Write to the booksellers9 books for « caillaux henriette »Edit
Née à Rueil-Malmaison. 1874-1943. Historienne de l’art française. C.A.S. « H Caillaux » à « Monsieur ». S.l.n.d., [Paris]. 2 pp. in-12 oblong sur papier de deuil. Carte imprimée à son adresse parisienne.
Henriette Caillaux ne souhaite pas attendre demain pour remercier son correspondant pour les …merveilleuses roses, et aussi vous gronder un peu, jai fait si peu de chose pour vous !! Je suis très touchée de votre si délicate pensée…Epouse de lécrivain Léo Claretie, elle se sépare de lui en 1908 afin de se marier avec son amant, Joseph Caillaux. Il se lance, en 1914, dans une nouvelle campagne politique mais le directeur du Figaro, Gaston Calmette, publie plus de 130 articles dénigrant sa carrière et sa vie privée. Epuisée par cette campagne de dénigrement et décidé à défendre la réputation de son époux, elle se présente le 16 mars 1914 à la direction du Figaro et tire à bout portant à six reprises sur le directeur Calmette, qui meurt sur la table dopération. Henriette Caillaux se rend sans tenter de fuir. Son avocat, Fernand Laborie, plaide le crime passionnel. Elle sera acquittée.
Aimé-Jules Dalou (1838-1902).
Paris Delagrave 1935 1 vol. broché in-8, broché, 158 pp., 16 planches en noir hors-texte, bibliographie. Edition originale à tirage limité et numéroté sur vergé. En excellente condition. Peu courant.
Dalou (1838-1902) : L’homme - L’oeuvre
Librairie Delagrave 1935 In-8. Broché, couverture orange imprimée et rempliée, 158 pp., 16 planches en héliogravure,inventaire général des oeuvres de Dalou, bibliographie. Dos réparé, intérieur frais.
Tirage limité à 1100 exemplaires sur vergé fin des Papeteries Outhenin-Chalandre. Bon état d’occasion
Aimé-Jules Dalou (1838-1902). Lhomme Luvre. Préface de Paul Vitry.
1935 Paris, Librairie Delagrave, 1935. In-8 broché, 158 pages plus table des illustrations. XVI planches hors-texte dillustrations en héliogravures.
Henriette CAILLAUX - [Née Henriette Raynouard - Reuil-Malmaison 1874 - Mamers 1943] - assassina Gaston Calmette
Reference : GF28847
Lettre Autographe Signée de Henriette Caillaux à Madame de Saint-Prix - le 20 mai 1934 -
Carte postale représentant les Grandines dans le Maine et Loire -
Elle est trés touchée par les sentiments exprimées et lui adresse son fidèle souvenir - Les lettres d'assassins sont rares ! -
Henriette CAILLAUX - [Née Henriette Raynouard - Reuil-Malmaison 1874 - Mamers 1943] - assassina Gaston Calmette
Reference : GF28849
Lettre Autographe Signée de Henriette Caillaux à Madame de Saint-Prix - le 15 mai 1925 -
3 pages in12 - En tête du Ministère des Finances - bon état -
Elle est confuse d'avoir tardé à lui répondre "prise dans le tourbillon des obligations mondaines" et de son installation au Ministère - Elle sait que la vie officielle offre "peu de charme" pour elle et sa peine "d'être ici serait encore plus grande" si elle devait la voir moins souvent -.. Les lettres d'assassins sont rares ! -
Henriette CAILLAUX - [Née Henriette Raynouard - Reuil-Malmaison 1874 - Mamers 1943] - assassina Gaston Calmette
Reference : GF28848
Carte de visite Autographe de Madame Joseph Caillaux (Henriette) à Madame de Saint-Prix -
Carte format : 6 x 8,5 cm - bon état -
Remerciements pour sa sympathie - Les lettres d'assassins sont rares ! -
CAILLAUX (Joseph) homme politique français, dont le nom fût entaché par l’assassinat du directeur du Figaro Gaston Calmette, par Henriette Caillaux son épouse, en mars 1914 (1863-1944)
Reference : 33C23
Lettre signée à R. P. [Raymond Patenôtre] Paris, 10 janvier 1932. 1 p. in-16. Enveloppe conservée. On joint son avis de mariage du 21 octobre 1911 avec Henriette Rainouard future criminelle, ainsi qu’une lettre autographe signée de son fils, Pierre Caillaux.
Il lui demande d’aider « Le Cri du Jour, vous me ferez plaisir… »
CALMETTE (Gaston) journaliste français, directeur du Figaro, assassiné par Henriette Caillaux, en mars 1914 (1858-1914)
Reference : 19C30
Lettre autographe signée à son « Cher ami ». Une demie p. in-8. En-tête du Figaro.
Il sera pris le 24 pour un dîner prévu avec [Aristide] Briand et Henri Robert, « et j’aurais eu une grande joie à fêter la croix de Gabriel Astruc. Dites-le lui n’est-ce pas ? Je serai certes de tout cœur avec vous ce jour-là… ».
