Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., sd [1890], 1p in-12 (5 lignes). « Mille et mille remerciements, vieux camarade, pour ton magnifique cadeau dont je me fais d'avance fête pour cet été dans le point de vue. Je ne sais pas encore m'en servir mais j'y arriverai ». Il doit s'agit d'un télescope. Dans un courrier de janvier 1890, Chavette dit avoir pris une leçon de télescope. [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., Lundi 3 août 1891, 2p in-12 (26 lignes). Il est question d'un feuilleton de Jules Rosati pour lequel il doit toucher 500 francs. Il demande aussi à Scholl d'organiser un déjeuner à Montfermeil avec Simond père et fils , Rosati, Edmond Lepelletier, Albert Debrugeaud (journaliste au Gaulois), Armand Silvestre, souligné par Chavette car « je serais heureux de le connaître », ainsi que Maurice Drack (né en 1834) et Ernest Vaughan (1841-1929) qu'il souhaite remercier. Mais il ignore si L'Intransigeant (Vaughan) et l'Echo de Paris (Rosati, Simond, Lepelletier, Silvestre) font bon ménage. Il laisse Scholl organiser et invitera en même temps Flammarion et Fèvre. Intéressant courrier. [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., Montfermeil, 29 août 1893, 1p in-12 (9 lignes). Amusant courrier demandant 3 services : un envoi de volumes de Chavette à Scholl, l'organisation d'un déjeuner avec Léon Xanrof, Victor Tissot & Flammarion et l'adresse « du pharmacien aux petites pilules à sucrer le café ». [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., 13 octobre 1878, 1p in-12 (6 lignes). « Mon bon Scholl, Je n'ai pas oublié le Voltaire, crois-le bien. L'excuse de mon silence est que je viens de faire une station au lit de 14 jours. Mais me voici remis sur pied et tout prêt à recommencer mes inepties ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., 31 octobre 1881, 3p in-12 (29 lignes). Long courrier dans lequel il est question de Camille Etiévant (1811-1885) et de la veuve Héomet dont il a reçu une lettre : « Je suis probablement devenu crétin, car, en les 4 pages de cette lettre, je n'ai pu comprendre si l'argent était accepté ». Il demande donc à Scholl s'il connaît la réponse car il ne veut pas blesser Etiévant ni manquer une occasion de lui prouver sa reconnaissance. Joli courrier. [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., 29 septembre 1882, 1p in-12 (8 lignes). Amusant courrier : « Mon bon Scholl, J'étais malade, de là mon retard à te répondre. 1° J'ai à peu près mon affaire en ce moment comme cuisinière. Merci donc pour ton offre. 2° Quant à l'Eau de vie, tes 4 bouteilles seront joyeusement reçues, et même, si tu veux m'aboucher avec ton fournisseur, je lui en demanderai une vingtaine ou un petit tonnelet. 3° On va te retourner ta valise. A quand ta visite ? ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., 1er janvier 1883, 1p in-12 oblong (5 lignes). « Je viens d'être bien malade, vieux camarade, aussi mon meilleur souhait pour toi est-il celui d'une santé de fer. Quant aux étrennes que tu m'offres, as-tu, dans un coin, des livres, romans surtout, que tu ne lises plus, car les nuits sans sommeil me sont bien longues ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., 29 avril 1883, 1p in-12 oblong (3 lignes). « Mon bon Scholl. Je t'attends de pied ferme. Veux-tu que ce soit pour samedi prochain ? ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., 9 janvier 1884, 1p in-12 (8 lignes). « Mon cher Scholl, j'apprends ton duel par les journaux. Malheureusement mon déplorable état de santé qui, depuis trois semaines, me cloue au logis, m'empêche d'aller t'affirmer de vive voix combien s'est émue la profonde sympathie que j'ai pour toi ». Le 9 janvier, Scholl publie un article dans L'Evénement contre Jules de Dion qui le provoque immédiatement en duel. Le duel eut lieu le lendemain, à l'épée, et Scholl fut blessé : l'épée de Dion s'est cassée dans son bras. [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., 11 août 1886, 1p in-12 (5 lignes). Amusant courrier : « Vieux Scholl, Pour le cas où tu penserais à une excursion à Montfermeil, je te dois le loyal avis que j'aurai, dimanche prochain, une famille de raseurs jusqu'au sang. Tu ne m'accuseras donc pas de guet-apens ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., Montfermeil, 31 août 1887, 1p in-12 oblong (6 lignes). « Vieux camarade, J'ai été bien peu longtemps avant d'étrenner mon fameux fauteuil pour rhumatisant et goutteux. Neuf jours pris par une patte !!! De là mon retard à te remercier de ton coup d'épaule près de M. Simond. auquel j'envoie ma carte par même courrier. ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., Montfermeil, 18 janvier 1890, 2p in-12 (19 lignes). Il n'a pas eu le « livre des sous-offs » annoncé dans l'envoi de Scholl. Il est passé à Paris le jeudi précédent mais n'a pu visiter Scholl. Il mentionne aussi : « J'ai été prendre une leçon de télescope au quai des lunettes ». [114]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., Montfermeil, 11 juin 1890, 2pœ in-12 (37 lignes). Longue lettre demandant plusieurs services à Scholl, notamment de l'aider à publier en feuilleton son roman L'héritage d'un pique-assiette dont il changerait le titre pour Le Chevalier de Saint-Dutasse, pour un tableau de Stévens fils, etc.. Il mentionne aussi être malade « pour un pauvre petit extra » pris chez Scholl. « Je suis en ce moment torturé par mon estomac qui me brûle. un Choubersky ! ». Choubersky était une marque de poêles vers 1900. [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., Montfermeil, 25 juin 1890, 1p in-12 (3 lignes). Petite carte de remerciements. [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., Samedi 28 juin 1890, 1p in-12 (5 lignes). Il envoie la somme pour un tableau dont il en sait pas le sujet. « Paysage ou marine ? ». Par une autre lettre, on apprend qu'il s'agit d'un tableau de Stévens fils. [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., Montfermeil, 18 juillet 1890, 1p in-12 (5 lignes). Il envoie des remerciements tardifs, ayant attendu un courrier de Scholl. « Ce temps affreux me paralyse à peu près les jambes ». [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., lundi 6 octobre 1890, 1p in-12 (8 lignes). Il annonce qu'il envoie le lendemain « un papier de poires » et que le message « viendra enlever la balance » offerte par Scholl. Il transmet les compliments du général Jean Thibaudin (1822-1905). [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, P.A.S., Montfermeil, 14 octobre 1890, 1P in-12 (5 lignes). Il s'invite à déjeuner chez Scholl afin que ce dernier remplisse sa promesse de le mettre en présence de Pelletier et Rosati. Il s'agit en réalité d'Edmond Lepelletier (1846-1913) et Jules Rosati, journaliste à l'Echo de Paris [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., sd [lundi soir], 1p in-8 (9 lignes). Il indique les jours dévolus à Scholl dans Le Soleil et lui demande de déposer la veille sa copie. Il lui demande aussi s'il s'est arrangé avec Grégory Ganesco (1834-1877). [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., sd, œp in-12 (3 lignes). « Mon cher Scholl, Mardi, je viendrai te demander à déjeuner. Bien à toi ». [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., sd, 1p in-12 (5 lignes). « Voici un traité. MM Millaud le contresigneront à ton premier désir. Renvoie-moi le double ». Il doit s'agit ici de Moïse Polydore Millaud (1813-1871) et de son fils Albert Millaud (1844-1892). [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, L.A.S., sd, 1p in-12 (6 lignes). Il accepte que Scholl vienne le 11 juillet « avec sa rédaction » et lui demande de le prévenir du nombre de convives. « Mais, surtout, viens guéri, avec un genou en acier ». [115]
Chavette, Eugène Vachette dit (1827-1902), écrivain, C.A., sd, 2 lignes. « Je te présente et recommande M. Eynard, mon voisin à Montfermeil ». [115]