Hachette. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 514 pages - plat et contre plats jaspés - manque sur la dernière page en fin d'ouvrage - papier jauni. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
GRASSET.. 1937. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 246 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
LA RENAISSANCE DU LIVRE. 1929. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 252 pages. Frontispice d'une photographie en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
FAYARD. Non daté. In-8. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Agraffes rouillées, Intérieur acceptable. 159 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et hors texte. Frontispice en noir et blanc. Bande depapier collée sur le dos dépassant sur les deux plats de couverture. Quelques pages commences à se débrochées.. . . . Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
Impressions et récits contemporains publiés avec une introduction , deux notices, des appendices par RAYMOND LECUYER et illustrés d'après les documents du temps. Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
GRASSET. 1937. In-12. Relié cuir dos-coins. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Intérieur frais. 248 pages - couverture d'origine conservée - plats et contre-plats jaspés - dos à 5 nerfs - auteur, filets et titre dorés au dos.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
FAYARD. 1951. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 156 pages- jaquette en état d'usage, illustrée en couleurs- frontispice en noir et blanc- quelques illustrations en noir et blanc hors texte. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
FAYARD. 1952. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 159 pages- quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte- jaquette en état d'usage. . . . Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
Classification Dewey : 843.081-Le roman historique
Club du livre d'histoire Reliure d'éditeur avec rhodoïd 1957 In-8, (20x13.5 cm), reliure d'éditeur sous rhodoïd, 333 pages, illustrations en noir et blanc, bibliographie, ouvrage numéroté 2186 ; petites déchirures sur le rhodoïd, petites traces sur la tranche de tête, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Cercle des Gobelins et des Beaux-Arts du XIIIème Broché 1930 Grand in-8 (20,5 x 26 cm.), broché sous couverture rempliée, 137 pages, têtes de chapitres, vignettes, illustrations monochromes hors-texte, un des 340 exemplaires tirés sur papier Vélin Teinté (n°244) ; dos manquant, tâches sur le 4e plat, plats défraîchis, par ailleurs état correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Librairie Arthème Fayard, 1952; in-8, 159 pp., br. Avec jaquette.
Avec jaquette.
Paris, Grasset "lenotre" 2, 1937; in-12, 248 pp., broché, couverture illustr(haut de coiffe usée).
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Hachette, 1909, in-12, viii-338 pp, 16 pl. de gravures hors texte, reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs pointillés, titre doré, bon état
Etude érudite sur la Presse sous l'Ancien Régime. — "MM. Funck-Brentano et Paul d'Estrée poursuivent leurs amusantes et vivantes études sur « les organes de l'opinion publique dans l'ancienne France ». Ils décrivent l'existence agitée, scandaleuse par certains côtés, par d'autres quasi-héroïque, des « ancêtres de nos journalistes », et aussi de nos gazetières. Monde passablement interlope, où l'on trouve de tout, des « chevaliers » authentiques, des aventuriers et des aventurières, des policiers plus ou moins brûlés. Singuliers bureaux de rédaction, qui se tiennent tantôt dans des bouges, tantôt dans des antichambres, tantôt même (et c'est encore le plus sûr) à la Bastille. Les auteurs nous montrent quelle redoutable puissance était dès lors la « presse », - si l'on peut donner ce nom à des journaux qui, le plus souvent, étaient manuscrits, – et comment cette presse employait déjà, pour recruter ou retenir la clientèle, les mêmes moyens qu'aujourd'hui : la fausse nouvelle, l'écho mondain, l'indiscrétion plus ou moins canaille, la pornographie, le chantage. Ces « nouvelles à la main », ces « gazetins » ont leur importance politique. Il y a des feuilles qui sont vendues aux cabinets étrangers et qui font en France de la politique « autrichienne » ou anglaise ; d'autres, plus ou moins autorisées ou tolérées, défendent le ministère. A l'étranger, nos ambassadeurs ont aussi leurs gazetiers à gages, qui doivent façonner l'opinion publique. Quelques figures, les unes burlesques, les autres épiques, quelques-unes même aimables, illustrent l'exposé : Cabaud de Rambaud, de Mouhy, Mme Doublet, Chevrier, Fouilhoux. Le plus piquant, c'est de voir, parmi les abonnés des gazetiers, les plus grands noms de l'État, parfois les mêmes personnages qui sont chargés de saisir les libelles. Tant il est vrai que la « presse » répondait, dès lors, à un vrai besoin public." (Revue Historique, 1910)
Club des Libraires de France, 1961, in-8°, 422 pp, 40 pl. de gravures et fac-similés hors texte (certaines dépliantes), biblio, tirage numéroté sur vélin blanc, reliure pleine soie blanche de l’éditeur, une vignette en couleurs au premier plat (maquette de Pierre Faucheux), rhodoïd, signet, bon état. Jolie édition
Edition illustrée de portraits, de scènes et de documents empruntés à l'art italien et à l'art français de la Renaissance. — "Admirateur de l'art spontané et puissant du Moyen Age, M. Funck-Brentano ne s'enthousiasme pas pour la Renaissance, « cette immense réaction contre la vie sociale, politique, intellectuelle et artistique du Moyen Age ». Le triomphe du rationalisme, caractéristique essentielle de cette réaction, comme de la Révolution française, lui semble comporter au moins autant d'inconvénients que d'avantages. Il affirme sa conviction qu'un peuple « fait une bêtise » en reniant ses traditions naturelles, concrètes, pour s'attacher à une tradition factice et abstraite, – ce qui ne l'empêche pas, avec beaucoup de liberté d'esprit, de défendre la politique italienne de François Ier, de goûter fort la docte sagesse d'Erasme, et d'aller jusqu'à témoigner de l'indulgence pour Alexandre VI. (...) Le chapitre consacré au Concordat se range parmi les meilleurs. (...) Le livre repose sur une lecture étendue, il témoigne d'un sens aigu du passé, il fait réfléchir, il est écrit d'une plume personnelle et vivante. Il mérite d'être lu." (H. Waquet, Revue d'histoire de l'Eglise de France)
Fayard, 1935, in-12, 442 pp, broché, bon état (Coll. Les Grandes Etudes historiques)
"Admirateur de l'art spontané et puissant du Moyen Age et gallican fidèle à la Pragmatique, M. Funck-Brentano ne s'enthousiasme pas pour la Renaissance, « cette immense réaction contre la vie sociale, politique, intellectuelle et artistique du Moyen Age ». Le triomphe du rationalisme, caractéristique essentielle de cette réaction, comme de la Révolution française, lui semble comporter au moins autant d'inconvénients que d'avantages. Il affirme sa conviction qu'un peuple « fait une bêtise » en reniant ses traditions naturelles, concrètes, pour s'attacher à une tradition factice et abstraite, – ce qui ne l'empêche pas, avec beaucoup de liberté d'esprit, de défendre la politique italienne de François Ier, de goûter fort la docte sagesse d'Erasme, et d'aller jusqu'à témoigner de l'indulgence pour Alexandre VI. (...) Le chapitre consacré au Concordat se range parmi les meilleurs. (...) Le livre repose sur une lecture étendue, il témoigne d'un sens aigu du passé, il fait réfléchir, il est écrit d'une plume personnelle et vivante. Malgré ses imperfections, il mérite d'être lu." (H. Waquet, Revue d'histoire de l'Eglise de France, 1935)
Paris, 1926. In-4, [4]-52p. Tapuscrit curieux d'un texte de ce conservateur de la Bibliothèque de l'Arsenal. Il est question du Diptyque de Melun de Jean Fouquet, dont la partie gauche était la propriété d'un cousin de Funck-Brentano jusqu'en 1896. A la mort de son cousin, c'est lui qui le propose au Louvre pour une somme relativement modeste. Le conservateur du Louvre, Lafenestre, aurait répondu « laissons la poire mûrir ». Le témoignage livré ici par Funck-Brentano contredit celui de Lafenestre, puisque Funck-Brentano critique l'incompétence et la suffisance de la bureaucratie française, quand Lafenestre accuse les héritiers d'avoir voulu vendre au plus offrant. Cette partie du diptyque a donc fini au musée de Berlin. Notons aussi que ni le duc d'Aumale ni Mme Edouard André ne sont mentionné comme acquéreurs potentiels de cette ouvre par Funck-Brentano. Reliure demi-chagrin rouge, dos à nerfs. Curiosité, rare. On en trouve pas de trace du texte français.
Paris Tolmer 0 In-4 à l'italienne Broché, couverture illustrée
EDITION ORIGINALE de cet album de 12 dessins humoristiques aquarellés de Paul Funck-Brentano. Le sommaire, lui aussi illustré par l'artiste, détaille les planches: Cortège de Bacchus - MMe Butterfly - La Vague - Cambriole et Insouciance - Le Cobra anglophobe - Les Braves gens d'agents - Coup d'oeil indiscret - Foot-ball - Un broyeur de noir - Au Restaurant - Le Pal - Le Diable par la queue. Tirage unique à 325 exemplaires numérotés. Très bon 0
Librairie Plon, E. Plon, Nourrit et Cie, Imprimeurs-Editeurs à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1887 Book condition, Etat : Moyen broché, sous couverture imprimée éditeur grise grand In-8 1 vol. - 300 pages
1ere édition, 1887 Contents, Chapitres : Table, au lecteur russe, iv, Texte, 295 pages - Les idées classiques - Les fondateurs de la sophistique allemande - Les illusions de Kant - Les schèmes - Les antinomies - Les idées incomplètes - Les successseurs de Kant et de Schopenhauer - La Quadruple racine de la raison suffisante - Le monde comme représentation - Le monde comme volonté - L'idée platonique, objet de l'art - L'affirmation et la négation de la volonté - La véritable raison suffisante - Le succès de la philosophie de l'inconscient - Les sophismes de M. de Hartmann - Les charades dans la sophistique allemande - Comment se manifeste l'Abracadabra dans la vie corporelle, dans l'esprit humain - La métaphysique de l'Abracadabra - La gauche hégélienne et les origines du nihilisme russe - Les premiers nihilistes russes - Idées simples - Etat politique de la Russie - Etat social et religieux - L'instruction publique - La Russie littéraire - Les opinions et actes de la secte - Le remède - Théophile Funck-Brentano, né Théophile Funck le 21 août 1830 à Luxembourg et décédé le 23 janvier 1906 à Montfermeil, était un sociologue franco-luxembourgeois. Il a épousé Sophie Brentano, nièce de la femme de lettres et nouvelliste romantique allemande Bettina von Arnim, née Brentano et du poète romantique allemand Clemens Brentano. Il quitta Luxembourg pour Paris en 1870, année où il est naturalisé français. Il est le fondateur du Collège libre des sciences sociales en 1895. Il est le père de Frantz Funck-Brentano. (source : Wikipedia) exemplaire ex-bibliothèque, trace d'étiquette sur le bas du dos et sur les bords des plats à côté, la couverture est sinon en bon état, complète, avec des traces de pliures aux coins assez peu accentuées, intérieur du mors du plat supérieur consolidé proprement avec un collant, quelques numéros sur la premiere page et un tampon sur la page de faux-titre, l'intérieur est sinon propre, quelques rousseurs, papier de qualité, une bande brune dans la marge droite d'une page en début d'ouvrage, cela reste un bon exemplaire de lecture d'un ouvrage peu courant, consacré en très grande partie à Schopenhauer et son influence sur le nihilisme russe
Arthur Rousseau, 1892. - Edition originale. In-8 relié (22 x 13,7 cm), reliure demi-toile beige, titre doré sur le dos, 430 pages.-760g.L. - Bon état.
Hachette, 1904, in-12, xlviii-278 pp, copieuse préface de Victorien Sardou (44 pp), 5 planches hors texte in fine, reliure demi-percaline verte, dos lisse, titres dorés et filets à froid (rel. de l'époque), bon état
"Un bon ouvrage sur ce lieu de détention le plus redouté et le plus romanesque. Depuis la pose de la première pierre, le 22 avril 1370, jusqu'à sa destruction en passant par le siège de la population, ses murs et ses cachots ont été les témoins de tragédies, mais aussi de comédies et d'idylles. La vie en son sein n'a pas toujours été désagréable, si l'on en croit certains prisonniers qui assurent que « les années passées à la Bastille ont été les plus heureuses de ma vie ». La plupart des légendes liées à la Bastille, comme celle de l'Homme au masque de fer (en réalité un masque de soie), sont retracées ici. Non seulement des hommes de lettres célèbres (comme Voltaire, Morellet) ont été « invités » à la Bastille, mais des livres dangereux et même des presses à imprimer y ont été enfermés ; on se souvient que la fameuse « Encyclopédie » y a été séquestrée pendant plusieurs années. Latude et ses ingénieuses escapades font l'objet du plus long chapitre du livre. Le dernier chapitre, qui traite du quatorze juillet et des événements qui l'ont précédé, est le meilleur de tous, même s'il se moque de tout l'épisode en disant que « les vainqueurs de la Bastille enfonceront une porte ouverte ». Il est peut-être vrai que la prise de la Bastille a été largement surestimée et que cette « épopée héroïque » n'était en réalité qu'une bulle de savon ou une « épopée burlesque et lamentable ». Il n'en reste pas moins que la prise de la Bastille a été un bon lever de rideau pour le drame de la Révolution et qu'elle a beaucoup contribué à enflammer l'imagination et l'esprit des « opprimés »." (Camil van Hulse, Books Abroad)
Grasset, 1941, in-8°, 284 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Lyon, Laboratoires Ciba, 1938, in-8° carré, 44 pp, 27 gravures et photos dans le texte et à pleine page, cartonnage illustré de l'éditeur, dos lég. abîmé, bon état (Les Vieux hôpitaux français, III)
Tallandier, 1926, in-8°, 282 pp, 18 gravures hors texte, imprimé sur beau papier, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Bibliothèque “Historia”)
P., Fontemoing, 1903, in-8°, 316 pp, 11 gravures hors texte, broché, état correct
"On est parfois pris d'étonnement devant la bizarrerie de certaines institutions qui, aujourd'hui, nous paraissent tout à fait invraisemblables. Que penser d'une prison spéciale pour les comédiennes, les comédiens et les gazetiers ! C'est encore d'une Bastille qu'il s'agit, sujet de tant de curieux travaux de M. F.-B., mais à vrai dire d'une « Bastille pour rire » si l'on peut ainsi parler, d'une Bastille où, – surtout vers la fin, – le geôlier poussait en souriant des prisonniers qui n'avaient nulle envie de se lamenter, où les prisonnières ne montraient les dents que lorsqu'elles les savaient jolies. La première partie du livre constitue un excellent chapitre de topographie parisienne. L'auteur y établit définitivement l'emplacement du For-l'Évêque ; il correspond à celui de la maison (construite sous le second empire) portant le numéro 16 du quai de la Mégisserie. Le bâtiment primitif, datant sans doute du XIIIe siècle, était déjà très délabré en 1583, ainsi qu'en fait foi un rapport du voyer de l'évêque, fort heureusement découvert par M. F.-B. aux Archives nationales. Ce n'est cependant qu'en 1652, en pleine Fronde, que Jean-François de Gondi, archevêque de Paris, le fit réédifier complètement, mais dans des conditions si déplorables qu'au XVIIIe siècle c'était un cri d'indignation unanime contre son hygiène et la barbarie de son aménagement. En 1773, un magistrat, parlant des cachots où l'on enfermait les prisonniers qui n'avaient pas le moyen de payer pension au geôlier, déclare que « ces antres où l'on peut à peine se tenir debout ne reçoivent de jour que celui de la cour. L'odeur en est infecte. Ils font horreur.» (...) Nous avons hâte d'arriver à ce qui fait l'objet même de ce livre, au For-l'Évêque, prison spéciale des comédiens. Le premier d'entre eux qui y reçut asile est un nommé Belony, de mars à avril 1714. On ignore la cause de son incarcération. Voici, en 1735, une cantatrice française, Mlle Lemaure, qui un jour, au moment de chanter Jephté devant une salle fort bien composée, eut l'étrange fantaisie de s'en aller. Maurepas la fit aussitôt conduire au For-l'Évêque, d'où elle passa spontanément au couvent du Précieux-Sang, pour d'ailleurs revenir bientôt à l'Opéra. Nous signalerons un chapitre bien curieux sur Mme Favart, que M. F.-B. a le droit, après avoir exposé les documents peu édifiants qui la concernent, de nommer « la Manon Lescaut de l'amour conjugal. » Puis, c'est le cas de Mme Molé, de la Comédie-Française, qui, pour s'être mise en retard de trois quarts d'heure à un spectacle où la reine assistait, fut envoyée le lendemain au For-l'Évêque; mais elle n'y passa que quarante-huit heures et encore son mari, acteur comme elle, fut-il autorisé à partager sa détention avec elle pendant la nuit (octobre 1778). Le livre se termine par de précieux renseignements sur les directeurs de théâtre, les auteurs dramatiques au For-l'Évêque et enfin sur la suppression (1780) et la démolition (1782) de cette prison du genre ambigu-comique, très ignorée jusqu'ici, désormais étudiée complètement et définitivement, grâce aux sagaces recherches de notre confrère." (Fernand Bournon, Bibliothèque de l'école des chartes, 1903)