[Delloye, Acquéreur et Editeur, Chez Brockhaus et Avenarius] - CHATEAUBRIAND, M. de ; [ CHATEAUBRIAND, François René de ]
Reference : 65913
(1838)
2 vol. in-8 reliure de l'époque demi-maroquin rouge à grain long, toutes tranches marbrées, Delloye, Acquéreur et Editeur, Paris, Chez Brockhaus et Avenarius, Leipzig, 1838, 2 ff., III-488 pp. ; 2 ff., 476 pp., 2 ff. n. ch. (catalogue)
Chateaubriand attribuait une grande importance à cet ouvrage , dans lequel il souhaitait témoigner avant sa mort en faveur de la Restauration et des Bourbon. Il expose la médiocrité de la politique étrangère de Louis-Philippe et montre comment la Restauration avait permis à la France de revenir au premier rang en Europe, après les désastres de 1814-1815. Il fait une place particulière à la guerre d'Espagne de 1823, dont le principe fut arrêté au congrès de Vérone de 1822. Bon exemplaire en très jolie reliure du temps (qq. rouss., infimes frott. en dos, très bel état par ailleurs, ex-libris en garde). Vicaire, II, 289
[Chez Le Normant Fils] - CHATEAUBRIAND, M. de ; [ CHATEAUBRIAND, François René de ]
Reference : 60218
(1831)
1 vol. in-8 reliure demi-maroquin vert, De la Restauration et de la Monarchie Elective ou Réponse à l'interpellation de quelques Journaux sur mon refus de servir le Nouveau Gouvernement, Chez Le Normant Fils, A Paris, 24 mars 1831, 48 pp. [ Suivi de : ] [ Brochure pouvant servir de seconde Préface ], 16 pp. [Suivi de : ] De la Nouvelle Proposition relative au Bannissement de Charles X et de sa Famille, ou Suite de mon dernier écrit : De la Restauration et de la Monarchie Elective, Le Normant Fils, Paris, Octobre 1831, 155 pp. et 2 ff. n. ch. avec planche lithographiée : "Le départ du Pèlerin"
Intéressant recueil réunissant les deux textes en édition originale, ainsi qu'un libelle que l'éditeur présente comme pouvant "servir de seconde préface à notre dernier tirage", intitulé "Aux Lecteurs", daté du 21 novembre 1831, et dont "le produit de la vente [...] sera consacré aux amendes encourues par divers journaux pour délits de presse".
Garniaer 1962 in12. 1962. Cartonné. 402 pages. Bon Etat
Gallimard / Folio 1990 poche. 1990. Broché. 320 pages. Bon Etat
Jean de bonnot 1968 in8. 1968. reliure editeur. 5 volume(s). Bon Etat intérieur propre
Flammarion 1999 11x17x2cm. 1999. Broché. 446 pages. Bon Etat intérieur propre couverture brunie
Caillot, Antoine, Claude-Antoine Chambelland,C.-M. Morin,Chateaubriand, François-Rene de
Reference : 18044
Ladvocat, Paris 1826-1831 & 1824 & 1838, 13x21,5cm, 36 volumes reliés.
Première édition collective, en partie originale, de loin la plus importante et la plus recherchée (cf Clouzot), Chateaubriand ayant remanié et revu une grande partie de ses uvres. Dans cet ensemble apparaissent également en édition originale plusieurs textes dont Les Natchez, Le Dernier Abencérage, Le Voyage en Amérique, Moïse (placé en fin du XXIIè volume et qui fait souvent défaut). Chaque volume est illustré d'un frontispice de Charles Thompson. Reliures en demi chagrin bleu marine, dos à cinq nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve. Quelques rousseurs. Il est joint à ces uvres complètes, en reliures uniformes, un volume intitulé uvres diverses (volume relié dans lequel ont été regroupés plusieurs brochures politiques en édition originale), Le Congrès de Vérone (2 volumes parus chez Delloye en 1838), Essai sur la littérature anglaise et Paradis perdu, de Milton, tous les deux parus chez Gosselin en 1839). Dans le volume intitulé uvres diverses, précieux envoi autographe signé de François-René de Chateaubriand à monsieur (Henri) Bayart sur la page de faux-titre de «?La nouvelle proposition relative au bannissement de Charles X et de sa famille?». Cet envoi datant des dernières années de l'écrivain est adressé à Henri Bayart (1825-1892), filleul de la duchesse de Berry et frère de Sophie-Josèphe Bayart, une amie intime de François-René et de son épouse. Les Chateaubriand et la famille Bayart nouèrent des liens d'amitié et d'affaires au moment des Cent-Jours et restèrent proches jusqu'à la fin de leur vie. Ces légitimistes voués corps et âme à la cause bourbonnienne tentèrent d'ailleurs l'impossible pour faire nommer l'écrivain gouverneur du jeune comte de Chambord, prétendant au trône de France. Lorsqu'il rédige cet envoi, probablement vers 1843, Chateaubriand est au crépuscule de sa vie politique et d'écrivain ; proches du comte de Chambord alors en exil en Angleterre, les Bayart tentent à nouveau d'intercéder en faveur de Chateaubriand et envoient sans succès Henri Bayart prier le dernier descendant des Bourbons de convier le vieil écrivain à sa suite. Rare et bel ensemble établi en reliure uniforme, comportant de nombreuses éditions originales et enrichi d'un précieux envoi autographe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A Gand, de l'Imprimerie royale, 1815. In-8 de (2)-62 pp., demi-basane bleue, dos lisse orné, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Édition originale. Violent pamphlet contre Napoléon, d'abord publié dans le Moniteur de Gand du 12 mai. Chateaubriand y dresse un tableau très noir de la France de Bonaparte et développe ses conceptions politiques très libérales pour « éviter les excès » du tyran. Reliés à la suite : CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). Réflexions Politiques sur quelques écrits du jour et sur les intérêts de tous les Français. Paris, Le Normant, 1814. In-8 de (6)-145 pp. Édition originale. Ces réflexions ont été publiées en Décembre 1814 à la demande de Louis XVIII qui en relut les épreuves. Carnot avait fait paraitre un Mémoire au roi critique envers la nouvelle monarchie. Chateaubriand saisit l'occasion de cette publication pour lancer ses Réflexions tout en stigmatisant l'audace de ce régicide.CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). Proposition faite à la Chambre des Pairs, dans la séance du 23 Novembre dernier, et tendant à ce que le Roi soit humblement supplié de faire examiner ce qui s'est passé aux dernières élections, afin d'en ordonner ensuite selon sa justice. Suivie des Pièces justificatives annoncées dans la Proposition. Paris, J. G. Dentu, 1816. In-8 de 88 pp. Deuxième édition. Quelques rousseurs, trace de mouillure sur les deux derniers feuillets.FITZ-JAMES (Édouard, duc de). Chambre des Pairs. Opinion de M. le Duc de Fitz-James sur le projet de loi relatif à la répression des délits commis par la voie de presse, ou par tout autre moyen de publication. Paris, De l'Imprimerie de P. Didot l'Ainé, sans date (1817). In-8 de 46 pp. Manque le feuillet de titre.RUBICHON (Maurice). De l'Action du clergé dans les sociétés modernes, par M. Rubichon. Paris, De l'imprimerie de Lefebvre, 1829. In-8 de 80 pp. Manque le faux titre.
C'est l'ouvrage qui valut à Chateaubriand la perte de son poste de ministre, reliée avec ses célèbres Mémoires du Duc de Berry. Paris, Le Normant, 1816. In-8 de vi pp., 304 pp. Pte déchirure p. 19 sans manque, mouillure pâle en haut de qq. ff. [Suivi de:] Mémoires, lettres et pièces authentiques touchant la vie et la mort de S.A.R. Monseigneur Charles-Ferdinand-D’Artois, fils de France, Duc de Berry. Paris, Le Normant, 1820. (2) ff., ii pp., 1 portrait à pleine page, 299 pp. 3 ff. brunis. Maroquin vert, plats ornés d’un riche encadrement de double filet et roulettes dorés, dos lisse orné, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, gardes de tabis rose, tranches dorées. Reliure de l’époque. 205 x 125 mm.
I/ Édition originale de la plus grande rareté de ce pamphlet politique de Chateaubriand qui provoqua la colère de Louis XVIII et valut à son auteur d’être destitué de son poste ministériel. Le pamphlet fut interdit le 18 septembre 1816, les exemplaires saisis et détruits. Elle est si rare qu’elle a échappé à Vicaire et à Carteret. Avec le feuillet de titre imprimé contenant la mention «Ministre d’Etat» qui sera supprimée par la suite. « Toutes les éditions, tous les tirages de ce pamphlet exécutés chez Le Normant portent uniformément le titre ci-dessus. Elles sont toutes considérées comme éditions originales; elles furent saisies par ordre de Décazes.» (Talvart, III, 10) «Œuvre politique de François-René de Chateaubriand (1768-1848), parue en 1816 et immédiatement interdite par la police des Bourbons. L’auteur qui avait montré, notamment dans son écrit ‘De Buonaparte et des Bourbons’, son attachement à la cause des souverains ‘légitimes’ de la France, ne pouvait pas, - après les déceptions apportées par la Restauration et spécialement par la politique réactionnaire des ultra-royalistes – ne pas montrer son esprit de rébellion, en se faisant le défenseur de nouvelles idées sociales; certes, il le fit d’une manière toute personnelle, se laissant emporter par l’impétuosité de sa vision fortement égocentriste des choses. Dans ce libelle, il défend la Charte constitutionnelle, grâce à laquelle les libéraux de France avaient accueilli le retour de Louis XVIII et le début de son gouvernement. Un retour à l’ancien régime n’était plus possible. Comme ministre, l’auteur veut, dans cette publication, dire ‘la vérité au roi’; car le Conseil dont il fait partie ne se réunit malheureusement point dans le but de permettre à ses membres de faire valoir leur opinion personnelle sur les questions les plus importantes de la nation. C’est précisément parce qu’il entend défendre la légitimité, qu’il se sent le devoir d’affirmer une fois de plus la nécessité où est la monarchie d’être constitutionnelle (retour des partis, liberté de presse et autres prérogatives parlementaires). Les maux du despotisme seraient en fait pires que ceux d’un libéralisme qui, guidé sainement – à la façon anglaise, - apporterait une nouvelle gloire au roi et au pays. L’ouvrage, publié quelques jours après la dissolution de la fameuse ‘Chambre introuvable’, souleva l’indignation de Louis XVIII qui, sous l’influence de ses partisans ultra, destitua tout simplement l’auteur de son poste ministériel». (Dictionnaire des Œuvres, IV, 603). Trois mois après la publication de De Buonaparte et des Bourbons, en juillet 1814, ses relations dans la haute aristocratie et l’amitié de Madame de Duras lui avaient valu d’être nommé ambassadeur en Suède, poste qu’il ne rejoignit jamais mais dont il perçut le traitement. En avril 1815, le Roi lui permit de le suivre à Gand et l’admit au conseil « pour parler de l’intérieur». Au retour de Gand, après les Cent Jours, il devint ministre d’État, fonction honorifique mais bien rémunérée qui avait été reprise de la pratique de l’Ancien régime, et il fit partie de la première fournée de la Chambre des pairs. Mais Chateaubriand, qui sous la première Restauration avait été proche du centre et avait défendu la Charte avec éloquence et habileté dans ses Réflexions politiques d’octobre 1814, ce qui lui avait attiré la bienveillance de Louis XVIII, se rapprocha alors de la droite ultra qui venait de gagner les élections à la Chambre des députés. Il devint l’un des principaux porte-parole de ce parti à la Chambre des pairs. Il avait été révolté par l’entrée de Fouché dans le ministère et considérait que les Cent Jours avaient montré qu’il était devenu nécessaire de refonder la société française sur des bases traditionnelles. Le Roi ayant décidé de maintenir un gouvernement du centre pour des raisons tant de politique étrangère que de politique intérieure, Chateaubriand se trouva assez vite rejeté dans l’opposition au ministère et, de façon sourde, au souverain. La rupture intervint en septembre 1816, lorsqu’il publia La monarchie selon la Charte où, malgré le conseil que lui avait fait passer Louis XVIII, il critiquait le ministère Richelieu-Decazes, trop complaisant selon lui pour les « intérêts révolutionnaires», et la décision de dissoudre la Chambre introuvable. En représailles, il fut destitué de son titre de ministre d’État, ce qui l’obligea à vendre sa chère Vallée-aux-Loups. L’ouvrage est une machine de guerre dressée contre Decazes et sa politique. L’auteur dénonce la censure de la presse tout en s’attaquant au Ministère de la police générale. L’ouvrage critique sévèrement les trois Ministères de la Restauration. L’ouvrage connaitra un succès foudroyant et provoquera la colère de Louis XVIII et de Decazes qui l’interdira et fera détruire les exemplaires saisis. Chateaubriand sera rayé de la liste des ministres d’Etat et perdra ses honoraires. Les Mémoires d’Outre-tombe comportent la lettre adressée au comte Decazes par Chateaubriand le 18 septembre 1816 lorsque ce dernier apprend que son ouvrage De la Monarchie selon la Charte a été saisisur son ordre. En voici un extrait : «Monsieur le comte, J’ai été chez vous pour vous témoigner ma surprise. J’ai trouvé à midi chez M. Le Normant, mon libraire, des hommes qui m’ont dit être envoyés par vous pour saisir mon ouvrage intitulé: De la Monarchie selon la Charte. Ne voyant pas d’ordre écrit, j’ai déclaré que je ne souffrirais pas l’enlèvement de ma propriété, à moins que des gens d’armes ne la saisissent de force. Des gens d’armes sont arrivés, et j’ai ordonné à mon libraire de laisser enlever l’ouvrage. Cet acte de déférence à l’autorité, Monsieur le comte, n’a pas pu me laisser oublier ce que je devais à ma dignité de pair. Si j’avais pu n’apercevoir que mon intérêt personnel, je n’aurais fait aucune démarche; mais les droits de la pensée étant compromis, j’ai dû protester, et j’ai l’honneur de vous adresser copie de ma protestation. Je réclame, à titre de justice, mon ouvrage; et ma franchise doit ajouter que, si je ne l’obtiens pas, j’emploierai tous les moyens que les lois politiques et civiles mettent en mon pouvoir. J’ai l’honneur d’être, etc. Vte de Chateaubriand.» II/ Édition originale de ces célèbres et vibrants mémoires commandés par la famille royale à Chateaubriand en hommage au duc de Berry. Talvart, III, 19; manque à Carteret et à Vicaire. Cette biographie du duc de Berry, fils de Charles X, parut l'année de son assassinat par Louvel à la sortie de l’Opéra, rue de Richelieu, le 13 février 1820. Père de deux petites filles anglaises par un premier mariage, il les présenta à son épouse, la duchesse de Berry, sur son lit de mort. Composés « sur les documents originaux les plus précieux » (Avertissement), ces Mémoires renferment des lettres de Louis XVIII, de Charles X, du duc d’Angoulême, du duc de Berry, du prince de Condé, et un fragment de journal inédit. L’ouvrage reçut une récompense inestimable. La duchesse de Berry voulut en effet que les Mémoires fussent ensevelis avec le cœur de la victime de Louvel. Précieux exemplaire conservé dans une élégante reliure en maroquin vert finement orné de l’époque.
CHATEAUBRIAND (François-René de) / [DELANDINE DE SAINT-ESPRIT (Jérôme)].
Reference : 20146
(1831)
Paris, Ladvocat, 1831 1 volume In-8° (13,5 x 21,7cm) Broché sous couverture ornée au dos, de motifs d'encadrement et d'une vignette sur les plats. 1 faux titre, 1 faux-titre illustré, 1 titre, 283p., 2 feuillets. Couverture salie, avec manque angulaire au 1er plat; rousseurs; non rogné, non coupé.
1ère édition du XXVIIIè et dernier volume des "Oeuvres complètes" de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) publiées en 1826-1831 chez Ladvocat, contenant la table des matières (titres des chapitres) et la "table analytique et raisonnée des matières" des 27 volumes de la collective, et une "Notice sur la vie et les ouvrages de M. le vicomte de Chateaubriand", par Jérôme DELANDINE DE SAINT-ESPRIT, bibliothécaire du château de Rambouillet (1787-1855). Exemplaire bien complet du faux-titre illustré d'une gravure de C.Thompson.
CHATEAUBRIAND (François-René de).- BONALD (Louis-Gabriel-Ambroise, vicomte de).liberté de la presse
Reference : 22819
(1816)
1816 reunis en un volume demi veau tabac dos lisse titré ,charnieres faibles fendillées reliure de l'epoque,: De la monarchie selon la Charte:Paris, Imprimerie des AMIS DU ROI, 1816.First Edition In-8°, VI, 88 pp., Edition originale dans laquelle Chateaubriand tente de convaincre les émigrés de se rallier à la charte constitutionnelle. relié à l'époque suivi de Du Retablissement De La Censure Par L'ordonnance Du 24 Juin 1827-LADVOCAT 1827,xij+91p. suivi de : Opinion sur le projet de loi relatif a la police de la presse, 2nd. ed., Paris LADVOCAT 1827,104p. suivi de BONALD (Louis-Gabriel-Ambroise, vicomte de)- De l'opposition dans le gouvernement et de la liberté de la presse.Adrien Le Clère et Cie,1827] (4)-163 pp,rousseurs éparses, bon état, Edition originale (Talvart et Place II-78)
reliure meritant une restauration, rare reunion de textes historiques sur la liberté de la presse
Paris, Le Normant, Imprimeur-Libraire, 1811, Tome 2/3, vendu seul, 1 volume in-8 de 205x125 mm environ, 415 pages, plein veau marbré fauve, titres et tomaisons dorés sur dos lisse,, pièces de titres rouges, orné de caissons à fers dorés, gardes marbrées, tranches mouchetées de bleu. Quelques rousseurs, bordures des gardes de couleurs brunies, coins émoussés, frottements et quelques griffures sur les plats, tache p. 16-17, sinon bon état pour cette édition originale.
François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.Itinéraire de Paris à Jérusalem est un récit de voyage de François-René de Chateaubriand publié en 1811. Il relate un voyage effectué de juillet 1806 à juin 1807. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Le Normant, Imprimeur-Libraire, 1811, Tome 3/3, vendu seul, 1 volume in-8 de 205x125 mm environ, 370 pages, complet du fac-similé, plein veau marbré fauve, titres et tomaisons dorés sur dos lisse,, pièces de titres rouges, orné de caissons à fers dorés, gardes marbrées, tranches mouchetées de bleu.Des rousseurs, bordures des gardes de couleurs brunies, coins émoussés, frottements taches et quelques griffures sur les plats, sinon bon état pour cette édition originale.
François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.Itinéraire de Paris à Jérusalem est un récit de voyage de François-René de Chateaubriand publié en 1811. Il relate un voyage effectué de juillet 1806 à juin 1807.++ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
chez Ladvocat, à Paris 1826 -1831, in-8 (12,5x21cm), 32 volumes.
Première édition collective des uvres de François-René de Chateaubriand, chaque volume étant orné d'un frontispice gravé par Charles Thompson et représentant une jeune femme assise sur une pierre gravée "Chateaubriand, uvres complètes" et contemplant l'horizon. L'auteur a contribué largement à la publication de cette édition par l'organisation de l'ensemble et par l'écriture de nouvelles préfaces pour tous les textes. Ainsi qu'il l'écrit lui-même ces préfaces sont davantage des morceaux d'autobiographie que des préfaces. Reliure en demi veau brun Restauration strictement d'époque. Dos à nerfs orné de 2 fers à froid, de roulettes en queue et tête et sur les nerfs. Pièces de titre et de tomaison de veau brun. Manque en queue du tome 4. Tome 5 bis, manques aux mors en tête, épidermure en queue. Tome 5 ter, mors supérieur fendu en tête, accident en tête avec manques, coiffe de queue élimée. Epidermures en queues des tomes 9 et 10. Tome 11, épidermure en queue avec petit manque. Tomes 18 et 19, épidermures en queue. Tomes 23, 24, 27 et 28, épidermures en queue. Tête du tome 28 frottée. Supplément au tome 22 frotté. Hormis quelques rares piqûres, ensemble superbement frais sur un beau papier vergé (mais souvent rousseurs sur les gardes). Belle série comportant de minimes défauts de cette importante première édition collective des oeuvres de Chateaubriand. L'ensemble se décompose comme suit : -Essai sur les révolutions, en 2 volumes. T1 et 2. 1826. -Mélanges historiques, en 1 volume. T 3. 1827. -Etudes historiques, en 4 volumes. T 5, 5 bis, 5 ter. 1831. -Voyages en Amérique, en 2 volumes. T 6 et 7. (avec seconde tomaison 1 et 2). 1827. -Itinéraire, en 3 volumes. T 8, 9 et 10 (avec seconde tomaison 1 à 3). 1826. Erreur du relieur dans le tome 2, la seconde partie commence à la p. 17, et le début de cette seconde partie se trouve relié plus loin, à la fin de cette partie. -Génie du christianisme, en 5 volumes (seconde tomaison de 1 à 5). 1826 - 1827. -Atala, René etLe dernier Abencerage, en 1 volume. 1826. -Les Martyrs, en 3 volumes (seconde tomaison de 1 à 3). 1826. -Les Natchez, en 2 volumes (il s'agit de la première édition de cette oeuvre de jeunesse de Chateaubriand). 1826. -Mélanges littéraires, en 1 volume. 1826. -Mélanges et poésies, en 1 volume. 1828. -Discours et opinions, en 1 volume. 1826. -Mélanges politiques, en 2 volumes (seconde tomaison 1 à 2). 1826 et 1828. -Polémique, en 1 volume. 1827. -De la liberté de la presse, en 1 volume. 1828. -Table, en 1 volume. 1831. (non coupé) - Appendice au 22e volume, sans tomaison. Moïse. 1831. Entre les premières libraisons par souscriptions et les dernières, il s'écoula un an, et suivant la date où fut faite la commande des oeuvres il pouvait s'écouler davantage, il va donc presque de soi que les volumes ne portent pas toujours les mêmes dates, l'éditeur puisant dans ses stocks et réimprimant pour honorer les commandes, ainsi les dates s'étendent t-elles de 1826 à 1831. Pour exemple, les deux tomes constituant les Mélanges littéraires sont pour le premier de 1826 et pour le second de 1828... Ex-libris aux armes du XIXe d'un baron., 2 lévriers flanquant l'écu - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 15,5x19,5cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 12 lignes à l'encre noire sur un double feuillet , adressé à madame Amédée de Duras se réjouissant de sa meilleure santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Mde de CH[ateaubriand]. me dit de vous répondre: si je meurs, madame, ce sera à vos pieds le matin. Non pas à midi, mais à trois heures et demie. Je me porte à merveille chez ma soeur. Que cela ne soit pas vous, mais mde de Lévis qui m'ait vu perdre ma longue barbe er mon mouchoir turc. Ne venez pas, vous ne devriez pas venir. Mde de Ch[ateaubriand] est inconsolable..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x16cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 10 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequelle il se voit obligé d'ajourner leur rendez-vous pour cause de mauvaise santé. Une déchirure avec manque inhérente au fait que le cachet a été rompu pour faciliter la lecture du billet. "Je suis malade... Je ne pourrai sortir aujourd'hui. Demain si Dieu le veut... J'ai un violent mal de tête et des vomissements. C'est une migraine occasionnée par le froid. Cela ne sera rien..." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. [ca 1840], 10x15,5cm, une feuille rempliée.
Billet autographe de François René de Chateaubriand, 6 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, adressé à madame Amédée de Duras dans lequel il se réjouit de la voir très bientôt après un rendez-vous annulé. Restes de cachet de cire, une déchirure avec manque sur le dernier feuillet sans atteinte au texte, dûe à l'ouverture de la lettre. "A demain matin, madame. Je vous remercie mille fois de vouloir bien me dédommager si vite du plaisir que je perds ce soir. A mercredi." Chateaubriand écrit à Claire de Duras, l'une des femmes les plus importantes de sa vie, fille unique du Girondincomte de Kersaint et cousine par alliance de Natalie de Noailles, maîtresse de l'écrivain. Confidente et bientôt rivale du grand amour de Chateaubriand, Madame Récamier, elle fut la figure de proue de sa cohorte d'admiratrices et tomba sous son charme dès leur première rencontre au château deMéréville en avril 1808. La duchesse à la beauté ingrate fut vite éconduite par l'écrivain qui était encore sous l'emprise de Madame de Noailles. Elle conclut néanmoins avec lui un accord amical et fut des années durant une sur attentive, une amie prévenante et la première lectrice de nombre de ses uvres, notamment Le Dernier Abencérage, inspiré de ses amours avec la comtesse de Noailles. De son côté, la duchesse s'arrangea tant bien que mal de cette amitié platonique malgré sa passion dévorante pour Chateaubriand, qui fut l'objet de son roman à succèsOurika,contant l'amour tragique et impossible d'une jeune Africaine pour un Français. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Ladvocat, 1828 - 1831 2 volumes In-8° (13,5 x 21,7cm) Brochés sous couvertures ornées aux dos, de motifs d'encadrement et d'une vignette sur les plats. Vol.[1]: 1 titre de collection, 1 faux-titre illustré, 1 titre, XX + 364p.; Vol.[2]: 1 titre de collection, 1 faux-titre illustré, 1 titre, XV + 98p.; petits ornements. Rousseurs; mouillures angulaires sur les 1ères pages des 2 volumes; non rognés, 1er volume en partie non coupé.
Edition originale (? un volume à l'identique (exceptés pages de titre et faux titre) est publié la même année chez Ambroise Dupont et Cie (Paris), intitulé "Oeuvres inédites de M. le vicomte de Chateaubriand") du recueil, avec préface de l'écrivain précisant que "ce volume, à l'exception de trois opuscules en vers [...] est entièrement inédit". Réunit, après préface de l'écrivain, "Lettre sur l'art du dessin dans les paysages", les traductions de 3 poèmes d'Ossian ("Dargo", "Duthona" et "Gaul"), un texte de "politique historique" sur "Les quatre Stuart", des "Pensées, réflexions et maximes", les "Tableaux de la nature" (poésie) et des "Poëmes divers"; recueil augmenté, dans son volume d'appendice, de la tragédie "Moïse", avec préface de l'écrivain indiquant que cette pièce "sera imprimée à part et distribuée gratis aux souscripteurs". Volume XXII et son appendice des "Oeuvres complètes" de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) publiées en 28 volumes en 1826-1831 chez Ladvocat. Exemplaire bien complet en 2 volumes et de leurs faux-titres illustrés d'une gravure de C.Thompson.
A Paris, chez Le Normant fils, 1831. In-8 de 48 pp.CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de). De la nouvelle proposition relative au bannissement de Charles X et de sa famille ou Suite de mon dernier écrit de la Restauration et de la monarchie élective. Paris, Le Normant fils, octobre 1831. In-8 de 155-(4) pp.2 pièces reliées en 1 vol. in-8, demi-cuir de Russie vert, dos lisse orné, sommaire manuscrit à l'encre du temps en fin d'exemplaire (reliure de l'époque).
1. Édition originale. Diatribe de Chateaubriand contre la Monarchie de Juillet, qui rencontra un énorme succès. L'auteur proclame sa fidélité à Charles X, menacé par un projet de loi de bannissement. Escoffier, 890.2. Édition originale. Chateaubriand s'élève contre le projet de loi déposé par Baude portant bannissement de Charles X et de ses descendants. Fustigeant la monarchie « usurpatrice » de Louis-Philippe, Chateaubriand réussit sa rentrée politique en se posant moins en défenseur de la légitimité qu'en chef de l'opposition à Louis-Philippe. Il plaça en tête de volume une lettre de remerciement adressée à Béranger pour une chanson qu'il avait composée en son honneur. Suivi de 2 feuillets d'annonce d'éditeur. Escoffier, 889. Relié à la suite :COTTU (Charles). Des Résultats nécessaires de la situation actuelle de la couronne et de la Chambre des Députés. Paris, Dentu, 1829. In-8 de 96 pp. Édition originale. Sur le système électoral et de la charte. Pâles rousseurs éparses mais bel exemplaire.
Paris, Editions Albin Michel, (1948). Un fort vol. au format pt in-8 (213 x 138 mm) de 334 pp., broché.
Edition originale agrémentée de planches hors-texte. ''L'ouvrage dresse un portrait de Châteaubriand dans des humaines faiblesses, dans ses détresses les plus émouvantes, mais aussi, dans le perpétuel souci de l'auteur de tendre à la grandeur et à la dignité. Parmi les redressements et les inflexions d'une courbe inattendue - de splendeurs en misères, et de cimes en abîmes - le lecteur suivra ici l'aventureux déroulement des ambitions politiques et des insécurités financières de Chateaubriand. A travers tant de vicissitudes, au nom de l'absolu, apparaissent ainsi les appels de l'écrivain aux chimères qui consolent de vivre, le recours au rêve. Et aussi à la poésie''. Plats à l'éclat légèrement altéré. Du reste, belle condition.
BERCHE TRALIN,1878,2 volumes IN8 percaline bleue,plats ornés,ouvrages de prix,287+287p.,leg.rousseurs,
BON ETAT
GARNIER”chefs-d'oeuvre de la littérature”,vers 1946, fort in8 broché,679p.,bon état,
TOURS MAME 1884,IN8 pleine toile ,dos lisse passe,366p.,nombreux bois graves ht (vues de ville),qques rousseurs en marge,sinon bon etat.
BON ETAT
Atala - René - Aventures du dernier Abencerage. Par François René de Chateaubriand. Notice par A. France.Paris, Alphonse Lemerre - 1879 - 288 pages. Portrait frontispice.Reliure demi chagrin noir à coins. Dos à nerfs avec titre et auteur dorés. Caissons dorés. Tête dorée. Coiffes et nerfs frottés. Coins émoussés. Pas de rousseur. Bon état. Format in-12°(16x10).