Edition Plon, Nourrit, Paris, 1891. In/8 reliure plein veau raciné, dos lisse à titre doré sous étui cartonné, gardes de soie à décor peigné, doré sur tête, couvertures conservées, 435 pages. Edition originale. Exemplaire de tête à petites marges numéroté sur Chine (n°7/25). Mors fragiles.
P. Bourget, (1852 - 1935) poète, romancier, critique, il a collaboré à la Revue des Deux Mondes, au Globe, à la Nouvelle Revue, à L'Illustration et divers autres journaux et revues. Ses Poésies ont été publiées en deux volumes ; ses principaux romans sont : Cruelle Énigme, André Cornélis, Un Crime d'amour, Mensonges, La Terre promise, Cosmopolis ; Paul Bourget a été élu à l'Académie en 1894.
Edition Plon, Nourrit, Paris, 1924. In/8 reliure plein veau raciné, dos lisse à titre doré sous étui cartonné, gardes de soie à décor peigné, doré sur tête, couvertures et dos conservés, 294 pages. Exemplaire sur papier de Hollande van Gelder, à grandes marges 200 exemplaires.
P. Bourget, (1852 - 1935) poète, romancier, critique, il a collaboré à la Revue des Deux Mondes, au Globe, à la Nouvelle Revue, à L'Illustration et divers autres journaux et revues. Ses Poésies ont été publiées en deux volumes ; ses principaux romans sont : Cruelle Énigme, André Cornélis, Un Crime d'amour, Mensonges, La Terre promise, Cosmopolis ; Paul Bourget a été élu à l'Académie en 1894.
Edition Plon, Nourrit, Paris, 1920. In/8 reliure plein veau raciné, dos lisse à titre doré sous étui cartonné, gardes de soie à décor peigné, doré sur tête, couvertures et dos conservés, 308 pages. Exemplaire sur papier de Hollande van Gelder, à grandes marges (n°53/80).
P. Bourget, (1852 - 1935) poète, romancier, critique, il a collaboré à la Revue des Deux Mondes, au Globe, à la Nouvelle Revue, à L'Illustration et divers autres journaux et revues. Ses Poésies ont été publiées en deux volumes ; ses principaux romans sont : Cruelle Énigme, André Cornélis, Un Crime d'amour, Mensonges, La Terre promise, Cosmopolis ; Paul Bourget a été élu à l'Académie en 1894.
Broché, couverture illustrée, 19X14 cm, 1960, 196 pages, photos en noir, Arthème Fayard. Quelques taches au second plat sans gravité, bon état.
Reliure toile de l'éditeur sous jaquette, 26X24 cm, 1980, 213 pages, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, éditions Hachette. Très bon état.
Broché couverture rempliée, portrait de l'auteur en frontispice, 20X14 cm, 1948, 319 pages, un des 2200 exemplaires numérotés sur vergé impondérable, collection classiques français du XX° siècle, à l'enseigne du cheval ailé. Non coupé, très bon état.
Publications du Comité National Métropolitain du Centenaire de l'Algérie, 1930. In-8 broché, 96 p. Gravures. Bon état : mouillure discrète dans la marge inférieure des pages - 10 mots soulignés au feutre bleu + 2 dates annotées.
Paris, Gallimard, 1941. 12e édition. Coll. Catholique. In-12 broché. Bon état (couv. un peu roussie).
Reliure toile de l'éditeur, illustration en cuvette au premier plat, signet, 22X15 cm, 1965, édition originale numérotée, 317 pages, photos en noir, le cercle du nouveau livre d'histoire. Très bon état.
Librairie Alphonse Lemerre 1890. In/16, 311 pages, reliure demi-basane rouge à coins, à nerfs, doré sur tête. Portrait en frontispice, gravure de F. Masse. Introduction de R. Vallery-Radot.
Digne 1842, deuxième édition, in/8 broché, couverture avec des manques, 334 pages. Hommage de l'auteur. 8 gravures hors texte.
Librairie Alphonse Lemerre sans date vers 1922. In/16, 306 pages, reliure demi-basane à coins, dos orné à nerfs, doré sur tête.
Editions du Pigeonnier, St Félicien en Vivarais, 1923. Plaquette in/8 broché,couverture illustrée d’une vignette, bois gravés en deux couleurs par Paul de PIDELL, 19 pages. Exemplaire numéroté sur vergé d’arches - tiré à 675 exemplaires - avec une suite en noir des gravures.
Dialogue lyrique.
L'intelligence 1926, in/8 broché, couverture remplié, 334 pages. Exemplaire sur vélin de Rives N° 987. Préface de Louis Bertrand, portrait en frontispice de Marc Ezy.
Paris, Gallimard, 1941. 16e édition. Coll. Catholique. In-12 broché. Bon état (couv. un peu roussie).
Paris, Vincent, Fréal et Cie, Les grands architectes, 1956. In-4 (280x225mm) relié en toile bleue d'éditeur ; 192 p. Nombreuses ill. en noir. Dos insolé. Bon état général.
1892. In-8 (245 x 187 mm). En feuilles, 466 pp. notées 465 pp.,15 pp. notées 14 réparties par chapitre dans des chemises de papier ivoire, boîte en demi-chagrin noir, dos lisse, auteur et titre dorés [Ggbookbinding].
Ces transcriptions définitives sont de la main de Madame Bourget, corrigées par l'auteur. Le manuscrit se compose de feuillets volants dont les rectos sont entièrement couverts d'une écriture à l'encre brune, régulière, déliée et parfaitement lisible. Chaque chemise correspond à un chapitre et porte le titre : Cosmopolis. Roman par M. Paul Bourget. Sont ensuite indiqués le numéro du chapitre et généralement son titre entre parenthèses. Les feuillets sont numérotés en continus jusqu'à la fin du chapitre XI ; l'Épilogue reprend la numérotation au début - deux chemises portant le titre Porto et Le Lac de Porto sont des doublons inutilisés du chapitre XI. Selon la pratique habituelle de travail de Bourget, son épouse Minnie transcrivait ses textes qu'il corrigeait. Ce manuscrit porte ainsi les corrections également à l'encre brune de Paul Bourget, dont on reconnaît l'écriture, plus resserrée et plus épaisse. Les feuillets portent également des corrections et des annotations au crayon de bois et de couleurs, rouge et bleu, qui sont sans doute de l'éditeur, Alphonse Lemerre. Les titres portés par les chapitres sont ceux de l'édition de 1892. Le manuscrit témoigne cependant encore d'un “work in progress” jusqu'à la fin : outre les diverses corrections faites dans le corps du texte, on trouve des changements définitifs : le titre du chapitre IV qui d'Un Salon parisien à Rome, a été rayé et remplacé d'abord par Un Salon romain puis par Dangers croissants ; et le dernier paragraphe de l'Épilogue réécrit par Bourget sur 15 lignes. Ce dernier feuillet porte la mention manuscrite faite par Bourget (p. 14) : Rome. Avril. Paris. Avril Septembre 1982. Fin. Paul Bourget, un dandy décadent, maître de l'analyse. Paul Charles Joseph Bourget (Amiens 1852-Paris 1935), écrivain et essayiste, fit une carrière longue et brillante. Il fut fêté par la jeunesse d'avant-garde et la bourgeoisie dont il était issu. Il fit ses études à Paris au moment de la Commune. Il fut élu à l'Académie française en 1894. Anti-dreyfusard convaincu, il se convertit avec ferveur au catholicisme et adopta ensuite une idéologie nationaliste et monarchiste. Il fut Président du Collège des conservateurs du domaine de Chantilly de 1922 à sa mort et occupa un appartement de fonction dans la partie du domaine dite “Château d'Enghien” ou “Pavillon des conservateurs”. Bourget débuta comme poète : la Vie inquiète (1875), Edel (1878), les Aveux (1882). Jeune dandy, épris de voyages, il fut un moderne “décadent” se portant vers l'analyse dans ses Essais et Nouveaux Essais de psychologie contemporaine (1883 et 1885). Puis il s'orienta vers le roman psychologique qui assura sa renommée : Un crime d'amour (1866), André Cornélis (1887), ou Mensonges (1887). Ses voyages trouvèrent un écho dans des recueils de nouvelles comme Sensations d'Italie (1891) et Voyageuses (1897) ou des romans comme Cosmospolis. Bourget écrivait dans son journal intime : “Cosmopolis doit résumer la masse de mon expérience de voyageur et marquer le développement qui peut se tirer aujourd'hui du voyage.” Un portrait cosmopolite de l'entre-deux siècles. Cosmopolite et disciple de Goethe, Bourget désirait approfondir sa connaissance de l'autre en se frottant à lui. Disciple de Stendhal, il savait trouver une volupté intellectuelle et raffinée dans ces rencontres internationales, notamment italiennes et anglaises. Émule de Taine, il voyagea de l'Écosse à l'Italie. Cosmopolis se fait l'écho de cette connaissance du monde. Bourget y dresse un tableau acerbe et réaliste, avec Rome pour cadre, de la société décadente internationale de la fin du XXe siècle. “L'auteur entend bien marquer que chacun, dans ce creuset de nations et de classes obéit à son hérédité : l'usurier juif, le slave chevaleresque, l'américain positif, le condottière italien dégénéré, le sourcilleux colonel français, le marquis de Montfanon, brave mais dilettante, et enfin le romancier français, qui, touché par la foi, sert tout ensemble de compère à la revue, de moraliste et de porte-parole de l'auteur. Bourget, avec une gravité qui n'exclut pas la finesse, a enfin posé dans Cosmopolis le problème de la responsabilité (...). Il a expressément dénoncé la faute des sceptiques et le crime des blasés. C'est ce qui donne à son ouvrage une importance historique, sans parler du pittoresque des mœurs qu'il décrit” (Dictionnaire des œuvres). Cosmopolis est le vrai tableau de mœurs cosmopolites de l'auteur. Bourget y oppose trois femmes d'origine différente mais ayant le même mode de vie : une Anglaise, une Russe et une Italienne. L'auteur a cherché à montrer “l'abîme impossible à combler, celui de la race” (M. Mansuy). En 1888, Bourget écrivait : “Mon sujet de roman sur Cosmopolis se précise : un drame résultant de la réapparition d'instincts d'ancêtres dans des civilisés -la race invincible au cosmopolitisme.” Le roman témoigne des théories sur la race auxquelles l'auteur était sensible et qui annoncent celles du XXe siècle. L'œuvre de Paul Bourget est aujourd'hui considérée comme “un maillon utile à notre connaissance de l'époque” (Fougère et Sangsue). Son roman Cosmopolis “éclaire une époque charnière, porteuse des germes du siècle nouveau, significative de cette décadence que théorisa Bourget, si complexe, si ambivalente, signe simultané de fin et de renouveau” (M. Leray). Cet important manuscrit est complet. M. Mansuy, Prélude et suite de Cosmopolis : sur un manuscrit de Paul Bourget, 1962. Fougère et Sangsue, Avez-vous lu Paul Bourget ?, 2007.
Fragments posthumes d'un ouvrage de Claude Larcher, recueillis et publiés par Paul Bourget, son exécuteur testamentaire. Paris, Alphonse Lemerre, 1891. [achevé d'imprimer le 8 novembre 1890 par Alphonse Lemerre (Aug. Springer, conducteur), à Paris]. 1 volume in-12 (19 x 19 cm), broché, de (4)-IX-435-(1) pages. Couvertures imprimées. Exemplaire à l'état de parution, non rogné, à grandes marges. Petites fentes le long du premier plat de couverture, dos néanmoins solide et non fendu. Exemplaire à l'état proche du neuf. ÉDITION ORIGINALE.UN DES TRÈS RARES 15 EXEMPLAIRES SUR JAPON (n°12) SUR UN TIRAGE A 150 EX. DE LUXE SUR DIVERS PAPIERS (avec 100 ex. sur Hollande, 10 ex. sur Whatman et 25 ex. sur Chine). Exemplaire paraphé des initiales de l'éditeur Alphonse Lemerre comme il se doit.
Cet essai de Paul Bourget est dédié "A mon cher éditeur et ami Alphonse Lemerre, je dédie ces pages, qui font suite à Mensonges, comme un témoignage d'une déjà vieille affection. P.B. Rapallo, ce 8 octobre 1890." (dédicace imprimée placée sur le feuillet suivant le feuillet de titre). Claude Larcher était un personnage déjà présent dans le roman précédent de Paul Bourget, Mensonges(1887). Hofmannsthal a largement étudié la Physiologie de l'amour moderne de Paul Bourget et notamment le personnage-écrivain fictif inventé par ce dernier : Claude Larcher. Paul Bourget décrit Claude Larcher :"Comme beaucoup d’écrivains d’analyse, il [Claude Larcher] était habitué à s’étudier et à se juger sans cesse, étude et jugement qui n’avaient d’ailleurs aucune influence sur ses actions. Les plus menus détails lui servaient de prétextes à des retours sur lui-même et sur sa destinée, mais le seul résultat de ce dédoublement continuel était de l’entretenir dans une lucidité inefficace et douloureuse de tous les instants."(Mensonges, p. 4-5). « Il flotte un parfum si aristocratique de cercle et de mirliton, de bookmakers et de marquises dans ce livre », dit Hofmannsthal à propos de La Physiologie de l’amour moderne. Dans cet essai, sous titré Méditations de philosophie parisienne sur les rapports des sexes entre civilisés dans les années de grâce 188- , Paul Bourget expose sa théorie de l'amour moderne. C'est l'œuvre d'analyse du « premier » Bourget, écrite par un véritable physiologiste littéraire à prétention de physiologie scientifique et « qui a pour but d'arriver à la découverte de la loi générale dans le plus individuel des sujets ». Cette histoire de la maladie d'amour en évoque tous les aspects : l'amant, la maîtresse, le flirt, la naissance de la jalousie, la colère, la vengeance, la rupture et les remèdes à l'amour. L'auteur aborde ce sujet au travers d'anecdotes, introduisant une foule de personnages et parfois se mettant en scène. Dans cet « ouvrage grouillant de vie », nous découvrons un étalage chirurgical à propos des plus vulgaires sensations, l'ensemble des phénomènes cérébraux qui constituent l'instinct sexuel. En décrivant sur un ton de persiflage la femme, proie naturelle des désirs masculins, Paul Bourget (il a trente sept ans et vient de clôturer sa liaison parfois ombrageuse avec Marie Kann, qu'il a fini par détester) nous livre en fait toutes les découvertes qu'il a faites depuis dix ans sur la passion qui domine dans ce monde. Cette enquête sur les mœurs galantes des Parisiens dans les années 1880 apparut parfois comme une intention de libertinage et l'essayiste dut en adoucir plusieurs passages. Le « premier » Paul Bourget, celui d'avant sa conversion au catholicisme, est moraliste, un analyste des désordres du cœur ; faisant preuve d'un certain relativisme, il accorde moins d'importance aux mœurs qu'à la psychologie et considère ses romans comme « de simples planches d'anatomie morale » Il accuse en effet une vision souvent pessimiste de la société. Pour Edouard Rod, son contemporain, Paul Bourget apparaît comme « un désabusé, sceptique, pessimiste, indifférent, aristocrate, bien décidé à s'isoler du troupeau vulgaire, curieux de joies et de douleurs plus rares que celles du commun, prêt à aller chercher une consolation au mal de vivre dans d'égoïstes jouissances artistiques » Bourget recherche en effet le style analytique, la précision de l'observation minutieuse et se réfère à la science médicale et anatomique de l'époque. Il s'oppose pourtant au naturalisme. Il définit en effet le moraliste comme étant « l'écrivain qui montre la vie telle qu'elle est » et cette prise de position littéraire est soutenue par une volonté de connaissance psychologique. Dans Mensonges, il dresse ainsi le tableau complet d'une société, avec ses ramifications, y compris ses lisières douteuses. Il ajoute : « Ce que Claude Bernard faisait avec ses chiens, ce que Pasteur fait avec ses lapins, nous devons le faire, nous, avec notre cœur, et lui injecter tous les virus de l'âme humaine. Nous devons avoir éprouvé, ne fût-ce qu'une heure, les mille émotions dont peut vibrer l'homme, notre semblable » Il écrit par ailleurs dans la préface de Physiologie de l'amour moderne : « Interdire à l'artiste la franchise du pinceau sous le prétexte que des lecteurs dépravés ne voudront voir de son œuvre que les parties qui conviennent à leur fantaisie sensuelle, c'est lui interdire la sincérité, qui est, elle aussi, une vertu puissante d'un livre […] Imaginons-nous un lecteur de vingt-cinq ans et sincère, que pensera-t-il de notre livre en le fermant ? S'il doit, après la dernière page, réfléchir aux questions de la vie morale avec plus de sérieux, le livre est moral. C'est aux pères, aux mères et aux maris d'en défendre la lecture aux jeunes garçons et aux jeunes femmes, pour qui un ouvrage de médecine pourrait être dangereux, lui aussi. Ce danger-là ne nous regarde plus. Nous n'avons, nous, qu'à penser juste si nous pouvons et à dire ce que nous pensons. Pour ma part, je m'en tiens à ce mot que me disait un saint prêtre : — « Il ne faut pas faire de mal aux âmes, et je suis sûr que la vérité ne leur en fait jamais […] ». Il ajoute : « la peinture de la passion offre toujours ce danger d'exercer une propagande. Rendre l'artiste responsable de cette propagande, c'est faire le procès non seulement à tel ou tel livre, mais à toute la littérature ».(Source documentée et bibliographie Wikipedia, article Paul Bourget). Le second Paul Bourget (antidreyfusard, militariste et ami de Maurras, antisémite prosélyte, etc.) a éclipsé le premier pour n'en faire plus qu'un auteur de second rang répudié et dédaigné. Ses premiers romans et ces premiers essais, telle cette Physiologie de l'amour moderne, méritent à eux seuls d'être redécouverts et appréciés. TRÈS BON EXEMPLAIRE DE CET ESSAI ANALYTIQUE SUR LES "DÉSORDRES DU CŒUR". TRÈS RARE SUR PAPIER JAPON.
Phone number : 06 79 90 96 36
1904 reliure demi chagrin in-octavo, dos décoré or - titre frappé or - , tranches jaspées, deux livres reliés en un seul volume, Volume I : illustrations ornements typographiques par Orazi : frontispice portrait de Paul Bourget par Pierre Hepp + bandeaux - lettrine et cul-de-lape + 1 fac-similé : autographe de Paul Bourget, 47 pages, 1904 Paris E. Sansot et ompagnie Editeurs, Volume II : illustrations de S. Macchiati en front-de-chapitre in-texte et cul-de-lampe, 301 pages, 1899 Paris Alphonse Lemerre Editeur,
- Commentaires : de et sur Bourget - Volume I : biographie, suivie dune bibliographie - collection les célèbrités dajourdhui - Volume II : collection Guillaume-Lemerre - bon état -
Paris, Georges Crès et Cie, Les Maîtres du Livre, 116, Boulevard Saint-Germain, 1917, 1 volume in-12 de 195x135 mm environ, xviii-522 pages, 1f. (justificatif de tirage, reliure signée : Blanchetière, demi maroquin à coins aubergine et cartonnage marbré, dos lisse portant titres dorés, orné de caissons dorés et un motif mosaiqué et doré, cuir souligné d'un filet doré sur les plats, gardes de couleurs, tranche de tête dorée. Couvertures et dos conservés. Exemplaire N° 92, un des 1149 exemplaires sur papier des Manufactures Rives, numérotés de 62 à 1160, contenant un frontispice gravé sur bois par J.-L. PERRICHON et des ornements typographiques dessinés et gravés sur bois par P.-E. VIBERT. Dos légèrement décoloré, petits frottements sur les nerfs mors et coiffes, sinon bon état.
Paul Bourget, né à Amiens le 2 septembre 1852 et mort à Paris le 25 décembre 1935, est un écrivain et essayiste catholique français, académicien, issu dune famille originaire dArdèche. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Chambéry : Impr. chamberienne,1911,IN8, broche,49 p. : pl. et portraits ;
rare,bon etat
L’Étape est un des romans majeurs de Paul Bourget, rédigé d'octobre 1901 à mai 1902 et qui inaugure dans l’œuvre de l'auteur du Disciple un genre nouveau : le roman à thèse, que Paul Bourget préfère nommer « le roman d’idées ». Paul Bourget est l'un des grands hommes de lettres de son époque ; il fréquente Verlaine, Mallarmé, Rimbaud et les milieux mondains de la IIIe République, mais peu à peu revient à la foi catholique de son enfance et se repent des idées modernes. Tout comme Jean ; car le jeune héros de ce roman est travaillé simultanément par sa tendresse pour Brigitte et par la grâce de Dieu. Il doute de plus en plus des opinions révolutionnaires et anticléricales auxquelles il avait adhéré auparavant, par mimétisme ou par mode. Les sentiments, les rapports de classes, les agitations du XIX° siècle et l'Évangile sont ici rassemblés, chacune à sa place, par un grand Académicien qui nous raconte l'histoire de Jean. Ex-libris Paul Emile Cadilhac. Il voit le jour à La Cavalerie (Aveyron), le 9 août 1891. C’est un homme de lettres, rédacteur à « L’Illustration » (1925-1944), puis à « France-Illustration » (1946-1955). Il décède le 6 février 1968 complet en deux vols, reliés demi cuir, 19x13, très bel état intérieur, 245, 309pp. Couvertures d'origines conservées. Paris, Plon, 1902 ref/152
Plon 1930 1930. Paul Bourget: Laurence Albani/ Plon 1930 reliure toile . Paul Bourget: Laurence Albani/ Plon 1930 reliure toile
1919 1919. Paul Bourget: Laurence Albani/ Plon-Nourrit et Cie 1919 Référence: LMA16W. Paul Bourget: Laurence Albani/ Plon-Nourrit et Cie 1919
Bon état
Paul Bourget (1852-1935), écrivain, membre de l'Académie Française.
Reference : 013904
Paul Bourget (1852-1935), écrivain, membre de l'Académie Française. L.A.S., Costebelle, 29 mars 1925, 2p in-12. A l'écrivain Edouard Estaunié (1862-1942). Il lui envoie des places pour une cérémonie « comme celle du 2 » à laquelle il regrette de ne pouvoir assister : il s'agit de la réception d'Estaunié à l'Académie Française le 2 avril. Paul Bourget rappelle d'ailleurs qu'Estaunié lui a fait « le grand honneur de désirer son parrainage » (et que donc Bourget a voté pour lui. Sympathique document. [335-2]