NICE. EDITIONS D’ART DE FRANCONY. 1975. IN-4 (25,5 X 33 X 3 CENTIMETRES ENVIRON) DE 220 ET (3) PAGES, RELIURE DE L’EDITEUR A LA BRADEL PLEINE PERCALINE VERT D’EAU, PLAT SUPERIEUR ORNE D’UNE COMPOSITION DE CARZOU ESTAMPEE EN DORE, TITRE DORE SUR DOS LISSE. ILLUSTRE DE 200 + 19 (ADDITIF AU TOME I) REPRODUCTIONS EN COULEURS. PREFACE DE MARCEL BRION DE L’ACADEMIE FRANCAISE. INTRODUCTION A L’OEUVRE PAR PIERRE MAZARS. COMMENTAIRE ARTISTIQUE DES OEUVRES PAR MAGUY FURHANGE. TEXTE TRILINGUE FRANCAIS, ANGLAIS ET ALLEMAND. EDITION ORIGINALE. TIRAGE LIMITE A 700 EXEMPLAIRES NUMEROTES, PLUS 85 HORS COMMERCE. UN DES 300 DU TIRAGE DE TETE, CELUI-CI PORTANT LE NUMERO 27, SOUS EMBOITAGE DE L’EDITEUR DANS LA MEME PRESENTATION QUE L’OUVRAGE LUI-MEME (48 X 36,5 X 6 CENTIMETRES ENVIRON). SANS LA SUITE ANNONCEE DES 6 LITHOGRAPHIES POUR CE TIRAGE, SINON BEL EXEMPLAIRE.
(1958) Barques. Lithographie signée et num. 22/25, 1 feuille 65x48 cm.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1 Carte de vux A.S. (110 x 155), sans destinataire. Très bon état.
Remerciements et vux pour 1973 : " Non, je n'oublierai pas ! ". Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
« Cher Académicien, Comme je suis navré, désolé, désespéré, juste le 26 je prends le TEE pour aller mettre en place mon exposition en Suisse. Le vernissage c’est le 27 Fév. J’aurais voulu aller te féliciter de vive voix pour cet ultime succès Académicien !... ».
CARZOU (Garnik Zouloumian, dit Jean) peintre, graveur et décorateur d’origine arménienne (1907-2000)
Reference : 18C24
Belle correspondance amicale et professionnelle. Dès 1946, il sollicite Yves Brayer afin d’obtenir pour le Salon des « Indépendants », un bon placement de ses toiles. « Ne m’oubliez pas pour le placement. Mon sort est entre vos mains ». La place obtenue l’ayant satisfait, il s’en réjouit, « je te remercie beaucoup pour le placement de ma toile et suis heureux d’être avec toi et les copains ». Cette même année, il lui a donné son vote pour l’Assemblée Générale des Indépendants, et saisi l’occasion pour lui demander s’il ne connait pas un atelier à louer, « je sais que c’est une chose introuvable ». 1949, malade, il n’a pas pu assister au vernissage des Indépendants ni aller à l’exposition d’Yves Brayer, dont la presse a fait écho d’un grand succès. « Tu construis ton œuvre en dehors des chapelles et des mots d’ordres, en toute indépendance et sincérité ». 1954, il lui envoie des photos d’œuvres de son ami Pélégry qu’il aimerait présenter au Salon d’Automne. Pour le faire admettre, il compte sur son soutien. En 1977, Yves Brayer est nommé conservateur du musée de Marmottan, il lui adresse à cet effet, ses félicitations, souhaitant y voir de belles expositions. 1981, il lui recommande vivement son ami Georges Simonka, « peintre de talent », et espère qu’il le fera nommer Sociétaire à l’Académie, « étant donné ton influence et ta position je pense que la chose peut se faire. Simonka le mérite ».
La carte de vœux de 1961 est enrichie d’une charmante appréciation manuscrite « avec mes vœux les meilleurs pour cette nouvelle année ».