Nouvelles éditions françaises 1965 in8. 1965. Cartonné. 27 volume(s). voir ou demander les photographies des dos pour voir le titre de chaque volume
proche très bon état; sous jaquette rhodoïd intérieur propre bonne tenue qq rousseurs sur les bords et le dos des couvertures
Model and Allied publications 1985 in8. 1985. Broché.
bon état étiquette sur le premier plat intérieur propre
Ernest flammarion in8. Sans date. Broché.
dos abîmé couverture défraîchie charnirèes fragiles tranches fânées intérieur assez propre
Gallimard 1950 in12. 1950. Broché.
sous rhodoïd tranche fanée intérieur propre
Charpentier et fasquelle 1920 in8. 1920. Relié. nombreuses illustrations en noir et blanc
Bon Etat de conservation bords frottés intérieur uniformément jauni
Tissot Jean Lafosse G. Genil-Perrin Cain André Fino André Lian Camille
Reference : 100070020
(1931)
Larousse 1931 in8. 1931. Broché. 5 volume(s). illustrations noir et blanc in et hors texte
Etat correct charnières fragilisées couvertures insolées intérieurs propres jaunis
Gallimard 1958 in12. 1958. Broché.
dos recollé sous rhodoïd couverture défraîchei intérieur jauni propre pages non-coupées sur 1/3 du livre environ
Hans-Ulrich Cain Hannis Gabelmann Dieter Salzmann
Reference : 100095980
(1989)
ISBN : 3805310331
Philipp von Zabern - Mainz am Rhein 1989 539 pages in4. 1989. Cartonné. 539 pages. iconographie en noir et blanc
Bon état tranche un peu ternie intérieur propre bonne tenue intérieur propre
Éditions du Scorpion 1951 in8. 1951. Broché.
dos recollé couverture défraichie rousseurs bords frottés ex-libris mouillure sur la tranche
Ernest flammarion 1969 in12. 1969. Broché. illustrations en noir et blanc
Bon état intérieur propre bonne tenue
Ernest Flammarion in12. Sans date. Broché. 5 volume(s). nombreuses illustrations plans en noir et blanc
Bon état de l'ensemble reliures en bon état qq rousseurs sur tranches intérieurs propres
Le livre de poche policier 1963 in12. 1963. Broché.
couverture défraîchie bords frottés intérieur propre dos un peu creusé
Guenaud 1977 201 pages in8. 1977. broché. 201 pages.
Etat Correct tranche supérieure tachée pages fraîches
Société de gestion de l'encyclopédie française 1939 in4. 1939. Non relié.
Bon Etat
Editions Pac 1977 269 pages in8. 1977. Broché. 269 pages.
Bon Etat jauni légèrement
Gallimard 1955 247 pages in12. 1955. Cartonné. 247 pages. collection série noire n°243
Etat Correct bords frottés dos abîmés aux charnières couverture un peu ternie intérieur uniformément jauni texte net
Guenaud 1977 201 pages in8. 1977. Broché. 201 pages.
couverture frottée intérieur propre
S.n., Paris s.d.[ca 1905], 10,5x13,5cm, 2 pages sur un feuillet double.
Lettre autographe datée et signée de Georges Cain, 16 lignes à l'encre noire à en-tête du musée Carnavalet dont il était le conservateur. Pliures inhérentes à l'envoi postal. "Cher maître et ami. Permettez-moi de me joindre - une fois par hasard ert exceptionnellement - à vos ennemis et de vous importuner en appelant votre bienveillance sur 3 envois fait à la société nationale par Mlle Germaine Kauffmann : portrait 857 Nature morte 858 Paysage 859. Merci d'avance à vous de respectueux attachement. Georges Cain." Georges-Jules-Auguste Cain fut un peintre historique mais aussi un écrivain qui puisa son inspiration dans l'histoire de Paris et de ses monuments. Il fut aussi conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Georges Cain (1853-1919), écrivain, peintre. P.S., 20 avril 1884, 1p in-8 oblong. Reconnaissance de dette d'un certain Couderc qui s'engage à payer, d'ici le 1er mai 1884, cent cinquante francs à Georges Cain. Au dos, signature de Cain pour confirmer qu'il a été payé. [305]
P., Ernest Flammarion, s.d. (v. 1910), pt in-8°, 404 pp, ouvrage orné de 107 gravures anciennes et de 18 plans anciens et modernes dans le texte et à pleine page, reliure pleine toile bleue, dos lisse, pièce de titre basane vermillon, bon état
Fin connaisseur de Paris, l’écrivain et peintre Georges Cain (1856-1919) fut conservateur du Musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
Musée Jacquemart-André " ""Paris, 1965, petit in-8 carré broché, Xpp.-XVIII planches en noir, 165pp.+ feuillets de publicité, Introduction par Julien Cain, Catalogue par Pierre Gorgel. Table : un enfant de la fin du siècle (1889-1913) / De Strawinsky à Radiguet (1913-1924) / De 1924 à 1939 / """"La difficulté d'être"""" 1940-1955) / Rayonnement et testaments (1955-1963). Catalogue de cette exposition rétrospective comprenant plus de 600 entrées décrites et annotées (manuscrits, livres, photographies...), index in fine. Très légères rousseurs sur les tranches et le second plat de couverture. Petite note dactylographiée de Georges Cain, signée de sa main, à l'en-tête de l'institut de France / Musée Jacquemart André."""
Nouvelles Éditions Séguier, 1992. In-8 br. Importante biographie de James M. Cain. E.O.
P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924, 2 vol. in-12, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, brochés, couv. illustrées, bon état
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)
P., Ernest Flammarion, s.d. (1907 et 1924), 2 vol. pt in-8°, 404 et 416 pp, 242 gravures dans le texte et hors texte, 38 plans hors texte, reliures pleine toile crème de l'éditeur, titres ornementés sur les 1ers plats, têtes dorées, bon état
Georges-Jules-Auguste Cain (1856-1919), est un peintre historique et un historien de Paris, de ses théâtres et de ses monuments. Il a été conservateur du musée Carnavalet de 1897 à 1919. — "M. Georges Cain, éminent conservateur du musée Carnavalet, nous donne une série de « Promenades dans Paris » dont il connait à fond, avec une érudition pittoresque et documentée, le passé et l'histoire. Les pierres parlent, mais si tout le monde peut les écouter, bien peu savent les entendre. Nul n'était mieux qualifié pour recueillir leurs confidences que M. Georges Cain. Nos lecteurs verront combien les aveux qu'elles lui ont faits sont passionnants et variés, et ils le suivront dans ses promenades, nous en sommes certains, avec autant d'intérêt que de curiosité. « Un des gros chagrins des Parisiennes fut toujours de ne pas connaître Paris : de là des regrets charmants, d'exquises lamentations : Oh ! monsieur, que je voudrais avoir vu la Bièvre !... Il y a, paraît-il, encore d'étonnants hôtels dans le Marais ?... Qu'est-ce donc que la rue Geoffroy-l'Asnier ?... et l'hôtel Scipion ? »" (Le Figaro, 21 mars 1905)