Aux bureaux d'abonnement et de vente 1869 1869.
Paris, Aux bureau du magasin pittoresque , 1854; in-4, 439 pp., cartonnage de l'éditeur. Tome premier, demi-cuir marron.
Tome premier, demi-cuir marron.
Bureaux du Magasin Pittoresque, Paris. 1867. In-4. Relié. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 392 pages. Illustré de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte. Dos très abîmé et détaché. Plats détachés.. . . . Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
Avec biographies, notes et indications iconographiques. Couronné par l'Académie française. Hannon. Hérodote. Ctésias. Pythéas. Néarque. Jules César. Pausanias. Fa-Hian. Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
Aux bureaux d'abonnement et de vente 1869 415 pages in4. 1869. Relié. 415 pages.
Bon Etat bords assez frottés haut dos assez abimé
P., Bourgogne & Martinet, 1847-1870, 24 vol. in-4°, richement illustré de gravures sur bois, qqs rousseurs éparses, reliures demi-basane verte époque, bon état. Bel ensemble de la revue Le Magasin pittoresque, complet des années 1847 à 1870, soit 24 années reliés deux par deux (1847/1848, 1849/1850, ... jusqu'à 1869/1870) en reliures d'époque
Revue surtout intéressante (mais pas seulement) pour les milliers d'illustrations gravées sur bois. Edouard-Thomas Charton (1807-1890) fonda le Magasin pittoresque à l'age de 25 ans, en 1833, puis dirigea Le Tour du Monde et la Bibliothèque des Merveilles. Il est la figure emblématique de la vulgarisation scientifique et littéraire réussie. Pendant cinquante ans, période qui correspond à la première série (tomes 1 à 50, publiés de 1833 à 1882), les articles ne sont pas signés et seuls figurent les noms des auteurs des pensées ou des poèmes cités. Tous les textes furent publiés sous la responsabilité d’Edouard Charton, responsabilité qu’il partagea pendant les quatre premières années avec Euryale Cazeaux. En 1883, commence une deuxième série, les tomes sont numérotés annuellement à partir de 1. Il n’y a pas de changement dans le nombre de pages ni dans la présentation générale de la revue, mais tous les articles y compris ceux d’Edouard Charton sont signés. On connaît les noms des collaborateurs de la première série par des listes publiées avec les index, sans lien avec les articles. Une première liste, en forme d’énumération, paraît dans l’avertissement d’Edouard Charton daté du 31 décembre 1837. Il y annonçait le retrait d’Euryale Cazeaux. Edouard Charton cite plus de quarante noms, avec une mention spéciale pour Jean Reynaud, directeur de l'Encyclopédie nouvelle, auteur prolifique. D’autres listes suivront, toujours sans lien avec les articles, aussi n’est-il généralement pas possible d’associer un texte à un auteur, sauf lorsqu’on a la possibilité de faire des recoupements. Outre Reynaud, Souvestre, Carnot, Cazeaux et Charton, de nombreux collaborateurs sont issus au début des rangs des saint-simoniens comme Fortoul, Aicard, Joncières, Transon, Alby, Urbain, Alexandre de Saint-Chéron qui avait épousé la fille de Bazard, Morville, secrétaire d’Enfantin, et Pauline Roland. Töpffer et Delacroix, deux hommes d'image ont collaboré avec leur plume. La table alphabétique et méthodique des quarante premières années 1833-1872 comporte une liste des rédacteurs , des dessinateurs (Grandville, Johannot, Giacomelli, Daubigny, Marville, Freeman, Grenet, Töpffer, Delacroix, etc) et des graveurs ayant collaboré sur cette période. On y relève les noms de plus de cent vingt personnes dont vingt femmes. George Sand collabora incognito, elle fut en relation suivie avec Edouard Charton. Son nom ne figure dans aucune des listes de collaborateurs, mais elle a, si on en croit un article de 1882, signé Edouard Drumont, reproduit dans le Magasin pittoresque de 1900, fournit des textes à Edouard Charton, pour le Magasin pittoresque, sans jamais signer ses écrits.
Paris, Le Magasin Pittoresque, Paris, Le Magasin Pittoresque1833-1882 ; 50 volumes in-4, demi-basane brune, dos lisses ornés, titre et année en lettre dor. au dos, filets dorés, tranches jaspées. (Reliures de l’époque). RARISSIME COLLECTION COMPLÈTE DE LA PREMIÈRE SÉRIE EN RELIURES UNIFORMES. Edouard Charton (Sens 1807 - Versailles 1890) a commencé sa carrière de publiciste dans les revues saint-simoniennes Le Globe et Le Journal de la doctrine de Saint-Simon. Il rompt avec les Saint-Simoniens en 1831 et fonde Le Magasin Pittoresque en 1833 avec l’imprimeur saint-simonien Lachevardière sur le modèle du Penny magazine anglais. D’abord hebdomadaire, la revue devient mensuelle en 1850 puis bi-mensuelle. Le premier numéro annonce le projet : “Le Magasin pittoresque, revue illustrée bon marché, a pour ambition d’intéresser et d’instruire, tout en les distrayant, ceux qui n’ont ni les moyens financiers ni les loisirs de le faire”. Les articles sont confiés aux plus grands spécialistes, chaque livraison aborde les différents domaines du savoir : Beaux-Arts, sciences et techniques, géographie, archéologie, etc. Charton assumait seul le contenu de la revue, corrigeant chaque article avant publication. Dans cette première série aucun article n’est signé mais les collaborateurs sont connus : Darondeau, Reynaud, Souvestre, Carnot, Cazeaux, Charton, Fortoul, Aicard, V. de Joncières, Pauline Roland, R. Töpffer, Transon, Alby, Urbain, Alexandre de Saint-Chéron, Morville ou encore George Sand, Camille Flammarion ou Eugène Delacroix. Le succès de cette revue fut considérable dès les premiers numéros et suscita de nombreuses vocations, ainsi l’égyptologue François Joseph Chabas (1817-1882), un négociant en vins à Châlons-sur-Saône qui découvre l’égyptologie en 1852 dans le Pittoresque, grâce aux articles de Nestor Lhôte. Sand, Balzac ou encore Zola revendiquent cette revue didactique comme source importante de leur œuvre.Mais c’est en tant que revue illustrée que Le Magasin Pittoresque demeure inégalée, Charton considérait qu’une illustration abondante et de qualité était essentielle à son projet d’éducation populaire. Pour donner une si nombreuse illustration en maintenant un prix modique, Charton fit appel à la gravure sur bois qui avait presque disparu en France à cette époque. Les graveurs français ne pouvant fournir tant de planches à une revue hebdomadaire, il fit appel pour les premiers numéros à des graveurs anglais. Par la suite, grâce au succès de la revue, les ateliers parisiens revinrent à ce genre délaissé. Parmi les illustrateurs Grandville a donné de nombreux dessins (voir à ce sujet Renonciat Grandville p. 295) ou encore G. Doré (v. H. Leblanc Catal. de l'Oeuvre de G. Doré. p. 227)Le Magasin Pittoresque a occupé l’essentiel de la vie d’Edouard Charton. Bien que sa revue n’ait jamais abordé les questions politiques il était un Républicain fervent et fut élu dans l’Yonne à deux reprises en 1848 et 1871. Il fut aussi l’un des fondateurs de la revue d’actualité l’Illustration en 1842.Rare collection complète de cette première série en reliure uniforme de l’époque. Bel exemplaire frais, les reliures sont en bon état.
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[Librairie de L. Hachette et Cie] - CHARTON, Edouard ; Collectif ; CHARTON, Edouard ; Collectif ; WHITE BAKER, Samuel ; MOYNET ; MARCOY ; HUMBERT ; LEJEAN ; GARNIER, Jules ; DUHOUSSET, Commandant
Reference : 65696
(1867)
2 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin maroquiné vert, dos à 5 nerfs avec couronne et aigle impériales, toutes tranches marbrées, Librairie de L. Hachette et Cie, Paris, 1867, 434 et 434 pp. contient notamment : Voyage à l'Albert N'Yanza ou Lac Albert (le Louta-N'Zigé du Capitaine Speke) par Sir Samuel White Baker, 1861-1864 - Le Volga par M. Moynet, 1858 - Voyage de l'Océan Pacifique à l'Océan Atlantique, à travers l'Amérique du Sud, par Paul Marcoy - Le Creusot et les mines de Saône-et-Loire, par Simonin - La Semaine Sainte à Rome, par Ludovic Celler (1863) - Voyage dans le Pays de Galles par M. Alfred Erny 1862 - Le Japon par Aimé Humbert - Plombières et ses environs 1867 - Voyage en Abyssinie par M. Guillaume Lejean (1862-1863) - Quito, République de l'Equateur, par Ernest Charton - Le Château et la Forêt de Fontainebleau par M. du Pays - La Pagode de Chillambaran - Voyage dans la Babylonie par Guillaume Lejean - Voyage à la Nouvelle-Calédonie par M. Jules Garnier - La Forêt-Noire par M. Alfred Michiels (1867) - Excursions dans la Grande Kabylie, par le Commandant Duhousset - Voyage en Espagne par Gustave Doré et Ch. Davillier
Belle reliure peu commune. Bon état (dos lég. passés, petites usures en plats, qq. rouss., bon exemplaire par ailleurs)
Librairie de L. Hachette et Cie 1866 Sixième année complète. 2 tomes. In-folio, reliure de l’éditeur demi-chagrin brun, dos liss orné de frises dorées, titre, tomaison et année dorés, nombreuses gravures et cartes. Mors internes fendillés.
Le 1er février 1960 vit sortir le premier numéro du “Tour du Monde” sous la direction d’édouard Charton. Le succès fut immédiat. La revue va, de 1860 à 1914, présenter plus de sept cents découvertes, explorations ou relations de voyages écrites par plus de cinq cents auteurs, illustrées par des gravures qui donnent à rêver et à voyager sans quitter sa chambre. Bon état d’occasion
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20,5 x 30 Paris 1871 Un volume, reliure demi-chagrin brun, dos à cinq nerfs, titre et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Dos un peu frotté, coins usés, petit manque à la pliure en tête des 18 premières pages. (ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20,5 x 30,5 Paris 1872 Un volume, reliure demi-basane rouge, dos à quatre nerfs, titre, fleurons et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Coiffe supérieure abimée, coins blanchis, papier jauni. (ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20,5 x 30,5 Paris 1875 Un volume, reliure demi-basane rouge, dos à quatre nerfs, titre, fleurons et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Coiffe supérieure abimée, coins blanchis, papier jauni. (ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20 x 29,3 Paris 1867 Un volume, reliure demi-basane bordeaux, dos lisse orné d'un décor romantique, titre, filets et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Coins émoussés, papier jauni, rousseurs.(ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20 x 29,5 Paris 1874 Un volume, reliure demi-basane noire, dos lisse, titre, quadruples filets et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Coins un peu usés, petit manque de papier sur le plat supérieur, papier jauni.(ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20 x 29,5 Paris 1866 Un volume, reliure demi-basane verte , dos lisse, titre, triples filets, fleurons et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Bonne reliure, papier jauni,(ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20 x 29,3 Paris 1865 Un volume, reliure demi-basane bordeaux, dos lisse orné d'un décor romantique, titre, filets et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Coins émoussés, plats frottés, papier jauni, rousseurs.(ApHome15). Livre
Au Bureau D'abonnement et De Vente 20 x 29,5 Paris 1868 Un volume, reliure demi-basane verte , dos lisse, titre, triples filets, fleurons et année dorés, 412 p. Le Magasin Pittoresque est en France le premier hebdomadaire illustré. Il a 8 pages et compte 52 livraisons annuelles à deux sous seulement. A l'origine de cette nouveauté éditoriale, qui perdurera jusqu'en 1938, se trouve l'imprimeur du Globe, le saint-simonien Alexandre Lachevardière, qui de retour d'Angleterre, veut lancer en France, l'équivalent du "Penny Magazine" lancé en 1832, afin de rentabiliser sa presse hydraulique anglaise à grand tirage. Il "embarque" en 1833 le journaliste Edouard Charton (1807-1890) qui pendant 50 ans sera le directeur de rédaction de la revue. Charton crée un nouveau concept éditorial, le périodique éducatif. Républicain et saint-simonien, homme de progrès engagé dans l'instruction populaire, il a pour objectif d'offrir à ses lecteurs "une variété de sujets, de goût et de moralité...bienfaisante pour la vie intérieure, pour le foyer domestique, riche ou pauvre". Véritable encyclopédie populaire, le Magasin pittoresque ne couvre pas l'actualité, mais s'articule autour de cinq rubriques : géographie, histoire naturelle, beaux arts, vues pittoresque, sciences et techniques. Surtout, Charton est convaincu que l'explication du monde et l'éducation populaire passent par l'image. Il est un des premiers à jouer sur la complémentarité du texte et de l'illustration et provoquera indirectement le renouveau de la gravure sur bois ("bois debout"). Dès 1834, Charton intègre un atelier de gravure dirigé par le graveur Jean Best, qui, après la mise à l'écart de Lachevardière, deviendre le gérant du Magasin Pittoresque. Abondantes illustrations, qui représentent une banque d'images extraordinaire sur le XIXe siècle. Bonne reliure, petit manque de cuir au plats supérieur, papier jauni, rousseurs. (ApHome15). Livre
1883 P , Hachette 1883 - 1, in 4° 1/2 chagrin marron , dos à nerfs orné .Une mouillure claire au bas de nombreuses pages . Premier semestre . Bon état. Nombreuses gravures sur bois. Tous, ou presque , les grands voyages du XIXè sont parus en primeur dans le " Tour du monde ".
1883 P , Hachette 1874 - 1, in 4° 1/2 chagrin rouge , dos à nerfs orné, tranches dorées,435 -435 pp..Une mouillure claire au bas de nombreuses pages, coins émoussés . Bon état. Nombreuses gravures sur bois. Tous, ou presque , les grands voyages du XIXè sont parus en primeur dans le " Tour du monde ".
Hachette Paris, Hachette et Cie, 1874. In-4 relié demi-chagrin vert de l'éditeur, dos lisse à faux nerfs, motifs dorés, titre et date doré. Toutes tranches dorées. plats de percaline verte. Année 1874 complète. Texte sur 2 colonnes. 435 + 435 pages. Publiées sous la direction de M Edouard Charton et illustré par nos plus célèbres artistes. Hors une mouillure pale sur le haut des feuillets, exemplaire propre et très bien relié.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
19/07/1849 Il informe son correspondant ...L'auteur du Calendrier de la mansarde est Mr Emile Souvestre qui a écrit Les derniers bretons et un grand nombre d'autres ouvrages... Il ajoute ...Je lui envoie votre lettre, assuré qu'il sera très touché de ce témoignage de votre estime. Lorsqu'on écrit avec le dessein de faire bien dans le sens moral, la plus grande récompense que l'on puisse ambitionner est l'approbation des honnêtes gens...Edouard Charton créa l'hebdomadaire illustré Magasin pittoresque en 1833 et le dirigea jusqu'en 1888.
[Librairie Hachette et Cie] - CHARTON, Edouard ; Collectif ; WHITE BAKER, Samuel ; MOYNET ; MARCOY ; HUMBERT ; LEJEAN ; GARNIER, Jules ; DUHOUSSET, Commandant
Reference : 57959
(1867)
Publié sous la direction de M. Edouard Charton, et illustré par nos plus célèbres artistes, 1 vol. in-4 reliure demi-maroquin à coins rouge, dos lisse orné d'une rose, tête dorée, date en queue, reliure de Carayon (non signée), Librairie Hachette et Cie, Paris, Londres, 1867, 2 ff., 434 pp., 3 ff. 434 pp., 1 f. n. ch. Le Tour du Monde. Nouveau Journal des Voyages [ Année 1867 Complète - Exemplaire sur Papier de Chine. Premier Semestre et Second Semestre, Tomes XV et XVI ] [ Contient notamment : ] Voyage à l'Albert N'Yanza ou Lac Albert (le Louta-N'Zigé du Capitaine Speke) par Sir Samuel White Baker, 1861-1864 - Le Volga par M. Moynet, 1858 - Voyage de l'Océan Pacifique à l'Océan Atlantique, à travers l'Amérique du Sud, par Paul Marcoy - Le Creusot et les mines de Saône-et-Loire, par Simonin - La Semaine Sainte à Rome, par Ludovic Celler (1863) - Voyage dans le Pays de Galles par M. Alfred Erny 1862 - Le Japon par Aimé Humbert - Plombières et ses environs 1867 - Voyage en Abyssinie par M. Guillaume Lejean (1862-1863) - Quito, République de l'Equateur, par Ernest Charton - Le Château et la Forêt de Fontainebleau par M. du Pays - La Pagode de Chillambaran - Voyage dans la Babylonie par Guillaume Lejean - Voyage à la Nouvelle-Calédonie par M. Jules Garnier - La Forêt-Noire par M. Alfred Michiels (1867) - Excursions dans la Grande Kabylie, par le Commandant Duhousset - Voyage en Espagne par Gustave Doré et Ch. Davillier
Très rare exemplaire du magnifique tirage sur papier de chine, dont Vicaire signale qu'il fut tiré quelques exemplaires (Vicaire, VII, 870-874). Bon état (rel. très lég. frottée, petite épidermure à un coin, rares rouss. et belle fraîcheur intérieure générale) pour ce remarquable tirage sur ce fin papier de chine qui fait ressortir superbement les très nombreuses gravures sur bois dont l'ouvrage est illustré. Les plus longs récits de voyage diffusés dans "Le Tour du Monde" sont publiés sur plusieurs années de parution.
Paris, Magasin Pittoresque 1859 , 2 vols petit in4° 1/2 chagrin rouge, dos lisses ornés, VIII - 592 - 598 pp Texte sur 2 colonnes. Abondantes gravures sur bois. Rousseurs éparses. Langue: Français