Paris, Baudouin, 1790 , 9 pp., tableaux in-t., broché.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). Ce texte, envisagé comme un abrégé, a pour but de présenter aux citoyens un vaste rapport de réformes des dépenses publiques.Inconnu au Martin & Walter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, Chez Baudouin, s.d. (1790) in-4, 28 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). C'est à ce titre qu'il répond point par point aux attaques de Necker sur le rapport établi par ce même comité : évaluation de la perte sur les impôts indirects, rapprochement du paiement des recettes générales, reste de l'emprunt de septembre 1789, rapprochement de la liste des besoins et de celle des ressources, économie sur le paiement des rentes, emprunt du Languedoc, paiement d'une partie des dépenses de 1790 renvoyé en 1791, contribution patriotique, crédit éventuel sur la Caisse d'Escompte, accroissement des billets-monnaie, anticipations, Comité de Trésorerie.Martin et Walter, III, 24978. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT