1951 ARLES,ST.REMY; Mai 1951, In huit, (60p)non paginé, broché, 14 illustrations ht,, Exposition
bon état.
Catalogue exposition. Paris, Grand Palais 1998.
Reference : 3428
ISBN : 9782711835669
<p>Deux règnes ont marqué l'histoire de l'<a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/art-gothique/">art gothique</a><span></span>en France, celui de Saint Louis (1226-1270) et celui de CharlesV (1364-1380). Entre les deux, une sorte de hiatus s'est instauré: l'éclosion des grandes cathédrales est alors terminée, le style rayonnant poursuit ses raffinements sans se renouveler véritablement, le génie créateur des artistes semble s'épanouir hors du royaume. Beaucoup d'œuvres françaises de cette époque sont ainsi approximativement datées «fin du<span></span><span class="pc">XIII</span><sup>e</sup>-début du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle» ou «première moitié du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle». L'<a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/exposition/">exposition</a><em>L'Art au temps des rois maudits. Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328</em>, présentée au Grand<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/palais/">Palais</a><span></span>du 17mars au 29juin 1998, a donc apporté une contribution majeure à la connaissance de la production artistique de cette période. Elle complétait remarquablement l'exposition<span></span><em>Les Fastes du gothique, le siècle de Charles</em><em>V</em><span></span>(Grand Palais, 1981), qui débutait avec l'avènement des Valois, en 1328. Les œuvres présentées et le catalogue, articulé en douze sections qui vont de l'architecture aux armes, ont permis de découvrir un art inventif et ont apporté des repères chronologiques plus précis.</p><p>Certes, l'architecture religieuse n'a plus le dynamisme qui la caractérisait auparavant, bien que l'on bâtisse alors des églises étonnantes, telles que la cathédrale d'Albi ou la collégiale de Mussy-sur-Seine (Aube). L'architecture civile prend le relais. À<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/paris/">Paris</a>, le palais de la Cité par exemple, construit pour Philippe le Bel, reflète les changements institutionnels de son règne et rassemble, non seulement la Sainte Chapelle de LouisIX et la demeure du souverain, mais aussi les organes du pouvoir politique, administratif et judiciaire. Celui-ci était évoqué dans l'exposition par des statues de personnages assis, découvertes à l'occasion de travaux dans le sous-sol du palais en 1899 et présentées pour la première fois au public.</p><p>La multiplication des statues en ronde bosse, dans le décor intérieur et extérieur des édifices civils et religieux, constitue en effet une des particularités de l'art du début du<span></span><span class="pc">XIV</span><sup>e</sup>siècle. Certains ensembles, dispersés à la suite de démolitions, comme celui des anges de Saint-Louis de Poissy, ont pu être reconstitués. D'autres, notamment les admirables statues commandées par Enguerrand de Marigny pour la collégiale Notre-Dame d'Écouis et exécutées vers 1310-1313, ont bénéficié d'une mise en valeur éblouissante. La sculpture, comme les autres arts, montre que le roi, sa famille et son entourage ont exercé un mécénat qui a favorisé nettement une prédominance de l'art parisien. Les documents de comptabilité et d'imposition conservés indiquent cependant que les artistes qui exerçaient à<span></span><a href="https://www.universalis.fr/encyclopedie/orchestre-de-paris/">Paris</a><span></span>venaient d'horizons très divers.</p><p>En outre, des foyers provinciaux ont coexisté sans heurt et ont fait preuve de vitalité, du nord de la France au Midi et de la Normandie à la Lorraine et à la Bourgogne. Dès l'entrée de l'exposition, une cohorte d'anges en bois des régions septentrionales accueillaient ainsi le visiteur, avec une grâce souriante. Pour les sections les plus importantes –sculptures, arts précieux, manuscrits à peintures– les centres de production ont été distingués, de même que les rares artistes connus. Pépin de Huy, sculpteur de la comtesse Mahaut d'Artois, et les peintres maître Honoré et Jean Pucelle étaient représentés par la plupart des œuvres qui leur sont attribuées. Le nord de la France, de la Normandie au Hainaut, a été particulièrement productif et très influencé par le milieu parisien. Les régions de l'Est et de la Bourgogne, et surtout le Languedoc, ont connu un art plus original, qui s'observe aussi bien dans l'atelier de sculpture de Mussy-l'Évêque (Aube) que dans le reliquaire de la Vraie Croix d'Albi ou dans les manuscrits toulousains.</p> Paris, 1998 RMN 460 p., nombreuses illustrations, relié sous jaquette. 23 x 31
Occasion
Catalogue exposition, Hôtel de Caumont, Aix-en-Provence, 2021.
Reference : 25196
ISBN : 9782754112093
<meta charset="utf-8"><div class="productStrate__raw summaryStrate__raw" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Catalogue officiel de l’exposition<em data-mce-fragment="1">Trésors de Venise, la Collection Cini<span data-mce-fragment="1"></span></em>à l’Hôtel de Caumont d’Aix-en-Provence du 19 novembre 2021 au 27 mars 2022. L'Hôtel de Caumont - centre d’art d’Aix-en-Provence fait voyager ses visiteurs à Venise en présentant une sélection des chefs-d’oeuvre de la collection Cini, l’une des plus importantes collections d’art ancien italien. Les peintures, sculptures, dessins et objets précieux présentés et reproduits dans cet ouvrge, font partie de l’un des plus prestigieux ensembles d’art italien, du XVIe au XVIIIe siècle, réuni par l’entrepreneur et philanthrope Vittorio Cini (Ferrare 1885 – Venise 1977). En 1951, ce dernier crée la Fondation Giorgio Cini, centre de recherche et formation de réputation internationale, intitulé à la mémoire de son fils, décédé prématurément.<br data-mce-fragment="1">Aujourd’hui, la collection Cini est répartie entre la Galerie du Palazzo Cini, ancienne résidence du collectionneur sur le Canal Grande, et l’important siège de la Fondation Giorgio Cini, sur l’île vénitienne de San Giorgio Maggiore. À côté des grands noms de la peinture toscane - Botticelli, Fra Angelico, Filippo Lippi, Piero di Cosimo - et vénitienne, comme Lorenzo et Giandomenico Tiepolo, l’exposition présente des pièces maîtresses de la Renaissance ferraraise. Complétée par une sélection de sculptures, émaux et ivoires, ainsi que par un choix de dessins et enluminures, l’exposition et le catalogue qui l'accompagne rendent compte de toute la variété technique et stylistique d’une époque florissante de l’art italien, ainsi que du goût raffiné de l’un de plus importants collectionneurs italiens du XXe siècle.</p></div> Paris, 2021 HAZAN éditeur. 192 p., Broché. 14 x 28 cm
neuf
Presses d'Offset Cinq Editions en Vendée, 1998. In-8, carré. Cartonnage éditeur avec photo NB. 102 pages. Reproductions couleurs en hors texte légendées. Petites photos NB . Biographie. Catalogue de l' exposition qui eut lieu aux Sables d'Olonne, à Chartres et à Dole de septembre 1998 à mai 1999. Très bon état.
Catalogue d’exposition à la galerie Claude Bernard en mars 1976. In-12, 18.5 x 12.5 cm cartonnage illustré de l’éditeur, (70 pages). Texte de Severo Sarduy en français et en espagnol. 41 reproductions hors texte en noir et en couleurs. Pâles rousseurs sur les tranches.
Saint Etienne, Musée d'Art et d'Industrie, 1979, in 4° broché, 142 pages ; importante iconographie en noir ; couverture illustrée.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
MONTREAL 1987 broché, 320p.ill.en noir et en coul.
Catalogue exposition au Musée Jacquemart-André à Paris du 12 septembre 2014 au 19 janvier 2015.
Reference : 18661
ISBN : 9789462300637
<p>Considéré par ses contemporains comme l'un des plus grands peintres d'Italie, Pietro Vannucci, dit le Pérugin (vers 1430-1323), a initié pendant les dernières décennies du XVe siècle et les premières du XVIe siècle une nouvelle manière de peindre. Son art cristallin, aux couleurs harmonieuses et aux lumières théâtrales, a suscité un très grand engouement, faisant de lui l'un des représentants majeurs de la Renaissance italienne. L'exposition Le Pérugin, Maître (le Raphaël met en lumière les apports essentiels de ce peintre à l'art et la culture de son époque, grâce aux prêts exceptionnels des plus grands musées italiens, européens et américains. Le raffinement des compositions, l'attention portée à l'harmonie des couleurs et au modelé des corps témoignent (le son exceptionnelle maîtrise technique. Inventeur de nouvelles règles picturales, le Pérugin a créé un langage artistique qui va se diffuser clans toute l'Europe. Réunissant la cinquantaine d'oeuvres présentées clans l'exposition, ce catalogue est publié sous la direction de Vittoria Garibaldi, ancienne Surintendante pour les Biens historiques, artistiques et ethnoanthropologiques de 1'Ombrie et commissaire générale de l'exposition. Il retrace les grandes étapes de la carrière du Pérugin, de sa formation, marquée par la peinture florentine de la seconde moitié du XVe siècle, à ses grands succès à Rome et Pérouse. Figure artistique aussi importante qu'originale, le Pérugin a exercé une influence majeure sur ses contemporains, en particulier sur le jeune Raphaël. </p> Bruxelles, 2014 Fonds Mercator 230 p., relié sous jaquette. 25 x 28,5
Neuf
Catalogue exposition, Musée du Luxembourg du 12 septembre 2018 au 27 janvier 2019, Paris.
Reference : 24058
ISBN : 9782711871254
<meta charset="utf-8"><br><meta charset="utf-8"><meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Alphonse Mucha (1860-1939), artiste tchèque exilé à Paris après une formation à Prague et à Vienne, fut un témoin et un acteur majeur de l'effervescence de la Bohème artistique parisienne. Le « style Mucha » est mondialement célèbre et emblématique de l'Art nouveau, mouvement européen de grande ampleur que cet artiste contribua largement à créer. L'exposition revient bien sûr sur cette première période de l'artiste, lorsque Mucha travaille pour le théâtre et la publicité à Paris, mais entend également rendre compte de la diversité de son œuvre de peintre, dessinateur, sculpteur ou photographe.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">L'introduction générale du catalogue de l'exposition, écrite par la commissaire de l'exposition, Tomoko Sato, retrace la carrière de cet artiste aux multiples facettes. Chaque essai explore ensuite un axe précis de sa personnalité artistique. Antoine Marès donne les clés du contexte géopolitique de l'Europe de l'Est à cette l'époque et révèle l'implication artistique de Mucha dans le patriotisme slave. David Jumeau-Lafond explore les influences symbolistes, théosophiques et franc-maçonnes de son œuvre. Enfin, Véronique Vienne étudie l'efficacité extraordinaire du langage graphique de cette œuvre multiple. Une chronologie mettant en perspective la carrière de Mucha avec les événements de son temps clôt l'ouvrage.</span><br data-mce-fragment="1"><br><div class="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"><div id="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"></div></div> Paris, 2018 RMN 248 pages, 250 illustrations couleur et N/B., broché. 20,5 x 32
Neuf
<p>Le Musée Monet Marmottan et les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique ont conclu un accord de partenariat exceptionnel visant à valoriser leurs collections réciproques au travers d’expositions temporaires qui éclairent à chaque fois un aspect particulier de celles-ci. L’exposition Rubens, Van Dyck, Jordaens… et les autres. Chefs-d’œuvre de la peinture flamande baroque des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique en constitue le premier volet. L’exposition propose une sélection de quarante et un tableaux des anciens Pays-Bas méridionaux du « Siècle d’Or qui regroupe tous les grands genres, de la peinture d’histoire à la nature morte, en passant par le portrait, la scène de genre et le paysage dans lesquels les artistes du Nord excellaient. Les œuvres ont été choisies à la fois pour leur représentativité et leur haute qualité. Certaines sont des acquisitions récentes ou font le voyage à Paris pour la première fois. L’exposition est accompagnée d’un catalogue richement illustré qui comprend, outre les notices détaillées de chaque œuvre écrites par les conservateurs des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, une introduction sur la formation de la collection et un essai original sur l’engouement du public français, dès le XVIIe siècle, pour la peinture des anciens Pays-Bas méridionaux, qui fit dès lors l’objet d’échanges commerciaux intenses entre Anvers, Amsterdam, Bruxelles et Paris.</p> Paris, 2012 Hazan 192 p., 50 illustrations, broché. 22,5 x 28
Neuf
<p>Poète libanais ayant choisi d écrire en français, Salah Stétié occupe une place considérable dans la poésie contemporaine. Au carrefour des cultures arabe et européenne dont il a été simultanément nourri, il est l auteur d une uvre poétique abondante et dense, à laquelle s ajoutent de nombreux essais, traductions de poètes arabes, textes sur l art... En quête perpétuelle d un espace de rencontre, de conciliation, dans une Méditerranée plurielle, il est assurément l un des plus éminents représentants de ces deux rives d un monde dont l actualité ne cesse d être en mouvement. L exposition qui lui est consacrée propose un regard d ensemble sur ses liens avec les artistes. Au cours des trente dernières années, Salah Stétié a publié près d une centaine de livres réalisés en collaboration avec de nombreux peintres, parmi lesquels figurent notamment Alechinsky, Tapiès, Zao Wou-Ki, Kijno, Jan Voss ou, tout dernièrement Viallat, Woda... Ils sont ici intégralement rassemblés - éditions originales, éditions limitées aux côtés de manuscrits du poète et de nombreuses uvres des quelque soixante-dix artistes qui ont collaboré à ces publications. Dans un ouvrage de 352 pages, nous retrouverons l intégralité des de ses éditions originales, éditions limitées aux côtés de manuscrits du poète et de nombreuses oeuvres... Parallèlement à l exposition présentée au Musée Paul Valéry, une exposition de la toute récente donation Salah Stétié est organisée à Paris par la Bibliothèque Nationale de France du 5 mars au 14 avril 2013. A cette occasion, une collaboration entre le Musée Paul Valéry et la Bibliothèque Nationale de France permet de présenter les deux expositions dans le même catalogue SALAH STÉTIÉ ET LES PEINTRES. </p> Sète, 2013 350p., illustrations couleur. Broché couleur. 24 x 29 cm
Neuf
Musée de l'Ain 1963 un volume in-8°, 139 (8) pp., couverture illustrée. (couverture un peu tâchée et légèrement marquée). Catalogue d'exposition consacré à Gustave Doré (aquarelles, dessins..). 24 planches hors-texte et quelques reproductions en noir dans le texte. Peu courant.
Catalogue exposition, La Maison Rouge, Paris, 2018.
Reference : 25197
ISBN : 9782849754962
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">L'exposition de La maison rouge réunit pour la première fois en France plus de cent cinquante oeuvres de l'artiste rom Ceija Stojka, née en Autriche en 1933. Déportée à l'âge de dix ans, elle survit à trois camps de concentration, Auschwitz-Birkenau, Ravensbrück et Bergen-Belsen. C'est à cinquante-cinq ans, qu'elle rompt le silence et se lance dans un fantastique travail de mémoire, lequel donne naissance à plusieurs récits et à plus d'un millier d'oeuvres, encres, gouaches et acryliques sur toile ou papier, alors qu'elle est autodidacte. Elle devient ainsi la première femme rom rescapée des camps de la mort à témoigner de son expérience concentrationnaire, contre l'oubli et le déni, contre le racisme anti-rom ambiant en Autriche et en Europe. L'ensemble de ce qu'elle laisse à sa mort en 2013, donne la sensation d'un grand journal sans chronologie, où peintures et écrits, s'entremêlent pour restituer les souvenirs cauchemardesques d'une enfant sur ce qu'on appelle Samudaripen ou génocide tsigane. Ce catalogue, réalisé à l'occasion de l'exposition, s'attache à restituer fidèlement l'esprit de l'artiste, sa singularité, sa force de vie et dévoile un travail pictural hors du commun.</span> Paris, 2021 FAGE éditions. 200 p., Broché. 22 x 27 cm
Neuf
Nice, Musée National Message Biblique Marc Chagall / Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1984. In-8 carré. Broché. Couverture illustrée en couleurs. 111 pages. llustrations NB et couleurs, légendées. Bibliographie. Exposition qui eut lieu du 7 juillet au 8 octobre 1984 à Nice. Nous y joignons un carton d'invitation pour l'exposition "Marc Chagall, rétrospective de l'oeuvre peint" qui eut lieu à la Fondation Maeght du 7 juillet au 15 octobre 1984. Bon état.
Catalogue exposition, Centre Pompidou, Paris, 30 octobre 2013 - 3 mars 2014.
Reference : 17696
<p>Comment concilier l'appel au rêve et le souci du réel, la psychanalyse et le matérialisme dialectique ? La question se pose au surréalisme à la fin des années vingt, lorsque le mouvement, fondé par André Breton, se met «au service de la révolution«. Cette allégeance suppose une remise en cause du statut social de l'artiste, de la fétichisation marchande des ses oeuvres, à quoi répond l'invention de l'objet surréaliste. Soupçonné de déviance «idéaliste« par les instances du Parti communiste, André Breton reconsidère les premiers «objets à fonctionnement symbolique« par rapport au «contenu manifeste« et aux liens avec l'inconscient et les puissances du désir par trop explicite. L'«Exposition surréaliste d'objets«, organisée en 1936 à la galerie Ratton, marque le point d'orgue de la réflexion surréaliste appliquée à l'objet. Elle rassemble des «objets mathématiques«, des masques inuits, des minéraux, un tamanoir empaillé, et quelques objets surréalistes. La période de la guerre voit le transfert des questions relatives à l'objet à une nouvelle génération de sculptures. De Picasso à Mimi Parent et Miro), s'impose un art qui fusionne objets trouvés et collages, renouant avec la création originelle, scripturaire et plastique du surréalisme. Ce dictionnaire-catalogue qui accompagne l'exposition «Le surréalisme et l'objet«, présentée au Centre Pompidou du 30 octobre 2013 au 3 mars 2014, retrace les étapes d'un questionnement, d'une création, qui provoque l'avènement de l'objet, fait proliférer la figure du mannequin et conduit à la mise en scène des expositions.</p> Paris, 2013 Gallimard 331 p., illustrations couleur N/B, cartonnage éditeur sous jaquette. 20 x 24,7
Neuf
Catalogue exposition, Musée Saint-Rémi, Reims, octobre 2013 - janvier 2014.
Reference : 17835
<p>Ce catalogue vient enrichir l’exposition avec des textes et des illustrations qui développent les sujets traités dans le cadre de l’exposition. Le contexte réglementaire de l’archéologie préventive, les métiers et spécialités de l’archéologie, mais aussi les techniques de construction, la production et la consommation, les rites et les pratiques funéraires, du néolithique à la période contemporaine, sont ainsi évoqués, en s’appuyant sur des exemples rémois et champenois de fouilles récentes.</p> Milan, 2014 96 p., illustrations couleur, broché. 24 x 24
Neuf
P., Jouaust, 1885, in 4° broché ; nombreuses reproductions ; petites taches sur le titre et le premier feuillet.
ADAN (Emile) - CAZIN (Charles) - DELORT (Charles) - FRANCAIS (F.L.) - LE BLANT (Julien) - LELOIR (Maurice) - LEMAIRE (Madeleine) - MAIGNAN (Albert). PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Philipp Von Zabern, Mayence, 1983. 20,5 x 23 cm cartonnage éditeur. 359 pages. 46 planches en couleur et 346 illustrations en noir et blanc. Exposition au Musée du Luxembourg à Paris du 6 au 31 octrobre 1983.
Cachet sur page de garde. Photos de tous nos ouvrages sur demande
Direction des Musées de Nice, 1985. Plaquette in-8, brochée. Couverture illustrée. Sans pagination : 44 pages environ. Photos NB et couleurs. Catalogue de l'exposition "Tout Ben" qui eut lieu à à la Galerie d'Art Contemporain des Musée de Nice du 4 juillet au 22 septembre 1985. Bon état
Catalogue exposition, Musée Fabre, Momtpellier 2022.
Reference : 25787
ISBN : 9789461615824
<meta charset="utf-8"><div class="woocommerce-tabs wc-tabs-wrapper" data-mce-fragment="1"><div class="woocommerce-Tabs-panel woocommerce-Tabs-panel--description panel entry-content wc-tab" id="tab-description" role="tabpanel" aria-labelledby="tab-title-description" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Né en 1953 à Paris, Dominique Gauthier vit et travaille à Lavérune, aux portes de Montpellier. Formé à l’école des beaux-arts de Marseille, il fut défendu par le galeriste Jean Fournier dès ses premiers travaux, des Opéras au format monumental composés d’un assemblage de toiles et de matériaux mixtes. Alors qu’une œuvre de cette série a rejoint dès 1982 les collections du musée Fabre, suivie d’une seconde au début des années 2000, l’artiste a honoré le musée en 2020 d’une donation exceptionnelle de près d’une dizaine de toiles et d’une trentaine d’œuvres graphiques, donnant à voir la diversité de sa pratique picturale. Celle-ci évolue entre différentes périodes, d’une matière épaisse et organique notable dans les Provisions pour Cimabue à une rigueur abstraite et géométrique dans ses Hostinato tracés au compas, et multiplie les références aux arts, à l’histoire, jusqu’à puiser dans l’univers encyclopédique. Cette œuvre protéiforme, marqué par l’exubérance du geste, des couleurs et des formats, sera mis à l’honneur au musée Fabre du 21 mai au 28 aout 2022, à travers une exposition et la publication d’un catalogue qui dévoileront la richesse du fonds issu de ses collections.</p><p data-mce-fragment="1">Le musée Fabre édite un catalogue, à la charte graphique similaire aux précédents catalogues Pierrette Bloch, André Pierre Arnal, Stéphane Bordarier, une collection.</p></div></div><section class="related products" data-mce-fragment="1"></section> Gand, 2022 snoeck 128 p., richement illustré, relié. 17 x 22,5
Neuf
Catalogue exposition, Musée d'arts de Nantes, Musée des Beaux-Arts de Dijon, 2021.
Reference : 25212
ISBN : 9789461617101
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">L'histoire du costume et de sa représentation au siècle des Lumières est autant l'illustration réelle d'une culture matérielle qu'une création de l'imaginaire. Au 18e siècle, la naissance de la mode est d'abord celle de nouveaux métiers et d'une presse spécialisée, et constitue le signe d'une transformation accélérée de la société. Le style français, porté à la fois par l'aristocratie et la haute bourgeoisie urbaine, s'impose dans toutes les cours et les villes d'Europe. Pour la première fois, la confrontation d'oeuvres picturales avec des costumes du 18e siècle permettra d'explorer une nouvelle mise en scène du corps, entre l'exigence sociale et les caprices du goût. L'exposition réunit près de 200 objets du 18e siècle, issus des grands musées textiles (Musée de la Mode de la Ville de Paris, Musée des tissus de Lyon, Musée de la toile de Jouy, Musée de la Chemiserie et de l'Élégance Masculine) et de beaux-arts (Nationalmuseum de Stockholm, Rijksmuseum d'Amsterdam, Victoria and Albert Museum de Londres, Versailles, Louvre, Ecouen, Nantes, Dijon, Tours, Orléans..). Des tableaux emblématiques (La Duchesse de Polignac d'Élisabeth Louise Vigée Le Brun et La Marchande de modes de François Boucher, Nationalmuseum de Stockholm) côtoieront textiles précieux dessins inédits, vêtements et accessoires, dont certains spécialement restaurés pour l'exposition. Le parcours de l'exposition se déploie en quatre univers distincts, comme autant de facettes qui explorent le lien entre les peintres et la fabrique de la mode. Le premier chapitre de l'exposition s'attache à démontrer l'accélération des phénomènes de mode, autant en peinture que dans le vêtement, dans un jeu de compétition entre les élites dirigeantes et les classes montantes. Le deuxième chapitre met en scène les peintres comme acteurs de la « fabrique de la mode », ils se révèlent les vrais ancêtres des couturiers et créateurs de mode : de fait, ils inventent silhouettes, motifs textiles, décors d'accessoires, d'objets de poche et de toilette, tout en réalisant les dessins pour la presse spécialisée. Le troisième chapitre, « Fantaisies d'artistes », explore les liens entre des mondes picturaux imaginaires - fêtes galantes de Watteau et Lancret, pastorales enchantées de François Boucher - et des vêtements devenus iconiques grâce à eux. Enfin la dernière partie, « Pour une histoire du négligé-déshabillé », porte un regard inédit sur la vogue grandissante du négligé dans le vestiaire masculin et féminin, de la robe de chambre à la robe empire, des voiles des vestales au déshabillé antique. Elle met en lumière l'évolution d'une nouvelle silhouette féminine, qui s'allonge et se simplifie jusqu'au monochrome blanc. Avec À la mode, le Musée d'arts de Nantes et le Musée des beaux-arts de Dijon, en partenariat avec le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, confirment leur volonté d'associer une véritable exigence scientifique sur un sujet peu exploré dans les expositions sur le 18e siècle, à une ouverture sur un large public.</p> Nantes, 2021 SNOECK 600 p., très nombreuse illustrations couleur, broché. 23 x 29 cm
Neuf
St Paul de Vence, Fondation Maeght, 1978. In-8, carré. Broché. Couverture illustrée. 118 pages. Portrait en frontispice. Nombreuses reproductions NB et en couleurs en hors texte. Catalogue de l' exposition à Saint-Paul du 25 mars-25 mai 1978. Légère pliure sur coin droit de la couverture sans gravité. Bon état. Envoi en tarif " lettre "
Paris, Galerie Claude Bernard, 1995. In-8. Broché. Format à l' italienne. Couverture illustrée. 48 pages. Portrait en frontispice. Reproductions en couleurs des oeuvres exposées. Introduction en langue allemande. Texte en français. Biographie. Catalogue de l' exposition à la Galerie Claude Bernard du 30 mars au 6 mai 1995. Hormis une légère pliure en haut de la couverture, bon état.
Direction des Musées de Nice, 1984. Plaquette in-8, carrée de 42 pages. Couverture illustrée. Reproductions en couleurs de l' oeuvre de l' artiste. Textes de Catherine Millet et de Bernard-Henri Lévy. Biographie et bibliographie. Catalogue réalisé à l' occasion de l' exposition "Jacques Martinez" présentée du 1er décembre 1984 au 27 janvier 1985 à la Galerie d' Art Contemporain des Musées de Nice. Très bon état.