— Paris : L. de Potter (impr. E. Dépée), 1845. 2 vol. in-8, 223 x 138 : (2 ff.), XL pp. mal chiffrées LX, 310 pp., (1 f.), couverture imprimée ; (2 ff.), 435 pp., couverture imprimée. — Broché, non rogné.
Édition originale de ce roman historique dans lequel Charlotte de Sor (1773-1850), pseudonyme de la Comtesse d’Eilleaux, née Désormeaux, relate l’insurrection servienne (serbe) « pauvre nation esclave [...] préférant la mort au joug musulman, confondant surhumainement dans une résistance désespérée leurs bras, leurs forces, leur faiblesse, pour purger le sol de la patrie de ses farouches oppresseurs. ». Autrice de nombreux romans parus en feuilletons dans la presse, reconnue à son époque, notamment pour sa rigueur historique, Charlotte de Sor dresse ici le portrait d’un pays martyr, dont l’histoire rapelle les terribles événements qui frappent aujourd’hui le continent européen : « Il nous faut forcément faire une halte en 1839, à l’époque de l’agression injuste, unique, de la Russie contre la Servie pacifiée et tranquille, cet acte odieux dont s’émut le monde politique en Europe, en France [...] » page III.Provenance : De la bibliothèque de Camille Seguin à Annonay (1793-1852), avec ex-libris. Petit neveu de Joseph de Montgolfier, Camille Seguin est issu d’une grande famille d’ingénieurs, qui participèrent activement à la révolution indutrielle (construction de ponts suspendus, chaudières...). Spécialisé dans la construction de ponts, il travailla de concert avec ses frères sur plusieurs projets.
Dossiers du Procès de Charlotte Corday devant le Tribunal révolutionnaire, extraits des Archives Impériales et publiés par Charles-Joseph Vatel,Paris, Versailles, Caen, Poulet-Malassis, Dufaure, Legost Clérisse, 18611 Volume broché, 233 x 150 mm. xx, 108 pp.Table des Matières, Premier Dossier, Information préliminaire, Instruction devant le Tribunal révolutionnaire, Pièces à conviction, Deuxième Dossier, Actes d'accusation, Pièces d'Audience, Œuvres politiques de Charlotte Corday décapitée à Paris le 17 juillet 1793 réunies par un Bibliophile normand, avec un Fac Similé inédit : Lettre de Charlotte Corday à Doulcet de Pontécoulant,Charles Renard, Caen, Paris, Le Gost, France, 1863, 1 Volume broché, 220 x 130 mm. xxii, 45 pp, Table des Matières, Dernière Lettre, Lettre à une Amie, Lettres à Marat, Adresse aux Français, Lettre à son Père, Lettres à Barbaroux…Charlotte Corday A Play in Four Actes, Charles Edmund Giles, London, Simpkin, Marshall, and Co, 1870,1 Volume broché, 176 x 112 mm. 51 pp.Charlotte de Corday, Etude Historique, avec Documents inédits, Henri de Monteyremar, Paris, Ferdinand Sartorius, 1862, 1 Volume broché, 197 x 121 mm. 157 pp.Article extrait de la Revue des Deux Mondes, 1862, 20 pp. La Jeunesse de Charlotte Corday, Casimir Périers, Témoignage de Madame Maromme, amie d'enfance de Charlotte Corday, Charlotte Corday, par L de Peyrès, 1 pp.Note et Renseignements sur le Fac-similé de la Lettre de Charlotte Corday à Barbaroux, Charles Vanel, Paris, Imprimerie Jouaust, sans date, [1861], 1 Monographie brochée, 235 x 150 mm. XXXVII pp.L'ensemble des Monographies est présenté sous une demi reliure cuir, à la Bradel, dos à 4 nerfs,
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SANG DE LA TERRE. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 223 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
ILLUSTRATIONS ET TRADUCTION DE MARIE-CLAUDE MONCHAUX Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris, sur les Presses des Beaux Arts, 1998. In-12 carré en feuilles, non paginé, au format 14,5 x 4 x 13 cm, sous chemise avec couvertures illustrées en lithographie. Livre glissé sous double emboîtage marron. Ouvrage réalisé par cette artiste franco-suédo-américaine, née en 1976 aux Etats-Unis. Elle a vécu dans les trois pays de ses origines, mais surtout en France où entrée à l'École des beaux-arts de Paris elle en est ressorti diplômée. C'est lors de ses études, qu'elle à publié des livres entièrement réalisés en lithographie, et tirée à un nombre infime d'exemplaires. Celui-ci est consacré à la Boxe et à été uniquement imprimé à 20 exemplaires sur papier de rives, numérotés et signés par l'artiste ( n° 11 ), après cinq épreuves d'artites. Magnifiques lithographies originales, en couleurs. Etat superbe, proche du neuf. Rarissime édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
, Gallimard, 2015 Paperback, 256 pages, Texte en Francais, 240 x 190 mm, Tres belle exemplaire, illustrations en couleur. ISBN 9782070149797.
Le roman de David Foenkinos retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte vingt-six ans Auschwitz. Apr s une enfance Berlin, Charlotte est exclue par les nazis de toutes les sph res de la soci t allemande. Elle vit une passion amoureuse fondatrice, avant de devoir tout quitter pour se r fugier en France. Elle y entreprend la composition d'une ouvre picturale autobiographique d'une modernit fascinante. Se sachant en danger, elle confie ses dessins son m decin en lui disant : C'est toute ma vie. Ce roman a connu un succ s consid rable depuis sa publication en septembre 2014 et a obtenu deux prestigieux prix litt raires, le prix Renaudot et le prix Goncourt des lyc ens. De nombreux lecteurs ont demand l'auteur de montrer les ouvres peintes de Charlotte, quelques-unes des centaines de gouaches qu'elle a laiss es et dont l'ensemble, intitul Vie ? ou Th tre ? raconte son histoire. Cette dition int grale illustr e du roman est accompagn e de cinquante gouaches de Charlotte Salomon choisies par David Foenkinos, et d'une dizaine de photographies repr sentant Charlotte et ses proches.
MECKLEMBOURG-STRELITZ (Georges de) prince de la Maison de Mecklembourg, qui régna sur le grand-duché de Mecklembourg-Strelitz de 1816 à sa mort. (1779-1860) Lettre autographe signée à Marguerithe de Wildermeth (1777-1839), dame des ordres impériaux et royaux de Sainte-Catherine, gouvernante de l’impératrice de Russie Marie Feodorovna (1777-1839), et de sa belle-fille Charlotte de Prusse, la fille ainée de Frédéric Guillaume III, future épouse de Nicolas 1er empereur de Russie, sous le nom d’Alexandra Feodorovna.
Reference : 28C22
Il faut savoir que la pierre malachite était utilisée communément en Russie par les tsars en tant que pierre de décoration, mais était surtout connue pour ses vertus protectrices, également pour lutter contre les énergies néfastes, notamment préconisée pour protéger les enfants contre les maladies mortelles. «…Aujourd’hui, où je me trouve enfin en possession de ces charmants petits objets, rien ne devra plus m’empêcher de laisser un libre cours à la joie que j’éprouve mais jamais je ne pourrais décider si c’est votre complaisante amitié, ou l’excellence de votre goût, que je dois admirer le plus. Croyez ma chère Wildermeth que je sais apprécier l’une et l’autre comme je le dois, et que par conséquent ma reconnaissance est extrême. Malgré tout cela vous ne serez pas surprise d’apprendre que les Malaquits n’ont fait que la partie inférieure de votre envoi et que ce qui l’emporte mille fois sur eux en prix et en agrément ». A propos de Charlotte, la future impératrice de Russie (en 1825), « C’est vraiment une bonne œuvre que vous avez faite ma chère Wildermeth que d’être entrée dans tous ces intéressants détails car quoique je savais Charlotte heureuse autant que je pouvais le savoir par des voies que vous connaissez, vous sentez bien que de telles données ne pouvaient me suffire. Soyez donc (vous qui savez combien j’aime Charlotte) de l’espèce de jubilation auxquelles je me suis livré en me disant que c’était vous qui m’apprîtes tout ce que je pouvais désirer à son sujet. Dieu vous le rende, ma chère Wildermeth et qu’il daigne continuer à bénir cette si digne Fille de la céleste Mère. J’imagine que votre solitude doit vous paraître bien douce, quand vous vous dites que c’est vous qui avez développé ce charmant naturel, qui l’avez préservé du souffle empoisonné du monde, qui avez dirigé enfin son esprit et son cœur de manière à en pouvoir trouver que le bonheur dans ce monde moins dans l’autre. Je vous en remercie pour ma part et au nom de celle que nous regretterons éternellement. Je vous dis cela bien du fond de mon cœur. Quand vous écrirez à Charlotte dite-lui mille choses tendres et affectueuses de ma part et parlez-lui de la satisfaction qu’à reproduit l’envoi des Malaquits. Elle m’a écrit une longue et délicieuse lettre peu de temps après votre départ, pour me féliciter de la bien heureuse naissance de mon fils […] Oui ma chère Wildermeth, il est le seul tyran qui me suffit, car depuis que Dieu m’a donné ce garçon je suis vraiment aussi heureux que l’on peut l’être ici -bas, et je sens vivement que jamais je ne pourrais mériter ce bonheur autant que je voudrais. Je n’ai plus qu’un seul vœu, c’est que Dieu me conserve ce qu’il m’a donné et tout autre vœu aussi serait le comble de la témérité et de l’indiscrétion… ». Il en arrive à parler de lui-même ainsi que sur la dame Marchetti, « et son ci-devant compagnon d’infortune. Comme cette bonne femme n’a jamais ambitionné un amant en forme et qu’elle avait grandement besoin d’en trouver un pour sa voix j’ai été vraiment enchanté d’apprendre que son bon génie le lui a fait rencontrer à Moscou, sans pourtant être tout à fait exempt de jalousie, vu que je suis également un de ses amants de ce genre et que par conséquent mon amour propre est très blessé, qu’elle n’a pas seulement voulu m’apprendre d’avoir trouvé ma pareille. J’espère de déterrer son adresse pour lui faire de tendres reproches… ».
BAVIERE Elizabeth-Charlotte de, comtesse de SIMMERN, von der PFALZ.
Reference : 3785
Paris, chez Léopold Collin, 1807. Un volume relié (20,5 x 13,5 cm) de [4]-xxxviij-430-[2] pages. Reliure plein veau marbré glacé, plats et contre-plats encadrés d'une roulette dorée, dos lisse avec fleurons et pièce de veau noir avec le nom de l'auteur, roulette le long des coupes, tranches marbrées. Médaillon doré au centre du premier plat avec cette devise "At spes non fracta", "Tout espoir n'est pas perdu"...Epidermures aux mors et dos, mors fragiles , sinon bel exemplaire.
Élisabeth-Charlotte du Palatinat, comtesse de Simmern (en allemand : Elisabeth Charlotte von der Pfalz, Gräfin von Simmern), née le 27 mai 1652 au château de Heidelberg et morte le 8 décembre 1722 au château de Saint-Cloud, est une princesse de la branche palatine de la maison de Wittelsbach, fille du comte-électeur Charles Ier Louis et de la princesse Charlotte de Hesse-Cassel.En épousant Philippe dOrléans, frère du roi Louis XIV, Élisabeth-Charlotte devient duchesse dOrléans et porte à la cour le titre de « Madame », titre conférée à lépouse du premier frère cadet du roi régnant. En France, par convention et du fait de son appartenance à la maison de Wittelsbach, elle est appelée « Charlotte-Élisabeth de Bavière ». Pétillante desprit, indépendante, la princesse se consacre alors à une correspondance très abondante qui lui vaut le surnom d« Océan dencre ». Ses lettres, au nombre de 60 000 (un dixième est conservé), rédigées dans un style savoureux, constituent une source dinformations précieuse sur la vie à la cour de France. La princesse reste allemande de cur et elle abhorre la cour et létiquette. Si on len croit ses lettres, la dépravation attribuée à la Régence règne déjà dans toute la seconde moitié du grand règne. Il existe également ce livre, Mélanges historiques, anecdotiques et critiques sur la fin du règne de Louis XIV et le commencement de celui de Louis XV par Madame la princesse Élisabeth-Charlotte de Bavière, seconde femme de Monsieur, frère de Louis-le-Grand : (souvenirs) précédés dune « notice sur la vie de cette illustre princesse » rédigée par Maubuy. Lensemble représentant une table des matières de cinquante chapitres évoquant, et au passage étrillant, un grand nombre de personnages de la cour en commençant par le roi lui-même, son caractère et ses murs, sa conduite à légard de son épouse, ses amours, sa mort. Puis vient lévocation des favorites royales : Mademoiselle de Fontanges, Louise de La Vallière, Madame de Montespan, Madame de Maintenon, etc. Nous connaissons une seule publication de cet ouvrage, cette édition de 1807.
Florence circa. 1825, 23,2x16,8cm, une feuille sous marie-louise.
Lithographie originale signée dans la plancheCharlotte dans l'angle inférieur gauche etFlorence Lit[ographe] Salucci N°515 dans l'angle inférieur droit. Vue de l'ermitage de Calmadoli dans la haute vallée de l'Arno en Toscane. Cette lithographie d'une exceptionnelle qualité fut réalisée d'après un dessin de Charlotte Bonaparte (mention Charlotte en bas à gauche), et exécutée à Florence par Salucci, lithographe ayant travaillé pour le compte de la famille Bonaparte, et qui a entre autres réalisé un portrait de Napoléon III (Bibliothèque nationale de France). Le village toscan de Camaldoli, berceau de l'ordre bénédictin des Camaldules depuis le début du XIe siècle, se devine seulement à travers la végétation, ses deux tours reconstruites vers 1713 visibles entre deux arbres. Le monastère était une halte privilégiée des époux Bonaparte, Charlotte et Napoléon-Louis, neveux de Napoléon 1er, mariés en 1826 à Florence. Tous deux parcourent la Toscane dont les paysages inspirent à Charlotte de charmants croquis dans un style romantique raffiné. La passion commune des deux époux pour les arts les amène à fréquenter des artistes qui les encouragent dans leur intense activité et avec qui ils collaborent, comme Salucci, qui exécute cette lithographie pour Charlotte Bonaparte, mais aussi le graveur Samuele Jesi, le peintre Leopold Robert ou le dessinateur Giovanni Riveruzzi. L'artiste, la princesse Charlotte Bonaparte (1802-1839), nièce de Napoléon Ier et peintre de grand talent à la personnalité forte et attachante, fut un membre éminent de la société européenne cultivée de la première moitié du XIXe siècle. Dès son plus jeune âge, elle est plongée dans les fastes de l'empire puis dans les déboires de l'ère post-napoléonienne, qui contraint sa famille à l'exil à travers l'Europe et outre-Atlantique. Malgré la chute de l'empire elle s'entoure d'artistes tout au long de sa vie, et navigue entre l'Italie, l'Angleterre, les Etats-Unis d'Amérique et deviendra même l'élève de David durant son séjour à Bruxelles entre 1820 et 1821. Arrivée à Florence en 1824, elle n'a de cesse de parcourir et immortaliser les paysages toscans et y forme également un salon artistique qui rassemble habitués, artistes italiens et étrangers, intellectuels et membres de la famille Bonaparte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris AUDOT 1825 -in-12 broché un volume, broché in-douze Editeur (paperback duodecimo Editor), dos et couverture marrons imprimés en noir (brown spine and cover printed), 1ère et 4ème de couverture orné d'une vignette florale en noir (différentes), exemplaire d'usage, avec manque de papier aux angles de la couverture, toutes tranches non rognées (edges no smooth), 3ème Edition ornée d'une gravure en frontispice en noir + une gravure en bas du titre en noir + 13 planches hors-texte en noir, trace de mouillure ancienne sur les 3 premiers feuillets et couverture fanée sinon bel exemplaire, 352 pages, sans date (1825) à Paris AUDOT Libraire-Editeur + joint avec : Manuscrit : "EMBLÊMES TIRES DU REGNE VEGETAL", petit dictionnaire manuscrit à l'encre noire, format : 14 x 18,5 cm, 10 pages sur papier velin ligné bleu , avec définitions différentes des emblêmes notés en fin du livre de Charlotte de LATOUR,
Louis-Aimé Martin (né à Lyon en 1782 et mort à Paris en 1847) est un littérateur français, ami d'Alphonse de Lamartine et de Bernardin de Saint-Pierre, dont il fut aussi l'élève et dont il épouse la veuve et édite les uvres ....... Charlotte de La Tour nous guide au fil des mois et des saisons à la découverte des fleurs. Elle nous dévoile les secrets de leurs significations en une passionnante narration, où légendes et textes anciens les mettent en scène. Chaque fleur est méticuleusement décrite : des couleurs complexes de sa robe à son parfum, en passant par les caractéristiques de son mode de vie. Richement illustré, ce classique de lexpression florale est louvrage le plus poétique qui soit pour savoir précisément quelles fleurs offrir ou décrypter le message caché derrière un bouquet. Publié en 1819 par Aimé Martin sous le pseudonyme de Charlotte de La Tour [il a pris ce pseudonyme car alors il habite au 86 rue de la Tour (Passy)]. Le Langage des fleurs sera réédité jusquen 1827, puis, à nouveau en 1844, toujours sous le même pseudonyme mais cette fois par Louise Cortambert, femme du célèbre géographe. Durable best-seller, il fera lobjet de plus de vingt-six éditions ........ Bel Exemplaire ...... TRES RARE EDITION ........ en bon état malgré les légers séfauts signalés (good condition in spite of the light defects indicated). bon état
Michon Louis-Marie Charrier Charlotte Granges Charles-Marc Des Calot Frantz Michon Louis-Marie Charrier Charlotte Granges Charles-Marc Des Calot Frantz
Reference : CPC81AP
ISBN : B0043RIVXO
Hatier Relié D'occasion état correct 01/01/1930 150 pages
, Lannoo, 2018 Hardcover, 192 pages, ENG, 295 x 235 x 20 mm, NEW !!, illustrated in colour. ISBN 9789401449434.
A Journey with Charlotte plunges into the world of multidisciplinary artist Charlotte De Cock - a world in which Jack Kerouac, pulsating electronic music, artists' colors, and desert sand coalesce in a mind-blowing trip. De Cock is a painter, DJ, musician, and video- and documentary-maker who can look back on a ten-year career brimming with highlights - only think of her 13 Masters portrait series that includes paintings of Luc Tuymans and Tom Barman (dEUS), her My California exhibition in the USA, her DJ sets at Burning Man and AfrikaBurn... The "wildchild" - as world-renowned Belgian painter Luc Tuymans has called her - has become a significant and alternative voice in the art world of today.
1894 1894 Londres Smith, Elder and Co 1894 6 in 16 Reliure demi veau rouge, dos à faux nerfs, coins cuir Vol 1 Jane EyreVol 2 ShirleyVol 3 Villette by Currer BellVol 4 The ProfessorVol 6 The Tenant of Wildfell Hall by Anne BrontëVol 7 The Life of Charlotte Brontë by Mrs Gaskell
Bon état de conservation , exemplaire agréable, quelques coiffes abîmée's, Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
New York, 25. August 1965. 23,7x16,3 cm.
Nam June Paik bearbeitete den "Schwan" aus dem "Carneval des animaux" zum Happening mit Charlotte Moorman. Als Variationen sind dabei die Verschiebung der Rollen der Beteiligten zu verstehen. Mitten im Spiel der Komposition legt die Musikerin ihr Instrument zur Seite und steigt in ein mit Wasser gefülltes Ölfass, spielt das Stück, nach einer kurzen Unterbrechung, im durchnässten Abendkleid, nach der Europatournee in durchsichtiges Plastik gehüllt, zu Ende. Das dabei entstehende platschende Geräusch steht im Gegensatz zu den gleitenden Tönen der Komposition. "Variations on a Theme by Saint-Saëns has become emblematic of Paik and Moorman's performative collaborations, perhaps because she brilliantly deployed two of his action-music strategies: surprise and disappointment". (John Rothfuss, Topless Cellist, S. 116). Das Stück wurde im Februar 1965 in Philadelphia uraufgeführt. Mit über 50 Aufführungen wurde es das meist gespielte Stück der Künstlerin. Die vorliegende Aufnahme wurde anlässlich des 2. Festival of the Avant Garde gemacht.
Musée des arts décoratifs & Flammarion, Paris 1998, 21x23cm, reliure souple de l'éditeur.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers de ce catalogue réalisé à l'occasion de l'exposition Charlotte Perriand - Un art de vivre présentée au Musée des arts décoratifs du 5 février au 1er avril 1985. Une éraflure en angle inférieur droit du second plat décoloré. Iconographie, agréable exemplaire. Rare envoi autographe daté et signé de Charlotte Perriand à Michel Troche : "... que d'efforts conjugués...Vive l'amité. Charlotte" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Librairie historique de la Révolution, Paris, Librairie historique de la Révolution1838 ; in-8, demi-chagrin brun, tête dorée, non rogné. 1 f., IX pp., 188 pp., 1 f. - Portrait et 1 fac-similé dépliant.ÉDITION ORIGINALE. “L’Antiquité n’offre pas un plus généreux dévouement que celui de mademoiselle de Corday, immolant à la paix publique, à la véritable liberté, au retour de la clémence, l’atroce Marat qu’elle en regardait justement comme l’ennemi.” Avec cet incipit, l’historien, poète, agronome et politicien Louis Du Bois présente son apologie de Charlotte Corday, une étude qui occupe les 57 premières pages. Les pp. 58 à 188 sont des pièces justificatives. Louis Du Bois est né à Lisieux en 1773. Jeune secrétaire du club des Girondins de Lisieux, il délaisse ses études de droit et quitte sa Normandie pour Paris où il se lie d’amitié avec Rouget de Lisle. Il compose même un couplet supplémentaire de la Marseillaise. En 1793 il rejoint les proscrits de Caen et fréquente Charlotte Corday. Bibliothécaire de la ville d’Alençon en 1799, il fera carrière dans la magistrature pendant la monarchie de Juillet. Ce livre a paru alors qu’il était sous-préfet de Vitré puis de Chateaulin en 1839. Il finira sa carrière aux archives Nationales à Paris puis retournera près de Lisieux dans sa propriété du Mesnil-Durand où il mourut en 1855. Sa bibliographie est copieuse : poèmes, études historiques, agriculture... de nombreuses publications publiées à Alençon, Caen, Lisieux et Paris. Cet exemplaire a appartenu à Jean-Jacques Launay, le bibliographe ornais de Poulet-Malassis. Qq. feuillets tachés.
<span>“1802, Lombard Street, Londres : un certain Luke Howard (1772 - 1864) pharmacien anglais devenu météorologiste de renom, propose une nouvelle classification des nuages. Nommant trois principales catégories — cumulus, stratus, et cirrus — ainsi qu’une série d’états et de modifications intermédiaires, tels le cirrostratus ou le stratocumulus, Howard met l’accent sur la mutabilité intrinsèque des nuages, point non négligeable – et mission fondamentalement poétique - qui faisait défaut à la première tentative de classification effectuée plus tôt par le naturaliste français Jean-Baptsite Lamark (1744 - 1829).</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Dès lors l’histoire désignera Howard comme « l’inventeur des nuages », la science adoptera son système et les artistes s’en inspireront. Mers de brumes chez Caspar David Friedrich, ciels en furie chez William Turner ou masses pommelées chez Eugène Boudin : pour le critique britannique John Ruskin, le XIXème est un siècle "au service des nuages"[1]. Parmi ces peintres attentifs aux variations atmosphériques, John Constable (1776-1837), installé en haut de la colline de Hampstead dans le nord de Londres, va particulièrement se consacrer à l’étude méticuleuse des nuages. Chez Constable, la forme ou les couleurs de ces amas de vapeur d’eau - et à travers elles, les phénomènes scientifiques à l’origine de leur formation, tout comme le temps qui va s’en suivre – deviennent de véritables objets d’étude.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>À la fin du XIXème, en 1873, trois météorologues appartenant à l'Organisation météorologique internationale — Hugo Hildebrand Hildebrandsson, Albert Riggenbach et Léon Teisserenc de Bort — ont pour mission d'établir le premier Atlas international des nuages. Ils y travaillent pendant vingt-trois ans et une première version est finalement publiée en 1896. Outre des peintures et des dessins, on y découvre pour la première fois des photographies de nuages en couleur, un procédé compliqué et dispendieux à l'époque. L’ouvrage, toujours d’actualité d’un point de vue scientifique, peut aussi se voir comme un ouvrage d’art et témoigne de l’alliance entre science et photographie, tout comme des potentialités esthétiques infinies des nuages.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Ainsi avons-nous pensé, à la lueur de ces études picturales et météorologiques, l’ouvrage « Nuages » de Charlotte Lapalus qui, depuis l’Europe, le Canada ou le Sahara, enregistre continuellement des états du ciel remarquables.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Ses cadrages, dépourvus de tout référent terrestre, rappellent ceux des Cloud Studies de Constable : la mer au-dessus de laquelle se forment les nuages, les montagnes dans lesquelles ils s’accrochent, ou encore les plaines qui s’assombrissent sous leur passage, disparaissent de ses photographies. L’attention est définitivement portée au motif et à la lumière : là, les filaments opalins d'un cirrus, ici les boucles sourdes et obscures d’un cumulonimbus, ou encore les masses agitées des nimbostratus qui lentement s’agrègent puis soudain s’éclairent de l'intérieur. Dans une déambulation chromatique — qui traduit leur caractère évolutif — les nuages passent du blanc au gris en virant aux roses, aux jaunes ou aux violets, selon leur altitude, le bleu du ciel, ou encore la position du soleil par rapport à l’horizon… Parfois, des éclairements particuliers comme les incendies ou les lumières des grandes villes peuvent venir interférer avec leurs couleurs naturelles.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Alors interviennent d’autres questions, à l’heure de l’anthropocène. Trainées de condensation des avions à réaction, smogs de pollution urbaine, panaches d’usines ou champignons atomiques ont fait leur entrée, depuis le début de la Révolution Industrielle, dans le paysage atmosphérique. On les appelle nuages anthropogéniques, et tous ont pour point commun d’être artificiellement créés par les activités humaines.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Dans les années 1950 par ailleurs, les premiers tests d’ensemencement des nuages — et avec eux la manipulation du climat — ont commencé à soulever de nouvelles préoccupations sanitaires, écologiques et géopolitiques, avec à la clé l’établissement éventuel d’un statut juridique des nuages, eux qui semblaient ne pas connaitre les frontières et qui, malgré tout, se retrouvent en proie à des guerres météorologiques. Car si les effets de leur comportement et de leurs métamorphoses futures jouent un rôle déterminant dans le dérèglement climatique, ils constituent pourtant l’une des principales sources d’incertitudes auxquelles se heurtent les chercheurs et les modélisateurs.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>Dans ce contexte nébuleux, les photographies de Charlotte Lapalus apparaissent comme une injonction à cultiver notre sens de l’observation, à renforcer l’attention et l’intérêt que nous portons à ces géants cotonneux. Leurs masses ici imposantes, leurs tons sourds ou incandescents hurlent le mystère, l’urgence et la poésie, triade avec laquelle il s’agit de composer lorsque l’on évoque ces ovnis scientifiques qui inlassablement se forment à la surface de l’eau et s’élèvent dans la troposphère.”</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span>[1] John Ruskin, Modern Painters (1840)</span> Marseille, 2023 Amers Editions 42 p., 15 photographies en couleur, broché. 21.2 x 29.2
Neuf
1952 1952. Charlotte Brontë: Jane Eyre Tomes I & II/ Hachette Bibliothèque Verte 1952 Référence: LMA16L. Charlotte Brontë: Jane Eyre Tomes I & II/ Hachette Bibliothèque Verte 1952
Bon état
Neuilly, Editions Lori, 1931, in-12, 252 pp, broché, mque le 2e plat et le haut du dos, état correct
Charlotte Montard, née Charlotte Binet (1889-1960), est une téléphoniste des P.T.T. engagée à l'Action française durant l'entre-deux-guerres. En 1912, elle se marie à Eugène Gaston Montard, herboriste, délégué des Camelots du Roi de Neuilly. Téléphoniste au central d'Auteuil dans les P.T.T., elle surveille les conversations téléphoniques de Louis Malvy, député du Lot, en se branchant sur sa ligne. Démasquée, elle est renvoyée et immédiatement embauchée par l'Action française où elle poursuit ses écoutes de plusieurs personnalités politiques. Elle rapporte minutieusement les conversations à Pierre Lecœur, chef des Camelots du Roi. En 1927, elle organise un canular téléphonique pour faire évader Léon Daudet et Joseph Delest de la prison de la Santé. Les deux hommes furent libérés et une équipe de Camelots du Roi se chargea de les exfiltrer en Belgique. Le directeur de la prison fut suspendu... Charlotte Montard quitta l'Action française en 1929 et dans la lignée de Louis Dimier et de son ouvrage "Vingt ans d'Action française", elle publia "Quatre ans d'Action française" en 1931. Dans ce livre, elle n'hésite pas à régler ses comptes et livre un portrait à charge de Maurras en le décrivant comme « un vieillard manœuvré par ses hommes, en proie à des colères infantiles, plus navrant que terrible ». Elle accuse l'Action française « d'impuissance, de faiblesse et de connivence maquillée avec le régime républicain ».
Paris, Alphonse Levavasseur et Cie, 1837, puis Gustave Barba,1841; 4 volumes in-8°, demi-basane brune de l'époque, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, titre et tomaisons, plat de papier marbré brun. Les volumes sont tomés au dos des reliures de 1 à 4.Souvenirs Tome 1 et 2 : (4), 394, (1)pp.; (4), 367, (2)pp.Suite des Souvenirs tomes 1 et 2 : (4), 387, (1)pp. et 1 portrait de Napoléon en frontispice; ( 4), 403, (1) pp. Edition originale pour la " Suite des Souvenirs" et mention de troisième édition pour les "Souvenirs" .
Reliure un peu frottée aux coiffes, charnières et papier des plats, manque de papier aux coupes.Piqûres inégales, plus importantes aux tomes 3 et 4 avec quelques auréoles de mouillure en bordure de certains feuillets. Ex-libris manuscrits de l'époque à chaque volume au 1er feuillet blanc. ( Reu-Bur)
BRONTË - Anne Brontë, Charlotte Brontë, Emily Brontë
Reference : 32716
(1976)
ISBN : 2070102408
Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade", 2002. 1 volume In-12 relié (17,5 x 11 cm), reliure éditeur plein cuir vert, dos lisse orné de filets dorés sous rhodoïd et étui blanc imprimé de l'éditeur, 1440 pages.- Trad. de l'anglais par Michel Fuchs, Dominique Jean et Annie Regourd. Édition publiée sous la direction de Dominique Jean avec la collaboration de Michel Fuchs et Annie Regourd. Ce volume contient :Emily Brontë : Wuthering Heights. Anne Brontë : Agnes Grey. Charlotte Brontë : Le Professeur. Anne Brontë : La Locataire de Wildfell Hall. Très bon état.
New York, Judson Hall 25. August bis 11. September 1965. 19 x 63,5 cm. 2 Seiten.
Sohm, happening & fluxus Dokumentation. - Hendricks, Critical Mass S. 189.- Fondazione Bonotto FXC 1656, 3a - Von J. Mc Williams gestaltetes Plakat/Programm der Veranstaltungsreihe u.a. mit Werken von Nam Jun Paik, Eric Satie, John Cage, Allan Kaprow, Dick Higgins, Philip Corner, Takehisa Kosugi, Jackson Mac Low, Alfred E. Hansen u. a. - Das Festival wurde von Charlotte Moorman von 1963 bis 1980 mit wenigen Unterbrüchen organisiert. - Mehrfach gefaltet. Die gedruckte Anschrift von Charlotte Mooorman von Nam June Paik handschriftlich mit ihrer New Yorker Adresse ergänzt. - Mit leichten Gebrauchsspuren.
Bourjaily Vance Crozet Charlotte Crozet Stefan
Reference : 32274VPPG
ISBN : B0018HLZUI
Stock Broché D'occasion état correct 01/01/1957 150 pages
Brontë Charlotte Tissier de Mallerais Henriette Noël Mme Maurice
Reference : CQA18GM
ISBN : B0018HARV6
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1946 287 pages
Cartonnage de l'éditeur, dos toilé, 23X18 cm, 1931, illustrations en noir de Charlotte Deschamps, éditions Nathan. Bon exemplaire.