Paris, Imprimerie de Cosson, 1833. In-16 de (2)- 30 pp., demi-basane havane, dos lisse, initiales dorées M. P. frappées en pied (reliure moderne).
Édition originale. Les 11 et 12 décembre 1833, les dirigeants de la section parisienne de la Société des Droits de l’Homme, accusés d'avoir préparé une émeute en juillet à la date anniversaire des Trois Glorieuses, sont jugés lors du « procès des vingt-sept ». Tous les accusés, parmi lesquels se trouvaient Raspail, furent acquittés. Mais la Société fut dissoute.
Hachette, 1934, pt in-8°, 244 pp, broché, couv. illustrée, bon état
"M. le lieutenant-colonel Henri Carré vient de consacrer à la Duchesse de Bourgogne un ouvrage d'une belle tenue littéraire. Malgré sa vénération pour son héroïne, il n'est guère parvenu à rendre celle-ci sympathique. De son livre se dégage une figure juvénile, gracieuse, plaisante, assez semblable à celle que laissa, dans l'histoire de la cour de Louis XIV, Madame (Henriette d'Angleterre), duchesse d'Orléans, mais bien plus futile encore, bien plus superficielle et bien moins touchante ; car, au contraire d'Henriette d'Angleterre, Adélaïde de Savoie ne possédait aucune culture d'esprit, n'avait d'autre goût que celui du plaisir, n'était capable de rendre à la couronne aucun service d'ordre politique. Tandis que la première eut de sérieuses raisons de mépriser son époux, la seconde trompa le sien, qui péchait par excès de vertu, sans motifs vraiment plausibles. La grande gloire d'Adélaïde de Savoie consista, en définitive, à avoir pris tout le cœur de Louis XIV, éveillé en celui-ci la fibre paternelle qui n'avait guère vibré, avant sa venue à la cour. Elle était fille de Victor-Amédée II, duc de Savoie, et d'Anne d'Orléans, princesse française. Elle atteignait l'âge de onze ans quand le roi de France négocia son mariage avec son petit-fils, le duc de Bourgogne à peine adolescent, dans le but d'empaumer le Savoyard plutôt enclin à soutenir les intérêts de l'Autriche. La petite princesse, dotée par Sa Majesté de 200.000 écus d'or, survint en France dans un éclat d'apothéose. Elle n'était point belle à proprement parler, mais intelligente, rieuse, mignoteuse et, d'instinct, diplomate. Elle sut, tout de suite, en le cajolant, émouvoir le vieux souverain, apprivoiser la coriace marquise de Maintenon qu'elle appela sa tante. On la mit, pour achever son éducation, au couvent de Saint-Cyr, mais elle n'y apprit guère que balivernes. Elle entrevoyait, de temps à autre, son fiancé, le duc de Bourgogne, prince dont le duc de Beauvilliers, son gouverneur, et Fénelon, son précepteur, entraînaient si fâcheusement l'esprit vers la dévotion qu'ils étouffèrent, sous celle-ci, tous ses dons. Elle l'épousa en décembre 1697, chapitrée par Mme de Maintenon. Elle fut vivement aimée de cet adolescent virginal qui connut, pour la première fois, par elle, les délices de la chair. L'aima-t-elle ? On en peut douter. Avec les années le duc, dégénéré au physique, devint quasiment bossu, tourna vers l'ascétisme, prit dans les affaires militaires fort importantes qui lui furent confiées, une figure lamentable de vaincu. Il ne lui fit pas honneur. A ce docte en toutes sortes de sciences, à ce bigot, toujours en oraisons et toujours prêchant, qu'elle ne pouvait endurer dans sa couche, elle préféra le marquis de Nangis, beau comme un berger de l'Astrée, et même le marquis de Maulevrier, un fol, qui se suicida pour elle. M. le lieutenant-colonel Henri Carré tient, dans son livre, avec complaisance et agrément, la gazette des divertissements de son héroïne, choqué parfois cependant de découvrir tant de puérilité dans l'esprit de cette princesse. La duchesse de Bourgogne fut grande joueuse, gaspillant des sommes immenses les cartes en mains ; elle fut également ardente danseuse de ballets et de mascarades et furieuse chasseresse ; dans les derniers temps de sa vie, elle osa même monter sur les tréteaux de la cour et y interpréter des rôles de comédie. Le goût de la maternité ne l'animait guère ; elIe eut, par ses imprudences, de nombreuses fausses-couches. Le dernier de ses enfants, le duc d'Anjou, survécut seul de tous les héritiers de Louis XIV et devint le roi Louis XV..." (Emile Magne, Mercure de France, 1934)
Hachette, 1955, pt in-8°, 244 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée, bon état
"M. le lieutenant-colonel Henri Carré vient de consacrer à la Duchesse de Bourgogne un ouvrage d'une belle tenue littéraire. Malgré sa vénération pour son héroïne, il n'est guère parvenu à rendre celle-ci sympathique. De son livre se dégage une figure juvénile, gracieuse, plaisante, assez semblable à celle que laissa, dans l'histoire de la cour de Louis XIV, Madame (Henriette d'Angleterre), duchesse d'Orléans, mais bien plus futile encore, bien plus superficielle et bien moins touchante ; car, au contraire d'Henriette d'Angleterre, Adélaïde de Savoie ne possédait aucune culture d'esprit, n'avait d'autre goût que celui du plaisir, n'était capable de rendre à la couronne aucun service d'ordre politique. Tandis que la première eut de sérieuses raisons de mépriser son époux, la seconde trompa le sien, qui péchait par excès de vertu, sans motifs vraiment plausibles. La grande gloire d'Adélaïde de Savoie consista, en définitive, à avoir pris tout le cœur de Louis XIV, éveillé en celui-ci la fibre paternelle qui n'avait guère vibré, avant sa venue à la cour. Elle était fille de Victor-Amédée II, duc de Savoie, et d'Anne d'Orléans, princesse française. Elle atteignait l'âge de onze ans quand le roi de France négocia son mariage avec son petit-fils, le duc de Bourgogne à peine adolescent, dans le but d'empaumer le Savoyard plutôt enclin à soutenir les intérêts de l'Autriche. La petite princesse, dotée par Sa Majesté de 200.000 écus d'or, survint en France dans un éclat d'apothéose. Elle n'était point belle à proprement parler, mais intelligente, rieuse, mignoteuse et, d'instinct, diplomate. Elle sut, tout de suite, en le cajolant, émouvoir le vieux souverain, apprivoiser la coriace marquise de Maintenon qu'elle appela sa tante. On la mit, pour achever son éducation, au couvent de Saint-Cyr, mais elle n'y apprit guère que balivernes. Elle entrevoyait, de temps à autre, son fiancé, le duc de Bourgogne, prince dont le duc de Beauvilliers, son gouverneur, et Fénelon, son précepteur, entraînaient si fâcheusement l'esprit vers la dévotion qu'ils étouffèrent, sous celle-ci, tous ses dons. Elle l'épousa en décembre 1697, chapitrée par Mme de Maintenon. Elle fut vivement aimée de cet adolescent virginal qui connut, pour la première fois, par elle, les délices de la chair. L'aima-t-elle ? On en peut douter. Avec les années le duc, dégénéré au physique, devint quasiment bossu, tourna vers l'ascétisme, prit dans les affaires militaires fort importantes qui lui furent confiées, une figure lamentable de vaincu. Il ne lui fit pas honneur. A ce docte en toutes sortes de sciences, à ce bigot, toujours en oraisons et toujours prêchant, qu'elle ne pouvait endurer dans sa couche, elle préféra le marquis de Nangis, beau comme un berger de l'Astrée, et même le marquis de Maulevrier, un fol, qui se suicida pour elle. M. le lieutenant-colonel Henri Carré tient, dans son livre, avec complaisance et agrément, la gazette des divertissements de son héroïne, choqué parfois cependant de découvrir tant de puérilité dans l'esprit de cette princesse. La duchesse de Bourgogne fut grande joueuse, gaspillant des sommes immenses les cartes en mains ; elle fut également ardente danseuse de ballets et de mascarades et furieuse chasseresse ; dans les derniers temps de sa vie, elle osa même monter sur les tréteaux de la cour et y interpréter des rôles de comédie. Le goût de la maternité ne l'animait guère ; elIe eut, par ses imprudences, de nombreuses fausses-couches. Le dernier de ses enfants, le duc d'Anjou, survécut seul de tous les héritiers de Louis XIV et devint le roi Louis XV..." (Emile Magne, Mercure de France)
France-Empire, 1953, pt in-8°, 317 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état
Mémoires de Paul Carré, quartier-maître à bord du croiseur léger le "Fantasque". — "Les Levriers de la Mer est le surnom du célèbre trio "Fantasque", "Malin" et "Terrible", les croiseurs légers les plus rapides du monde, fierté de notre marine de 1939, sans rivaux dans les marines étrangères. L'auteur, Paul Carré, était quartier-maître à bord du "Fantasque". Trois années durant, parcourant 69.000 miles, soit plus de trois fois le tour de la terre, il a vécu l'épopée de ces "lévriers" effectuant à grande vitesse des raids ahurissants dans les eaux ennemies, jusqu'au fond de l'Adriatique et en mer Egée, bombardant des objectifs terrestres, détruisant des convois fortement protégés et luttant avec succès contre l'aviation adverse. Il décrit l'ambiance des postes d'équipage, les longues veilles contre l'affût des canons, la monotonie des patrouilles épuisantes et l'excitation des actions fulgurantes. Il fait revivre avec émotion les heures lourdes de Dakar et cruelles de Casablanca, les bordées joyeuses au hasard des escales, l'accueil chaleureux des Etats-Unis et l'exaltation des débarquements libérateurs."
Hachette, 1955, in-8°, 254 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée, bon état
Biographie de Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars (1721-1764) — "Des livres de ce genre, composés pour l'agrément du public, ne peuvent être et ne sont pas des livres d'érudition. Ils ne peuvent valoir que par l'agencement, la disposition, l'ordonnance de l'exposé, et par la façon dont l'auteur met en vedette son héros ou son héroïne. Sous ces réserves, on peut affirmer que cette biographie de Mme de Pompadour est un des modèles de ce genre hybride. A cette marquise tout est rapporté. C'est elle qui mène la lutte contre le Parlement rebelle, effectue le renversement, des alliances pour se venger des quolibets injurieux de Frédéric II, fait et défait les ministres pour des raisons personnelles, est la créatrice de l'Ecole Militaire ! etc., etc. Il faut reconnaître que l'auteur a fait tous ses efforts pour rendre sa narration agréable : beaucoup de citations en prose et en vers de mémorialistes et satiriques contemporains, forme soignée, assez vive et pittoresque d'où sont à peu près totalement absentes les fautes de gout et la vulgarité. On tiendra compte aussi, de la prudence et de la modération manifestées par M. Carré dans ses jugements. Pour Mme de Pompadour, il reste à égale distance de la rigueur excessive des Goncourt et de l'indulgence de Nolhac. Seuls les frères Pâris ne trouvent pas grâce devant lui : il n'a vu en eux que les « partisans s 'enrichissant par les fournitures aux armées » ; ils furent autre chose, en particulier Pâris-Duverney qui est, lui le véritable créateur de l'Ecole Militaire." (Louis André, Revue d’Histoire moderne et contemporaine)
Rennes, Duchesne, 1821. In-8 de (8)-7-VIII-440 pp. 3 tableaux repliés, 64 pp., demi-basane brune, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin vert, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Édition originale revêtue de la signature autographe de l'auteur en regard du titre. Traité d'administration ecclésisatique établi sous la Restauration afin de renseigner sur 1° les fonctions, droits et devoirs des curés, desservans et autres personnes ecclésiastiques ou laïques relativement à l'exercice du culte (rôle de médiateurs des curés) 2° l'organisation, les biens, les droits, l'administration et les procès des fabriques. Table analytique des matières avec leurs définitions dans une pagination séparée. Avocat sous l'Empire spécialisé dans les procès militaires et politiques, Guillaume-Louis-Justin Carré (1777-1832) ouvrit une école de droit privée et collabora à un conseil de jurispridence charitable. Choisi comme conseiller à la cour d'appel de Rennes pendant les Cent-Jours, il revint à la Faculté sous la seconde Restauration et continua par ailleurs à plaider. Halpérin, Dictionnaire historique des Juristes français, p. 164.
Paris H. Piazza 1939 -in-8 broché sous emboitage un fort volume, broché in-octavo (paperback in-octavo) (16,5 x 22,6 cm), sous couverture rempliée dans sont étui cartonné, dos et couverture crème imprimés en vert, couverture rempliée illustrée en couleurs par Léon CARRE (cover printed and illustrated), toutes tranches non rognées (all edges no smooth), Edition Numérotée, tirage limité à 1100 exemplaires, un des 900 Exemplaires sur papier Vélin de rives(N°287) avec suite en noir des illustrations de Léon CARRE sur Hollande Van Gelder, orné de nombreuse illustrations in et hors-texte en couleur par Léon CARRE, 271 pages + (3) f. (notes, table, justificatif de tirage), 1939 Paris l'Édition d'Art H. Piazza Editeur,
Pierre Benoit, né le 16 juillet 1886 à Albi (Tarn) et mort le 3 mars 1962 à Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), est un écrivain français, membre de l'Académie française, dont les romans d'aventures, au premier rang desquels L'Atlantide, ont connu un succès considérable dans la première moitié du XXe siècle.........Léon Carré, né Léon Georges Jean-Baptiste Carré à Granville le 23 juin 1878, et mort à Alger le 2 décembre 1942, est un peintre et illustrateur français........Bel Exemplaire........en trés bon état (very good condition). en trés bon état
PUF, Politique d'aujourd'hui, 1982, 270 pp., broché, tampon de service de presse sur la tranche latérale, plis de lecture sur le dos, état correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Paris, Editions Georges Girard 1930. In-12 broché de 98 pages au format 19,5 x 14,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré, très légèrement insolé. Plats et intérieur frais. Préface de Gustave Kahn, suivi d'une étude de Georges Turpin. Portrait de Raoul Carré en frontispice, par Denis Valvérane. Contient 56 reproductions de tableaux et de dessins, en noir, avec en fin d'ouvrage des extraits de presse consacrés à Raoul Carré, suivis d'une liste des principales expositions de peintre. Un des 995 exemplaires numérotés sur alfa bouffant ( n° 235 ), seul grand papier, après 5 japon. Edition originale. Exemplaire enrichi d'une double dédicace autographe, signée et datée, de Raoul Carré et Georges Turpin au peintre Gabriel Rousseau. Belle provenance.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Gallimard/Julliard, 1977, in-12, 218 pp, 8 cartes dans le texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Archives)
Et s'il y avait, en deçà des empires d'autrefois, des royaumes d'hier et des Etats de demain, une histoire de la Palestine ? C'est à la retrouver que s'attache cette évocation par les textes, avant l'occupation de 1967, avant la partition de 1948, pour comprendre l'explosion du mouvement national provoqué depuis dix ans par ce que les Palestiniens ont ressenti comme une "invasion sioniste". Une foule de textes, pour la première fois réunis, et souvent pour la première fois traduits (du document officiel à la poésie militante) raconte les grandes espérances et les grandes épreuves. Par un expert des deux côtés reconnu, un dossier qui se voudrait éloquent, utile, efficace.
La Table Ronde, 1947, in-8°, 384 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, bon état (Grand Prix Gobert de l'Académie française 1948), envoi a.s.
Un bon travail d'historien, s'appuyant principalement sur les écrits de Carnot (1753-1823). Mathématicien, physicien, général et homme politique, membre de la Convention nationale et du Comité de salut public, il fut celui qui sauva la France et qui mis en place la structure militaire que Bonaparte utilisera et perfectionnera par la suite. Il est surnommé « L'Organisateur de la Victoire » ou « Le Grand Carnot ». Le livre fait ressortir la force de travail, la rigueur et le sens de l'organisation de Lazare Carnot.
P., Editions Alsatia, 1946, pt in-8°, 187 pp, 12 gravures hors texte, broché, dos lég. abîmé, sinon bon état, envoi a.s.
Louis-Robert-Hyppolyte de Brebant, comte de Plélo (1699-1734), fut ambassadeur de France au Danemark en 1729. En 1734, à la tête de 1600 Français, il se porta au secours de Stanislas Leczinski réélu roi de Pologne et assiégé dans la ville de Dantzig par 30.000 Russes. Il fut accablé par le nombre et mourut le corps percé de balles...
Gallimard, 1927, in-12, 290 pp, 2 portraits de Goethe hors texte, reliure demi-basane mordorée, dos à 5 nerfs orné de fleurons, pièce de titre basane carmin, couv. conservée (rel. de l'époque), bon état (Coll. Vies des hommes illustres)
Hachette, 1949, pt in-8°, 250 pp, reliure demi-basane carmin, dos à 4 double-nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. conservées, bon état
Périgueux, 1876, in-12, iii-131 pp, broché, trace de mouillure ancienne, envoi a.s.
P., Fischbacher, 1919, In-4, br., XXI-175 pp., couverture illustrée par Léon Carré.
Edition originale tirée à 100 exemplaires; celui-ci est un des 40 sur Vergé.Lettre autographe signée de J.M. Carré à Monsieur Adam. Recueil de lettres ( 1914 à 1918), Vers, Essais et fragments ( A la manière de Kipling, Péguy, des Détraqués, etc...).
Journaux de l’époque, Paris 1893.
Un volume in-8°, reliure rigide percaline couleur rose. Il s’agit d’une sorte de dossier où sont reliés environ 150 feuillets sur lesquels sont contre-collées des coupures de presse provenant de la pluspart des journaux de l’époque ((1893) où paraissaient des critiques de spectacles. La plupart de ces critiques sont identifiées (nom du Journal et nom du rédacteur: BANNIERES / BARE / BAUDE / BAUER / BENES / BERNARD / BERNHEIM / BERTAL / BERTIN / BLASIUS / BOISARD / BOIS-ROGER / BOURGEAT / BOYER / BRUNEAU / CHARLOT / CHEVALIER / CORNEAU / COTTENS / CROZE / D'AGENAIS / DARCOURS / DAUDET-ROCHERAY / DAYROLLES / DELILIA / DES TOURNELLES / D'HAILLY / D'ORSEL / DURET-HOSTEIN / DUTILH DE LA TUQUE / EDDIE / FOUQUIER / FOURNEL / FRIMOUSSE / GAILLARD / GUILLEMOT / JAHYER / JALIN / JONCIERES / JULLIEN / KERST / LAUDRODIE / LEFEVRE / LEMAIRE / LEMON / LE SENNE / MANGIN / MARCELLO / MARET / MARSANGE / MARTEL / MAYER / MORTIER / NOBODY / O'MONROY / PESSARD / PHALENE / PLAANES / POPOFF / RENE-BENOIST / RIAMEL / RICHE / RIGOLETTO / ROGER / ROZEL / ST REMY D'ALAZAC / SARCEY / SERGENT / SERPETTE / SERPH / STOULLIG / TAMPONIN / VALERE / VERON / VITU / YVEL / ZANETTO. L’oeuvre en question , signée Michel CARRÉ, Paul HUGONNET et Edmond MISSA eût apparemment beaucoup de succés. Il s’agit d’une pantomime, genre dramatique musical et mimé très prisé à cette époque, sur le thème permanent des hostilités avec l’ALLEMAGNE et de la revanche espérée par la FRANCE. Un ‘HÔTE” prend pension dans un famille habItant une zone frontalière entre les deux pays. Il séduit toute la famille et en particulier la jeune ROSE. Malheureusement il s’abit d’un espion venu relevers les plans des ouvrages de fortification; il sera tué, mais la jeune ROSE aussi (par erreur)...L’Auteur principal Michel CARRÉ, dit MIchel CARRÉ fils (1865-1945) eût une oeuvre importante en matière de grands spectacles populaires: plusieurs dizaines de pantomimes, de livrets d’operettes et même des films de courts métrage muets. Exemplaire contenat deux photos contre collées. En TRES BON ETAT.
BARRUCAND Victor / CARRE Ketty / RACIM Mohammed / ANTONI Louis / ASSUS A. / BOUVIOLLE Maurice / CARRE Léon / CAUVY Léon / CHEVALIER Henri / CHEVALIER Etienne / DE BUZON Marius / DESHAYES Eugène / FERNEZ Louis / FERRANDO Auguste / FRAILONG Pierre / HERZIG Edouard / LINO G. / MAINSSIEUX Lucien / NICOLAÏ Paul / NOAILLY Francisque / NOIRE Maxime / RANDAVEL Louis / REYNAUD M. / RIGOTARD Alex / ROCHEGROSSE Georges-Marie / SINTES Joseph / SUREDA André
Reference : 113129
Arthaud Rey Grenoble B. Arthaud, Successeur des Editions J. Rey, Grenoble, 1930 (copyright), brochés, environ 33x25cm. Tome 1 : 86 p., exemplaire numéroté 1011 (l'un des 3050 sur vélin). Tome 2 : complet des 24 planches, chacune sous chemise papier (un petit manque en bordure de l'une d'entre elle), exemplaire numéroté 964 (l'un des 3050 sur vélin). Couvertures en mauvais état. De petits défauts sur 2 planches (petits frottements sur le bord externe de l'illustration par Antoni et 4 trous de punaise et petits cercles de rouille apparentés dans les coins de l'illustration de Noailly). Sinon intérieur propre.
Couvertures de Ketty Carré et Mohammed Racim. Hors-texte de Louis Antoni, A. Assus, Maurice Bouviolle, Léon Carré, Léon Cauvy, Henri Chevalier, Etienne Chevalier, Marius de Buzon, Eugène Deshayes, Louis Fernez, Auguste Ferrando, Frailong Pierre, Edouard Herzig, G. Lino, Lucien Mainssieux, Paul Nicolaï, Francisque Noailly, Maxime Noiré, Louis Randavel, M. Reynaud, Alex Rigotard, Georges-Marie Rochegrosse, Joseph Sintès, André Suréda. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Association mémoires / Jean-Marie Carré. 1994. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 172 pages - quelques fac similés en noir et blanc hors texte - envoi de Jean-Marie Carré sur la page de faux titre (photo disponible).. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Préface de Dominique Natanson. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
BERNOULLI - DE LA HIRE - BOULDUC - LE MARQUIS DE L HOPITAL - VARIGNON - PERE DE FONTENAY - CASSINI - HOMBERG - DU VERNAY - LITTRE - CARRE - MARCHANT - DODARD - DE TSCHIRNAUSEN - SAUVEUR;
Reference : 110030
A Paris, chez Gabriel Martin, Jean-Bapt. Coignard & Hippolyte-Louis Guérin, ruë S. Jacques, Avec Approbation et Privilege du Roi, 1743, 1 volume in-4 de 260-195 mm environ, 1f.blanc viij-142-384 pages 1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve d'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièce de titre maroquin bordeaux, orné de caissons à fleurons et feuillages dorés, double filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. Quelques feuilles brunies, frottements et petites craquelures sur le cuir, un mors fendu sur 4 cm, petites déchirures sans manque p. 308 et 382. Contient 14 planches dépliantes et de nombreuses figures dans le texte.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
[Carré] - Lehuraux (Capitaine), [Carré (Léon), illustré par]
Reference : 10259
(1934)
Alger éditions Baconnier 1934 Un volume in-8 carré plein maroquin vert sous étui cartonné vert, dos lisse, titre doré, médaillon orné et double encadrement au noir sur les plats, tranche de tête décorée, couverture conservée, 202 pages et tables, illustrations de Léon Carré et 24 hors-texte en héliogravure. Etui frotté, néanmoins bel exemplaire (n°255), l'un des 500 sur Pur fil Lafuma, bien complet de sa planche hors-texte en couleurs.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Studio de Design Alain Carré 1988 1 vol. broché in-8 carré, broché, 47 pp., nombreuses reproductions en noir et en couleurs. Textes en français, anglais et allemand. En très bonne condition.
Piasa/Artcurial, Paris, mardi 10 décembre 2002. In-4, broché sous couverture illustrée en couleur, 158 pp. Raoul Dufy - Robert Delaunay - Pierre Bonnard - Fernand Léger - Diego Giacometti - Marcel Gromaire - Nicolas de Staël - Alexander Calder - Jean Hélion - Francisco Borès - Auguste Herbin - Maurice Estève - André Lanskoy - ...
Nombreuses illustrations en noir et en couleur in texte et planches couleur en hors-texte.Le montant des adjudications a été inscrit sur nombre de numéros du catalogue. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Paris, Editions d'Art H. Piazza, 1939, 1 volume in-8 de 230x165 mm environ, 271 pages, (3) f. (notes, table, justificatif de tirage), sous couverture rempliée illustrée dans sont étui cartonné. Exemplaire N° 170/1100, un de 160 exemplaires sur Hollande Van Gelder, numérotés de 41 à 200, contenant une suite en noir des illustrations de Léon CARRE. Etui insolé, plis de lecture et frottements sur le dos, légère tache p. 196, quelques plis sur les planches de la suite, sinon bon état.
Pierre Benoit, né le 16 juillet 1886 à Albi (Tarn) et mort le 3 mars 1962 à Ciboure (Pyrénées-Atlantiques), est un écrivain français, membre de l'Académie française, dont les romans d'aventures, au premier rang desquels L'Atlantide, ont connu un succès considérable dans la première moitié du XXe siècle.Léon Carré, né Léon Georges Jean-Baptiste Carré à Granville le 23 juin 1878, et mort à Alger le 2 décembre 1942, est un peintre et illustrateur français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Piazza, 1924 ; in-4, large demi-chagrin bleu saphir à bandes, titre doré à la japonaise, couverture illustrée conservée ; 12 riches hors-texte et décoration de l’ouvrage par Léon Carré.
Premier tirage de cet ouvrage raffiné qui traite des pierres précieuses et des bijoux qu’elles accompagnent, de leur histoire, leur quête, les légendes, effets magiques ou sortilèges de chacune : l’émeraude, le rubis, le saphir, le diamant ; les pierres gravées, leur mystère, magie et superstitions. Ouvrage tiré à deux mille deux cent cinquante exemplaires numérotés, exemplaire d’une grande fraîcheur, en parfait état.
Phone number : 06 60 22 21 35