Write to the booksellers2 books for « chavigny ernest leroy... »Edit
-
Topics
Bourbonnais (2)
First edition (1)
La légende de saint Pourçain, mise en images par Achille Allier.
Moulins, Typographie de P.-A. Desrosiers et Fils, 1855 ; grand in-4. 1 f. bl.-faux-titre - titre-42 pp. Bradel de papier cuve ancien. Vignette de titre losangée incrustée sur le plat sup. Quelques rousseurs mais bel exemplaire.
Illustré de deux belles lettrines et deux culs-de-lampe gravés sur bois in-texte, sans le portrait d'Achille Allier (extrait de l'Ancien Bourbonnais) qui a parfois été ajouté à certains exemplaires.Leroy de Chavigny était installé au château du Riau à Villeneuve sur Allier depuis le premier quart du XIXe s. Il avait collaboré à l'Art en Province et publia en 1889 un album : "Les vieux coins de Moulins". C'est sans doute à la demande de Pierre-Antoine Desrosiers qu'il produit cette notice sur la légende de saint Pourçain, destinée à rendre hommage à Achille Allier et à accompagner la grande lithographie que l'imprimeur moulinois venait de faire réaliser d'après la composition d'A. Allier (la dernière qu'il dessina dans l'hiver de 1835-36, peu avant sa mort au mois d'avril). Il évoque rapidement la personnalité de l'artiste avant de décrire la composition très complexe et animée dans laquelle A. Allier avait mis en scène la vie de saint Pourçain. Il fait ensuite oeuvre d'historien et s'attache à retracer la vie du saint et l'histoire du prieuré.
La légende de saint Pourçain, mise en images par Achille Allier.
Moulins, Typographie de P.-A. Desrosiers et Fils, 1855 ; grand in-4, broché. Faux-titre-titre-frontispice-42 pp. Des rousseurs. Exemplaire débroché, sans couverture.
Edition originale, exemplaire dans une condition modeste ; illustré de deux belles lettrines et deux culs-de-lampe gravés sur bois in-texte, avec une vue de Saint-Pourçain en frontispice, extraite de l'Ancien Bourbonnais (on rencontre parfois le portrait d'Achille Allier). Cette notice sur la légende de saint Pourçain, était destinée à rendre hommage à Achille Allier et à accompagner la grande lithographie que l'imprimeur moulinois venait de faire réaliser d'après la composition de l'artiste bourbonnais (la dernière qu'il dessina dans l'hiver de 1835-36, peu avant sa mort au mois d'avril).
