Charles Garnier (1825-1898), architecte. L.A.S., [26 juillet 1870], 1p in-12. A François-Léopold Marcou (1826-1911) et/ou son épouse Juliette, d'un petit ensemble de correspondances. Celle-ci à Juliette. « Ma gentille Juliette. Nous comptons sur vous deux pour ce soir mardi. Opéra-Comique, 1ère Loge n°31 (la loge de l'autre soir). 1ère représentation de Kobolt, ballet en 1 acte. La fille du régiment, début d'une tenue. La Marseillaise. Le Rhin et tout le tremblement. C'est convenu dite oui ou je ne vous embrasse plus jamais. Charles ». Cette pièce est de Charles Nuitter (1828-1899) et Louis Gallet (1835-1898). Joli courrier. [172b]
Charles Garnier (1825-1898), architecte. L.A.S., Bordighera, sd [années 1880], 1p in-8. Lettre amicale, difficile à déchiffrer, mais on comprend qu'il répondra à son correspondant à son retour. On remarquera qu'il a utilisé une lettre à entête du bureau de l'architecte du nouvel opéra. [354]
Charles Garnier (1825-1898), architecte. L.A.S., sd, 1p in-8. A François-Léopold Marcou (1826-1911) et/ou son épouse Juliette, d'un petit ensemble de correspondances. Celle-ci à Juliette, avec entête de l'Opéra. « Ma chère Juliette, voici pour ce soir. Notre petite loge de première à l'Opéra-Comique, deux places. Vous voyez que l'on n'est pas encombré. J'espère que vous pourrez en profiter. Je vous embrasse de tout cour. Carlo » Sympathique lettre avec une signature peu commune : « Carlo ». [172b]