Charles Camille PELLETAN (1846-1915) - Journaliste et homme politique français.
Reference : 9227
1 L.A.S. 1 page (209 x 135) + 1 f. bl. sur papier deuil à entête du Sénat, accompagnée de son enveloppe adressée à Armand Charpentier, Vice-président de la Fédération de la Seine, timbre à sec au dos "Sénat, R.F.", non datée. Très bon état.
"Mon cher Charpentier, Je n'ai pas besoin, je pense, de vous recommander les Membre de l'Union Radicale Socialiste du Chemin de Fer de l'Etat. Ils viennent vous demander un service que je ne puis leur rendre, à mon grand regret, forcé que je suis dans mon cabinet pour une fâcheuse indisposition qui dure terriblement. Poignée de Main. Camille Pelletan". Camille Pelletan est sénateur des Bouches-du-Rhône de 1912 à 1915. Il devient membre du Parti radical-socialiste dès sa création en 1901. Armand Charpentier (1864-1949), romancier dreyfusard, vice-président du parti radical-socialiste qu'il quitte à l'automne 1917 pour le parti socialiste. Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
"1879. Paris Maurice Dreyfous éditeur 1879 - Broché demi-chagrin brun 12 cm x 18 5 cm 187 pages - Texte de Camille Pelletan - 2e édition - Nombreuses taches sur les 25 premières pages (sans gêne pour la lecture) et dos légèrement décollé sinon état"
(HUGO) - Raymond ESCHOLIER, et COLLECTIF (Théophile Gautier, Balzac, Camille Pelletan, Charles Hugo, Jules Clarétie, Alphonse Daudet, etc.)
Reference : 13954
(1931)
1931 Paris, librairie Stock, collection Les Grands Hommes, 1931. Édition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur alfa. Ce volume réunit des souvenirs, lettres et documents, accompagnés de résumés biographiques. Il comprend de larges extraits de l'ouvrage d'Adèle Foucher : "Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie", du "Victor Hugo" de Théophile Gautier, des "Lettres à l'Étrangère" de Balzac, ainsi que des textes de Camille Pelletan, Charles Hugo, Jules Clarétie, Alphonse Daudet, etc. In-8 broché de 415 pp. Tranches et bordures des plats piquées, intérieur en très bon état, non coupé.
1880 Paris Maurice Dreyfous éditeur 1880 In12 bradel plein papier pièce de titre 412 pages couvertures conservées - Reliure signée (Armelle Guégant)
Porte la dédicace : "A mon voisin et adversaire Dupuy"
ARMAND COLIN. 1909. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Quelques rousseurs. 201 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
S.D. Pelletan requiert durgence la mise en place dune réforme des impôts afin détablir une meilleure équité entre les contribuables : …Plus on examine les impôts directs dont nous jouissons, plus on sétonne que la France ait pu les supporter si longtemps. Je viens dexaminer minutieusement un certain nombre de sondages (...). Ils indiquent, contribuable par contribuable, limpôt payé aujourdhui à côté du revenu. Il y a des moments où jai été tenté de croire que les impôts étaient tirés au sort. (...) Dans lensemble, la culture [agriculture] est abominablement surchargée [surtaxée]... remarque Pelletan qui voit ...en même temps dans lenquête à laquelle vient de procéder le Parlement anglais, un tableau des revenus complètement exemptés de limpot dans divers pays. On les exempte jusquà 500 francs en Saxe, jusquà 625 au Hesse et au Wurtemberg, jusquà 1925 francs en Prusse et dans le grand-duché de Bade, jusquà 1250 francs en Autriche, jusquà 1350 francs en Hollande, jusquà 2500 francs dans le Queensland, colonie anglaise dAustralie... alors que …Sauf à Paris, (...) la France républicaine, la France démocratique demande toujours limpôt direct aux travailleurs pauvres. Elle ne fait dexception que pour ceux qui sont absolument indigents. (...) Ces chiffres suffiraient à montrer lurgence de la réforme. Elle est assurément désagréable à ceux qui ne paieraient pas leur juste part dimpôt aujourdhui (...). Mais (...) Il faudrait que le suffrage universel fût stupide pour ne pas mettre à la raison, ceux qui croient avorter la grande mesure de justice fiscale promise au pays… Constatant la mauvaise situation dans laquelle se trouvent les ruraux surtaxés, Pelletan se félicite quavec la réforme attendue …Les fermiers ou métayers ne payeront rien en plus, jusquà un revenu de 1250 francs, et seront très largement dégrevés au dessus de ce chiffre. Cest dire que la grande majorité de la population rurale, verra disparaître en totalité la propriété non bâtie, de cote mobilière personnelle, et limpôt des portes et fenêtres. Je ne parle, bien entendu, que de la part de limpôt qui revient à lÉtat et on verra plus tard ce quon peut faire pour les centièmes communaux et départementaux. Il est clair quon ne pourra pas aller aussi loin. Si la même mesure était étendue aux budgets communaux, il y a des villages où il ny aurait plus de contribuables du tout… Quant aux travailleurs urbains, bien que moins écrasés par le système fiscal, ceux-ci devraient aussi tirer un profit de la réforme fiscale. Enfin, il espère que …Si le projet abouti, ce ne sera pas encore limpôt idéal. Lexpérience permettra de corriger les défauts et détails qui pourront sy trouver encore. Mais les résultats essentiels de la réforme seront obtenus…Élu député du Rhône, Camille Pelletan prit place à l'extrême gauche de la Chambre des députés, où il appuya les efforts de Clemenceau. Adversaire des cabinets Gambetta, J. Ferry et Freycinet, il aborda fréquemment la tribune parlementaire, et s'y distingua par ses brillantes qualités dorateur.
Paris, E. Dentu, 1875 in-12, [4]-VIII-284 pp., demi-chagrin citron, dos à nerfs orné de filets et doubles caissons dorés, tête peigne jaspée, couverture conservée (Stroobants). Abondantes rousseurs, mais bon exemplaire.
C'est encore comme journaliste "engagé" et non comme homme politique que Camille Pelletan (1846-1915) donne ce tableau de la première législature de l'Assemblée monarchiste siégeant à Versailles après la Commune. Il se montre alors un des principaux meneurs des républicains intransigeants (avec Clemenceau), contre la tendance "opportuniste" de Léon Gambetta qui finira par l'emporter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Librairie de la Bibliothèque ouvrière [Association générale typographique], 1873 in-16, 160 pp., demi-percaline Bradel verte, couverture conservée (reliure moderne).
Unique édition. C'est l'un des premiers ouvrages publiés de Camille Pelletan (1846-1915), dont la production était jusque lors surtout journalistique (dans La Tribune et Le Rappel). Il devait par la suite effectuer une carrière politique qui le conduisit jusqu'au Sénat. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Paris en 1846. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Paris en 1846. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Paris en 1846. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
Richard Lesclide, Paris 14 janvier 1877, In 8° (17 X 25 cm), broché.
Edition originale. Sous couverture papier bleu, imprimée en rouge et noir. Contributions de : Jose-Maria de Heredia : "L'épée", Camille Pelletan : "Masques politiques : I. M. Ruffet", Théodore de Banville : "Contes pour les femmes", Léon Dierx : "Les aïeux", Léon Cladel : "Le Tombeau-des-Lutteurs (suite)", Adelphe Froger : "L'Ennemi", Catulle Mendès : "Pierre le Véridique (chap VI)", Léon Hennique : "Dans la ruelle de Cydalise", G.D., S.P., K.H., L.P. : "La Semaine". Livraison ornée d'un dessin à la plume de Rodolphe Julian. Correction manuscrite au crayon de la numérotation (Quatrième livraison et non troisième). Infimes taches sur la couverture, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, Dentu, 1875 ; in-12 de [2] ff., viii-284 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs.
Édition originale. L'auteur dresse un tableau de la première législature de l'Assemblée monarchiste siégeant à Versailles après la Commune. Il sera plus tard l'un des meneurs des républicains radicaux (avec Clemenceau) contre la tendance « opportuniste » de Léon Gambetta qui finira par l'emporter. Exemplaire de Louis Barthou (1862-1934) avec ex-libris manuscrit. Louis Barthou s'est engagé aux côtés des républicains modérés ou « opportunistes », à l'inverse de Camille Pelletan. Élu député en 1889, il sera ministre puis Président du Conseil. Ex-libris du bibliophile Lucien Allienne, descendant de George Allienne, imprimeur et libraire du Roi. Frottements aux nerfs et coiffes. Absent du catalogue de vente de la bibliothèque Louis Barthou.
Notice biographique de 4 pages in folio et portrait lithographié par P? - (format 38 x 26 cm marges comprises) - Ensemble extrait du "Panthéon Républicain" publié à Paris chez Fayard en 1874 -
Notice rédigée par O. MONPROFIT - Bon état -
Paul Ollendorff, "Collection Hugolienne" 1907 1 vol. broché in-8, broché, 345 pp. Très bon état, non coupé. Bien imprimé sur vergé.
Paris, Edition de la Société des Amis du Peuple Russe et des Peuples Annexés, 1905, plaquette format 208x136mm, 31 pages, exemplaire en bon état.
Sommaire : Allocution de Ferdinand Buisson , Discours de Camille Pelletan et Discours de Ferdinand Buisson en toute fin d'ouvrage.
Paris, Dreyfous, s. d. (1879) in-12, 187 pp., demi-percaline bleue à la Bradel, dos orné d'une fleur dorée en long (reliure de l'époque). Rousseurs.
Le Quillec, 1942 : "Huit années ont passé et il est désormais possible de publier une étude impartiale sur la Commune. C'est le cas de l'ouvrage de Pelletan, républicain libéral, qui démonte la légende du "complot" du comité central et de l'Internationale, dont la peur "est une maladie qui date de loin"." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Dreyfous, s. d. (1879) in-12, 187 pp., broché. Rousseurs.
Le Quillec, 1942 : "Huit années ont passé et il est désormais possible de publier une étude impartiale sur la Commune. C'est le cas de l'ouvrage de Pelletan, républicain libéral, qui démonte la légende du "complot" du comité central et de l'Internationale, dont la peur "est une maladie qui date de loin"." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
LIBERTALIA EDITIONS
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782377292516
Librairie d'éducation de la jeunesse 1890 in8. 1890. relié.
Bon Etat de conservation cependant couverture ternie intérieur taché de rousseurs mouillure sur tranche - circa 1890
Paris Gaillard In-4 Demi-Toile Satisfaisant
demi toile rouge gaufrée d'éditeur à coins ; 220pp ; ouvrage orné de 43 gravures in-texte et HT
Paris Paul Ollendorf 1907 In-8 Broché Satisfaisant
IV+345pp ; 2ème édition " collection Hugolienne "
Paris Maurice Dreyfous 1879. In-12 187pp 1 feuillet non chiffré table. Demi chagrin rouge, dos à nerfs orné de petits fleurons finement dorés, reliure de l'époque. Rousseurs par endroits. bel exemplaire malgré les rousseurs,bien complet. Reliure de bonne qualité, en très bon état et décorative.
Le Quillec 1942. Etude d'une grande impartialité.