Jouaust - Librairie Des Bibliophiles Paris 1879 In-12 ( 170 X 105 mm ) de 67 pages, cartonnage de fine percaline coquille d'oeuf à la bradel, dos lisse orné d'une pièce de titre de maroquin anthracite avec date dorée en queue, couverture conservée, non rogné ( Reliure signée de PIERSON ). Belle impression de JOUAUST. 1 des 20 exemplaires du tirage de tête sur papier de Chine ( celui-ci non justifié ). Bel exemplaire. De la bibliothèque D. JOUAUST ( Ex-Libris gravé par J. CHAUVET imprimé par DELÂTRE, contrecollé au contreplat ).
Jouaust - Librairie Des Bibliophiles Paris 1884 In-12 ( 170 X 105 mm ) de XIII-58 pages, cartonnage de fine percaline crème à la bradel, dos lisse orné d'une pièce de titre de maroquin anthracite avec date dorée en queue, couverture conservée, non rogné ( Reliure signée de PIERSON ). Belle impression de JOUAUST. 1 des 20 exemplaires du tirage de tête sur papier de Chine ( celui-ci non justifié ). Bel exemplaire.
Paris, Nicolas Gosselin, 1709. 3 volumes in-12, (22)-378-6, (10)-468, (8)-372 pp. Reliure plein veau époque, dos à nerfs orné, pièce de titre.
3e édition, la plus complète, l'édition originale de ce recueil date de 1697. Edmé Boursault (1638-1701) écrivain pamphlétaire, célèbre pour ses attaques violentes contre Molière et Boileau. Boursault ne fut pas plus heureux comme publiciste que comme auteur dramatique. Protégé par les Corneille et Pellison, il avait vers 1660 une certaine réputation et était en relation avec de grands personnages. Il fut chargé en 1661 de rédiger chaque semaine des lettres en vers pour récréer Louis XIV. Quelques hardiesses, des récits trop lestes amenèrent des protestations : la publication fut interrompue et Boursault n'échappa, dit-on, à la Bastille que grâce à l'intervention de Condé. Dans ses " Lettres nouvelles ", on y trouve de tout : des chroniques d'actualité, des informations sur la ville et la cour, des épigrammes, des fables, des contes, des bons mots, etc. Bourgeois et André 1944. Brunet I-1183. Graesse I-513. Cioranescu15935. (un accroc sur une coiffe).
Edition originale de la pièce la plus rare de Boursault. Exemplaire de dédicace relié en maroquin bordeaux de l’époque armorié. Paris, N. Pepingué, 1665.In-12 de (2) ff., (10) ff., 46 pp., (2) ff.bl. Annotations manuscrites sur la garde blanche. Relié en plein maroquin bordeaux, plats richement ornés d’un double encadrement de filets et d’une roulette dorés, grandes initiales « C » entrelacées et couronnées aux angles au sein d’un motif de palmes dorées, grandes armes frappées or au centre, dos à nerfs richement orné, coupes décorées. Reliure de l’époque. 146 x 82 mm.
Rare édition originale de la pièce la plus rare du théâtre de Boursault, qui fut représentée sur le Théâtre de l’Hôtel de Bourgogne en 1665. Brunet, I, 1183. Pour cette comédie en trois actes et en vers, « l’auteur a puisé son sujet dans le poème de l’abbé de Cerisy. Pour se venger de la préférence que Philis accorde à Daphnis, Apollon empoisonne l’eau d’une fontaine où ces deux amans doivent aller boire. Daphnis y trouve la mort, et Philis, emportée par les vents, revoit son berger dans l’Olympe, où Jupiter les unit, et change en astres les yeux de la Bergère. Le caractère des deux amants offre un mélange de tendresse et de naïveté, de naturel et de sensibilité... » (Annales dramatiques ou Dictionnaire général des théâtres, p. 591) « Boursault (1638-1701) est un de ces auteurs dramatiques qui, au XVIIe siècle, eurent de la vogue à défaut de gloire, et dont quelques productions sont encore estimées aujourd’hui. Lorsqu’il vint à Paris en 1651, il ne savait encore que le patois de sa province : quelques années après, il était devenu un écrivain assez remarquable pour qu’on le chargeât de composer un livre destiné à l’éducation du Dauphin. Boursault plaisait par les qualités du cœur aussi bien que par celles de l’esprit ; son caractère franc et ouvert lui fit beaucoup d’amis. Il fut lié avec la plupart des gens de lettres ses contemporains, si l’on en excepte Molière ». Précieux et bel exemplaire de dédicace relié en maroquin bordeaux à fine dentelle de l’époque, aux armes et aux chiffres du marquis de Castelnau, le dédicataire de la pièce. Il provient de la célèbre collection Soleinne « Exemplaire de dédicace. – Cette pièce, dont Boileau s’est tant moqué, et qui est imitée d’un poème de Cerisey, parait être la plus rare du théâtre de Boursault ». (Collection Soleinne, I, n°1357). Jacques de Castelnau (1620-1658), marquis de Castelnau, petit-fils de Michel de Castelnau, est un aristocrate et militaire français du XVIIe siècle. Il se distingue pendant la guerre de Trente Ans en tant que lieutenant général des armées du roi en Flandres, et est élevé à la dignité de maréchal de France en 1658. Provenance : collection Soleinne.
— Paris : François le Breton, 1706 [Paris : veuve de Clément Gasse, 1702]. [Suivi de] :Les Fables d’Ésope, comédie. Troisième édition. — Paris : Nicolas Gosselin, 1700. 2 ouvrages en un volume in-12, 158 x 94 : (9 ff.), 97 pp. ; (10 ff.), 101 pp. — Veau havane, triple filet doré en encadrement et armes dorées au centre sur les plats, dos à nerfs orné, roulette dorée intérieure, tranches rouges (reliure vers 1720).
Intéressant recueil réunissant deux éditions rares de deux des principales pièces de théâtre d’Edme Boursault (1638-1701), le rival de Molière.La première pièce est la comédie moralisante en 5 actes, mêlée de fables, Ésope à la cour dans laquelle l’auteur attaque non seulement les courtisans mais également le roi. Elle ne sera représentée qu’après la mort de Boursault, le 16 décembre 1701.L’édition proposée dans le présent recueil est la rare originale posthume, dédiée à Madame de Villequier, remise en vente en 1706 avec un titre de relais à l’adresse de François Le Breton. Cette édition originale avait été partagée entre la veuve de Clément Gasse et Damien Beugnié ; les exemplaires qu’ils proposèrent avaient une composition différente. L’édition remise en vente par Le Breton est celle de la veuve Clément Gasse, achevée d’imprimer par Gilles Paulus du Mesnil le 31 janvier 1702.La seconde comédie du recueil est une nouvelle édition des Fables d’Ésope qui parut pour la première fois en 1690, plus connue aujourd’hui sous le titre d’Ésope à la ville. C’est avec cette pièce que Boursault renouvela le genre de la comédie morale en y introduisant des fables comme il le fera plus tard dans Ésope à la cour. Il s’agit d’une critique des mœurs du temps de l’auteur ; l’action se situe en Orient, à la cour de Crésus, roi de Lydie.Cette édition est la troisième de la pièce, après les deux données par Théodore Girard en 1690. Mais l’ouvrage connut également 3 contrefaçons en 1690, 1691 et 1693. Il s’agit de la dernière parue du vivant de l’auteur et la dernière sous ce titre. Elle prendra effectivement le titre d’Ésope à la ville suite à la publication d’Ésope à la cour en 1702.Précieux exemplaire provenant de la célèbre bibliothèque du comte Karl Heinrich von HOYM (1694-1736), ambassadeur du royaume de Saxe en France et l’un des plus grands bibliophiles de son temps, dont les armes figurent sur les plats.Quelques traces de mouillures sur les plats et sur plusieurs feuillets.Provenances : comte d’Hoym, avec ses armes sur les plats (cat. 1738, n° 2386). – De Saint-Geniès, avec ex-libris. – P. Grandsire, avec ex-libris.
Paris Librairie de Lecointe, "Nouvelle bibliothèque des classiques français" 1830 1 vol. relié 2 tomes reliés en 1 vol. in-16, demi-veau noir, dos lisse orné de roulettes dorées et fleurons à froid, XII + 204 + 232 pp. Coiffe inférieure arrachée, mors supérieur un peu frotté en tête.
[Ancienne Maison Quantin, Librairies-Imprimeries Réunies] - BOURSAULT, Edme ; ( COLLOMBEY, Emile )
Reference : 65992
(1891)
1 vol. in-12 reliure postérieure demi-maroquin violet, dos à 5 nerfs, couverture conservée, Ancienne Maison Quantin, Librairies-Imprimeries Réunies, Paris, 1891, 257 pp. et 1 f.
La plus grande liberté de ton règne dans la correspondance du dramaturge Edme Boursault (1638-1701) avec Louis-Marie-Armand de Simiane de Gordes, duc-évêque de Langres et pair de France. Superbe exemplaire en parfait état (ex-libris en garde).
Notice de M. Emile Colombey, portrait et index, tirage à 500 exemplaires numérotés (n° 100), 1 vol. in-12 reliure postérieure demi-basane marron, dos à 5 nerfs, couvertures conservées, Maison Quantin, Paris, s.d. [ circa 1880 ], 188 pp.
Paru en 1666, ce petit roman épistolaire est l'oeuvre d'Edme Boursault (1638-1701), dont les comédies connurent un beau succès en son temps. Sa rivalité avec Molière conduisit ce dernier à se venger par la publication de l'Impromptu de Versailles, qui donna à Boursault une certaine célébrité. Bel exemplaire.
A Paris, chez la Veuve Théodore Girard, 1697. Un fort vol. au format in-12 (168 x 102 mm) de 2 ff. bl., 18 ff. n.fol., 539 pp. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de plein veau glacé et moucheté blond, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, pièce de titre de maroquin acajou, titre doré, palette dorée en queue, roulette dorée sur les coupes, tranches jaunes et mouchetées.
Edition originale ''de cet ouvrage qui connut un certain succès puisqu'il en a été fait au moins quatre éditions''. (in Brunet). ''De son œuvre satirique se dégage une idée de la société de Paris et de Versailles plutôt arriviste et vénale, et comme on a pris l’habitude d’associer le nom de Boursault à des querelles qui l’opposèrent aux grands écrivains du temps, on a trop souvent mis l’accent sur sa plume vengeresse alors qu’il mena une vie de père de famille après son mariage avec Michelle Milley, dont il eut onze enfants, et qu’il évolua vers une sagesse moralisante. Il poursuivit son ascension d’écrivain en s’adaptant à l’évolution du mécénat et du public, et sa réussite mérite une considération que l’histoire littéraire ne lui a pas toujours accordée en le classant dans les minores.'' (Françoise Gevrey in Edme Boursault : de la polémique au roman). Brunet I, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1183 - Graesse I, Trésor de livres rares et précieux, p. 513 (ne citant qu'une édition de 1698) - Quérard I, La France littéraire, p. 476 - Gay IV, Bibliographie des ouvrages relatifs à l'amour, aux femmes, au mariage [...], p. 294 - Cioranescu, Bibliographie de la littérature française, 15934. Coiffes arasées. Petite coupe affectant le caisson supérieur. Angles émoussés. Manques superficiels affectant plus particulièrement le premier plat. Quelques rousseurs, tâches claires, petites cernes ou plissures dans le texte. Petit manque angulaire affectant le dernier feuillet (blanc).
A Paris, Chez Le Breton, 1739. In-12 de 242-(6) pp., basane havane, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Deuxième édition. L'édition originale fut publiée en 1670. Edme Boursault (1638-1701) est l'auteur de pièces de théâtre qui connurent un certain succès comme Le Mercure Galant, Ésope à la Ville et Ésope à la Cour. Admis à la cour du roi, il eut maille à partir avec Boileau et Molière qui le brocarda dans l'Impromptu de Versailles. Malgré l'avis de son ami Thomas Corneille, il refusa de postuler à l'Académie Française, « par modestie ».Ex-libris manuscrit « d'Herville » ; ex-libris armorié non identifié. Gay I, 291 ; Lever, La Fiction Narrative en prose au XVIIeme siècle, p.76 (pour l'édition originale).
Chez Le Breton, à Paris 1739, in-12 (9x16,2cm), viij 9-314p. ; (13) 14-288p., relié.
Nouvelle édition, rare, comme l'originale parue en 1670 de ces deux romans. Exemplaire aux armes des princes de Bourbon Condé, d'azur à trois fleurs de lys d'or, au bastion de gueules, ayant vraisemblablement appartenu à Louise-anne de Bourbon Condé, dite Mademoiselle de Charolais, fille de la fille légitime de Louis XIV, Mademoiselle de Nantes. Reliure en pleine basane blonde marbrée et glacée. Dos lisse orné de 4 fers avec petits fers angulaires et roulettes. Pièce de titre en maroquin rouge. Armes frappées sur les plats, triple filet d'encadrement. Une auréole jaune sur quelques feuillets en fin d'ouvrage. Mors finement restaurés. Bel exemplaire. Boursault est davantage connu et resté comme un dramaturge, bien que la postérité n'est souvent retenu que son rôle de censeur de L'école des femmes de Molière et de sa participation malheureuse dans les querelles théâtrale du XVIIe. L'auteur a pourtant oeuvré dans de nombreux domaines littéraires, notamment la nouvelle et le roman, dans une plume libre et légère. Ne pas croire ce qu'on voit est un ouvrage largement inspiré de Calderon et traduit très librement, La marquis de Chavigny étant un récit fait de péripéties amoureuses, de récits enchassés et de lettres ; on retient qu'un des épisodes annonce Les crimes de l'amour de Sade. On retiendra que l'action des oeuvres est contemporaine de l'auteur, ce qui est somme toute assez rare. Boursault, pour l'anecdote, a également écrit une nouvelle historique s'intitulant Le prince de Condé, ce n'est donc pas un hasard que de trouver des oeuvres de Boursault aux armes des princes de Condé. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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P., Librairie des Bibliophiles, Jouaust, (Nouvelle collection moliéresque), 1884 ; in-12. 2ff.-XIII-1f. (faux-titre)-58pp.-1f. Demi-toile violette. Dos insolé, des rousseurs.
Tiré à 300 exemplaires, un des 20 de tête sur Chine. L'ouvrage est précédé de : BOURSAULT, Les bavardes, scène tirée du Mercure Galant. P., Olendorff, 1898 ; 16pp. "Le médecin volant" de Boursault est sans doute une adaptation en vers de la farce du même nom de Molière ; elle fut imprimée en 1665 ou 1666. Boursault avait été nommé en 1672 à la charge de receveur des Tailles à Montluçon, mais plus préoccupé de ses travaux d'écritures que de la comptabilité des impôts, il en abandonna les fonctions en 1688. Mais il demeura à Montluçon où il avait fondé une famille et y mourrut en 1701.
Paris, De l'Imprimerie de P. Didot l'Aîné, 1792 2 volumes in-12 de (2)ff., 245pp. - (1)f., 269pp., maroquin citron, triple filet doré d'encadrement sur les plats, dos lisses ornés de caissons de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin noir, coupes et bordures décorées, gardes de papier rose, tranches dorées (reliure de l'époque).
"Importante édition luxueusement imprimée par Didot de ce récit d'un amour tragique au temps des guerres de religion. Elle est augmentée d'éclaircissement historiques dus à l'écrivain, compositeur et fermier général Jean-Benjamin de La Borde (1734-1794) dont l'histoire était un autre des talents. La maréchale de Saint-André interdit à Condé de sacrifier ses devoirs et son honneur à son amour pour elle, mais la grandeur d'âme dont elle fait preuve n'empêche pas le prince, une fois son affaire faite, de finalement la délaisser. Dégrisée, la passion cédant le pas à la haine, elle charge Montesquiou, amoureux précédemment évincé, de la venger. Puis se ravise, mais trop tard pour sauver ce ""prince charmant"" guère reluisant… ""Boursault a très bien saisi ce caractère sans énergie, héros ambitieux et amoureux au début du roman, mais las de l'amour quand il a obtenu ce qu'il désirait, incapable d'avoir même le courage de sa trahison, en souffrant sincèrement mais payant de mots celle qu'il abandonne et invoquant la fatalité pour excuser la fin de son amour. Si l'histoire s'arrêtait là, elle serait amère comme la vie; mais Boursault, moins discret que Mme de Lafayette, ne se refuse pas à des effets théâtraux […]. Montesquiou, par égoïsme, […] casse la tête à Condé d'un coup de pistolet. Après ce dénouement brutal, le roman s'achève dans la grisaille, comme s'achèvera La Princesse de Clèves."" (Henri Coulet, Le Roman jusqu'à la Révolution, Armand Colin, 1991, pp.263-264). Boursault (1638-1701) aura contribué avec Le Prince de Condé -d'où l'intérêt qu'il présente encore en 1792 pour La Borde et ses éditeurs- à fixer le prototype du roman historique et galant de l'époque classique dont le sommet reste bien sûr La Princesse de Clèves, paru en 1678, soit trois ans plus tard. Superbe exemplaire, sur grand papier vélin, en maroquin citron de l'époque. De la bibliothèque John Lowe avec ex-libris. Brunet, Manuel de l'amateur, I, 1183, qui comme Michaud écrit que cette nouvelle édition luxueuse et critique ressortit d'une petite collection de romans lancée à l'époque par La Borde (qui va bientôt mourir guillotiné, d'où vient peut-être qu'il reste peu de traces du projet…)."
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Amsterdam, Duvillard & Changuion, 1721, 2 volumes, in-16, reliés, pagination multiple. Frontispice à chaque volume, chaque pièce possède son frontispice et sa propre pagination, une vignette in-texte. Reliure d'époque, plein veau moucheté, dos à nerfs avec caissons et fleurons dorés, triple filet doré d'encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, roulette dorée intérieure, usure aux coins, des mouillures claires, déchirures sans manque à un frontispice et une gravure, défauts divers.
Bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris Chez André Degoin, Libraire 1713 in 12 (16x10) 1 volume reliure plein veau fauve de l'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge, 7 faux-feuillets liminaires non chiffrés, 97 pages. Relié à la suite: ESOPE A LA COUR, comédie héroïque ( A Lyon, 1711) 4 faux-feuillets liminaires non chiffrés, 96 pages. Edme Boursault, 1638- 1701. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
Chez les Frères Bonnet, Imprimeurs-Libraires (sans date, fin XVIIIe) 0 in 8 (20x13) 1 fascicule broché, sous couverture muette de papier marbré ancien, 59 pages. La page de titre imprimée manque, remplacée par une page de titre manuscrite ancienne, sans mention d'édition. Edme Boursault, 1638-1701. Tel quel ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Broché
Paris, aux dépens de la Société des Bibliophiles du Papier, 1932 (Imprimerie Stelmans).Un volume relié in 8 (14,5 x 22 cm) de [1]f. bl., [8], 125, [1] pp., [1] f. bl. Reliure plein vélin ivoire, titre imprimé sur le premier plat, tête dorée, garde de papier marbré, façon XVIIème sous étui, reliure non signée mais très probablement de Canape et Corrie. Frontispice gravé par Omer Bouchery et bandeaux dessinés par J. Bruna.Tirage à 110 exemplaires tous identifiés et numérotés sur papier vergé d'Arches fabriqué à la main et filigrané aux initiales des Bibliophiles du Papier. L'ouvrage est accompagné d'une circulaire indiquant que l'ouvrage est disponible chez Georges Canape, 18, rue de Visconti.Exemplaire en parfait état pour cette édition bibliophilique qui est suivie, en fin d'ouvrage, de "Remarques" intéressantes et érudites de Franz Calot.
Edme Boursault, né le 6 octobre 1638 à Mussy lÉvêque et mort le 15 septembre 1701 à Montluçon, est un dramaturge français. Ses Lettres amoureuses furent éditées pour la première fois en 1709.
[BOURSAULT (Edme) et CREBILLON FILS (Claude Prosper Jolyot de)] - ***.
Reference : 10857
A Jene (Iéna), chez Félix Fickelscherr, 1764, 2 parties en 1 vol. in-12 (172 x 110) relié plein veau fauve, dos lisse, titre fleuron et date en queue dorés sur le dos, tête dorée, roulette dorée sur les coupes, reliure postérieure (A.F. THIEBAUT rel.), de 35 pp. - (1) p. n.ch. - 204 pp. Dos légèrement éclairci, page de titre et préface légèrement jaunies, bel exemplaire non rogné par ailleurs.
Les Lettres de Babet, occupant les 35 premières pages, parues pour la première fois en 1669, sont de Edme Boursault, Les Lettres d'une Dames de qualité, occupant la deuxième partie, sont en réalité "Les lettres de la marquise de M. au Comte de R." de Crébillon fils, parues une première fois en 1732. Il a été relié dans notre exemplaire un frontispice représentant Crébillon fils de profil sur papier de Chine avant la lettre. Ex-libris D.F. 1902 collé en garde, il s'agit très probablement d'Eugène Daurand-Forgues (1857-1932), fils de Paul-Emile Daurand-Forgues, plus connu sous le pseudonyme d'Old Nick ou de Tim. Réf. biblio. : Barbier, II, 1246 : cite une édition d'Amsterdam de 1768 et ne donne que Crébillon fils pour auteur.
à Paris, chez Nicolas Gosselin 1699 2 volumes en 1. In-16 16,5 x 9 cm. Reliure de l’époque veau havane, dos à nerfs, [30]-378-[6]-[10]-470 pp., bandeaux, lettrines, culs-de-lampe. Notes manuscrites en pied de page in fine. Exemplaire en très bon état.
Recueil de chroniques du temps, d'informations sur la ville et la cour, de fables, de contes et de satires. Les 13 lettres d'une dame à un cavalier composent un court récit. Boursault (1638-1701) qui a oeuvré dans de nombreux domaines littérare, reste connu comme dramaturge, bien que la postérité n'est souvent retenu que son rôle de censeur de L'école des femmes de Molière et de sa participation malheureuse dans les querelles théâtrale du XVIIe. Bon état d’occasion
Chez Ph. N. Lottin, Paris 1725, In-12 (9,5x17cm), 79pp. (4) ; (10) 101pp. (2) ; xij, 95pp., 3 ouvrages en un volume relié.
Edition originale de cette lettre critique au sujet du Tasse et d'une nouvelle traduction. Nouvelles éditions pour les deux pièces de théâtre de Boursault. Reliure en plein veau blond glacé d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Un manque en tête au mors supérieur. Coiffe de queue légèrement élimée. Traces de frottement. 2 coins légèrement émoussés. Petites auréoles d'eau sur les plats. Bel exemplaire. Dans cette lettre à l'abbé Conti, Madame Riccoboni livre une critique et un essai sur la traduction. On y distingue une pensée moderne, en réaction contre les adaptations. La première édition des Fables d'Esope par Boursault date de 1690. C'est une pièce comique, qui consiste à illustrer par des scenettes les fables d'Esope, avec pour personnage principal Esope lui-même. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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par La Compagnie des libraires, Paris 1746, in-12 (9,5x16,5), (1f. fx tit.) (1f. tit.) (3f. épit.) (16f. avert.) 542pp. et (1f. fx tit.) (1f. tit.) vij (1f. non-chif.) 10-528pp. et (1f. fx tit.) (1f. tit.) (1f. fx tit.) (6f. épit.) 535pp. (3p. priv.), 3 volumes reliés.
Nouvelle édition, "plus belle et plus complète que celle de 1725" (Brunet). Reliure en demi-basane verte XIXe. Dos lisses ornés de triples filets dorés, initiales dorées en queue. Quelques épidermures, coupes et coins frottés. Auteur aujourd'hui oublié, Boursault avait une grande place dans la vie théâtrale de son époque. Il prit même une part active dans les querelles avec Molière et Boileau. Certaines de ses comédies eurent un franc succès, et une de ses tragédies fut par Corneille lui-même comparée à celles de Racine ; mais toutes ses pièces souffrent d'un manque de dramaturgie, ce sont des scènes juxtaposées, sans mise en scène. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Chez Nicolas Gosselin, à Paris 1700, in-12 (8,5x15cm), (22) 97pp., relié.
Mention de troisième édition. Le colophon porte la date de 1702 ; en effet, la pièce ne fut représentée qu'en 1701, et la première publication, posthume n'eut lieu qu'en 1702. Il y a en fait eu trois tirages différents en 1702, l'un à l'adresse de Damien Beugnié, l'autre à celle de la Veuve de Clément Gasse, et le dernier chez Nicolas Gosselin. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Coiffe de queue élimée. Ensemble frotté. Coins émoussé. Outre la dédicace qui explicite le projet de l'auteur, l'ouvrage contient une préface dans laquelle le dramaturge s'en prend aux objections contre sa pièce. Boursault décéda en 1701, avant l'impression. Comme la plupart des comédies de l'auteur qu'on nommait comédie à tiroirs ou à épisodes (en l'absence d'intrigue générale), celle-ci a été écrite en vers. certains passages qui pouvaient porter ombrage à Louis XIV furent censurés, et réécrits. Boursault connut souvent un fort beau succès avec ses pièces, en vertu d'un comique naturel et satirique et de nombreux vers bien tournés, et il est une figure incontournable du théâtre de l'époque, mais son oeuvre ne passa pas le temps, peut-être en raison de sa faiblesse dramaturgique. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Le Breton, 1739. 4 vol. in-12, veau blond, dos lisses ornés de fleurons dorés et de doubles filets dorés, pièces de titre en maroquin rouge, pièces de tomaison en maroquin La Vallière, double filet doré sur les plats, filet doré sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l'époque, qq. frottements aux coiffes. Bel exemplaire, coins légèrement émoussés. (2) ff., 198 pp.; 314 pp.; 288 pp.; 242 pp. Quelques rousseurs pâles.
Ensemble complet des oeuvres romanesques de Boursault publiées par Le Breton. Le Prince de Condé avait été publié pour la première fois en 1675, les trois autres en 1670. Quérard Godenne, 254 et 256; Lever, 314; Quérard I, 476.
Phone number : 02 47 97 01 40
Paris, Au Bureau de la Petite Bibliothèque des Théatres, 1786. Petit in-12. Contient : Vie de Boursault et Catalogue de ses pièces (40 pp.). Le Mercure galant ou Comédie sans titre (XII et 109 pp.). Les Fables d'Esope ou Esope à la ville (XXXII et 120 pp.) Pleine basane fauve d'époque, dos lisse orné, tranches marbrées. Légers frottements.
Ouvrage faisant partie de la Petite Bibliothèque des Théatres, Contenant un Recueil des Meilleures Pièces du Théatre François, Tagique, Comique, Lyrique et Bouffon, depuis l'origine des Spectacles en France, jusqu'à nos jours.
Paris : Jean Guignard, 1691 -1694 In-12, basane mouchetée de l'époque, dos à nerfs orné.
Coiffes manquantes, mors fendus en tête. Recueil de six pièces constitué par l’éditeur. Il contient : Germanicus, Tragédie. 1694. (18)-76 pages. (Cioranescu 15926) ; Marie Stuard, Reine d’Ecosse, Tragédie. 1691. (10)-70 pages. (Cioranescu 15924) ; La Comédie sans titre. Revûë & corrigée par son véritable auteur. 1694. (8)-92 pages. (Cioranescu 15925) ; Phaeton, Comédie en vers libres. 1694. (16)-88 pages. (Cioranescu 15930) ; Meleagre, Tragédie mise en musique. 1694. (6)-64 pages. (Cioranescu 15927) ; La Feste de la Seine, petit Divertissement en Musique. 1693. 12 pages.“Le théâtre de Boursault donne une foule de détails précieux pour l’histoire littéraire du temps.” (Solleinne I, 1355)Relié avec : [CAFFARO, père]. Lettre d’un Théologien illustre par sa qualité & par son mérite, consulté par l’Auteur, pour sçavoir si la Comédie peut estre permise, ou doit estre absolument deffenduë. S. l. n. d. (1694). 62 pages. (Barbier II, 1169)