Par H. M. Brackenridge, citoyen américain. Traduite sur la seconde édition par A. de Dalmas. Avec une carte du théâtre de la guerre.Paris, chez Corbet libraire - 1820 - 310 p. et 317 p. - Hommage du traducteur à Mr le baron Larey sur la page de titre.Reliure plein maroquin rouge de l'époque. Dos ornés de fleurons et de filets dorés avec titre, auteur et tomaisons. Plats orné de dentelles dorées. Tampon de bibliothèque sur les pages de titre et la dernière page. Rousseurs sur les pages de garde. Rares rousseurs sur le texte. Bon état. Format in-8° (21x13).
Corbet Couverture rigide Paris 1820
Très bon 2 volumes in-8. 310 et 317 pages. Ex libris manuscrit en page de garde. Complet de la carte dépliante. H.M. Brackenridge (1786-1871), membre du Congès, a été notamment juge en Louisiane. (Howes, 684).
Negli anni 1812 - 13 - 14 e 15. Recata in Italiano da G. Borsieri. Bettoni, Milano, 1821. In-8 p. (mm. 220 x 138), brossura orig, pp. VIII,448, con 1 carta geografica inc. in rame, pi volte ripiegata f.t. Prima edizione italiana dell'opera del Brackenridge che racconta, in modo molto particolareggiato, le vicende della Seconda Guerra d'Indipendenza con la Gran Bretagna (1812-1815), guerra che vide anche la presa e la distruzione di Washington. Cfr. CLIO,I,682. Esemplare ben conservato, intonso e con barbe.
Paris, Corbet, 1820. 2 tomes en un volume in-8 de (1) f., 310 pp. — (1) f., 317 pp.; demi-veau fauve à coins, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge, tranches mouchetées (reliure de la fin du XIXe siècle).
Première édition française, traduite de l'anglais par Antoine Dalmas sur la deuxième édition américaine. Elle est illustrée d'une carte gravée dépliante des 27 états et territoires formant alors la confédération des États-Unis. Juge, diplomate et membre du Congrès, l'auteur fait le récit de la guerre dite de 1812, qui opposa les États-Unis au Royaume-Uni et ses colonies du Canada, entre juin 1812 et février 1815. La guerre se déroula sur trois théâtres d’opérations : l’océan Atlantique, la région des Grands Lacs et les États du Sud. Au début de la guerre, les États-Unis tentèrent d’envahir le Canada mais furent repoussés (prise de Détroit, bataille de Queenston Heights). La Royal Navy engagea par la suite un blocus le long de la côte Est, fragilisant l'économie américaine d'une part mais permettant d'autre part l'émergence d'une industrie sur le continent. Leur domination des mers permit aux Britanniques de mener des raids côtiers et d’incendier Washington en août 1814. En revanche, les batailles navales sur les Grands Lacs tournèrent à l’avantage des États-Unis. La guerre s'acheva en 1815 sur un statu quo, après la bataille de La Nouvelle-Orléans au cours de laquelle le général Jackson infligea aux Britanniques l’une des plus graves défaites de leur histoire. Bon exemplaire. Leclerc, I, 200. — Sabin, 7164.