[Manuel de Portugal (1568-1638)] Raisons pour lesquelles Dom Emanuel né prince de Portugal, Chef de cette Maison dont à juste tiltre il porte le nom & les armes ; ne s'est point ambitieusement ingéré à faire des Remonstrances pour estre considéré en l'élection qu'on doit faire pour la Tutele & curatele du jeune Prince d'Orange pupile, & de ce qui concerne son éducation.
Reference : 015591
[Manuel de Portugal (1568-1638)] Raisons pour lesquelles Dom Emanuel né prince de Portugal, Chef de cette Maison dont à juste tiltre il porte le nom & les armes ; ne s'est point ambitieusement ingéré à faire des Remonstrances pour estre considéré en l'élection qu'on doit faire pour la Tutele & curatele du jeune Prince d'Orange pupile, & de ce qui concerne son éducation. S.l., s.n., s.d. [avant 1620?]. In-8, 4p. Il s'agit, semble-t-il, du prince Louis-Guillaume de Portugal (1601-1660), fils de Manuel, prétendant au trône d'Espagne, et de Emilie d'Orange-Nassau. Cette plaquette tend à justifier les raisons pour lesquelles il faut que Manuel soit le tuteur. Sous cartonnage simple ajouté anciennement. Plaquette répertoriée nulle part. [X]
Charles-Juste de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Bauveau et prince de Craon, maréchal de France.
Reference : 015450
Charles-Juste de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Bauveau et prince de Craon, maréchal de France. L.A.S., Château du Val [Saint-Germain-en-Laye], 18 juin 1782, 4p in-4. Il transmet copie de sa lettre au Parlement à propos de l'enregistrement de ses provisions; elle suit son conseil d'«observer la même forme que Mr le Mal de Villars»; il écrit aussi au Premier Président, au Procureur général et au doyen du Parlement. «Vous ne devés pas douter que je n'accepte avec grand plaisir l'offre que vous voulés bien me faire de faire dresser ma requête et de charger Mr Portalis de la présentation de mes provisions. Comme c'est toujours Monsieur de La Tour (avec qui je suis lié depuis près de quarante ans) que je consulte, je vous demande si vous ne pensés pas que la Cour de Comptes se contente que je lui écrive dans la même forme qu'au Parlement [...] et s'il ne suffit pas aussi que j'écrive à celui qui préside les Trésoriers de France, sans écrire à sa compagnie ». Belle lettre entièrement autographe. [68-2]
Charles-Juste de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Bauveau et prince de Craon, maréchal de France.
Reference : 015451
Charles-Juste de Beauvau-Craon (1720-1793), prince de Bauveau et prince de Craon, maréchal de France. L.A.S., Versailles, 20 juin 1783, 2p in-4. A Pierre de Rosnivinen de Piré (1739-1802), comte de Piré, dit le « Petit Piré », instigateur de l'aménagement du port de Saint-Malo en port de guerre. «J'avois l'honneur de vous conoître de réputation [...], lorsque j'ai eu celui de vous rencontrer chés Mr le Mal de Castries et le plaisir de vous entendre expliquer de la manière du monde la plus satisfaisante, un Plan qui m'a paru de la plus grande importance et dont je serois charmé d'apprendre l'exécution» Belle lettre entièrement autographe. [68-2]
Pierre Gerlier (1880-1965), avocat puis archevêque de Lyon, Juste parmi les nations.
Reference : 008271
Pierre Gerlier (1880-1965), avocat puis archevêque de Lyon, Juste parmi les nations. L.S., 2 décembre 1926, 1p in-8. En-tête de l'Archevêché de Paris, où il dirige les ouvres sociales. Il remercie sa correspondante pour une offre qu'il ne peut pas accepter. [267]
POURRAT FRERES. 1841. In-4. Relié plein cuir. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Mouillures. VII + 472 + XIV + 480 + 659 pages - Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et lettrines - TRaces de mouillures (taches jauntres) sur les 3 tomes - Dos à 4 nerfs - Titre et tomaison dorés au dos de chacun des tomes. 2 PHOTOS DISPONIBLES -. . . . Classification Dewey : 220-Bible
NOTA : GENOUDE M. de traducteur et JUSTE abbe directeur . / traduction de M. de Genoude. Nouvelle edition publiee sous les hospices du clerge de France et dirigee par les soins de M. l'abbe Juste chanoine honoraire ancien proviseur officier de l'universite; avec l'autorisation de monseigneur l'archeveque de Paris. Classification Dewey : 220-Bible
Ex officina Plantiniana, Apud Ioannem Moretum, Antverpiae (Anvers) 1604 - 1607, In-4 (18x25cm), 236pp. (3) ; (16) 124pp. (3), 2 ouvrages en un volume relié.
Nouvelle édition pour les Saturnalium (première édition en 1582, le privilège étant cependant de 1598 pour certainement la première illustrée) et édition originale pour le second ouvrage de Phillipe Ruben, Electorum. Marques de l'imprimeur en page de titre et au dernier feuillet libre. Jan Moret était le gendre de Plantin, il reprit l'imprimerie après le décès de ce dernier. Illustration : Saturnalium est illustré de 4 planches en double page, 4 planches simples avec 2 figures et 4 figures in-texte ; l'ensemble ne contient aucune signature, mais serait de la main de Van der Borcht l'aîné, lequel travaillait régulièrement avec jan Moret. Electorum contient 3 planches en double page et 2 figures in texte, l'ensemble par Cornelius Galle (certaines planches étant signées). Il manque une gravure sur double page. Reliure en plein parchemin d'époque. Dos lisse janséniste. Pièce de titre de parchemin beige. Un manque en tête et un en queue. Salissures sur les plats. Premier cahier détaché. La pièce de titre indique To. VII, ce volume faisait certainement partie d'un ensemble de textes de Juste Lipse ou autour de cet auteur. Bel exemplaire. Les Saturnales étaient de grandes fêtes romaines durant le solstice d'hiver (17 au 24 décembre, puis 25) ; les célébrations du Dieu Saturne étaient accompagnées de grande fêtes populaires débridées, mais aussi de spectacles, notamment de gladiateurs. Les barrières sociales étaient abrogées et les esclaves étaient servis par les maîtres. Juste Lipse rassemble tous les commentaires qui ont été écrits sur le sujet et les étudie. Une grande partie est consacrée aux spectacles différents donnés par les gladiateurs. Electorum est un florilège, un choix de ce qui se trouve de meilleur parmi les auteurs de l'Antiquité sur les rites antiques. Philippe Ruben fut le disciple de Juste Lipse, il lui rend hommage dans ces Poematia. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Antverpiae, Ex Officina Plantiniana, apud Viduam et J. Moretum, 1594. In-4 de (16)-120-(8) pp., vélin de l'époque sous étui moderne.
Édition originale de second tirage aussi rare que le premier. « C'est l'édition d'Anvers, 1593-1594, avec un I de plus à la fin du millésime du titre. Beaucoup de figures portent des retouches que les exemplaires de 1593-1594 n'ont pas » (Van der Haeghen). Traité du supplice de la croix chez les peuples de l'Antiquité que le philologue et humaniste brabançon Juste Lipse (1547-1606) composa pour témoigner de sa conversion catholique. L'auteur, dans ses notes, fait mention de quelques personnes avec qui il a été en rapport pour la composition de son ouvrage, notamment Delrio, Van Raphelengen père, Jean Boisot, Denis de Villers et Pierre Oranus. « Le troisième livre de Juste Lipse rassemble les manières extraordinaires d'employer le supplice de la croix. Il y explique ce que c'était que la fourche dont on se servait pour punir les esclaves ; comment on les élevait en croix avec cette fourche dont on se servait pour punir les esclaves ; comment on les élevait en croix avec cette fourche, et des différentes sortes de fourches. Il traite ensuite des différentes manières de crucifier, la tête en bas de travers, les pieds écartés ; de ceux qui étant attachés à la croix, étaient brûlés tous vifs ou exposés aux bêtes farouches. Enfin on attachait le corps des suppliciés à des croix ou à des gibets. Lipse examine ensuite de quel bois étaient faites les croix ; celui de chêne étant le plus fort, était le plus propre pour leur construction. Le lieu ordinaire où on les plantait était élevé, et les croix étaient hautes. Juste Lipse finit ce livre par la description des honneurs que Constantin rendit à la Croix, en faisant mettre ce signe sur ses drapeaux, sur les armes de ses soldats, sur les ornements impériaux : et conclut cet ouvrage par un éloge de la Croix par S. Jean Damascène. » (Nouvelle Bibliothèque des auteurs ecclésiastiques).Vignette de titre et 22 gravures sur cuivre in-texte dont 1 à pleine-page par Pierre Van der Borcht ; marque de Plantin in fine.Ex-libris armorié du marquisat de Verthamon contrecollé sur un ex-libris gravé - Olivier-Hermal-Roton, 1817-1818. Ex-libris manuscrit sur la garde supérieure « J.O. 1811 », ex-dono manuscrit Marguerite Valon 1944 sur le contreplat supérieur. Coupe latérale du plat supérieur légèrement accidentée. Vélin légèrement fripé et bruni, feuillets légèrement roussis.Van der Haeghen, Bibliographie lipsienne, I, 187 ; Brunet, Supplément, I, 872 pour le premier tirage.
[Henri Scheurleer] - PITHOU, Pierre ; LIPSE, Juste ; SAUMAISE, Claude ; VINET, Elie ; SCALIGER, Joseph Juste
Reference : 66301
(1712)
1 vol. in-8 reliure de l'époque pleine basne marbrée, dos à 5 nerfs orné, coupes et chasses ornées, Apud Henricum Scheurleer, Hagae Comitum [ Den Haag ; La Haye ], 1712, XVI-208 pp. et 8 ff. n. ch. Rappel du titre complet : Pervigilium Veneris ex editione Petri Pithoei, Cum ejus & Justi Lipsii Notis ; Itemque ex alio Codice Antiquo, Cum Notis Cl. Salmasii et Pet. Scriverii Accessit ad haec Andr. Rivini Commentarius. Ausonii Cupido Cruci Adfixus, Cum Notis Mariang. Accursii, El Vineti, Pet. Scriverii et Anonymi. Accessere ad Calcem Jos. Scaliger et Casp Barthii animadversione
Le manuscrit de la "Veillée de Vénus" ("Pervigilium Veneris") fut découvert en 1507 à Venise, par Erasme, dans la bibliothèque d'Alde Manuce, mais il ne fut publié par Pierre Pithou qu'en 1587. Le poème décrit le réveil printanier de la flore et de la faune. Bon état (ex-libris en garde). Good condition (ex-libris).
Horatium Cardon, Lugduni (Lyon), 1613, 5 ff.-84 pp.-4ff.-882 pp., 6ff.-899pp. , texte encadré à 2 colonnes, relié plein veau marbré (reliure 18eme), dos à nerfs avec pièces de titre et tomaison, , triple filets aux plats, tranches rouges, ex-libris manuscrit, frottements aux dos, coins et coiffes abimés, fentes aux charnières, un plat détaché, manque la pièce de titre au tome 1, manque au dos (tome 2), quelques feuillets brunis, mouillures au tome 2.
Recueil des oeuvres de Juste Lispe, philologue et humaniste, né à Overijse (Duché de Brabant) le 18 octobre 1547 et décédé à Louvain le 23 mars 1606, formé au moyen d'anciennes éditions séparées imprimées la plupart par Plantin à la fin du XVI eme siècle , elles comprennent des traductions de Tite-Live, Tacite, Jules César ainsi que des études critiques de plusieurs textes latins sur Plaute, Nonius, Velleius Paterculus, Valère Maxime, Sénèque et Pline. Au premier volume, le titre frontispice est signé Fornazeris, l'encadrement représente un portique. Dans la partie supérieure, Minerve, Mercure, deux vases contenant des fleurs de chardons (allusion au nom de l'imprimeur), un anneau soutenant un livre sur lequel est posé un casque, une devise en grec, les armoiries de Charles de Neufville, le monogramme d'Horace Cardon, etc. Dans les parties latérales, quatre statues, dont deux, placées dans une niche, figurent Eterna Facundia Roma. Plus bas, à droite et à gauche de l'adresse, un amphithéâtre et un labyrinthe. Dans le coin inférieur droit, la signature : J. de Fornazeris lineauit et sculpsit, un portrait de Juste Lipse, gravé en taille-douce, en médaillon, et tenu par deux figures debout : Gloria et Fama. En tête, sur une banderole, la devise de Juste Lipse. Sur les bords du médaillon, la légende : Iustus Lipsivs. Au-dessous du portrait, Modestia foulant aux pieds l'Envie. Plus bas, quatre distiques latins, signés : H. R., et suivis de la signature : de Fornazeris. Au second volume, la marque d’imprimeur de Horace Cardon par Fornazeris au titre, plusieurs chapitres sur l’armée Rome antique, illustrés de 69 gravures, dans le texte, numérotées et 29 gravures, représentant des scènes militaires, machines de siège, costumes et armes romaines, scènes de saturnale, crucifixions et sièges de ville (Carthage, Numance, Alésia), ainsi que deux belles vues de Louvain et de Heversé à double page. Horace Cardon, célèbre imprimeur de Lyon, protégé de Henri IV, qui se distinguait surtout par les beaux frontispices gravés dont il ornait les volumes sortis de sa maison. Fornazeris (Jacques) quitte Turin pour Lyon, il se lie dès 1601 avec le libraire Horace Cardon et débute alors entre eux une collaboration extrêmement fructueuse qui ne cessera qu’à la disparition du graveur en 1619, ses gravures qui évoquent tout à la fois l’orfèvrerie, la broderie et l’enluminure, synthèse des modèles italiens et flamands. M1-Et0
anvers leyde plantin 1589 Lugduni Batavorum (Leyde), Ex Officina Plantiniana, Apud Franciscum Raphelengium (pour le premier texte), et Antverpiae (Anvers), Apud Christophorum Plantinum (pour les 2 derniers textes),1589, 3 textes reliés en 1 volume in-folio de 360x220 mm environ, 4 ff. (titre avec large vignette, Imper. Caesari, Taciti vita)-335 pages, 4ff- (index)- 4ff (titre avec vignette, epitre, ad lectorem, Iani Gulielmi Elegia), 194 pages -(2) ff. (titre, Ad lectorem), lxiiij pages, (8) ff. (Index). Parchemin crème à recouvrements avec traces de liens de fermeture, titre manuscrit sur le dos. Mouillures claires dans les marges, rousseurs et pages brunies, petites taches d'encre par endroits, galerie de ver dans la marge interne (sans atteinte au texte), sinon bon état. Notre exemplaire ne contient pas le tableau dépliant.
Joost Lips, Juste Lipse, est un philologue et humaniste belge qui suivit les cours de Marc Antoine Muret c'est d'ailleurs son travail de commentaire de l'oeuvre de Tacite qui le brouilla avec celui-ci. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris Le père et Avauléz 1780 In-f° (430 x 295 mm), [322] ff. de pl., veau, dos à 6 nerfs orné, encadrement d'un filet gras sur les plats, tranches marbrées (reliure de l'époque ou légèrement postérieure, probablement allemande)
Un rare panorama du mobilier Louis XV Édition originale et unique de ce recueil « très rare et très intéressant pour l'histoire de l'ameublement au dernier [XVIIIe] siècle » (Cohen, 80). L'ouvrage, paru en cahiers formé chacun de 6 pièces, est rarissime complet. Le présent exemplaire renferme 54 cahiers sur 65, soit 322 planches sur 390 dont certaines volantes furent insérées après coup. Sont absents le titre, les planches 5 et 42 ainsi que les cahiers 55 à 65. Juste-François (dit parfois Juste-Nathan) Boucher (1734-1781), fils du peintre François Boucher, se consacra, après une formation en Italie, à l'architecture d'intérieur et d'extérieur. Dans cet ouvrage devenu célèbre, il documenta le mobilier du siècle de Louis XV, et reproduisit, dans une entreprise véritablement encyclopédique, des objets aussi bien de style français que de style anglais, italien, rhénan, ou romain. Sont représentés : lits, canapés, chaises, baignoires et demi-baignoires, écrans, commodes, secrétaires, bureaux, gaines pour porter les bustes et autres piédestaux, tables, coffres-forts, cheminées, panneaux, élévations de portes et de lambris, torches, etc. Boucher publia également un autre recueil en 40 feuilles (10 cahiers) comprenant des modèles de lambris, de meubles et de plans pour l'intérieur de salons, de chambres à coucher et de galeries. Il fallut plus d'une dizaine de graveurs pour en venir à bout. On en trouve 8 ici : DUPIN (Nicolas) : cahiers 1 à 14 et 16 à 18 ; BERTHAULT (Pierre-Gabriel) : 15e ; BLANCHON (Jean-Guillaume) : 19e ; LA CHAUSSEE : 20e ; PELLETIER (j. c.) : 21 à 23, 25-26, 29, 31 à 34, 36 à 55 ; BICHARD : 24, 27, 28 ; BOUTROIS : 30 ; PICHARD : 35. D'autres encore participèrent aux derniers cahiers : Coupeaux, Delagardette, Duval. La BnF Richelieu (HD-17-PET FOL) conserverait un recueil complet ou quasi complet, un deuxième dans le Fonds Rothschild (57 cahiers), INHA (complet), Harvard (complet), Biblioteka Narodowa (32 cahiers). Frottements, épidermures notamment sur les plats, petite restauration ancienne à la pointe du mors supérieur ; Guilmard, Les Maîtres ornemanistes, p. 230
Anvers, Ex officina Plantiniana, 1604-1606., I : 223pp, (7ff) II : 77-[6]-1bl. pages. 6 ill. dont 5 à pleine page et 2 planches dépliantes. III : 136pp (3), (1bl). pages. 1 planche double et 14 gravures in texte, parfois 2 par page. IV : 96pp,... Quatre ouvrages réunis en un volume in 4 en plein vélin rigide à recouvrements agrémenté de lacets verts, dos au titre manuscrit à la plume.Certaines pages brunies inhérent au papier utilisé mais bel exemplaire dans une reliure ancienne.Le dernier traité De Cruce est une des plus curieuses traductions de Juste Lipse, il s’agit d’une étude sur toutes les manières d’appliquer le supplice de la croix dans l’ancienne Rome.L’ouvrage est illustré de 19 impressionnantes gravures sur cuivre : crucifixion collective accompagnée d’un bûcher, de bêtes féroces, empalé.Belle édition collective, la dernière publiée du vivant de Juste LIPSE, superbement illustré de gravures sur cuivre in et hors texte.
1855 Paris, Genève, J. Cherbuliez, Lausanne, Delafontaine, et Cie 1855; in-8 de XI - 380 - 24pp. Illustré de 12 gravures hors texte; demi-chagrin foncé de l'époque, dos à nerfs, caissons de double filet doré, titre doré.Les 24 dernières pages sont occupées par des chansons avec musique notée.
Juste Olivier (1807 -1876) est un poète, romancier, journaliste et érudit vaudois, représentant du romantisme en Suisse. Coiffes frottées, sinon très bon exemplaire. (Res1)
Lausanne, Georges Rouillier. Paris, Bossange, (Impr. de Marc Ducloux), 1835, gr. in-8°, VIII + 387 p., légères rousseurs çà et là, reliure artisanale en demi-parchemin, titre ms. au dos, passé, assez bon exemplaire.
Offert avec 2): DELHORBE, Cécile: Juste et Caroline Olivier. D'après des documents inédits et avec 29 illustrations hors-texte. Neuchâtel, Victor Attinger, s.d., in-8°, 248 p., non rogné, brochure / 3) Beerli, Otto: La prose de Juste Olivier. Diss. 1949, 75 p. br. Ens. 3 vols.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Lugduni Batavorum, Ex Officina Plantiniana, Apud Franciscum Raphelengium, 1596, 1 volume in-12 de 170x100x50 mm environ, 8ff. (titre à la marque de l'imprimeur, Ad Praetorem, Ad Lectorem, Iani Dousae, Ad I. Lipsium, Ordo), 976 pages, 15ff. (Index), parchemin crème à recouvrements avec traces de liens de fermeture, titres manuscrits sur le dos. Des tampons sur la page de titre la dernière page de l'index et sur le premier plat, des rousseurs et pages fortement brunies, des passages soulignés et des notes manuscrites anciennes, tranche de tête noircie, manques de cuir sur les parties recouvrantes de la reliure, 2 pages collées et décollées p. 124-125, ont laissé une trace dans le texte. Christophe Plantin plaçait sur le frontispice de ses livres une vignette gravée sur bois, représentant une main sortant dun nuage, traçant un cercle avec un compas. Cette marque est toujours accompagnée de sa devise : Labore et Constantia (« Par le travail et la Persévérance »). Texte en latin.
Iustus Lipsius ou en français Juste Lipse, de son nom d'origine Joost Lips, né à Overijse (Duché de Brabant) le 18 octobre 1547 et décédé à Louvain le 23 mars 1606, est un philologue et humaniste qui vécut dans ce qui était alors les Pays-Bas espagnols et aujourd'hui la Belgique.Contient : Antiquarum Lectionum Libri Quinque - Epistolicarum Quaestionum, Libri quinque - Electorum Libri Tres - Variarum Lectionum, Libri Tres - Satyra Meneppaea, Somnium. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Coloniae Agrippinae( Rouen ? ) Apud Gerbrandum Scagen ( A. Daillé ) 1667 1 vol. in-18 ( 16 x 9 cm ) T. , (5) ff. n. ch. , 268 ( i. e. 254 ) pp. . Texte en petits caractères . Avec Lectori S. et Errata . Au titre , marque typographique à la sphère armillaire . Veau brun granité de l' époque . Dos à cinq caissons ornés et titre dorés . Toutes tranches jaspées rouges . Reliure solide . Manquent la coiffe sup. et une partie du caisson sup. ; coiffe inf. légèrement arasée . Manque au plat inf. ( éraflure peu visible ) . P. 97 ch. 79 ; p. 195 ch. 209 , p. 196 ch. 210 et ainsi de suite jusqu' à la fin ( p. 254 ch. 268 ) . ( Collat. complet )
" Recueil des propos tenus par Joseph Juste Scaliger au cours de conversations avec Nicolas et Jean Vassan, transcrits par le second qui confia ses notes à Pierre Dupuy ; quelques familiers de celui-ci en firent des copies ; celle réalisée par Claude Sarrau fut à son tour copiée et mise en ordre alphabétique par Adrien Daillé ; c'est cette copie que Isaac Vossius fit imprimer en 1666 à l'insu de Daillé, qui, jugeant l'édition pleine de fautes, aurait réalisé cette édition en 1667. - Imprimé à Rouen sous une fausse adresse d'après P. des Maizeaux ; cependant, d'après le matériel typographique, si l'impression est effectivement française, elle ne présente aucune des caractéristiques des impressions rouennaises. " ( BnF , Catalogue général , Notice bibliographique , https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30383762r ) . " La première édition du Scaligerana Secunda , parue en 1666 sous le nom de Scaligeriana , est en principe à éviter : elle a été faite d' après une copie hâtive et les fautes sont nombreuses . L' édition de Rouen ( sous le nom de Cologne ) de 1667 ( Scaligerana, editio altera , ad verum exemplar restituta ...) doit être considérée comme la véritable première édition " ( F. Wild , " Le prima Scaligerana . Registre d' une amitié savante " , in : " Albineana , Cahiers d'Aubigné " , 7 , 1996 , p. 130 ) . " Les Scaligerana , ou bons mots de l' illustre humaniste protestant Joseph-Juste Scaliger ( 1540 - 1609 ) , ont toujours eu mauvaise réputation . Dès 1666, à leur première parution , Guy Patin confiait à son collègue médecin André Falconet , que " c' est un livre fort curieux , mais un peu dangereux ". Jusqu' à la fin du XVIIe siècle , son parfum de scandale lui valut d' innombrables rééditions, et autant de contrefaçons . Toutes parurent en terre hérétique , à La Haye , à Saumur , ou chez les imprimeurs rouennais . Dans le même temps , ce livre eut une postérité également extraordinaire qui lui valut d' être considéré comme le père d' un genre nouveau , les ana ." ( J. Delatour , " Pour une édition critique des Scaligerana " , in : " Bibliothèque de l' Ecole des chartes ", 1998 , T. 156 , livraison 2 , p. 407 ) . J. Delatour ajoute en note : " Les lieux des premières éditions ont été systématiquement supposés " et renvoie à Pierre Des Maizeaux ( " Scaligerana, Thuana, Perroniana, Pithoeana, et Colomesiana , ou Remarques historiques, critiques, morales, & litteraires de Jos. Scaliger, J. Aug. de Thou, le cardinal du Perron, Fr. Pithou, & P. Colomiés " , Chez Cóvens & Mortier, 1740 , T. 2 , p. XXVI ) qui intitule la préface de notre ouvrage " Préface de Mr. Daillé sur la seconde édition du Second Scaligerana , imprimée à Rouen , sous le nom de Cologne , en 1667. "
Phone number : 05 53 48 62 96
Bruxelles & Leipzig: Henry Merzbach éditeur, 1873 in-8, 467 pages. Index. Broché, couv. défraichie, dos renforcé, plusieurs pages brunies. Un des 200 exemplaires sur Hollande pour les souscripteurs.
Traité de la constance. Traduction nouvelle précédée d'une notice sur Juste Lipse par Lucien du Bois. (Bruxelles & Leipzig: Henry Merzbach éditeur, 1873). [M.C.: pilosophie]
Et nunc recens in Gallia editum, operam unius Presbyteri Congreg. Oratorij Dni Jesu, 1 vol. petit in-8 reliure de l'épopque pleine basane marron, dos à nerfs orné, plats aux armes écartelées, Apud Claudium Garcin [ Claude Garcin ], Massiliae [ Marseille ], 1671, 512 pp.
Edition marseillaise du "Fax historica" du célèbre philologue et humaniste Juste Lipse (1547-1606). Rédigé entre son départ définitif de Leyde et son installation à Louvain (juillet 1591 - août 1592), l'ouvrage est une introduction générale aux historiens anciens sur divers sujets : l’organisation militaire, les machines, les amphithéâtres, la croix, les bibliothèques... Etat très satisfaisant (reliure vernissée, petits mq. au mors et en coiffe sup.) pour cet exemplaire établi dans une reliure aux armes non identifiées. Bibliographie Lipsienne, 644
Paris Au bureau de la société catholique des bons livres 1836 488 pages in-8. 1836. relié. 488 pages. Grand In-8 (266x171 mm) 488 pages. Livre relié Demi-Cuir Dos titré en lettres dorées. Composée par une société d'écclésiastiques et de gens de lettres sous les auspices du clergé de france avec l'approbation de Monseigneur l'Archevêque de Paris sous la direction de M. L'Abbé Juste et de M. l'Abbé A.B. Caillau. Avec de nombreuses gravures en noir. Reliure en assez bon état avec les coins émoussés des frottements et un manque à la coiffe supérieure. Intérieur avec des rousseurs éparses laissant une lecture très satisfaisante. Poids : 990 gr
Antverpiae apud Joannem Moretum 1605 In-4 de 223-(1) pp. et 4 ff. n.ch. (le dernier blanc), vélin souple, large mouillure angulaire sur l'ensemble du volume. (Reliure de l'époque).
Dernière édition publiée du vivant de l'auteur (E.O. à Anvers, 1598). Elle est imprimée par Jean Moret, gendre et successeur de Plantin, et ami personnel de Juste Lipse. "Il n'est presque pas de problème en rapport avec les antiquités romaines sur lequel sa critique n'ait jeté une clarté durable…" (Hoefer). Bon exemplaire intègre, malgré la mouillure. Ex-libris manuscrits anciens sur la première garde et la page de titre.
LIPSE Juste [LIPSIUS Justus] & DU BOIS Lucien (trad. & notice)
Reference : F49190
(1873)
Bruxelles-Leipzig, Muquardt 1873 467pp., reliure cart.rouge (plats marbrés, dos en toile, titre doré au dos), 24cm., qqs.rousseurs