Hachette, 1961, in-8°, 272 pp, 15 illustrations et une carte, broché, couv. illustrée, bon état
Sur les pas des légionnaires, la Pax Romana. — « Le peuple romain est le premier qui ait revendiqué comme une mission providentielle le droit de commander à tous les autres peuples. » L'auteur retrace ici les grandes étapes de cet impérialisme qui, depuis Scipion l'Africain, avait engagé Rome dans le terrible engrenage : guerres, conquêtes, pillages... Il appartint à Jules César de rénover l'impérialisme romain et de le justifier en offrant à tous les sujets la réconciliation dans la paix romaine. Ses successeurs poursuivirent cette politique... — "Cette passionnante histoire de Rome et de son destin est évoquée et avec quelle maîtrise par M. Jérôme Carcopino dans son livre Les étapes de l'Impérialisme romain, où se trouvent groupées des études qui, par leur importance, leur originalité et leur solidité, devraient être mises davantage à la portée d'un public élargi. Le lecteur est entraîné par la clarté vivante, l'abondance minutieuse des arguments et des preuves, par ce ton général qui emporte la conviction et qui fait de M. Jérôme Carcopino non seulement un grand savant mais un grand écrivain. (...) Le chapitre où M. Jérôme Carcopino établit qu'Annibal fut en quelque sorte responsable de l'impérialisme romain est de la plus haute importance..." (Bulletin de l'Association Guillaume Budé, 1961) — "Depuis l'apparition du terme « impérialisme » à la fin du XIXe siècle, on s'interroge sur la nature universelle de son concept et sur son rapport avec les guerres et les conquêtes, des réalités de tous les temps. En fait, le phénomène d'expansion territoriale est une réalité constante de l'histoire, un comportement commun des peuples dès la plus haute Antiquité, bien qu'il ait revêtu des formes diverses. Cependant, il a surtout préoccupé l'historiographie au moment où il s'était renouvelé d'une façon massive avec les empires européens du XIXe siècle. C'est alors que fut introduit le terme « impérialisme », dérivé du mot latin impérium... Pour J. Carcopino, l'impérialisme débute avec la deuxième guerre punique, tout simplement parce que Polybe identifie le dessein romain de conquête universelle à partir de cette date." (Ella Hermon, Qu'est-ce que « l'impérialisme romain » pendant la République ?, 1984)
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1931 150 pages
Paris Firmin-Didot 1956 1 vol. broché in-4, broché, couverture verte, 55 pp., portrait-frontispice. Édition originale de cet hommage à André Chaumeix, suivi de la réponse de André François-Poncet. Couverture très légèrement brunie.
Librairie Hachette Relié D'occasion bon état 01/01/1939 348 pages
L Artisan Du Livre Paris 1927 In-8 ( 190 X 130 mm ) de 414 pages, broché sous couverture imprimée. Plans ( dont un dépliant ) et illustration. EDITION ORIGINALE, du Service de Presse ( page de titre datée 1926 ). Minimes défauts à la couverture, bel exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de Jérôme CARCOPINO.
Presses Universitaires de France - P.U.F. Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1967 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une gravure ancienne de Jacob, l'Eglise de la Madeleine à Verneuil In-8 1 vol. - 69 pages
2eme édition de 1967 (la première datant de 1906) Contents, Chapitres : Avant-propos de la 1ere édition (1906), avant-propos de la 2eme édition (1967) - Le document - Sa véracité - La valeur de l'argent à Verneuil en 1777 - Les mesures en usage à Verneuil en 1777 - Procédés culturaux et main d'uvre - Comparaison avec le présent - Conclusion - Pièce annexe - Appendice de Denis Berier - Jérôme Carcopino est un historien (spécialiste de la Rome antique), haut fonctionnaire et homme politique français, né le 27 juin 1881 à Verneuil-sur-Avre (Eure) et mort le 17 mars 1970 à Paris. Il est cousin de l'écrivain Francis Carco. couverture à peine jaunie avec d'infimes rousseurs, intérieur frais et propre, quelques rousseurs sur les pages de gardes, cela reste un bon exemplaire - format de poche
Paris, Albin Michel, coll. « études d’histoire chrétienne I & II » 1965 2 volumes en 1 tome. In-8 20,5 x 13,5 cm. Reliure demi-toile havane, dos lisse orné de filets dorés en tête et en pied, pièce de titre cuir vermillon, couvertures conservées, 307-60 pp., notes en bas de page, 14 figures dans le texte, 13 planches hors-texte - 2 figures dans le texte, 11 planches hors-texte, table des matières à la fin de chaque volume. Exemplaire élégamment relié à l’état neuf.
Très bon état d’occasion
Broché, 20X13 cm, 1925, 90 pages, 6 planches en noir, extrait du bulletin de l'association Guillaume Budé, société d'édition les belles lettres. Bon exemplaire en grande partie non coupé.
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1950 150 pages
X Broché D'occasion bon état 26/03/2021 150 pages
Un vol. petit in-8°, Paris, éditions Flammarion 1958, 6e mille, br. couverture souple illustrée. 222 pp. Avec figures in-texte et photographies noir & blanc hors texte. Cousin de Francis Carco, Jérôme Ernest Joseph Carcopino, Normalien, haut fonctionnaire et homme politique français, était aussi un spécialiste de la Rome antique. Ayant participé au Gouvernement de Vichy, il est emprisonné en 1944 mais la Haute Cour de justice rend un arrêt de non-lieu pour services rendus à la Résistance. On conservera davantage de lui ses travaux d'historiens et d'archéologues que ses activités de haut fonctionnaire pendant les années de guerre.
Où se trouve donc Alésia ? Voici l'ouvrage qui permet de pénétrer au cœur du débat... Et d'en sortir puisque Jérôme Carcopino apporte des preuves définitives tirées de la toponymie, de la topographie, de l'archéologie et notamment de l'étude des monnaies gauloises et romaines. Bon état.
Phone number : 06 71 05 07 87
Paris, Hachette, 1958. In-8, broché, non coupé, 222 pp.
Planches hors-texte. Photos sur demande.
Paris, Hachette, 1961. In-8, broché, 269 pp.
Photos sur demande.
Paris, Le Divan, Collection Saint-Germain-des-Près, N° 12, 1934. In-8, broché, non coupé, 276 pp.
Edition originale numérotée sur Alfa. Bel ex. Photos sur demande.
Hachette, 1960, in-8°, 344 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Jérôme Carcopino recrée dans ces pages la Rome de la fin du 1er siècle, capitale d'un monde qui semble conquis et pacifié pour toujours. Dans le prestigieux décor de la ville de marbre voulue par Auguste, l'on assiste aux principaux moments de la journée des Romains : lever, toilette, occupations professionnelles, repas, fêtes... Le théâtre, le cirque, les thermes, qui tenaient tant de place dans leur vie, y sont reconstitués dans leur atmosphère de plaisir ou de joie cruelle. Epoque charnière où, sous l'influence des mystiques orientales, s'estompent les traditions de la Rome ancienne, tandis que le christianisme s'infiltre dans cette société orgueilleuse que minent déjà les facteurs de décadence...
[Société nationale des Antiquaires de France] - CARCOPINO, Jérôme
Reference : 57385
(1928)
1 brochure in-8, extrait des Mémoires de la Société nationale des Antiquaires de France, T. LXXVII, Paris, 1928, 30 pp.
Bel envoi du célèbre historien (et homme politique) Jérôme Carcopino "à mon cher maître M. Golzer hommage respectueux et bien sincèrement reconnaissant". Superbe provenance ! Bon état (annotations légères au crayon).
Hachette, 1966, in-8°, 345 pp, biblio, notes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Jérôme Carcopino recrée dans ces pages la Rome de la fin du 1er siècle, capitale d'un monde qui semble conquis et pacifié pour toujours. Dans le prestigieux décor de la ville de marbre voulue par Auguste, l'on assiste aux principaux moments de la journée des Romains : lever, toilette, occupations professionnelles, repas, fêtes... Le théâtre, le cirque, les thermes, qui tenaient tant de place dans leur vie, y sont reconstitués dans leur atmosphère de plaisir ou de joie cruelle. Epoque charnière où, sous l'influence des mystiques orientales, s'estompent les traditions de la Rome ancienne, tandis que le christianisme s'infiltre dans cette société orgueilleuse que minent déjà les facteurs de décadence...
Paris, Flammarion, 1963. In-8, broché, 281 pp.
Première édition. Photos sur demande.
Hachette/GLM, 1985, in-8°, 351 pp, préface de Raymond Bloch, notes, biblio, biblio complémentaire établie par Raymond Bloch, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Jérôme Carcopino recrée dans ces pages la Rome de la fin du 1er siècle, capitale d'un monde qui semble conquis et pacifié pour toujours. Dans le prestigieux décor de la ville de marbre voulue par Auguste, l'on assiste aux principaux moments de la journée des Romains : lever, toilette, occupations professionnelles, repas, fêtes... Le théâtre, le cirque, les thermes, qui tenaient tant de place dans leur vie, y sont reconstitués dans leur atmosphère de plaisir ou de joie cruelle. Epoque charnière où, sous l'influence des mystiques orientales, s'estompent les traditions de la Rome ancienne, tandis que le christianisme s'infiltre dans cette société orgueilleuse que minent déjà les facteurs de décadence.
Paris, Hachette, Livres de France, 1964. 18 x 27, 32 pp., illustrations en N/B, broché, bon état.
portrait photographique de l'écrivain en couverture.
1942 hachette 1942 état d'usage très correct 348 pages in 8 broché .
Editions Famot pour François Beauval 1974 état d'usage 463 pages in 4 reliure éditeur skaivertex vert tranche supérieure dorée ,dessin sur premier plat représentant des faisceau de licteurs titre et tomaison or et rouge.coins tres légèrement usés nombreuses illustrations .
P., L'Artisan du Livre, 1947, pt in-8°, 245 pp, un tableau généalogique dépliant hors texte (famille des Caecilii Metelli), broché, soulignures crayon, bon état
"Sylla, selon l'opinion commune, fut un conservateur, ou pour mieux dire un réactionnaire, qui après avoir rendu à la noblesse, par une constitution aristocratique, la puissance qu'elle avait perdue, abandonna la dictature, dès qu'il jugea son oeuvre accomplie, pour terminer ses jours dans la retraite. M. Carcopino s'est convaincu que cette conception est fausse, Sylla travailla à son propre profit : il ne servit pas la noblesse, il s'en servit, il ne voulut pas restaurer l'oligarchie mais fonder la monarchie. (...) Cette thèse est exposée par l'auteur avec ce talent d'écrivain, avec cette érudition précise et ingénieuse qui donnent tant d'attrait et tant de prix à ses ouvrages. Il excelle à conduire le lecteur de déduction en déduction jusqu'au but qu'il veut atteindre et son éloquence force la conviction. Certainement la figure de Sylla, restée énigmatique jusqu'ici, est éclairée d'un jour nouveau, qui lui prête un relief singulier..." (Fr. Cumont, Revue belge de philologie et d'histoire)