1881 un volume, reliure demi-chagrin rouge in-octavo Editeur (binding half shagreen in-octavo), dos 5 nerfs (spine with raised bands) décoré or (gilt decoration) filets or (gilt line) et à froid (blind-stamping decoration) fers spéciaux (caissons) (between the raised bands specials blocking stamps), reliure signée : Charles Magnier - titre frappé or (gilt title) - percale rouge sur les plats, cartonnage éditeur à plaques spéciales à froid monochromes (editor hard-back percale with specials covers editor for the cover), tête lisse (top edge smooth), toutes tranches lisses (all smooth edges) dorées (all edges gilt), orné de trés nobreuses illustrations in et hors-texte (in text and full page engraving) en noir par Léonce Petit, infimes rousseurs sur la page de titre mais parfait pour le reste (lightly redness marks), 305 pages, 1881 Paris PLON et Cie Imprimeurs Editeurs,
Charles-Philippe, marquis de Chennevières-Pointel, dit Jean de Falaise, né à Falaise le 23 juillet 1820 et mort le 1er avril 1899, est un historien d'art et écrivain français, acquéreur du prieuré de Saint-Santin à Bellême, Il a écrit des contes sous le nom de " Jean de Falaise " et de " M. de Saint-Santin ".Quand la Normandie nous était contée........... Un précurseur de Maupassant......reliure en parfait état (as new condition).
FALAISE (Jean de) - [CHENNEVIERES-POINTEL (Philippe, Marquis de, dit)] - BUISSON (Jules, eau-forte de).
Reference : 12814
(1860)
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, 1860. Un vol. in-12 (188 x 113 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol., vi pp., 1 f. n.fol., 272 pp., 1 f. n.fol. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de demi-percaline brune, dos lisse orné de doubles filets dorés, fleuron central doré, pièce de titre de maroquin havane, titre doré.
Edition originale s'ouvrant sur une délicate eau-forte en frontispice tirée en bistre de Jules Buisson. Tirage à 1.000 exemplaires. Natif de Falaise, l'auteur livre ici quelques récits de son pays natal. Vicaire II, Manuel de l'amateur de livres du XIXème, 360 - Carteret I, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, p. 171 - Oberlé, 355. Papier des plats renouvelés. Tâches affectant la reliure. Petit défaut affectant la pièce de titre. Feuillets liminaires et finaux brunis. Brochage un peu faible aux deux premiers cahiers. Nonobstant, belle condition. Peu courant.
Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1860 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. 2 ff., frontispice, VI pp., 1 f. de faux-titre, 272 pp., 1 f. de table, 1 f. avec le caducée – Titre en rouge et noir. "EDITION ORIGINALE tirée à 100 exemplaires, plus quelques très rares exemplaires sur vergé de Hollande. Exemplaire sur papier de l’édition. Frontispice de Jules BUISSON, tiré en noir sur un papier vélin blanc très fort. Ce Jules Buisson, surtout connu comme écrivain d’art est né à Carcassonne en 1822. On connaît 4 pièces gravées par lui pour des livres d’amis comme Levavasseur, Prarond et Chennevières (Voir Fonds français III, 512). Il fit aussi un portrait du marquis de Chennevières qui parut dans «l’Artiste» de 1899 (mort de l’auteur). L’eau-forte de ce volume (elle existe en divers tirages), montre Chennevières étendu sous un pommier chargé de fruits. Quatre petits génies l’entourent: l’un d’eux tient une pancarte sur laquelle on lit: «La paresse a tué Jean de Falaise». Dans le catalogue Monselet (1871) on peut lire: «Ce Jean de Falaise, que ses amis regardaient – et qui se regardait lui aussi – comme le plus insouciant et le plus paresseux de la création, est aujourd’hui inspecteur des Musées. Jules Buisson a beau jeu à nous le présenter endormi tout de son long dans l’herbe; c’est monté sur une échelle, au palais des Champes-Elysées, qu’il fallait le faire voir». Quelques contes de ce recueil avaient paru dans le «Corsaire» de 1846-47. Launay précise: «En lui envoyant les textes réunis pour cet ouvrage, Chennevières avait averti Malassis: «Votre conscience (en) portera la responsabilité dans tous les siècles des siècles…». En fait, c’est peut-être le modèle des éditions alençonnaises; c’est d’une qualité classique si discrète, si achevée, qu’elle ne se remarque pas. C’est aussi un livre témoin. Témoin d’une amitié et d’une époque. Chennevières, Le Vavasseur, Prarond – et Baudelaire – s’étaient connu dans les années 40 à la pension Bailly et avaient participé à la fondation de cette «Ecole» dite «Normande» qu’évoque la dédicace, et à laquelle Buisson avait réservé son talent avant d’en faire profiter, beaucoup plus tard, ses collègues députés…». Les feuillets liminaires portent un poème de l’auteur à ses amis J. Buisson, G. Le Vavasseur et E. Prarond et des réponses en vers de ces deux derniers. Launay 113 – Vicaire 360. Bel exemplaire."
Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1860 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. 2 ff., frontispice, VI pp., 1 f. de faux-titre, 272 pp., 1 f. de table, 1 f. avec le caducée – Titre en rouge et noir. "EDITION ORIGINALE tirée à 100 exemplaires, plus quelques très rares exemplaires sur vergé de Hollande. Exemplaire sur papier de l’édition. Frontispice de Jules BUISSON, tiré en bistre sur papier ordinaire mince. Ce Jules Buisson, surtout connu comme écrivain d’art est né à Carcassonne en 1822. On connaît 4 pièces gravées par lui pour des livres d’amis comme Levavasseur, Prarond et Chennevières (Voir Fonds français III, 512). Il fit aussi un portrait du marquis de Chennevières qui parut dans «l’Artiste» de 1899 (mort de l’auteur). L’eau-forte de ce volume (elle existe en divers tirages), montre Chennevières étendu sous un pommier chargé de fruits. Quatre petits génies l’entourent: l’un d’eux tient une pancarte sur laquelle on lit: «La paresse a tué Jean de Falaise». Dans le catalogue Monselet (1871) on peut lire: «Ce Jean de Falaise, que ses amis regardaient – et qui se regardait lui aussi – comme le plus insouciant et le plus paresseux de la création, est aujourd’hui inspecteur des Musées. Jules Buisson a beau jeu à nous le présenter endormi tout de son long dans l’herbe; c’est monté sur une échelle, au palais des Champes-Elysées, qu’il fallait le faire voir». Quelques contes de ce recueil avaient paru dans le «Corsaire» de 1846-47. Launay précise: «En lui envoyant les textes réunis pour cet ouvrage, Chennevières avait averti Malassis: «Votre conscience (en) portera la responsabilité dans tous les siècles des siècles…». En fait, c’est peut-être le modèle des éditions alençonnaises; c’est d’une qualité classique si discrète, si achevée, qu’elle ne se remarque pas. C’est aussi un livre témoin. Témoin d’une amitié et d’une époque. Chennevières, Le Vavasseur, Prarond – et Baudelaire – s’étaient connu dans les années 40 à la pension Bailly et avaient participé à la fondation de cette «Ecole» dite «Normande» qu’évoque la dédicace, et à laquelle Buisson avait réservé son talent avant d’en faire profiter, beaucoup plus tard, ses collègues députés…». Les feuillets liminaires portent un poème de l’auteur à ses amis J. Buisson, G. Le Vavasseur et E. Prarond et des réponses en vers de ces deux derniers. Launay 113 – Vicaire 360. Petites mouillures marginales."
Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1860 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. 2 ff., frontispice, VI pp., 1 f. de faux-titre, 272 pp., 1 f. de table, 1 f. avec le caducée – Titre en rouge et noir. "EDITION ORIGINALE tirée à 100 exemplaires, plus quelques très rares exemplaires sur vergé de Hollande. Exemplaire sur papier de l’édition. Frontispice de Jules BUISSON, tiré en bistre sur papier ordinaire mince. Ce Jules Buisson, surtout connu comme écrivain d’art est né à Carcassonne en 1822. On connaît 4 pièces gravées par lui pour des livres d’amis comme Levavasseur, Prarond et Chennevières (Voir Fonds français III, 512). Il fit aussi un portrait du marquis de Chennevières qui parut dans «l’Artiste» de 1899 (mort de l’auteur). L’eau-forte de ce volume (elle existe en divers tirages), montre Chennevières étendu sous un pommier chargé de fruits. Quatre petits génies l’entourent: l’un d’eux tient une pancarte sur laquelle on lit: «La paresse a tué Jean de Falaise». Dans le catalogue Monselet (1871) on peut lire: «Ce Jean de Falaise, que ses amis regardaient – et qui se regardait lui aussi – comme le plus insouciant et le plus paresseux de la création, est aujourd’hui inspecteur des Musées. Jules Buisson a beau jeu à nous le présenter endormi tout de son long dans l’herbe; c’est monté sur une échelle, au palais des Champes-Elysées, qu’il fallait le faire voir». Quelques contes de ce recueil avaient paru dans le «Corsaire» de 1846-47. Launay précise: «En lui envoyant les textes réunis pour cet ouvrage, Chennevières avait averti Malassis: «Votre conscience (en) portera la responsabilité dans tous les siècles des siècles…». En fait, c’est peut-être le modèle des éditions alençonnaises; c’est d’une qualité classique si discrète, si achevée, qu’elle ne se remarque pas. C’est aussi un livre témoin. Témoin d’une amitié et d’une époque. Chennevières, Le Vavasseur, Prarond – et Baudelaire – s’étaient connu dans les années 40 à la pension Bailly et avaient participé à la fondation de cette «Ecole» dite «Normande» qu’évoque la dédicace, et à laquelle Buisson avait réservé son talent avant d’en faire profiter, beaucoup plus tard, ses collègues députés…». Les feuillets liminaires portent un poème de l’auteur à ses amis J. Buisson, G. Le Vavasseur et E. Prarond et des réponses en vers de ces deux derniers. Launay 113 – Vicaire 360. Le volume contient, broché à la fin, le catalogue Poulet-Malassis du 1er juin 1860, 12 pages. La couverture défraîchie, dos abîmé, cachet bleu de colportage sur le faux-titre. – Cachet de la Direction des chemins de fer de Lyon à la Méditerranée sur le couverture. "
Genève, Minkoff Reprint, 1973. 4 tomes en 2 vol. rel. d'éd. marron, 285-340-342-244 pp, reproduction anastatique , étiquette ex-libris.
Très bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
" Paris, Libraire Dumoulin, 1847 - 1854, 3 vols in-8°, (6) nn pp avec frontispice gravé + xvi pp + 285 pp, index ; (6) nn pp avec frontispice gravé + 340 pp + (2) nn pp , index ; 342 pp avec frontispice gravé (complet en trois volumes), reliure uniforme en demi-veau blond, dos doré à 5 nerfs, deux étiquettes, très bel exemplaire sans rousseurs dans une reliure d'époque. (Qq. très légères traces d'usage aux extrémités des reliures).."