13,8 x 20,5 Autun 1863 "Autun, le 2 septembre 1863. monsieur, Les raisons qui expliquent trop bien votre absence et celle de Madame la Vicomtesse de Louvencourt à notre soirée d'avant hier ne sont pas de nature à diminuer nos regrets. Croyez qu'ils sont très sincères et agréez la cordiale assurance de tous mes sentiments pour vous." [Signature] "Changarnier". Le général Changarnier, après plusieurs années d'exil au début du Second-Empire, s'était retiré sur ses terres autunoises. Le billet était adressé vraisemblablement au vicomte de Louvencourt, qui a été conseiller général de Saône-et-Loire sous le Second-Empire. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
--Début des hostilités de la guerre de 1870-- Nicolas Anne Théodule CHANGARNIER (1793-1877) - Général et homme politique français, ancien Gouverneur de l'Algérie.
Reference : 8778
1 L.A.S. (203 x 132) 3 pp., "Autun, le 26 juillet 1870", à une "pauvre mère désolée". Très bon état.
Très belle lettre rassurante au début des hostilités de la guerre de 1870 (déclarée le 19 juillet)."Dans vos cruelles préoccupations pauvre mère désolée, vous avez encore une généreuse pitié pour mes souffrances de soldat. Ma gratitude infinie ose vous offrir des consolations inspirées par la connaissance de la guerre moderne. Les chocs de cavalerie contre cavalerie sont rares et peu dangereux. Ceux de la cavalerie contre de l'infanterie, non ébranlée, seraient si funestes à la première qu'on les évitera certainement. Mais quand la fortune des armes se sera prononcée en faveur de nos troupes, bien supérieures en qualité à celles de l'ennemi, la brigade du comte Pajol ramènera de nombreux prisonniers, et vous reverrez votre fils enchanté d'avoir pris part à de grands évènements.Pour moi, je suis inconsolable. Vous avez raison de me plaindre. Je me sentais en pleine possession de moi-même. J'étais si sur de n'avoir rien perdu de ma clairvoyance A la barbe de Monsieur Bocher, je me permets de vous embrasser tendrement. Changarnier". Lors de la campagne de 1870, Changarnier (à 77 ans !) offrit de nouveau ses services, et demanda au gouvernement impérial un commandement en chef qui ne lui fut pas accordé. Il dut se contenter d'un rôle de conseiller et rejoignit le quartier général à Metz avec Bazaine. Charles Pierre Victor, comte PAJOL (1812-1891) est nommé, en 1870, général de la 1ère brigade de la 3e division de Latrille de Lorencez (4e corps d'armée de Ladmirault) et assiste aux batailles devant Metz.
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015482
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.A.S., camp de Blida (Algérie), 17 avril 1840, 1p 1/2 in-8. A J-A Bolle, avocat à Angoulême. Il n'a pas oublié leurs relations et le remercie pour l'envoi de sa lettre et de sa brochure. Il s'agit peut-être des Souvenirs de l'Algérie que Bolle publia en 1839, suite à un voyage où il rencontra donc Changarnier. Déchirures sans manque. [68-3]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 013616
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.S., Paris, 28 octobre 1848, 1p in-8. Lettre de remerciements suite ce que son correspondant a pu faire « au sujet du bureau de tabac accordé à Mlle de Lorcq ». Changarnier est alors candidat, un peu malgré lui, à l'élection de 1848. Il se désistera en novembre. [304]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015483
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.A.S., Paris, 17 février 1849, 1p in-8. Entête du général en chef des gardes nationales de la Seine. Il demande à son destinataire de bien vouloir traiter avec son aide de camp en qui il a totale confiance. [68-3]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015484
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.S., Blida (Algérie), 14 août 1842, 1p 1/3 in-4. A J-A Bolle, avocat à Angoulême. Il ne peut être utile à son correspondant pour lui trouver une place dans la magistrature. [68-3]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015485
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.S., Paris, 20 août 1848, 2p in-folio. A Ariste Jacques Trouvé-Chauvel (1805-1883), éphémère préfet de la Seine. Sur un projet de soulèvement à Paris, une tentative de vengeance après les journées de juin 1848. [68-3]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015486
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.S., Paris, 19 octobre 1848, 1p in-folio. A Ariste Jacques Trouvé-Chauvel (1805-1883), éphémère préfet de la Seine. Il le prévient qu'il aura un espion au banquet démocratique du dimanche suivant (le 22), sous la présidence de Proudhon. Son espion lui enverra des billets toutes les demi-heures. [68-3]
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848.
Reference : 015487
Nicolas Changarnier (1793-1877), général, homme politique, gouverneur de l'Algérie, candidat monarchiste à l'élection de 1848. L.S., Paris, 17 janvier 1849, 1p in-folio. Au général Vaillant. Il accuse réception de sa carte de France et l'en remercie. [68-3]
CHANGARNIER Nicolas, général et homme politique, Autun 1793 - Paris 1877.-
Reference : ORD-2047
Paris 18 juillet 1850. Après sa brillante carrière en Algérie, il est à ce moment, Général en chef des Gardes Nationales de la Seine: à la suite des recherches qu'il a ordonnées, il a de sérieuses présomptions contre deux militaires (qu'il nomme) qu'il soupçonne d'avoir coopéré à l'assassinat de la rue de la Ferme des Mathurins, avec un complice terrassier. 1page (21x27) en-tête du Commandement des Gardes Nationales de la Seine.