CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit). CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit).
Reference : 18545
(1922)
Paris EDITION 1922 1 Illustrations originales de CARLEGLE, Préface de Léo Larguier. Paris, L'Edition, 1922, in-4 oblong, broché, couverture imprimée en noir et en rouge, 28 ff. n. ch., 1922, 17 X 24 cm.
CARLEGLE présente avec vérité (qu'elle soit aimable ou cruelle) des chroniques où la Parisienne est le thème principal). Piqures et légères déchirures au dos.
COLETTE (Sidonie Gabrielle). CARLEGLE (Charles-Émile Egli, dit).
Reference : 23109
(1943)
1943 Illustrations de Carlègle. Bruxelles, Éditions de la Mappemonde, 1943, in-4, broché, couverture rempliée illustrée en couleurs
Édition originale du texte de Colette. Premier et unique tirage des vingts dessins de Carlègle dont la reproduction des dessins a été réalisé dans Les Ateliers Duval. Le coloris a été exécuté par Vairel. Tirage limité à 450 exemplaires. Un des 400 exemplaires sur Vélin pur fil. Cet ouvrage, rare et confidentiel, fut imprimé pendant l'occupation en Belgique. Charles-Emile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève (Suisse). Il se rend ensuite à Paris et collabore à de nombreux journaux et revues. Carlègle se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il devient maître-illustrateur et illustre de grands auteurs (Colette, Anatole France, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard... Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Il s'agit des dernières illustrations de Carlègle dont le tirage fut posthume.
BRIFFAUT 1924 1 Paris, G. & R. Briffaut éditeurs, Le Livre du Bibliophile, 1924, petit in-4, couverture rempliée illustrée en couleurs par Carlègle, titre en rouge, 302 pages.
Carlègle illustre avec truculence cette "Belle édition édition recherchée et cotée" (in Carteret T.IV). Sixième volume de la collection "Le Livre du Bibliophile". Tirage limité à 1.000 exemplaires numérotés. Un des 925 exemplaire numéroté sur Vergé Van Gelder Zonen. Charles-Émile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève puis collabore à de nombreux journaux et revues. Carlègle se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il devient maître-illustrateur et illustre de grands auteurs (Colette, Anatole France, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard... Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Couverture légèrement insolée et petites taches, brochage fragile.
DUVERNOIS (Henri). CARLEGLE (Charles Emile Egli, dit Carlègle).
Reference : 1630
(1929)
Paris Henry Babou 1929 In-8 (h. 26,5 cm.), 186-(6) pp. broché, sous couverture rempliée et chemise-étui cartonnée. Edition tirée à 450 exemplaires, celui-ci sur vélin Johannot, troisième papier. 65 gravures sur bois dans le texte.
Bel exemplaire portant un envoi de l'auteur sur la page de faux-titre. Le roman d'Henry Duvernois fut adapté en 1958 au cinéma par Henri Verneuil avec Charles Boyer et Michèle Morgan. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
Cartonnage d'éditeur rouge-bordeaux illustré en couleurs. Petites salissures sur les plats. Rousseurs sur l'illustration du premier plat. Ex-libris sous forme d'étiquette et étiquette d'éditeur sur le contre-plat. Papier bruni. Bel état du contenu orné des planches illustrées en noir et blanc par CARLEGLE.
Paris. Société littéraire de France. 1916. 56 pp. In-8 à l'italienne. Cartonné. Très bon état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE.Album à colorier vierge de couleurs publié alors que le pays était en plein dans la Grande Guerre. Le lecteur savourera certainement les illustration et le texte tournant en ridicule l'ennemi d'alors. Quand bien même le contexte est différent aujourd'hui, il est fort probable que cette histoire vous fasse également sourire.
MAUPASSANT (Guy de). CARLEGLE (Charles Emile Egli, dit Carlègle).
Reference : 2942
(1936)
Paris Librairie des Amateurs - A. Ferroud 1936 Petit in-8 (20 x 14 cm.), 90-(5) pp. broché, couverture à rabats imprimée en couleurs. Edition tirée à 1600 exemplaires, celui-ci est un des 200 sur vélin chamois d'Arches contenant deux états des illustrations dont un en noir.
Quelques rousseurs pâles à la couverture, pages intérieures bien conservées. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
Payot & Cie, Paris 1915, 13,5x20,5cm, broché.
Edition originale, un des 15 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Préface de Maurice Barrès. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur par Paul Jobert en frontispice ainsi que de 107 dessins à la plume de Charles-Emile Carlègle Petits manques en tête du dos, claires décharges de papier adhésif en têtes et en pieds des gardes, sinon agréable exemplaire à toutes marges. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris MORNAY 1935 1 Suivi de La Fin de Psyché, par Claude FARRERE. Illustrations de CARLEGLE. Paris, Mornay, collection "Les Beaux Livres", 1935, in-8, broché, couverture rempliée illustrée, 230 pages.
Tirage limité, exemplaire numéroté sur Vélin de Rives. Pierre LOUYS a tiré de l'Antiquité de nombreux récits, et s'est illustré dans de beaux textes qu'il faisait passer pour des traductions de poèmes antiques perdus. Ici, comme Anouilh, il reprend le mythe de Psyché, la jeune femme condamnée à ne pas voir son amour, Eros, en l'adaptant à notre époque. CARLEGLE illustre, en couleurs, avec beaucoup de fraîcheur et de style ce récit. Infimes usures.
PARIS , Plicque 1928 1 Aquarelles de Carlègle, André Plicque, 1928, in-8, broché, couverture rempliée, couverture illustrée, 275 pages.
Henri de REGNIER (1864 -1936), conteur, romancier et poète de premier plan, est élu à l'Académie française en 1912. La biographie qui lui est consacrée par les Immortels le compare à Valéry et Verlaine. "Critique littéraire également, il tint longtemps le feuilleton littéraire du Figaro. Admirateur de Mallarmé, aux « mardis », influencé par Leconte de Lisle et surtout par José Maria de Heredia dont il épousa, en 1896, lune des filles, Marie (...). Henri de Régnier a composé une uvre originale dans laquelle se rencontrent le Parnasse et le symbolisme." (Notice biographique de l'Académie française). La truculence de Carlègle (1877-1937), dessinateur humoriste suisse, illustrateur, lithographe et graveur sur bois, épouse avec bonheur ce texte à la fois léger et grave. Petites marques.
Ernest Flammarion, Paris 1914, 15x22cm, broché.
Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés et justifiés sur Japon, tirage de tête. Ouvrage illustré de90 dessins en noir et blanc par Carlègle. En préface, un curieux "inédit" de Gustave Flaubert. Très bel exemplaire tel que paru, témoins conservés. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1912-1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Une très petite rousseur dans le cadre. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 19,5x25cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleurs, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
HAVERMANS (Xavier). AURIOL (Georges), BOUTET DE MONVEL (Bernard), BOFA (Gus), , BONFILS (Robert), CARLEGLE (Charles-Émile Egli, dit), DROUART (Raphaël), HERMANN-PAUL (René-Georges), MARTY (André-Édouard), VUILLARD (Édouard)...
Reference : 9084
Paris HAVERMANS 1 Paris, Xavier Havermans, 1921, in-8 broché.
Bel ouvrage réunissant 35 ex libris d'artistes talentueux de l'époque dont George Auriol, Gus Bofa, Robert Bonfils, Bernard Boutet de Monvel, Carlègle, Daragnès, Drouart (Raphaël), Hermann Paul, Marty, Vuillard ... Superbe travail mettant en avant l'esthétique de l'ex libris. Éditon limitée et numérotée. Préface de Georges Lambert.
SOULAGES GABRIEL (1876-1930) CARLEGLE (Charles-Émile Egli dit, 1877-1937)
Reference : 101779
(1921)
1921 Paris, Léon Pichon, 1921, 260x198mm, 214pp., (4), demi-maroquin Bordeaux , dos lisse, tête dorée, gardes et plat en papier décoré, couvertures et dos conservés. Illustré d'en-têtes, vignettes, culs-de-lampes gravés sur bois en noir par Carlègle. Un des 80 exemplaires sur vélin à la cuve des papeteries d'Arches, après 30 japon, comprenant une suite sur chine de 26 épreuves, insérées dans la reliure. Bel exemplaire malgré quelques frottements aux charnières.(101779)
Phone number : +33 1 48 01 02 37
Société littéraire de France, Paris 1925, 14,5x22,5cm, broché.
Edition illustrée de bois gravés originaux de Carlègle, un des 49 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête après 1 Japon à la forme. Notre exemplaire, à l'instar des 50 Japon, est bien complet de sa suite sur Chine des bois gravés. Une petite déchirure recollée en tête du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1851 Dessin à l'encre de Chine, signé en bas à gauche, 1910, 22.5 x 22.5 cm., légende sous le dessin
Charles-Emile Egly dit CARLEGLE (1877-1937) est un dessinateur, humoriste, illustrateur, lithographe et graveur sur bois. Il commence par apprendre la gravure aux Arts Industriels de Genève (Suisse). Il se rend ensuite à Paris et commmence à se faire connaître dans le milieu de la presse en collaborant à de nombreux journaux et revues, dans lesquels sont publiés ses dessins dhumour, dactualité ou non : lAssiette au Beurre, le Rire, la Vie Parisienne, le Sourire . Carlègle acquière rapidement une bonne réputation, et se trouve classé parmi les « humoristes ». Après la guerre de 14-18, il travaille pur des Editions de Luxe et devient maître-illustrateur. Il va illustrer les oeuvres complètes de grands auteurs tels que Anatole France, Montorgueil, Pierre Louÿs, Maupassant, Pierre de Ronsard et bien d'autres. Sociétaire des humoristes, il participe au Salon d'Automne en 1919. Carlègle est un artiste reconnu, par ses pairs et par les bibliophiles.Des hommes, dans un restaurant, sont attablés quand l'un d'entre eux interpelle "la patronne" pour lui signifier que c'est l"a seconde fois qu'il trouve un cheveu dans les lentilles !" Annotation au verso au crayon bleu "26 Oblt".
( Dessin ) - Charles Émile Egli dit Carlègle - Léo Larguier.
Reference : 17139
(1922)
Paris, L'Edition 1922. In-8 broché à l'Italienne de 58 pages au format 33 x 25,5 cm. Couverture avec titre imprimé en rouge et noir. Dos muet. Plats frais, légèrement insolés aux bords et avec petite auréole blanche au 4ème plat. Intérieur parfait. Préface de Léo Larguier. etoilé rouge. Reproduction en fac-similé des planches illustrées, légendées, par Charles Émile Egli dit Carlègle. Superbes illustrations en noir souvent teintées d'érotisme. Tirage sur vélin d'arches. Rare édition originale, surtout dans un tel état de fraicheur. Livre fragile
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
[Les Editions Pittoresques, Librairie Polytechnique Ch. Béranger] - ESCHOLIER, Raymond ; CARLEGLE [ EGLI, Charles-Emile dit CARLEGLE (1877-1937) ]
Reference : 32397
(1931)
Illustrations de Carlègle, un des 350 exemplaires sur vélin de Rives numérotés, 1 vol. in-4 br., Les Editions Pittoresques, Librairie Polytechnique Ch. Béranger, Paris, 1931, 230 pp.
Bon exemplaire de cette charmante édition (rares rouss.), illustrée par le dessinateur d'origine suisse Carlègle.
Office Central de Librairie / Librairie Molière sans date ( 1905 ). In-8 cartonnage éditeur à l'Italienne de 29 pages au format 29 x 19,5 cm. Dos toilé rouge. Couverture illustrée avec brunissures et petite inscription d'enfant à l'encre de chine ( titre recopié ). 4ème plat avec petites brunissures. Coins avec petits frottis et tassements. Mors intérieur du 1er plat recollé. Intérieur assez frais avec petites rousseurs éparses et petite déchirure sans manque en haut de la page de titre et au bas de la page 9/10. Superbe illustrations de Carlègle sur le texte fantastique de Edmond Cuénoud mettant en scène une voiture dotée d'émotions et d'intelligence. Tirage sur couché. Rare édition originale en assez bel état général. Livre fragile
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
TOULET, P.-J. ; CARLÈGLE [EGLI, Charles-Emile] (illustrations).
Reference : 7462
(1925)
Paris, Chez l'imprimeur Léon Pichon, 1925. 255 x 175 mm, (2) ff. blancs, 199-(7) pp., (2) ff. blancs, illustré de gravures sur bois originales de Carlègle. Broché sous couvertures rempliées, dos et couvertures inégalement insolés et empoussiérés, déchirure en pied du dos (env. 2 mm), intérieur très frais, charnière un peu relâchée, ex-dono au stylo à plume sur faux-titre. Tirage à 585 exemplaires numérotés, ex. N° 359, 1 des 500 exemplaires sur vélin à la forme des Papeteries d'Arches, numérotés de 86 à 585.
A Paris, Editions Mornay / Coll. ''Les Beaux livres'', 1929. Un vol. au format gd in-12 (203 x 154 mm) de 289 pp. Reliure de l'époque de demi-maroquin olive à coins, filets dorés portés sur les plats, dos à nerfs orné de filets gras à froid, titre doré, tête dorée sur témoins, couvertures et dos conservés. (Flammarion).
Exemplaire - qui a conservé ses couvertures papier originelles - est ici revêtu d'une agréable reliure du temps signée Flammarion. Un des 825 exemplaires numérotés du tirage sur vélin de Rives. L'ouvrage s'agrémente - ici en premier tirage - de délicieuses illustrations en couleurs de Carlègle. En peintre subtil des moeurs de la vie de province, dont l'atmosphère se retrouve au coeur de beaucoup de ses histoires, Boylesve livre ici un conte libertin et malicieux écrit d'une plume délicate et légère. Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 776 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 316. Angles élimés. Dos passé. Quelques légers frottements affectant la reliure. Très rares rousseurs dans le texte. Du reste, belle condition.
Dimensions : 307 x 233 (marges incluses).
Joli bois gravé sur vergé avec rehauts à l'aquarelle ; revêtu de la signature autographe en marge inférieure de Carlègle et numérotée 18/50. Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 776 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 316. Petites altérations marginales. Du reste, très belle condition.