« Montaigne s’appuie sur ‘le premier livre de la conquête des Indes par les Portugais’, histoire écrite en espagnol par Lopez de Castaneda et dont nous avons vu Montaigne utiliser des parties dans ses ‘Essais’ ». Anvers, Jehan Steelsius à l’escu de Bourgogne, 1554. Petit in-8 de (4) ff., 211 ff. Veau havane, double encadrement de filets à froid sur les plats avec fleurons d’angles, dos à nerfs orné de même, tranches dorées, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée. Petit successeur de Simier. 151 x 92 mm.
Seconde édition de la traduction française par Nicolas de Grouchy, parue un an seulement après celle donnée par Michel de Vascosan. Borba de Moraes, I, p. 142 ; Sabin n°11388. Not in the John Carter Brown Library Catalogue. This volume contains the first book of Lopes de Castanheda in which the author gives an account of the voyage of Pedro Alvarez Cabral in India in 1500, in the course of which Brazil was discovered. This first book comprises the account of Cabral's discovery of Brazil. It is worthy of note that the English translation of this first book by Nicholas Lichfield was not published in London till 1582. Pedro Alvarez Cabral est un navigateur portugais né vers 1467 à Belmonte (Portugal), mort probablement vers 1520 peut-être à Santarém (Portugal). Fils de Fernão Cabral et d'Isabel de Gouveia, Pedro Álvares Cabral naît dans une famille noble riche d'une longue tradition au service de la couronne de Portugal. Le jeune homme est très estimé du roi Manuel Ier. Cabral est nommé amiral et prend le commandement d'une escadre de 13 caravelles qui quitte Lisbonne en mars 1500 à destination des Indes. Son objectif est de suivre la route ouverte par Vasco de Gama en 1497 afin de consolider les liens commerciaux établis en Orient et de poursuivre la conquête de nouveaux territoires entamée par son prédécesseur. Cabral suit à la lettre les instructions de Vasco de Gama et fait cap au sud-ouest pour profiter des alizés. Des vents favorables entraînent Cabral si loin vers l'ouest qu'il découvre le 22 avril 1500 ce qu'il prend pour une île et baptise Terre de la Vraie Croix (Vera Cruz). Renommé Santa Cruz (terre de la Sainte Croix) par le roi, ce territoire prendra finalement son nom actuel, Brésil, en référence au bois de brasil, un bois de teinture « couleur de braise » que l'on trouve en abondance. D'après les rapports, Cabral s'efforce de se montrer affable avec les indigènes, qu'il reçoit à bord de sa caravelle. Il prend néanmoins possession des nouvelles terres, qui reviennent de droit au Portugal conformément au traité de Tordesillas (1494), et renvoie l'un de ses navires au Portugal pour en informer le roi. Dorénavant, les cartes de la région montrent une vaste étendue de terre aux frontières mal définies sous domination portugaise, et où font escale les navires partant d'Europe pour rejoindre le cap de Bonne-Espérance et l'océan Indien. Cabral ne reste que quelques jours au Brésil, avant de repartir vers les Indes, mais la deuxième partie de son voyage est marquée par une série d'événements malheureux. Le 29 mai, alors que la flotte double le cap de Bonne-Espérance, quatre caravelles disparaissent. Plusieurs hommes trouvent la mort dans ce naufrage, dont Bartolomeu Dias, le navigateur portugais découvreur du cap en 1488. Le reste de la flotte atteint les Indes et jette l'ancre dans le port de Calicut le 13 septembre 1500. Le zamorin (chef local) lui fait bon accueil et lui permet d'établir un comptoir fortifié. Des disputes ne tardent pourtant pas à éclater avec les marchands arabes, et le comptoir est attaqué le 17 décembre par une importante force armée. La plupart des défenseurs portugais sont tués avant que les renforts n'aient le temps d'arriver. Cabral riposte en bombardant la ville et en capturant dix vaisseaux maures dont il exécute les hommes d'équipage. Il met ensuite cap au sud jusqu'au port de Cochin, où les chefs locaux lui réservent un accueil chaleureux et l'autorisent à faire commerce des précieuses épices, dont il charge les six caravelles qu'il lui reste. Après deux autres escales sur le même littoral, pour compléter son chargement, Cabral prend le chemin du retour le 16 janvier 1501. Il perd encore deux caravelles en route, et c'est à la tête de quatre vaisseaux qu'il rejoint finalement l'embouchure du Tage le 23 juin 1501. "The expedition remained on the coast eight days. The General ordered a high stone cross to be erected here, and named the country. ' La Tierra de Santa Cruz,' or the Land of the Holy Cross, which name will be found on the earliest maps of the Eastern portion of the continent of South America. From here Cabral sent home a caravel, with letters to the King, giving an account of his voyage hitherto, and stating that he had left two exiles here to examine the country; and particularly to ascertain if it were a continent, as it appeared to be from the length of the coast he had passed. He likewise sent one of the natives to show what kind of people inhabited the country." Bartlett, Vol. I, pp. 263-4. « ‘Historia de descobrimento e conquista da india por los Portogueses, por Fernando Lopez de Castaneda. Coïmbre, 1552-1554, 8 vol. in-folio. Cet ouvrage a été entièrement traduit en italien sous le titre suivant : ‘Istoria dell’Indie orientali, scoperte e conquistate de Portughesi… Venise, 1578, 2 volumes in-4. Cet ouvrage est très rare et très recherché, parce que c’est l’histoire la plus complète de la conquête des Indes par les Portugais. Une partie seulement de cette histoire a été réimprimée à Anvers en 1554. Le premier livre aussi seulement a été traduit en français sous le titre suivant : ‘Le Premier livre de l’Histoire de l’Inde, contenant comment l’Inde a été découverte par le commandement du roi Emmanuel’… Paris, 1553, in-4. » (Bibliothèque universelle des voyages, 1808). « L’Ouvrage de Castaneda porte pour Titre ‘Histoire de la Decouverte & de la Conquete des Indes Orientales par les Portugais. Il a été traduit de leur langue en Français, en Italien & en Anglois. Le But de cet historien a été de conserver la Mémoire des Evénemens dont il parle, qui seraient infailliblement tombés dans l’oubli ; puisque, de son temps, il n’y avait plus que quatre Personnes qui eussent quelque Connoissance de ce qui s’étoit passé dans cette Découverte. On ne doutera pas, qu’il ne fût en état d’écrire cette Histoire, si l’on fait attention, qu’ayant demeuré aux Indes Orientales, il s’y étoit uniquement attaché à recueillir des Mémoires, & avoit vécu familierement avec quantité d’Officiers & autres Gens d’Honneur, qui avoient eu Part à la conquête par leurs Actions ou par leurs Ordres. D’ailleurs il s’était procuré la communication d’un grand nombre de Lettres & de papiers d’importance ; &, à son retour en Portugal, il avait voyagé dans toutes les parties du Royaume, pour découvrir des Acteurs ou des Témoins. Enfin, ce ne fut qu’après avoir passé la plus grande partie de sa vie à rassembler des matériaux, qu’il composa son Histoire. Aussi Faria y Sousa lui donne-t-il le premier rang pour l’exactitude & la Fidélité. » (Bibliothèque britannique ou histoire des ouvrages des savants, t. 24, 1746). « Montaigne a lu l’ouvrage de Castaneda ‘Histoire de la découverte et de la conquête des Indes par les Portugais ». Nous savions déjà que sa bibliothèque contenait une traduction en Castillan du premier des huit livres de Castaneda ; mais il ne lisait pas l’Espagnol. C’est donc très probablement dans l’abrégé français que Goulard donna que Montaigne a pu connaitre l’histoire de Castaneda… Voici trois coutumes et une anecdote qui me paraissent en venir : Montaigne Et au quartier par où les Portugais escornerent les Indes, ils trouverent des estats avec cette loy universelle et inviolable, que tout ennemy vaincu par le roy en presence ou par son lieutenant est hors de composition de rançon et de mercy. (I, 16, t. I, p. 94) En une nation, le soldat qui, en un ou divers combats, est arrivé à présenter à son roy sept testes d’ennemis est faict noble. (I, 23, t. 1, p. 158). Castaneda Cachil disoit la coustume inviolable estre qu’en toutes les batailles esquelles les Roys ou leurs lieutenans se trouvoyent, on faisoit mourir sans aucune remission tous les ennemis qui avoyent attendu le combat ou l’assaut. (L. 14, ch. 15, f. 416). Correa sçeut que quiconque en ces isles peut porter à son Roy à diverses fois sept testes d’ennemis tuez en guerre, il est fait chevalier et gentil homme qu’ils appellent Mandarin ». (L. 14, ch. 15, f. 416). […] Pour le Portugal, Montaigne s’appuie sur « le premier livre de la conquête des Indes par les Portugais », histoire écrite en espagnol par Lopez de Castaneda et dont nous avons vu Montaigne utiliser d’autres parties dans ses ‘Essais’ ». (P. Villey, Les Livres d’histoire moderne utilisés par Montaigne, 1972, p. 105). Précieux exemplaire de ce rare récit de voyage en Inde et au Brésil conservé dans sa reliure signée de Petit successeur de Simier.
[La Havane - Paris / New York - Le Havre], avril 1873 - juillet 1875 / mars 1878 - mars 1879, in-4, petit, 135-[7] pages rédigées à l'encre noire, demi-basane de l'époque, Notes de voyage rédigées en espagnol par Juan Carlos Castaneda (o Castañeda) y Campos, né le 7 septembre 1852 à Cuba, jeune diplômé de Médecine de la faculté de La Havane qui séjourna entre avril 1873 et juillet 1875 à Paris afin d'y poursuivre ses études de Médecine et d'obtenir l'équivalence de ses diplômes ; il fut reçu au doctorat en 1878. Le départ de la Havane pour la France a lieu en avril 1873. - p. 82, octobre 1873 : Castaneda s'inscrit au 12, rue Caumartin, pour un semestre (octobre 1873 - mars 1874) au cours d'anatomie descriptive et dissection du docteur Joseph-Auguste Fort [1835-1920, médecin anatomiste, professeur libre de l'École Pratique] ; ce qui lui coûte la somme de 200 francs. - Demande d'équivalence du baccalauréat auprès du Ministère de l'Instruction publique. - Novembre 1873 : il suit les cours d'histologie de Charles Philippe Robin [(1821-1885), savant micrographe, le père et le propagateur de l'histologie en France] - p. 96 : il obtient un diplôme d'équivalence au diplôme de bachelier français délivré par la Faculté des sciences de Paris en décembre 1873 [transcription en français des lettres échangées]. - p. 105 : en janvier 1874, il obtient la concession des "16 inscriptions de doctorat" auprès de la Faculté de Médecine de Paris et la dispense de trois examens de fin d'année. - p. 108-110 : février 1874, visite de la morgue et de la cathédrale Notre Dame. - pp. 185-189, mars 1878 - mars 1879 : Voyage du Havre à New York, décrit sur 4 pages rédigées très sommairement à l'encre et au crayon, accompagnées d'une carte du trajet réalisé avec la Compagnie générale Transatlantique annotées de quelques observations à l'encre. Il s'agit moins d'un journal que d'un carnet de notes, avec des transcriptions de lettres en français, des brèves informations sur Cuba, la Havane, les visites à Paris et la description de l'organisation et du coût du séjour du médecin à Paris, ses dépenses et ses rentrées. Castaneda y avait pour correspondant M. Legrand, demeurant au 61 rue du Faubourg Poissonnière. L'étudiant est référencé sur la base biographique Pierre Moulinier des étudiants étrangers et femmes reçus docteurs en médecine à Paris (1807-1919), mise en ligne par la BIU Santé. Couverture rigide
Bon petit, 135-[7] pages
Castaneda K. Writings in 3 Books. In Russian (ask us if in doubt)/Kastaneda K. Sochineniya v 3 knigakh.Carlos Cesar Salvador Aranha Castaneda (1925 (either 1931 or 1935) -1998) is an American writer and anthropologist (Ph.D. in anthropology) ethnographer esoteric thinker and mystic and author of bestselling books on shamanism and the presentation of a worldview unusual to Western man. Castaneda himself used the term magic but according to him this concept does not fully convey the essence of the teachings based on the traditions of the ancient and new visions of Toltec the Ways of War. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb87b91eedd203ce31
Gallimard, 1978, in-8°, 278 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins)
Sur une place publique de la ville de Mexico, un homme agonise sous les yeux de Castaneda et de don Juan ; sur une autre place, le présage attendu par le disciple se présente sous les traits d'une belle jeune femme, à la tombée de la nuit. Parcs urbains encombrés de passants et de badauds, marché, restaurant, compagnie d'aviation, tels sont les cadres choisis par le «maître», habillé en citadin, pour libérer progressivement son disciple des contraintes de la raison et pour lui faire assumer pleinement sa condition de «guerrier». Confronté à des expériences inexplicables mais convaincantes, Castaneda franchit les étapes qui séparent le «guerrier» de «l'homme de connaissance». À la fin du récit, quand don Juan dévoile l'explication des sorciers, en analysant les principales expériences que l'auteur avait vécues dans les précédents ouvrages, l'apprenti deviendra sorcier lui-même, dans un dénouement terrifiant et surprenant. Castaneda déploie les ailes de sa perception et franchit les portes de l'inconnu, pour lequel il n'y a plus d'explication. Car malgré tous les éclaircissements, les actions merveilleuses des sorciers ne seront pour le lecteur que des histoires, des «histoires de pouvoir».
Gallimard Broché D'occasion bon état 01/01/1980 100 pages
Castaneda K. The warrior traveller. In Russian (ask us if in doubt)/Kastaneda K. Voin-puteshestvennik.Selected Articles Issue 1. Minsk Plamya 1998. 160 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbac1fc1e1f7341c29
Gallimard, 1982, in-8°, 292 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins). Edition originale française (il n'est pas mentionné de grands papiers)
Depuis le jour où l'étudiant en ethnologie Castaneda a rencontré pour la première fois le maître Juan Matus, le chemin parcouru a été très long à la fois dans l'espace, dans le temps et par-delà l'espace et le temps. De ce voyage vers la tierce attention, nous ne possédions jusqu'ici que des jalons épars – les ouvrages où Castaneda retraçait les expériences vécues par le disciple, telles que celui-ci les avait ressenties dans l'instant. Avec Le don de l'Aigle, l'apprenti passé maître a enfin la possibilité de prendre un certain recul par rapport au vécu et de jeter sur l'ensemble de son cheminement un regard qui intègre contradictions apparentes et incertitudes. Don Juan n'apparaît plus soudain comme un maître exceptionnel isolé mais comme le maillon d'une longue chaîne, un Nagual parmi d'autres Naguals, choisi par son benefactor pour constituer un clan de guerriers, réceptacle d'une tradition ancienne, et chargé de transmettre à un autre Nagual la règle qui est une carte – le don de l'Aigle.
P., Retz, 1980, pet. in-4, br., couv. ill., 221 pp. (DE5)
L'auteur est un anthropologue qui a consacré sa thèse aux plantes psychédéliques. Cet ouvrage est le second d'une collection conçue par la revue "Question de" dirigée par Marc de Smedt.Traduction et préface de Vincent Bardet et Zéno Bianu. Quelques soulignures au crayon.
Paris Le Soleil Noir 1972 1 vol. broché in-8, broché, couv. verte illustrée à rabats, 331 pp. (petite décoloration en 4e de couverture). Edition originale française sur papier d'édition. Bon état.
Paris, Gallimard Collection Témoins, 1975. in-8, broché, couverture illustrée en couleurs, 278 pp.
Première traduction française. Suite et fin du cycle entamé avec L'Herbe du diable et la petite fumée, Voir et Voyage à Ixlan. Photos sur demande.
Gallimard, 1985, in-8°, 282 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins)
Le feu du dedans n'est pas seulement la reprise et l'approfondissement des notions familières de «voir» et de l'«aigle», cette instance suprême introduite par Castaneda dans Le don de l'Aigle et dont les émanations sont à la fois la source et l'aboutissement de la perception et de la conscience. L'architecture du mythe s'enrichit ici de nouveaux thèmes : l'«impulsion de la terre», le «monde de l'homme», la «tanière de la perception», le «point d'assemblage». Ce dévoilement progressif débouche sur la vision d'un univers remarquablement foisonnant et cohérent. L'évolution de la «connaissance», depuis l'époque des anciens voyants toltèques - prodigieusement doués mais victimes «par fascination» de leurs découvertes - jusqu'à celles des naguals du clan de don Juan, est exposée et commentée tout au long du livre dont elle constitue le contrepoint permanent. En sorte que Le feu du dedans prend souvent l'allure d'un traité du bien et du mal, de la sagesse et de la folie.
Pocket Book. 1988. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur acceptable. 265 pages.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
The dazzling bestseller from Carlos Castaneda. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Simon and Schuster. 1977. In-8. Relié toilé. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 316 pages - livre en anglais - rousseurs et tâches sur les tranches - jaquette absente.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Livre en anglais. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Aurobindo Sri Bach Richard Herbert Jean Hubbard Ron Castaneda Michaël Tara Varenne Jean Rosenzweig Marie Taimni I.K.
Reference : 10076
ISBN : 2710702789
Sand In-4°, reliure ill plein cartonnage éditeur aux couleurs bronze (Bouddha), 436 pages, bel exemplaire;
Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
broché - 15x22 - 246pp - 1980 - collection témoins/ GALLIMARD
Fox Iliana Castaneda Rigoberto Fox Iliana
Reference : 500123075
(2007)
ISBN : 3333297511292
Gallimard Témoins 1981 Gallimard, Coll. Témoins, 1981, 267 p., broché, coins des plats cornés, des pliures sur le second plat, une petite fente de moins d'1cm en bordure du premier plat, bon état pour pour le reste et intérieur bien propre.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
EDITIONS 10/18 N° 1113. 1999. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 259 Pages. Couverture illustrée en couleur.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
"Une voie Yaqui de la connaissance. Traduction de Michel Doury.Preface d4yves Buin. ""Domaine étranger"" dirigé par Jean-Claude Zylberstein. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"
Madrid, "Revista de Archivos", 1928 in-8, 16 pp., portrait, percaline bleue, premier plat de couverture conservé (reliure de l'époque). Etiquette et ex-libris Amadeo de Launet. Ex-libris Archives et bibliothèque du marquisat de Beauvau.
Contient une bibliographie des ouvrages du marquis de Laurencin (1858-1927). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Madrid, Servicio de Publicaciones del Ministerio de Educacion y Ciencia, 1976 in-8, 194 pp., demi-basane bordeaux, dos à nerfs orné de filets dorés, couverture et dos conservés. Etiquette et ex-libris Charles de Launet.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Editions du Soleil Noir 1972 (retirage de 1979), in-12 carré broché, couverture illustrée à rabats, 333 p. (très bon état) Ces entretiens de l'auteur avec Don Juan, un indien Yaqui du Mexique, homme-médecine et chaman, portent sur l'usage du peyotl ; avec Les portes de la perception d'Huxley, c'est un des grands livres du siècle sur la drogue.