Fédération Nationale des Associations de Parents d'Elèves des Lycées et Collèges. 1948. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 198 pages.. . . . Classification Dewey : 372.8-Livre scolaire : autres matières
Lettre-Préface de Louis François. Prés. par Pierre Voisin. Classification Dewey : 372.8-Livre scolaire : autres matières
Nouvelles et impressions. 1969. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 124 pages.. . . . Classification Dewey : 155.3-Psychologie de la sexualité
Classification Dewey : 155.3-Psychologie de la sexualité
Paris, La librairie des escholiers, 1948; in-12, 198 pp., broché.
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Paris, La Librairie des Escoliers, 1948 12 x 19, 198 pp., broché, bon état
Néret, Biblothèque d'éducation morale et sexuelle, 1958 15 x 22, 152 pp., broché, Très bon état - cachets
Le dialogue nécessaire entre jeunes et adultes - La parole est aux jeunes : carence de l'éducation sexuelle - La parole est aux jeunes : pour une véritable éducation sexuelle - Parents et éducateurs entendront-ils cet appel ?
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013967
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 12 septembre 1755, 3p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Si pour mériter l'honneur de votre confiance l'exactitude et la diligence peuvent être de quelque considération, la première preuve qu'il soit en moi de vous donner quant à présent est de vous répondre à celle que vous avez pris la peine de m'écrire à l'instant que je crois le faire vraiment pour vous assure que j'agirai de même pour la suite. Je me flatte que M. le Président Général qui me recommande une grande expédition de ce que vous désirez en cela dans les termes les plus forts voudra bien être auprès de vous ma caution à cet égard. Je ne crois point trop m'engager Monsieur en vous promettant que vos provisions peuvent être scellées bien avant la St Martin [11 novembre] à moins de quelques difficultés absolument surprenantes qui ne se rencontrent pas volontiers. C'est tous quand il est question de la résignation d'un père à son fils. Cependant, à commencer de samedi prochain, n'ayant toute apparence que le sceau ne se donnera que de quinzaine en quinzaine, je vous observerai qu'il n'y a pas de temps à perdre pour m'envoyer les pièces nécessaires, et me mettre en état d'aller en avant. Je vous annoncerai que si cet envoi tardait, je me trouverais embarrassé pour l'enregistrement des provisions à la chambre des comptes qui n'entre point dans la quinzaine d'avant la St Martin, qu'à dix jours bien interrompus et rares. Comme vous avez déjà obtenu de premières provisions, vous me marquez au juste les pièces dont j'ai besoin qui sont les provisions de M. votre père : sa résignation, les vôtres personnelles, votre extrait baptistaire, et un certificat de non parentés et alliances avec Mrs du Parlement. Vous savez, Monsieur, que M le Chancelier n'accord son agrément qu'autant que M le Premier président lui en a écrit. Ainsi il faut que vous preniez d'aller voir M Le Berthon pour qu'il remplisse ce cérémonial, l'agrément en question étant le préalable de toutes choses. Je me persuade même qu'il vous faudra au moins une dispense d'âge et ces lettres demandent toujours plus de temps que lorsqu'il s'agit d'avoir simplement des provisions, par la nécessité, [mot illisible] qu'elles sont sous scellées, de les envoyer et les retirer de la signature du ministre. Le droit de survivance étant de 5571 livres et celui de marc d'or de 2626 livres, l'on provisionne sans aucune dépense, point d'argent ni de pièce, seront une dépense au moins de 8400 livres sans y comprendre même l'enregistrement de la chambre des comptes mais elle vous coûteront toujours bien moins qu'au dernier revu de Mrs les présidents à mortier qui a été obligé de payer depuis peu caution. 18000 livres pour son seul droit de survivance acquis au triple et sur lequel il n'a pu obtenir aucune modération. Je suis bien respectueusement, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur Gallois ». Le « président général » est certainement le premier président du parlement de Bordeaux, à savoir André-Benoît-François-Hyacinthe Le Berthon (1713-1800) au moment de ce courrier. Son père Pierre-Emmanuel Casaux (1687-1759) s'apprête donc à lui laisser sa place de président à mortier au parlement de Bordeaux. D'ailleurs, l'adresse indique uniquement « conseiller au Parlement ». Il lui fallait une dispense d'âge car il fallait 40 ans révolus pour être président à mortier. Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (cachet rompu en deux à l'ouverture de la lettre). [215]
François Cureau de La Chambre (1630-1680), médecin ordinaire du roi, médecin des bâtiments du roi, médecin de la reine Marie-Thérèse et des enfants de France, médecin du chancelier Pierre Séguier, fils du philosophe et médecin Marin Cureau de La Chambre.
Reference : 013826
François Cureau de La Chambre (1630-1680), médecin ordinaire du roi, médecin des bâtiments du roi, médecin de la reine Marie-Thérèse et des enfants de France, médecin du chancelier Pierre Séguier, fils du philosophe et médecin Marin Cureau de La Chambre. P.S., sd [1668-1669], 1p in-4. Sur parchemin. Document avec uniquement le recto signé « La Chambre » et au dos une note d'une autre main « pour servir de quittance. » (3 lignes). Le document n'a pas été rempli ensuite au dessus de la signature mais devait concerner les 2400 livres d'appointements de La Chambre en tant que médecin ordinaire pour l'année 1668. [328-2]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013968
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 26 septembre 1755, 3p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Le courrier par vous chargé de me remettre le paquet que vous venez de m'adresser a été tellement exact à me le délivrer qu'il m'est parvenu deux heures avant votre lettrer d'avis. J'y ai trouvé toutes les pièces qui me sont nécessaires et même plus qu'il ne m'en faut comme vous me faites l'honneur de me l'observer, mais ne les déliant pas, je compte qu'elles vous reviendront dans le même ordre, sans cependant vous promettre que la cire qui composte les anciens sceaux, quelque proprement et soigneusement qu'ils aient été gardés, soient de la partie car ces actes passent en tant de mains qu'à peine faut-il compter sur la cire des expéditions que l'on fait sceller et qui n'en sont que moins en forme. Vous m'auriez fait plaisir, Monsieur, de m'envoyer en même temps les fonds. Malgré cela, voulant profiter du sceau indiqué au quatre du mois prochain autant qu'il sera en moi et que le bon tant de l'agrément que de la dispense d'âge me sera aussi promptement envoyé que je l'espère. J'ai payé ce matin les 5500 livres de [levée?] Du droit de survivance, vu qu'il faudra retarder le paiement de quatre [mot illisible]. Seulement vos expéditions que je compte faire sceller demain en huit en jours n'auraient pu l'être qu'au sceau subséquent qui ne sera certainement pas donné avant le 19 ou le 20 du mois prochain. De la manière dont je m'y prends, je tacherai de faire l'enregistrement de vos provisions à la chambre des comptes pendant que j'enverrai votre dispense d'âge scellée à la signature du ministre. Ainsi il y aurait bien des contretemps imprévus si dans le 18 ou l e25 octobre au plus tard je n'était pas en état de vous faire mon envoi de tout. Mais s'il s'agissait de vous faire passer les paquets autrement que par la messagerie à l'ordinaire et nous en donner avis, je vous prie de vouloir bien me le marquer. Je suis respectueusement, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013970
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., 8 octobre 1755, 2p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Au sceau de samedi dernier tenu à Fontainebleu ont été scellées en ma présence vos provisions et la dispense qui vous était nécessaire comme cette dernière lettre doit être signée de M de St Florentin, et qu'il y a quelquefois du retard dans leur renvoi, j'ai volontier accepté l'offre que m'a faite M Trouvé de s'en charger pour les faire plus promptement signer et je les lui ai remises lundi au soir à cet effet avec leur minute. D'un autre côté, Monsieur, en attendant cette signature, je travaille à faire enregistrer vos provisions en la chambre des comptes, au moyen de quoi j'espère vous adresser incessamment vos provisions, avec les lettres de dispense par le même canal de M Trouvé suivant qu'il s'y est offert et que vous les recevrez encore plus tôt que vous ne les demandiez. Je vous supplie de crois que j'userai toujours de la même exactitude pour tout ce qui vous concernera ou pour les personnes auxquelles vous voudrez bien vous intéresser, et qui pourraient avoir besoin de mon ministère, m'y livrant uniquement, aimant l'occupation, et ne la refusant point quand elle se présente. Je suis avec bien du respect, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Paul Royer dit Royer-Collard (1763-1845), philosophe, membre de l'Académie Française, député, président de la chambre des députés.
Reference : 013162
Pierre-Paul Royer dit Royer-Collard (1763-1845), philosophe, membre de l'Académie Française, député, président de la chambre des députés. L.A.S., 12 août 1835, 1p in-8. A André Dupin (1783-1865), alors président de la chambre des députés. « Je suis condamné en ce moment par un rhumatisme aigu à garder la chambre et souvent le lit. Je ne sais pas s'il me sera permis de prendre part ç la grande discussion de la loi de la presse ; je le désire plus que je n'ose encore l'espérer. Mais si les forces me reviennent, je serais désolé de me trouver mis hors des débats, faute d'un tour d'inscription. Je demande à mon cher collègue, plus qu'à M. le Président, s'il peut me le faire obtenir à un rang quelconque, je préviens dès ç présent Mr le Président que je m'inscrits contre l'article 1er du projet de loi ». Intéressant courrier qui montre l'opposition de Royer-Collard à la loi sur la presse du 9 septembre 1835, la fameuse « loi scélérate de 1835 ». Une autre lettre nous indique qu'il n'est pas en état à cause de rhumatismes. [309]
Pierre-Paul Royer dit Royer-Collard (1763-1845), philosophe, membre de l'Académie Française, député, président de la chambre des députés.
Reference : 013161
Pierre-Paul Royer dit Royer-Collard (1763-1845), philosophe, membre de l'Académie Française, député, président de la chambre des députés. L.A.S., 20 août 1835, 1p in-8. A André Dupin (1783-1865), alors président de la chambre des députés. « Je remercie Monsieur le Président mon cher collègue ; on m'a offert ce matin un très bon rang dans l'inscription contre ; j'ai remercié et n'ai point accepté. Je ne suis point en état de faire un discours ; mais j'espère pouvoir dire quelques motes sur l'article 1er qui ne viendra pas cette semaine. Je présente à Monsieur le Président mes hommages ; j'y joins l'expression de mon bien sincère attachement ». Intéressant courrier qui montre l'opposition de Royer-Collard à la loi sur la presse du 9 septembre 1835, la fameuse « loi scélérate de 1835 ». Une autre lettre nous indique qu'il n'est pas en état à cause de rhumatismes. [309]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013969
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 1er octobre 1755, 2p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, J'ai reçu samedi dernier celle que vous avez pris la peine de m'écrire avec le mandement de neuf mille livres auquel il a été fait honneur hier matin attendu que la veille était ici la fête de St Mathieu. Comme j'avais mis toutes choses en règle concernant vos expéditions, ce paiement m'a remboursé de mes avances et je serais surpris qu'il y eût sujet de vous demander un supplément. Je suis toujours, Monsieur, dans l'espérance que nos provisions de la dispense d'âge, qui vous est nécessaire quoique pour bien peu de temps, seront scellées samedi prochain à Fontainebleau car je compte qu'avant ce temps, M le Chancelier me fera passer votre agrément et le bon de la dispense. Indépendamment du placet par moi donné il y a huit jours, j'en ai encore écrit dimanche dernier au premier secrétaire, et M Trouvé est venu au logis lundi dernier s'étant offert de lui écrire de nouveau. Comme le connaissant, je l'ai prié de le faire, car je ne suis point dans l'usage de refuser du secours pour que rien ne manque. C'est au reste la seule personne qui me soit venue ou ait envoyé de votre part et je n'ai eu aucune nouvelle de M de Ségur, nouvellement prévôt de notre ville. Je me flatte que mon attention, et ma vigilance, pourront me donner quelque part dans l'honneur de votre confiance que je chercherai toujours à mériter étant avec un respectueux attachement, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois ». Beau cachet de cire aux armes de Gallois au dos du document (petits manques en bordure). [215]
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune).
Reference : 013971
Pierre-Juvenal Gallois (ca.1726-1789), conseiller du roi, auditeur ordinaire de la Chambre des Comptes, propriétaire du château de Belleville à Gif-sur-Yvette (aujourd'hui propriété de la commune). L.A.S., Paris, 15 octobtre 1755, 4p in-4. A Pierre-Emmanuel de Casaux (1716-1778), président à mortier au Parlement de Bordeaux. « Monsieur, Vos intentions ont été pleinement exécutées car n'ayant pas perdu un seul moment sur ce qui vous concernait, j'ai mis hier de relevée entre les mains de M Trouvé le paquet de papier tel que vous me l'avez adressé augmenté de vos provisions et dispenses mais les anciens sceaux ont disparu aussi n'avais-je pas espérance de les revoir. Il doit comme il s'y est offert de lui-même et me l'a promis faire contresigner ce paquet, comme je l'aurais pu faire s'il n'y avait point eu de sceaux, et vous l'adresser par le présent ordinaire en l'avis que j'ai l'honneur de vous en donner ici donc dans la règle vous parvenir en même temps. Comme je n'ai eu, Monsieur, aucune occasion de remercier M l'ancien Président Général de m'avoir mis en état de vous être de quelque petite utilité, j'ai pris la liberté d'enfermer dans votre paquet une lettre pour lui et je vous serai redevable de vouloir bien la lui faire remettre. Je forme ici l'état en état de ma dépense que vous trouverez au dessous de la recette de 423 livres 10 sous et seulement de 416 livres et vous juger à propos d'admettre les 7 livres 10 sous pour les courses du commis qui ont été assez réitérés. Ainsi que, Monsieur, vous pouvez disposer de l'une de ces sommes en les tirant[?] sur moi ou me marquant à qui je pourrai la délivrer à moins que vous ou M le président général n'eussiez besoin de quelque légère provision du sceau pour un orateur auquel vous vous intéresseriez. Je serai bien charmé d'apprendre que vous êtes satisfait de mes petites opérations, et que ce me fût un grade pour mériter l'honneur de votre [mot illisible] sachant la juste considération que vous vous êtes acquise dans la compagnie dont vous devenez un des chefs. S'il s'en présentait quelque occasion, je vous supplie d'être persuadé que je la saisirais de manière à vous donner des témoignages du respectueux dévouement avec lequel je suis, Monsieur, Votre très humble et très obéissant serviteur, Gallois. Je n'ai eu, Monsieur, aucunes nouvelles de M le Prévôt de cette ville ». Il est joint le décompte des sommes versées et le restant dû à Casaux, reprenant notamment la somme proposé pour les courses du commis. [215]
Charpentier, probablement Pierre Charpentier de Voyenne (mort le 25 novembre 1775), conseiller du Roy, maître ordinaire de la chambre des comptes.
Reference : 012134
Charpentier, probablement Pierre Charpentier de Voyenne (mort le 25 novembre 1775), conseiller du Roy, maître ordinaire de la chambre des comptes. L.A.S., Versailles, 8 janvier 1775, 1p in-4. A Jean-Jacques Isle de Beauchaine (1747-ap.1792), officier de marine. Le chevalier Isle peut se présenter auprès du trésorier général Claude Baudard de Saint James (1738-1787) afin de recevoir son « supplément d'appointements » pour les 8 derniers mois de 1774. [338]
VALERY (Paul). BEAU (Charles). CHAMBRE SYNDICALE DES ENTREPRENEURS DE CONSTRUCTIONS METALLIQUES DE FRANCE. JAHAN (Pierre). WANDELLE (Pierre).
Reference : 19745
(1965)
1965 1
Livre présentant la puissance, la légèreté, la finesse... des constructions métalliques de 47 ouvrages d'architectes à travers une cinquantaine de photographies de JAHAN, WAGNER, VIGOUROUX, HOFF, WANDELLE, MILLER... Ouvrage édité à l'occasion du 75ème anniversaire de la fondation de la Chambre Syndicale des Entrepreneurs de Constructions Métalliques de France. Un des 500 exemplaires numérotés avec envoi de l'auteur Charles Beau. Infimes usures et très légère insolation.
PIERRE BERGE & ASSOCIES. 2007. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 140 pages.Nombreuses photographies en couleurs et/ou en noir et blanc dans et hors texte.- LIVRES ET DOCUMENTS DE COLLECTION JEAN PIERRE FAUR ET EMMANUEL PIERRAT - 7 DECEMBRE 2007 - SALLE 3. . . . Classification Dewey : 56-Catalogue
Classification Dewey : 56-Catalogue