La Baule-sur-Mer, 24 août 1922. 1 page in-12, 150 x 113.
L.A.S., La Baule-sur-Mer le 24 août 1922, à Charles Dettelbach; 1 page in-12, 150 x 113, adresse et timbre oblitéré.Longue lettre autographe signée, adressée à son ami Charles Dettelbach, puissant personnage siégeant au conseil d’administration de la Compagnie Minière franco-tunisienne dont l’épouse cantatrice mondaine, tenait un salon musical et côtoyait Proust, Raynaldo Hann... Il y évoque son lieu de villégiature à La Baule «nous nous plaisons beaucoup dans ce pays et dans notre maison où nous ne gelons pas comme à … jadis et où nous voudrions bien demeurer plus longtemps.» Il travaille alors à la correction des «épreuves de la partition du Jardin du Paradis besogne assez fastidieuse mais reposante pour l’esprit.»Il s’agit d’un conte lyrique en quatre actes inspiré d’Andersen, signé de Robert de Flers et de Caillavet.Pliure au centre du document. Tâches d’encre au dos provenant de l’oblitération.On jointdu même : L.A.S., [février / mars 1905], 2 pages in-12, 176 x 114, sans nom, ni adresse.Il y est question de la répétition générale de L’Enfant Roi, comédie lyrique en 5 actes composée en 1902 et représentée pour la première fois le 3 mars 1905 à l’Opéra Comique, à laquelle Alfred Bruneau invite un ami: «Attendons donc, pour nous réunir, la répétition générale, fixée d’ailleurs à mercredi prochain. Il me tarde bien de savoir ce que vous penserez de L’Enfant Roi.»Pliure au centre du document.