Chez Pissot, Paris. 1780. In-12. Relié plein cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Intérieur frais. 375 pages. Titre et caissons dorés sur le dos. Tranche rouge.. . . . Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
Avec Approbation et Privilège. Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
BOYARDO, Matheo Maria / TRESSAN, Louis-Élisabeth de La Vergne (comte de)
Reference : 8005
(1780)
1780 Paris: Chez Pissot, 1780. In-12: 11 x 18.5 cm, 2 ff. n. chiff. [faux-titre, titre], 52 pp. [épître, avertissement, Abrégé de la vie de l'Arioste extraite de Simon Fornari, de l'Abbé Pezana, etc., Traduction de la Lettre de Galilée au seigneur François Rinuccini], 2 ff. n. chiff. [Approbation], 376 pp. Reliure de l'époque en demi-basane rouge à petits coins. Dos lisse avec titre en capitales dorées et orné de filets. Roulette en encadrement des plats. Charmant volume, non ébarbé.
Tressan, comte de Louis-Elisabeth de La Vergne - MATHEO MARIA BOYARDO
Reference : 9613
Paris,DUFART AN IV-1796, 2 tomes reliés en un volume petit in16; reliure demi veau dos lisse,à filets dorés,102+91p.,Edition ornée de figures en taille douce, dessinèes par Moreau le jeune : 4 gravures dont 2 frontispices,bon etat; rare edition.
BOYARDO / BOIARDO (Matheo Maria) - TRESSAN (Louis-Elisabeth de LAVERGNE, comte de, trad. de).
Reference : 24202
(1780)
A Paris, chez Pissot, 1780. 2 parties reliées en 1 fort vol. in-12 (162 x 97 mm) de 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 52 pp. et 2 ff. n.fol. ; 376 pp. et 1 f. bl. Reliure légèrement postérieure de demi-veau glacé havane à coins, filet et dentelle à froid portés sur les plats, dos lisse orné de doubles filets dorés, larges fleurons à froid, titre doré, tranches mouchetées.
Edition originale de cette traduction libre de l'oeuvre majeure de Boiardo. L'ouvrage s'ouvre sur un Abrégé de la vie de l'Arioste et est suivi de la traduction d'une lettre de Gallillée. Roland l'Amoureux relate l'épopée romanesque est tirée de la chronique de Turpin, et où l'on voit figurer Agramant, Astolphe, Gradasse, Rodomont, qui sont devenus des types immortels. Comme Luigi Pulci, Boiardo s'inspire du cycle de Charlemagne mais son poème apporte une nouveauté fondamentale puisqu'il y mêle aussi des éléments du cycle des chevaliers de la Table Ronde. Ainsi, les prouesses guerrières, héritage épique de la matière française, acquièrent la dimension romanesque et merveilleuse propre à la matière bretonne. D'autre part, comme le titre l'annonce clairement, dans cette nouvelle épopée l'amour prend une dimension toute particulière. Loin de l'amour incarné comme un idéal moral par les compagnons du roi Arthur, l'amour dont fait preuve Roland est bien réel et le rapproche de la condition des hommes ordinaires. Quérard IX, La France littéraire, p. 549 - Cioranescu III, Bibliographie de la littérature française au XVIIIème, 62211. Absence de papier marbré sur les plats. Quelques rares rousseurs ou tâches claires dans le corps d'ouvrage. Du reste, belle condition.