2 books for « boursier abbe laurent... »Edit

‎Recueil de remontrances: Très humbles remontrances du Parlement de Normandie en date du 13 mai 1730, 45 pages; très humbles remontrances du Parlement de Normandie au Roi, au sujet du procès du Curé de St Godard de Roüen, 40 pages; très humbles remontrances du Parlement de Normandie (aout septembre 1753), 76 pages; Très humbles remontrances de Rouen (novembre 1753), IV-72 pages, Suivi de: Apologie des Curez du diocese de Paris contre l'ordonnance de Monseigneur l'Archevêque de Reims du 4 janvier 1717 portant condamnation d'un imprimé intitulé: Lettre des Curez de Paris & du Diocèse, &c...., sans lieu ni éditeur, 1718, VIII-328 pages+ 4 de table.‎

‎ 1718 recueil factice de remontrances, en 1 volume in-12 relié pleine basane naturelle de l'époque, 45, 40, 76, IV-72 et VIII-328-4 pages, dos à 5 nerfs orné de caissons à fleurons dorés, pièce de titre bordeaux "REMONTR", coiffes arrasées, quelques épidermures sans gravité, une charnière fendue sur 2 cm, mais bon état‎

‎Apologie des Curez du Diocèse de Paris, contre l'Ordonnance de Monseigneur l'Archevêque de Reims, du 4 janvier 1717 portant condamnation d'un Imprimé intitulé : Lettre des Curez de Paris, & du Diocèse &c. dans laquelle ils déduisent les Causes & moyens de l'Appel qu'ils ont interjetté au futur Concile Général, de la Constitution de N.S.P. le Pape Clément XI du 8 Sept. 1713. Seconde édition.‎

‎S.l. [Paris], 1718. 1 vol. in-12, parchemin, titre doré au dos, tranches jaspées de rouge. Reliure de l'époque. Bel exemplaire. VIII-328 pp., (3) pp. Nombreuses rousseurs.‎

‎Seconde édition "revue et corrigée" parue un an après l'édition originale in-quarto. Dans cet ouvrage, l'auteur prend la défense de la Lettre des Curez de Paris, qui avait été condamnée par Mgr de Mailly archevêque de Reims en 1717. Les "curés de Paris" protestaient contre la promulgation de la bulle Unigenitus qu'ils trouvaient infondée. "On trouve dans ce petit ouvrage (...) plusieurs Propositions téméraires, scandaleuses, fausses, erronées, schismatiques, injurieuses au Saint Siège & à l'Episcopat", écrit Colonia. Cette Apologie fut interdite par arrêt du Parlement du 23 octobre 1717. Colonia I, 80.‎