Imprimerie des PUF. In-8 broché, 24 p. Table : Hommes d'affaires marseillais pendant la Régence - Le financement des armements maritimes au XVIIIe s. Le cas du Havre. Très bon état.Supplément à la "Revue d'Histoire Moderne et Contemporaine".
Richard (Denis) et Carrière (Elisabeth) - Cabu, illustrations
Reference : 86449
(1975)
Editions du Rocher Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1975 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une photographie en noir et blanc de militaires dans la rue (manifestation du 10 septembre 1974) In-8 1 vol. - 253 pages
Une vingtaine de pages de documents en fac-similés dont des lettres des prévenus 1ere édition, inédit dans cette collection, 1975 Contents, Chapitres : Avertissement au lecteur - Les personnages - Introduction - Compte rendu du procès - Annexe : Ordonnance de renvoi - Dépositions écrites des témoins de la défense - Documents - Au cours de la campagne pour l'élection présidentielle de 1974, 6 000 soldats signent une pétition appelée Appel des 100, demandant l'amélioration des conditions de vie et l'introduction des libertés d'association et d'expression dans les casernes. Le 10 septembre 1974, deux cents soldats manifestent dans les rues de Draguignan en riposte aux sanctions contre les signataires de lappel et aux brimades racistes contre les soldats antillais du régiment. Les « meneurs » sont incarcérés. Le Garm diffuse lappel du Comité de soutien aux soldats emprisonnés signé par des dizaines de personnalités politiques et culturelles. Des dizaines de comités de soldats sont créés. Ils publient, souvent avec laide de sections syndicales CFDT, des journaux clandestins pour leurs casernes. Le 17 décembre 1974, un meeting à la mairie du 6e arrondissement de Lyon est organisé par un Comité de soutien aux soldats victimes de la répression qui coalise une dizaine de groupes dont le Garm. En novembre 1975, des comités de soldats se transforment en sections syndicales. Le 27 novembre, le ministre de la Défense saisit la Cour de sûreté de l'État pour entreprise de démoralisation de larmée ayant pour but de nuire à la Défense nationale. Cinquante-trois militaires, syndicalistes et militants politiques sont incarcérés. Rentrant en voiture chez eux, à Lyon, Maryvonne Marcoux, militante libertaire, Bruno Mondo Igor et Mimmo Pucciarelli, deux insoumis italiens, sont arrêtés à la frontière suisse en possession de tracts et daffiches anarchistes. Ils sont accusés devant la Cour de sûreté de lÉtat de complot contre lÉtat avec, entre autres, les Lyonnais Armand Creus, membre du comité central de la Ligue communiste révolutionnaire et Gérard Léger, responsable local du Comité de défense des appelés. Des militants, dont Mireille Debard et Bruno Hérail, membres du Garm, sont interrogés et perquisitionnés. Un Collectif lyonnais de soutien aux emprisonnés, dont le Garm est membre, organise un meeting le 20 janvier 1976 à la Bourse du travail de Lyon. Le dernier inculpé est libéré le 5 mars 1976. Un non-lieu est prononcé le 25 août 1978. Des débats ont agité tout léventail du monde politique et sont une des prémisses de la suspension de la conscription et du passage à la seule armée de métier. En dépit de lengagement de certaines de leurs sections locales, en particulier à la CFDT, les confédérations syndicales et les partis socialiste et communiste se démarquent de tout antimilitarisme. Ils refusent un soutien sans ambiguïté et suffisant pour que dautres syndicats de soldats soient créés. Petit à petit, les comités de soldats séteignent. (source : Wikipedia) couverture legerement jaunie, avec une legere trace de pliure au centre du plat dans la longueur, sans gravité, intérieur propre, papier à peine jauni, petite tache au coin supérieur de la derniere page, rien de grave, cela reste un bon exemplaire - format de poche
Monaco, Editions du Rocher, 1975 in 12 format poche
Illustrations de Cabu. Bon exemplaire.