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‎[CHARLEMAGNE] - VOLTAIRE.-‎

Reference : 56241

(1949)

‎Micromégas. Histoire des voyages de Scarmentado écrite ar lui-même. Le blanc et le noir. Préface de Roger Vercel. Aquarelles de CHARLEMAGNE.‎

‎ 1949 Paris, L'Estampe Moderne (Les Voyages Fantastiques), 1945, in 8° broché, 109 pages ;couverture rempliée illustrée en couleurs. ‎


‎Tirage limité à 525 exemplaires numérotés, celui-ci un des 36 sur Arches teinté (n°32), second papier. Bel exemplaire de cette "édition estimée" (Carteret, V, p.204) illustrée d'aquarelles in et hors-texte de CHARLEMAGNE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR150.00 (€150.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎PALESTINE (Charlemagne)]. ‎

Reference : 105896

(2003)

ISBN : 9781901033793

‎Sacred Bordello.‎

‎Londres et Valencienne Black Dog Publishing / Editions de l'Aquarium agnostique 2003 1 vol. broché in-4, broché, couverture illustrée en couleurs, 187 pp., nombreuses reproductions en noir et en couleurs. Texte et légendes en anglais. Très bonne condition.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR25.00 (€25.00 )

‎[CHARLEMAGNE] - MAILHARD de LA COUTURE (G.).-‎

Reference : 26546

‎Charlemagne dans l'Histoire et dans la Légende.‎

‎ Lille, Desclée de Brouwer, sans date (vers 1905), grand in 8° relié demi-percaline marron é coins, à la bradel, 190 pages ; illustrations ; rousseurs, parfois fortes ; menus frottis à la reliure. ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR25.00 (€25.00 )

‎[CHARLEMAGNE] - GERARD (Jo).-‎

Reference : 46152

‎Charlemagne, un fameux gaillard.‎

‎ P., Dargaud, 1967, petit in 8° broché, 174 pages. ‎


‎Illustré de 6 quadrichromies et de 8 pages en hors-texte. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR15.00 (€15.00 )

‎[CHARLEMAGNE] - MAILHARD de LA COUTURE (G.).-‎

Reference : 68370

‎Charlemagne dans l'Histoire et dans la Légende.‎

‎ Lille, Desclée de Brouwer, 1887, grand in 8° broché, 190 pages ; illustrations in et hors-texte ; couverture abimée avec petits manque angulaire ; intérieur frais. ‎


‎PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR15.00 (€15.00 )

‎[CHARLEMAGNE] - LAUTREC (Garbiel de).-‎

Reference : 73408

‎Charlemagne. Dessins de Louis BAILLY.‎

‎ Paris, Lafitte (Lilliput Bibliothèque), in 8°, cartonnage illustré de l'éditeur, 80 pages ; infimes frottis. ‎


‎Nombreuses illustrations de Louis BAILLY en noir et en couleurs. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR40.00 (€40.00 )

‎DUPUIS (Charlemagne) [BALZAC (Honoré de)].‎

Reference : 16258

(1839)

‎[Manuscrit]. Recueil de Poésies légères de Charlemagne Dupuis.‎

‎Saumur, , 1839. Manuscrit in-8 sur papiers blanc, rose et bleu filigranés "Bristol" de (99) ff. à 23 lignes par page, demi-veau rouge, dos lisse orné (reliure romantique de l'époque). ‎


‎Poésies complètes inédites de l'homme d'affaires qui inspira Balzac et ferrailla avec Mérimée : Charlemagne Dupuis alias Félix Grandet, père d'Eugènie et figure de l'avarice dans la Comédie Humaine.Rassemblée et calligraphiée sur papier couleur en 1839, son oeuvre versifiée inconnue de tous est une révélation : l'avare de Saumur aimait à rimailler. Pour exprimer le sentiment / Si je consultais ma grammaire / Je trouverais pour compliment / Le terme usité de ma chère / Mais cet adage est vicieux / D'après une saine logique / Moi je pense qu'il est bien mieux / De dire mon économique (…) (Chère et Économique). Contient Stances, Élégies, Barcarolle, Regrets etc.Charlemagne Dupuis fut un puissant négociant du Maine-et-Loire qui posséda près de la moitié du quai Mayaud à Saumur, également propriétaire du château de Cunault (aujourd'hui Chênehutte-Trèves-Cunault) et du choeur de l’église romane Notre-Dame de Cunault qu’il utilisa comme grange. Prosper Mérimée, alors inspecteur des Monuments historiques, dut négocier longuement avec lui pour qu’il acceptât de céder le choeur de l’église à l’État. « Il fallut user de tous les arguments possibles contre sa volonté y compris la loi d'expropriation pour cause d'utilité publique, recours qui se justifiait par la nécessité d'agrandir l'église pour le service de la commune. Dupuis avait transformé l'abside en grange pour ses fagots et ses futailles » (Pierre Pellissier).Pièce manuscrite inédite précieuse pour les études balzaciennes. ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎[CHARLEMAGNE] - ‎ ‎CHARLEMAGNE (Paul) - THARAUD (J. et J.) ‎

Reference : 46401029

(1945)

‎Le miracle de Théophile. Illustrations de Paul Charlemagne‎

‎Monaco, Edition du Rocher, Monaco, Edition du Rocher1945 ; in-4, broché, couverture ornée - Curieux et intéressant livre illustré très peu connu. Il est l'œuvre de Paul Charlemagne, peintre d'accent moderne né à Paris en 1892. Dans sa jeunesse il avait obtenu le prix Blumenthal. Chaque page est dans un large encadrement de motifs géométriques aux couleurs très vives. Illustrations à plein pages et vignettes dans le même esprit. Intéressant travail d'art décoratif très typique d'une certaine avant-garde des années 40 - 50. Imprimé par Jean Bétinas d'Annonay sur vélin de Johannot d'Annonay, à 700 exemplaires.‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

Phone number : 03 86 50 05 22

EUR200.00 (€200.00 )

‎[LA FAYETTE (Marquis de)] - TOWER (Charlemagne).-‎

Reference : 45488

‎Le Marquis de La Fayette et la Révolution d'Amérique. Traduit de l'anglais par Madame Gaston Paris.‎

‎ P., Plon, 1902-03, 2 volumes in 8° brochés, V-469 et 516 pages ; important index à la fin du tome second ; portraits en frontispice ; des rousseurs ; couvertures factices. Exemplaire de travail, massicoté, court de marges. ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR45.00 (€45.00 )

‎BRACQ (Jean-Charlemagne).-‎

Reference : 53593

‎L'évolution du Canada français.‎

‎ P., Plon, 1927, in 8° broché, V-459 pages ; en partie non coupé ; quelques rousseurs ; couverture fanée avec petits manques ; importante bibliographie in-fine. ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR20.00 (€20.00 )

‎[LA FAYETTE (Marquis de)] - TOWER (Charlemagne).-‎

Reference : 54022

‎Le Marquis de La Fayette et la Révolution d'Amérique. Traduit de l'anglais par Madame Gaston Paris. Tome premier [seul]. Avec un portrait.‎

‎ P., Plon, 1902, in 8° broché, V-469 pages ; portraits en frontispice ; rares rousseurs ; couvertures fanée avec petits défauts. ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR40.00 (€40.00 )

‎MAUPAS (Charlemagne Emile de)‎

Reference : 543595

(1884)

‎Mémoires sur le Second Empire. La présidence de Louis-Napoléon.‎

‎ P., Dentu, 1884. In-8, cartonnage bradel ancien marbré, pièce de titre sur papier noir en tête du dos, 643 pp. ‎


‎ Mors fendus en tête sur 5 cm., 2 coins émoussés, brunissures légères en général limitées aux marges, non rogné, en partie non coupé. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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Phone number : +33 (0)3 25 71 67 98

EUR25.00 (€25.00 )

‎ - Crevel de Charlemagne - Crevel de Charlemagne‎

Reference : 93409

(1875)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR8.00 (€8.00 )

‎Agnès Charlemagne‎

Reference : 400021422

(2015)

‎T'es où Des ados parlent de dieu Editons‎

‎Salvator 2015 2015. Agnès Charlemagne: T'es où? Des ados parlent de Dieu/ Editons Salvator 2015 Référence: LMA16M. Agnès Charlemagne: T'es où? Des ados parlent de Dieu/ Editons Salvator 2015‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR12.00 (€12.00 )

‎Charlemagne Armand‎

Reference : 105467

(1816)

‎La Journée des Dupes ou l’Envie de Parvenir, Comédie en cinq actes et en vers‎

‎Chez Barba, Librairie, Palais-Royal, derrière le Théâtre Français, n°51 1816 Fin in-8 reliure d’époque demi-percaline verte 20,5 cm sur 12. Titre sur pièce de cuir, 86 pages. Annotation à l’encre noir sur page de titre. Rousseurs importantes, quelques pages écornées sinon Bon état d’occasion.‎


‎Représentée, pour la première fois, à Paris, par les Comédiens du Théâtre royal de l’Odéon, le 2 mars 1816. Jean Armand Charlemagne (1753-1838). Auteur célèbre de son vivant empêché pendant de monter ses pièces pendant l’empire. “L’avis de l’éditeur” nous signale “ les événemens politiques avaient empêché M. Armand-Charlemagne,... de livrer sa Pièce à l’impression”,etc. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR107.00 (€107.00 )

‎[Lycée Charlemagne].‎

Reference : 123546

(1949)

‎Le Carolingien. Bulletin trimestriel de l'Association amicale des anciens élèves du lycée Charlemagne.‎

‎ Paris, 1949-1954, 12 fascicules in-8°, 12 à 48 pp chacun, brochés, couv. illustrées, bon état. Peu courant‎


‎Numéros 56 (décembre 1949), 57 (mars 1950), 62 à 71 (juin 1952 à janvier 1955). Le Carolingien a été fondé en 1928. Le numéro 71 (janvier 1955) est celui du Cent Cinquantenaire du Lycée. Avec des articles sur le château du Raincy, les logis parisiens de Victor Hugo, François Arago, Théophile Gautier, Gérard de Nerval, la bataille des Thermopyles (480), Blaise Pascal dans le 4e arrondissement, un Aperçu historique sur le lycée Charlemagne, des Souvenirs carolingiens (1918-1923), etc. ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR45.00 (€45.00 )

‎BAUDELAIRE Charles. [CHARLEMAGNE Paul].‎

Reference : 3261

‎Poèmes. Compositions, bandeaux, lettrines et cul-de-lampe par Paul Charlemagne.‎

‎Monaco. Editions du Rocher. 1946. In-4° en feuilles sous couverture rempliée et sous papier cristal gaufré. 40 pages. Tirage à 550 exemplaires numérotés, tous sur pur fil Johannot.‎


‎Bon état.‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR60.00 (€60.00 )

‎FOSSE-DARCOSSE (Charlemagne-Ferdinand).‎

Reference : 54602

(1861)

‎Mélanges curieux et anecdotiques tirés d'une collection de lettres autographes et de documents historiques ayant appartenu à M. Fossé-Darcosse, conseiller référendaire à la Cour des comptes, publiés avec les notes du collecteur et précédés d'une notice par M. Charles Asselineau.‎

‎Paris Techener 1861 1 vol. relié in-8, toile argile moderne, pièce de titre de basane verte, couvertures conservées, XVI + 504 pp. et 1298 numéros décrits. Charlemagne-Ferdinand Fossé d'Arcosse (1780-1864) magistrat francais, érudit et grand amateur de littérature, de beaux-arts et d'histoire, a réuni une des plus importantes collections d'autographes dans ces domaines. Très bon état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR50.00 (€50.00 )

‎[CHARLEMAGNE]. WINSTON (R.) et VERNIER (L.).‎

Reference : 1311839

‎Charlemagne.‎

‎Éd. R.S.T., 1969, grd. in-8, cart. ill. éd., 152 pp., gardes ill., nombreuses ill. en noir et en couleurs, index. (SC11B) ‎


‎Cachet de bibliothèque à sec. ‎

Librairie HURET - Paris
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Phone number : 33 01 40 50 15 40

EUR15.00 (€15.00 )

‎CHERONNET Louis Images de Charlemagne.‎

Reference : 104780

(1940)

‎Les artisans de la ville et du village. Album honoré du patronage du service de l'artisanat au secrétariat d'Etat à la production industrielle.‎

‎Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. Deuxième plat plié.‎


‎Livre. Images de Charlemagne. Office central de l'imagerie, Vers 1940.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR22.50 (€22.50 )

‎ Jean-François Baqué / 9782262006372 / 2262006377 / Guifred Le Poilu / Charlemagne / Roncevaux / Gaston Phoebus / Marguerite de Navarre / Jeanne d'Albret / Henri IV / Louis XIII / Louis XIV / Mazarin / Napoléon Bonaparte / Napoléon III / Impératrice Eugénie / Andorre / Comté de Foix / Catalogne / Comminges / Bigorre / Béarn / Pays Basque / Piémont Pyrénéen‎

Reference : BSG45GM

ISBN : B07B694FLY

‎Les Grandes Heures des Pyrénées / De Perpignan à Bayonne‎


‎Librairie Académique Perrin / Paris Relié D'occasion bon état 01/01/1989 150 pages ‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR10.00 (€10.00 )

‎MAUPAS (Charlemagne-Emile de)‎

Reference : 3420

(1885)

‎Mémoires sur le Second Empire. Première partie : la présidence de Louis Napoléon. Deuxième et dernière partie : l'Empire et ses transformations.‎

‎Paris E. Dentu 1885 Deux volumes in-8 (23 x 15 cm.) 643 et 572 pp. percaline verte, pièce de titre havane. ‎


‎Bon exemplaire en reliure ancienne des mémoires d'un acteur essentiel des débuts de l'Empire. Charlemagne de Maupas fut un des organisateurs du coup d'Etat du 2 décembre 1851. Il fut par la suite ministre de la police, sénateur et diplomate. Papier jauni, quelques rousseurs, un plat un peu frotté. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.‎

Phone number : 01 40 71 91 57

EUR50.00 (€50.00 )

‎BRACQ (Jean-Charlemagne)‎

Reference : 8015

‎L'évolution du Canada français. ‎

‎P., Plon, 1927. in-8, 3ff.-Vpp.-457pp.-1f. Broché.‎


‎ - Frais.‎

Librairie Devaux - Moulins

Phone number : 33 04 70 44 02 65

EUR18.00 (€18.00 )
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