État : Assez bon état - Année : 1882, 1872 et 1881 - Format : in 8° - Tome(s) : 3 tomes - Pages : 410, 457 et 420pp - Editeur : Maison A. Jouby & Roger - A. Roger & F. Chernoviz, Libraires - Editeurs - Lieu d'édition : Paris - Type : Reliure demi-cuir et percaline - Divers : Voir défauts dans la description. - Collection : Oeuvres oratoires. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/monseigneur-charles-emile-freppel/7170-discours-panegyriques-tomes-1-2-et-3?lrb
Théologien, évêque d'Angers et député, Mgr Freppel à laissé à travers ses discours et ses sermons une oeuvre oratoire considérable sur des sujets de société (l'art, la science, l'éducation) et sur les grands personnages de notre histoire religieuse (Jeanne d'Arc, Sainte Geneviève...). Il est connu pour son attachement aux Catholiques sociaux et pour son opposition à ˮl'école de jules Ferryˮ. Les trois tomes des Oeuvres oratoires de Mgr Freppel qui réunis ses discours lors de différents événements et ses panégyriques prononcés lors des obsèques de personnalités de la droite catholique et légitimiste de son temps de 1855 à sa mort en 1891 (on recense 22 panégyriques et 19 éloges funèbres). Edition de 1882 (tome 1), 1872 (tome 2) et 1881 établi dans une élégante reliure d'époque en demi-cuir brun foncé, dos à caissons et motifs or, en bon état (légers frottements en coiffe; les tranches, notamment celles de têtes, sont un peu salies). Intérieur bien propre pour le tome 1(pale trace d'ancienne mouillure en marge de goutière des 30 dernière pages); de pales rousseurs sur le tome 2 surtout sur les première pages (page de table des matières déchirée et recollée); qqes pales rousseurs sur cinq ou six pages du tome 3 (pale trace d'ancienne mouillure en mage de goutière des 100 dernières pages).
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un recueil de gravures , chemise double page marron clair Format : 32 x 23 cm, renfermant 6 gravures à l'eau-forte sur feuille volante, 1ère de couverture orné au centre d'un titre gravé : "6 SUJETS A L'EAU-FORTE par CH. JACQUE" et d'une scène "gardiens de cochons avec son troupeau" Format 76 x 67 mm (coup de planche) , une des gravures est notée 1849, les 6 gravures avant la lettre sur chine réimposées sont signées sur le cuivre, tirage à faibles exemplaires par l'auteur lui-même, sans titre....les 5 premières eaux-forte sont numérotées de 2 à 6 dans la gravure, en bas à gauche, une n'est pas numérotée...N°2 : (femme avec vache dans un bois) Eau-forte originale sur vélin, grandes marges, Format : 311 x 216 mm (toute la feuille) - 86 x 137 mm (coup de planche), N° 3 : (G.143. Buveurs) Eau-forte originale sur papier de chine monté sur velin, datée 1849, grandes marges, Format : 308 x 218 mm (toute la feuille) - 103 x 88 mm (coup de planche), N°4 : (gardienne et vaches s'abreuvant à la rivière) Eau-forte originale sur papier de chine monté sur velin, grandes marges, Format : 308 x 217 mm (toute la feuille) - 105 x 78 mm (coup de planche), N°5 : (cochons mangeant sous les chênes) Eau-forte originale sur vélin, grandes marges, Format : 309 x 216 mm (toute la feuille) - 85 x 68 mm (coup de planche), N6 : (troupeau de vaches sortant du bois avec gardien tenant une brassée d'herbe et chien) Eau-forte originale sur papier de chine monté sur velin, grandes marges, Format : 309 x 216 mm (toute la feuille) - 95 x 70 mm (coup de planche)...La Dernière non numérotée : (femme et vache en laisse broutant à l'orée d'un bois) Eau-forte originale sur papier de chine monté sur velin, grandes marges, Format : 317 x 239 mm (toute la feuille) - 95 x 65 mm (coup de planche)..
Edition Originale.........Peintre animalier et graveur français, représentant, avec Jean-François Millet, de l'École de Barbizon, Ce fut aussi un membre fondateur et influent du mouvement " Men of 1830 ", appelé aussi l'Ecole française du paysage, groupe d'artistes qui, poussé par la Révolution de 1830, cherchait de nouvelles formes dans la peinture de paysage, Il est un des pionniers de l'eau-forte originale.....Le talent de Charles JACQUE résume assez bien l'école de Barbizon : quelle science de la transparence des ciels même par temps gris, quel souci de vigueur, quelle largeur de composition ! Charles JACQUE fut un peintre ému des bergeries, non pas des bergeries factices du 18ème siècle, mais des étables tièdes où les moutons se pressent en masse confuse, ses scènes de bergerie firent sa réputation et lui valurent les surnoms de "Maître des moutons" et de "Raphael des cochons" (Edmond et Jules de Goncourt). ......DE LA MEILLEURE EPOQUE, DU DEBUT DE SA COLLABORATION AVEC MILLET ET Théodore ROUSSEAU.......RARISSIME.................en trés bon état (very good condition).
vers 1918 Album en carton recouvert de tissu gris, avec 23 photographies 15 x 10 cm environ et 1 photographie 4 x 16 cm environ. Les photographies sont collées sur les pages en carton de l'album. Elles représentent des modèles en plâtre ou en terre ayant le plus souvent trait à la guerre de 1914-1918. Certaines de ces scuptures sont des oeuvres de propagande traitées parfois comme des caricatures (soldat allemand sur le point de violer une femme nue à ses pieds, etc.), d'autres plus réalistes sont commémoratives (plaques de villes martyres comme Ypres, Reims, Arras). Les dimensions réelles sont indiquées à la plume dans les marges. Tampon "Cheret Lanterne magique" sur les pages de garde.
La signature visible sur plusieurs des oeuvres nous permettent d'identifier le sculpteur: Il s'agit de Charles Emile Jonchery (né le 27 juin 1873 à Paris et mort le 1er février 1937 à Issy-Les-Moulineaux)Fils du sculpteur Emile Jonchery, il travailla à Paris dans l'atelier de Rodin et exposa au Salon des Artistes français et des indépendants. Le Bénézit cite de lui plusieurs oeuvres, dont des statuettes de bronze et des scènes de guerre en bas-relief. Au vu des annotations portées en regard des photographies, il s'agit très probablement du carnet du sculpteur lui-même, le catalogue de ses oeuvres. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit). CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit).
Reference : 18545
(1922)
Paris EDITION 1922 1 Illustrations originales de CARLEGLE, Préface de Léo Larguier. Paris, L'Edition, 1922, in-4 oblong, broché, couverture imprimée en noir et en rouge, 28 ff. n. ch., 1922, 17 X 24 cm.
CARLEGLE présente avec vérité (qu'elle soit aimable ou cruelle) des chroniques où la Parisienne est le thème principal). Piqures et légères déchirures au dos.
Lucien Vogel éditeur, Paris 1912-1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Une très petite rousseur dans le cadre. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 19,5x25cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
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Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleurs, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris Librairie Hachette et Cie 1906 in 12 (18x11,5) 1 volume reliure demi basane bleue de l'époque, dos lisse orné de filets dorés, portrait en frontispice, XI et 301 pages [1], avec un planche hors texte. Charles-Emile Corbin. Bon exemplaire
Bon Reliure
1851 Dessin à l'encre de Chine, signé en bas à gauche, 1910, 22.5 x 22.5 cm., légende sous le dessin
Charles-Emile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève (Suisse). Il se rend ensuite à Paris et commmence à se faire connaître dans le milieu de la presse en collaborant à de nombreux journaux et revues, dans lesquels sont publiés ses dessins dhumour, dactualité ou non : lAssiette au Beurre, le Rire, la Vie Parisienne, le Sourire . Carlègle acquière rapidement une bonne réputation, et se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il travaille pur des Editions de Luxe et devient maître-illustrateur. Il va illustrer les oeuvres complètes de grands auteurs tels que Anatole France, Montorgueil, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard et bien d'autres. Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Carlègle est un artiste reconnu, par ses pairs et par les bibliophiles.Des hommes, dans un restaurant, sont attablés quand l'un d'entre eux interpelle "la patronne" pour lui signifier que c'est l"a seconde fois qu'il trouve un cheveu dans les lentilles !" Annotation au verso au crayon bleu "26 Oblt".
COLETTE (Sidonie Gabrielle). CARLEGLE (Charles-Émile Egli, dit).
Reference : 23109
(1943)
1943 Illustrations de Carlègle. Bruxelles, Éditions de la Mappemonde, 1943, in-4, broché, couverture rempliée illustrée en couleurs
Édition originale du texte de Colette. Premier et unique tirage des vingts dessins de Carlègle dont la reproduction des dessins a été réalisé dans Les Ateliers Duval. Le coloris a été exécuté par Vairel. Tirage limité à 450 exemplaires. Un des 400 exemplaires sur Vélin pur fil. Cet ouvrage, rare et confidentiel, fut imprimé pendant l'occupation en Belgique. Charles-Emile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève (Suisse). Il se rend ensuite à Paris et collabore à de nombreux journaux et revues. Carlègle se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il devient maître-illustrateur et illustre de grands auteurs (Colette, Anatole France, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard... Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Il s'agit des dernières illustrations de Carlègle dont le tirage fut posthume.
BRIFFAUT 1924 1 Paris, G. & R. Briffaut éditeurs, Le Livre du Bibliophile, 1924, petit in-4, couverture rempliée illustrée en couleurs par Carlègle, titre en rouge, 302 pages.
Carlègle illustre avec truculence cette "Belle édition édition recherchée et cotée" (in Carteret T.IV). Sixième volume de la collection "Le Livre du Bibliophile". Tirage limité à 1.000 exemplaires numérotés. Un des 925 exemplaire numéroté sur Vergé Van Gelder Zonen. Charles-Émile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève puis collabore à de nombreux journaux et revues. Carlègle se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il devient maître-illustrateur et illustre de grands auteurs (Colette, Anatole France, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard... Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Couverture légèrement insolée et petites taches, brochage fragile.
, , in-4, 60 pp, en feuilles, papier vergé, Manuscrit sur papier vergé recouvert d'une fine écriture à l'encre noire. Ce manuscrit de physique, jamais publié et visiblement inachevé, offre une définition de plusieurs phénomènes tels que la porosité, la mobilité des corps ou encore l'attraction, ainsi que de plusieurs instruments de physique tels que la machine à diviser, le comparateur ou le pèse-liqueur. Il ne présente ni signature, ni date. Charles-Émile Alexandre (1811- 1890), poète et député, fut l'un des plus grands et plus fidèles amis de Lamartine, et fut son secrétaire particulier de 1843 à la mort du poète en 1869. Couverture rigide
Bon 60 pp.
Genève, Sauty 1944 In-8 broché, couverture illustrée 133 pp. 8 dessins et 2 portraits hors texte, bibliographie.
Charles-émile Sauty (1900-1967), alias professeur Rex, maître-magicien, spécialiste de l'histoire de la magie, est aussi une figure de l’histoire du cinéma suisse. Sa carrière comparable à celle de Georges Méliès. Bon état d’occasion
Belle héliogravure format 46 x 30 cm marges comprises - Paris - Delcour - Vers 1900 - Quelques piqures -
Avec une biographique de 2 pages - - Très bon état de l'ensemble
Paris,L'ARTISTE gravé par Ch.Giroux,sd, tirage avant la lettre ,marge droite courte
( Dessin ) - Charles Émile Egli dit Carlègle - Léo Larguier.
Reference : 17139
(1922)
Paris, L'Edition 1922. In-8 broché à l'Italienne de 58 pages au format 33 x 25,5 cm. Couverture avec titre imprimé en rouge et noir. Dos muet. Plats frais, légèrement insolés aux bords et avec petite auréole blanche au 4ème plat. Intérieur parfait. Préface de Léo Larguier. etoilé rouge. Reproduction en fac-similé des planches illustrées, légendées, par Charles Émile Egli dit Carlègle. Superbes illustrations en noir souvent teintées d'érotisme. Tirage sur vélin d'arches. Rare édition originale, surtout dans un tel état de fraicheur. Livre fragile
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Librairie Ch. Delagrave, Paris. 1875. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Mouillures. 485 pages. Papier muet encollé sur le dos, le consolidant. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Manques sur les bords des plats. Rousseurs.. . . . Classification Dewey : 190-Philosophie occidentale moderne
Nouvelle édition publiée avec des Arguments, des Notes et une table analytique par Emile Charles (Clermont-Ferrand). Classification Dewey : 190-Philosophie occidentale moderne
Payot & Cie, Paris 1915, 13,5x20,5cm, broché.
Edition originale, un des 15 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Préface de Maurice Barrès. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur par Paul Jobert en frontispice ainsi que de 107 dessins à la plume de Charles-Emile Carlègle Petits manques en tête du dos, claires décharges de papier adhésif en têtes et en pieds des gardes, sinon agréable exemplaire à toutes marges. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Charles-Emile Callande de Champmartin (1797-1883), peintre. L.A.S., sd [ca.1838], 2p in-8. Lettre inédite. A Théodore Mangin. Il le remercie pour son extrême obligeance et ses efforts à propos d'un colis que Mangin a annoncé à Champmartin mais qu'il n'a pas reçu. Peu commun.
1860 Paris, librairie classique Belin, sans date (vers 1860). 2 volumes in-12, 556 et 586 pages. Reliure époque, demi basane bleu nuit, dos lisse, faux nerfs, fleurons, et titre or.
Paris, Ch. Delagrave 1869, 180x115mm, VII- 485pages, demi-percaline. Titre au dos doré. Bon état.
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Paris, Charles-Emile Montet, 1913 19 x 28, 283 pp., illustrations en N/B, broché, bon état