses et utiles." Dans "Cours de Bibliographie ou Nouvelles productions ...." Luneau de Boisjermain notait au sujet d'une réimpression de 1788 : "Cette traduction jouit depuis longtemps d'une estime très-méritée; on a très-bien fait de la réimprimer. L'abbé Mongault a éclairci, par des notes très-scavantes et très-érudites, les endroits difficiles des Lettres de Cicéron à Atticus ; il les a toutes traduites avec beaucoup de clarté. Ainsi, du côté de la curiosité, tout doit contribuer à la satisfaire (...)L'aisance, la simplicité, le naturel charmant avec lesquels ces lettres sont écrites, les ont fait regarder de tout temps comme un modèle de ce genre : le bon goût en recommandera la lecture à toutes les personnes qui cherchent à se former dans l'art de style épistolaire."
Phone number : 05 53 48 62 96
Paris Chez Iean Henavlt 1664 1 vol. in-12 ( poids : 150 g ) 12 (dont fx.t. et t. ) , 130 ( i. e. 259 ) , (4) pp. . Texte latin et traduction en regard , avec pagination double de la p. 2 à la p. 130 ( la paire de page portant le même numéro ) . En IV livres avec Epistre A Son Altesse Monseigneur le Prince d' Elbevf , Privilège , et in fine , Table des noms de cevx ausquels Cicéron addresse les Epistres . Bandeaux , lettrines . Plein vélin de l' époque . Dos lisse , titre et date à l' encre. Bon état . Qqs mots manuscrits à l' encre p. 57 et à l' extrême fin . Qqs petites taches d' encre pp. 82 à 84 et 106 .
" Hénault François (.... ) , libraire à Paris , publia en 1664 une traduction des Lettres choisies de Cicéron , in-12 réimprimée en 1670 " ( M. Courtin , Encyclopédie moderne ou Dictionnaire des hommes et des choses .... La Haye , Chez Th. Lejeune , 1824 , vol. 12 , p. 448 ) . C' est confirmé par J. -V. Le Clerc ( Oeuvres complètes de M. T. Cicéron traduites en français ...., Paris , Chez Lefèvre , 1825 , T. I , p . 448 ) et par H. J. Martin ( Livre Pouvoirs et Société à Paris au XVII s , Genève , Librairie Droz , 1984 , T. II , p. 810 ) . Les deux premières références prétendent que François Hénault est le grand-père de Charles-Jean-François Hénault dit le président Hénault ( 1685 - 1770 ) , ce qui semble douteux , vu les dates . Fils de l'imprimeur-libraire parisien Jean Hénault , François Hénault fut reçu maître imprimeur en 1659 . IL succèda à son père au décès de celui-ci (1673) , en association avec sa mère ( BnF , Data ).
Phone number : 05 53 48 62 96
Messieurs Bouhier & d'Olivet, de l'Académie Française. Les Tusculanes (en latin : Tusculanae disputationes) sont une œuvre philosophique de Cicéron, dans laquelle l'auteur cherche à établir l'immortalité de l'âme et démontrer que le bonheur ne peut se fonder que sur la vertu. Il s'agit d'un manifeste du stoïcisme. Les Tusculanes prennent la forme d'un dialogue supposé entre Cicéron et un individu anonyme. Cicéron adopte comme technique argumentative de reprendre les arguments et exemples de ses prédécesseurs philosophes, pour fonder son propre raisonnement. Les cinq conférences des Tusculanes abordent les questions existentielles traitées traditionnellement par les écoles philosophiques : la mort et si elle est un mal ; la douleur et si elle est le plus grand de tous les maux ; la douleur de l'âme et si le sage est susceptible de chagrin ; l'âme du sage et les passions ; la vertu et si elle assure le bonheur. complet en 3 vols in12, 180x100, reliés pleine basane époque, fendillements des mors, accrocs, solidement reliés, bien frais, 398, 466 & 560pp. Chez Gandouin, Paris 1737 ref/28
Imprimerie Marrimpouey Jeune à Pau Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1972 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur vert pale, illustrée d'une vignette au coin supérieur droit grand In-8 1 vol. - 231 pages
1ere édition, 1972 Contents, Chapitres : Index - Bibliographie - Introduction - Horace - Cicéron - Conclusion - Appendice - Première partie (Horace) - Deuxième partie (Cicéron) legere pliure au coin inférieur gauche du volume sans gravité, sinon tres bon état, intérieur frais et propre
Traduit par M. l'Abbé D'Olivet Cet ouvrage, intitulé "De Natura Deorum" en latin, est un dialogue philosophique où Cicéron examine les questions relatives à l'existence des dieux, à leur nature, et aux attributs divins. Dans le livre, Cicéron présente un débat entre trois personnages représentant les principales écoles philosophiques de l'époque : les épicuriens, les stoïciens et les académiciens. Ces trois personnages discutent de manière approfondie de leurs points de vue sur la religion, la théologie et la croyance en un pouvoir divin. Les épicuriens, adeptes de la philosophie d'Épicure, soutiennent que les dieux existent, mais ils sont indifférents aux affaires humaines et ne s'occupent pas des activités humaines. Les stoïciens, partisans de la philosophie stoïcienne, défendent l'existence d'une divinité suprême, ordonnée et bienveillante, qui régit l'univers selon des lois rationnelles. Les académiciens, représentant l'école de philosophie platonicienne d'Académie, adoptent une position plus sceptique et affirment que l'on ne peut pas parvenir à une certitude absolue concernant l'existence des dieux. À travers ces discussions, Cicéron explore divers arguments en faveur et contre l'existence des dieux, tout en exposant les croyances philosophiques de son temps. L'ouvrage offre ainsi une riche source de réflexions sur la théologie et la métaphysique de l'Antiquité romaine. "De Natura Deorum" est l'une des œuvres philosophiques les plus importantes de Cicéron, et elle continue d'être étudiée et lue pour sa contribution à la pensée antique et à la théologie romaine. Tome II ( Livre I à III). vol in12, 170x90, relié plein veau époque, frottements et accrocs, fendillement du mors, solide, bel état intérieur, bien frais, 402pp + table. Paris, Chez Barbou, 1766 ref/24/6
Werdet et Lequien Paris Werdet et Lequien fils 1826, Tome XII seul , In-12 relié demi basane verte, 486 pages. Reliure un peu frottée. Quelques petites rousseurs. Publiées en français avec le texte latin en regard , par Joseph Victor LE CLERC. TOME XII seul : PLAIDOYER POUR LE POETE ARCHIAS ACCUSE D'USURPER LE TITRE DE CITOYEN. trad. nouvelle. + PLAIDOYER POUR L. FLACCUS ACCUSE DE CONCUSSION. Trad. d'Ath. AUGER. + DISCOURS DE CICERON AU SENAT APRES SON RETOUR. Trad. nouvelle + DISCOURS DE CICERON AU PEUPLE APRES SON RETOUR. Trad. nouvelle par P.C.B. GUEROULT + DISCOURS DE CICERON POUR SA MAISON. Trad. revue par l'éditeur.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Sumptibus Blaviorum & Henrici Wetsteinii, Amstelaedami 1684, Très fort in-8 (12x19,7cm), (16) 822pp. ; 284pp. et 802pp. ; 344pp. (95), 2 volumes reliés.
Edition originale réalisée par Johann Georg Graevius. Un frontispice non signé. Première page de titre en rouge et noir. Les commentaires de Paul Manuce forment une partie à part, en fin du premier et du second volume. Reliure en plein velin rigide d'époque. Dos lisse janséniste. Titre et tomaison à la plume noire. Le velin du premier tome a perdu sa brillance. Bon exemplaire. Graevius fut un célèbre philologue allemand, il a donné plusieurs éditions critiques des oeuvres de Ciceron et d'autres auteurs de l'Antiquité. Les lettres à Atticus de Ciceron sont parmi les plus fameuses du rhéteur romain, Atticus étant un intime pour lequel Ciceron conserva une affection vive et sincère. De cette correspondance, il reste454 lettres (sur les 813 lettres de Cicéron qui nous sont parvenues). Graevius a rassemblé pour cette édition toutes les grandes annotations critiques depuis les premières éditions, celles d'Aldo Manuce, de Denys Lambin, de Gronovius, d'Isaac Casaubon... La masse des commentaires occupe la majeure partie des pages. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Werdet et Lequien Paris Werdet et Lequien fils 1826, Tome XXVI seul , In-12 relié demi basane verte, 316 pages. Reliure un peu frottée. Quelques petites rousseurs
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Avec des Remarques de M. le Président Bouhier sur le texte de Cicéron.Seconde édition, revue et augmentée. A Paris, Chez Pierre Gandouin - 1736 - 416 pages, Approbation et Privilège du Roi.Reliure plein veau moucheté de l'époque. Dos à nerfs orné et doré avec pièce de titre maroquin rouge. Roulette dorée sur les coupes. Tranches jaspées rouge. Pas de rousseur. Très bon état. Format in-12°(17x10).Les Philippiques sont une série de 14 discours prononcés par Cicéron en 44 et 43 av. J.-C., attaquant de plus en plus violemment Marc Antoine, qui se pose en successeur de Jules César. Il les nomme ainsi en avril 43 en l'honneur des Philippiques de Démosthène, qu'il admirait beaucoup. Toutefois sous l'Empire, les rhéteurs continuent à les désigner sous leur appellation initiale Antonianae.
<p><meta charset="utf-8"><span>La vertu constitue le seul bien supérieur à l'amitié, écrit Cicéron. Ce n'est donc que par cette même vertu que l'amitié s'épanouira pleinement. Dans ce dialogue philosophique, il donne la parole à Laelius pour clarifier ses vues.</span><br><br><span>À l'instar des bons vins, les belles amitiés se bonifient avec l'âge. Il convient donc de ne pas se fourvoyer dans des relations animées par la vaine recherche de satisfactions passagères. L'amitié requiert au contraire fermeté et solidité, vertus stoïciennes par excellence. Dans son éloge, Cicéron se fait le contempteur des hypocrites et l'apologiste des hommes probes, seuls dignes de recevoir le précieux sésame de l'amitié. Mais il offre également un texte à portée politique, écrit en -44 av. J-C, peu de temps après la mort de César...</span></p> Paris, 2024 Allia 144 p., broché. 10,2 x 17
Neuf
à Paris, chez Gandouin, 1737.
Ensemble de 2 volumes in-12 reliés (165x95mm), basane brune de l'époque, dos à 5 nerfs à caissons ornés avec pièces de titre et de tomaison dorées, tranches mouchetées rouges, vol1:1fbnc, 398pages,1f errata,1fbnc;vol2:1fbnc,466pages,3f approbation et privilège,1fbnc. Ex-libris de Fleurieu gravés et collés sur les contre-plats des 2 volumes. Traduction des 5 livres par l'abbé d'Olivet (1682-1768, grammairien et écrivain) et Jean Bouhier (1673-1746, président à mortier au parlement de Dijon). Si le premier fut l'ami de Rousseau dans le malheur, de Rollin et de Batteux; le second rassembla pour l'époque des connaissances peu communes en divers endroits, philologie, critique, langues savantes, jurisprudence, au point que l'on dit de Jean Bouhier : "il remua tout, il embrassa tout et il fit ses preuves dans tous les genres''. Tusculanes est un traité philosophique rédigé par l'écrivain latin Cicéron (106-43) dans sa villa de Tusculum sous forme de dialogues -entre un Auditeur et Cicéron- en 5 livres composé entre 45 et 44 avant notre ère qui aborde les thématiques suivantes : vol1 :De la mort, De la douleur et vol2: Des afflictions, Des Passions, De la vertu. Texte en latin en fin de chacun des ouvrages. Le premier volume débute par le Sentiment d'Érasme sur Cicéron et, se trouve intercalé entre les 2 premiers dialogues le "Songe de Scipion" qui est une réflexion poignante sur l'humanité, sur sa mémoire et sur son avenir. Selon Érasme, "jusqu'au temps de Socrate, la Philosophie se bornait à la Physique, et ce fut Cicéron, qui le premier, en la prenant du côté de la Morale, lui donna entrée dans les maisons des particuliers''. Charnières travaillées, lég manque plat sup du T2.
Paris, Didot l’aîné, De Bure l’aîné, Paris, Didot l’aîné, De Bure l’aîné1782 ; in-16, veau fauve raciné, encadr. guirlande dorée, dos orné, pièce de titre rouge et verte, tranches dorées. 187 pp., 1 p.ÉDITION ORIGINALE. Florilège des pensées de Cicéron, précédé d’une Vie de Cicéron (les 63 premières pages du volume) par Pierre-Charles Levesque (1736 - 1812). Ce remarquable latiniste avait séjourné à Saint-Pétersbourg depuis 1773. Sur la recommandation de Diderot, l’impératrice de Russie l’avait nommé professeur de lettres à l’école des cadets nobles. À son retour en France en 1780 il fut invité à collaborer à la Collection des moralistes anciens par Naigeon. Cet ouvrage est le 6e volume publié dans cette collection dédiée au roi, après les pensées d’Epictète, de Confucius, de Sénèque, d’Isocrate et de divers auteurs chinois.
Lyon, Impr.de Fr.Mistral 1813 xc + 238pp., Nouvelle édition, bilingue: latin-français, belle reliure demi-cuir avec titre doré au dos, 19cm., bel état, ["Pour servir de supplément à l'histoire et au caractère de Cicéron"]
A Nismes [Nîmes], chez J. Gaude, 1811. Un vol. au format pt in-12 (168 x 108 mm) de xxi - 370 pp. Reliure de l'époque de pleine basane glacée et racinée brune, filet vertical gras à froid porté sur les plats, dos lisse orné de filets sinusoïdaux verticaux dorés, filets en pointillés dorés, roulettes dorées, larges fleurons dorés, pièce de titre de maroquin brique, titre doré, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées.
Impression nîmoise. Démosthène dénonce au travers des Philippiques les ambitions de Philippe II et critique avec véhémence l'oisiveté des Athéniens, tout en éveillant chez eux des sentiments patriotiques. Ces discours marquant l'apogée de la rhétorique grecque. « La mort ne saurait être honteuse pour un homme résolu, ni prématurée pour un ancien consul, ni affligeante pour un sage », lance Cicéron à ses adversaires au début de la Ne Catilinaire. Ces paroles, prononcées par un homme qui connaîtra l'exil pour avoir étouffé la conjuration de Catilina, qui sera égorgé par les amis politiques des factieux de 63, ne ressortissent pas à la seule rhétorique. Cicéron a sincèrement cru avoir infléchi le cours des événements par la seule vertu de son verbe : c'est à une réflexion sur le pouvoir de la parole face à la violence la plus aveugle que nous invitent aujourd'hui encore les discours politiques de Cicéron. Petites tâches au premier plat. Ors du dos légèrement oxydés. Bonne condition intérieure.
Paris, Lefèvre, impr. Imprimerie de Crapelet 1825 30 volumes. In-8 22 x 14 cm. Reliures de l’époque demi-basane rouge, dos lisses ornés de cadres dorés, environ 500 pp. par volume, portrait de Cicéron en frontispice. Ensemble en bon état, intérieur frais, sauf vol. I coins de tête coupés et marques d’humidité.
Bon état d’occasion
<p data-mce-fragment="1">Collection "Le goût des idées".</p><p data-mce-fragment="1">Protecteur de Sicile où il règne en despote, Verrès, collectionneur maniaque, dépouille le pays de ses plus belles œuvres d'art: fourberies, cruautés, tout lui est bon. Mais son mandat expire, il est mis en accusation. Contre lui, se dresse Cicéron qui va faire son enquête sur place. Puis, implacable, il ouvre le dossier de la plus gigantesque affaire de concussion de l'Antiquité.</p><p data-mce-fragment="1">« L’affaire Verrès est très complexe, en raison de ses incidences politiques, de la personnalité curieuse de l’accusé et des motifs de l’accusation: son retentissement jusqu’à nos jours, où elle soulève encore des polémiques, est évidemment dû au talent de Cicéron qui ne lui a pas consacré moins de sept discours, dont deux seulement ont été réellement prononcés, le: <em data-mce-fragment="1">contre Caecilius</em> et la <em data-mce-fragment="1">Première Action contre Verrès</em>. L’exil spontané du prévenu ayant interrompu les débats, Cicéron publia ensuite la <em data-mce-fragment="1">Seconde Action contre Verrès</em> qui comprend cinq discours ou livres. Dans le premier (sur la préture urbaine), il est question des honteux trafics de Verrès, préteur à Rome; dans le second (sur la façon dont Verrès rendit la justice en Sicile), des iniquités qu’il a commises dans les affaires judiciaires, pendant sa propréture; dans le troisième, de ses malversations dans la perception des impôts et les approvisionnements en blé. Le quatrième: <em data-mce-fragment="1">les Œuvres d’Art</em>, montre Verrès collectionnant les richesses artistiques aux dépens de ses administrés. Le cinquième: <em data-mce-fragment="1">des Supplices</em>, flétrit en Verrès le mauvais général usant de façon inique et cruelle de son droit de supplices. Ces deux derniers discours sont les plus justement célèbres de l’ensemble des Verrines. »</p> Paris, 2015 Les Belles Lettres 288 p., broché. 12,5 x 19
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