Paris, Chez Léopold Collin, 1806. In-8, rel. fin XIXe demi-veau blond, dos lisse orné de filets dorés et à froid, titre frappé à froid, tranches mouchetées multicolore, XX-362 pp. Ex-libris (M. de Mareste)
Mors frottés, petites fentes aux mors sup., bel ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
A Paris, Chez Leopold Collin, Libraire, rue Gît-le-Coeur, n° 4 Relié 1806 In-8, (13x20 cm), relié demi-veau à coins, pièce de titre au dos, XX et 361 pages, avertissement de l'éditeur ; mouillures, légères traces sur les plats, manque sur le 4e plat, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris chez Georges Servant 1924 1 vol. broché in-4, broché, couverture rempliée, V + 546 pp., portrait-frontispice, index. Un des 64 exemplaires numérotés sur papier d'Arches, tirage de tête outre les 36 réservés aux membres de la Société des Bibliophiles François. Bon exemplaire.
S.l.n.d. (1790). 16 pages. (19x12 Cm). Broché. Rousseurs. Légères salissures à la page de titre. Manifeste où De Bourbon explique sa sortie de sa patrie au peuple.
20/10/1796 Missive triomphale très importante : Le quartier-général condéen est installé à Saint-Morgen ; la veille de cette missive, le prince de Condé envoyait un appel de détresse en direction de Frœlich : « Nous mourons tous de faim...», sécriait-il, avec lespoir de venir appuyer Froelich et lArchiduc. Mais, grâce aux Chasseurs nobles et à la vivacité du Corps condéen, le prince remportait une victoire du côté de labbaye Saint-Pierre, alors que Frœlich battait en retraite dans le Val-dEnfer : ...Nous en sommes venus à notre honneur ; nous avons chassé les ennemis pour la 2è fois devant nous, et nous sommes dans la position du 18 au soir... Il lui recommande ...la Note cy-jointe...Le 21 octobre, Condé faisait la jonction avec le duc dEnghien et lArchiduc autrichien Charles à Fribourg.
Paris, Servant, Paris, Servant1924 ; in-4, broché V, 547 pp. - 2 portraitsÉDITION ORIGINALE publiée sous les auspices de la Société des Bibliophiles françois. “Le prince de Condé ouvre son journal le 14 juillet 1789, à la nouvelle de la prise de la Bastille et émigre le 17. Son journal est d’abord le récit d’un voyage d’agrément de Bruxelles aux bords du Rhin, puis en Suisse. Fixé à Turin, le 26 sept., il y débute une activité politique qui l’amène à Worms en janv. 1791, où il organise une armée qui se bat de 1793 à 1795 sur le Rhin et en Alsace... Le prince de Condé est un “ultra” pour son temps, toujours prêt à en découdre contre la République, partisan des solution les plus énergiques.” Fierro 346.Tirage limité à 400 exemplaires. Celui-ci est UN DES 36 EXEMPLAIRES DE TÊTE SUR VERGÉ, nominatifs, offerts par le Cte. de Ribes aux membres de la Société des Bibliophiles françois. Carte de visite de ce dernier jointe à l’exemplaire.
P., Georges Servant, 1924, in-4°, v-546 pp, un portrait en frontispice, index, tiré à 400 ex., reliure demi-basane vert foncé, dos à 4 nerfs filetés et orné de fleurs de lys, couv. conservée, signet, coins émoussés, sinon bel exemplaire
"Le prince de Condé ouvre son journal le 14 juillet 1789, à la nouvelle de la prise de la Bastille et émigre le 17. Son journal est d'abord le récit d'un voyage d'agrément de Bruxelles aux bords du Rhin, puis en Suisse. Fixé à Turin, le 26 septembre, il y débute une activité politique qui l'amène à Worms en janvier 1791, où il commence à organiser une armée qui se bat de 1793 à 1795 sur le Rhin et en Alsace. Le journal se termine brusquement le 20 mai 1795. Le prince de Condé est un "ultra" pour son temps, toujours prêt à en découdre contre la République, partisan des solutions les plus énergiques." (Fierro 346).
30/07/1796 À la Révolution, le prince de Condé avait émigré afin dorganiser une armée contre-révolutionnaire. Stationnée sur les bords du Rhin, larmée de Condé passe sous le contrôle de lAutriche. Lettre passionnante dans laquelle Condé donne une leçon de stratégie militaire : ...Jamais les ennemis ne sy enfournerons (...). Ainsi M. de Froelich doit être bien tranquille pour la gauche ; son but doit être, de se coudre a celle de M. larchiduc, et pour cela, il faut en passant par Mem(m)ingen se rapprocher du Danube et dUlm si les avant-postes de S.A.I. [Son Altesse Impériale] sont avant de cette Ville... Condé soppose à une telle tactique et préconise doccuper la rive droite de LIller ...M. de Froelich mettant sa droite au Danube, et moi appuyant ma droite a sa gauche, a peu pres parallelement à lIller, je crois que la position seroit excellente, et quelle rempliroit les veus de M. LArchiduc, puisque M. de Froelich communiqueroit aisement avec les postes de ce pce [prince], par le pont dUlm ; nous serions dans cette position à portée de nous renforcer réciproquement (...), on pourrait même jeter des ponts, près et au-dedans dUlm, pour rendre la communication plus facile ; je croirois que cette position prise et une fois assurée, il seroit aisé de reprendre subitement loffensive, en vous faisant repasser le fleuve dans une nuit, pour renforcer S.A.I. et attaquer de suite (...). Voilà mon cher Orb ce que je pense, cela na peut être pas le sens commun, mais on me demande mon avis, et je le donne (...). Je suis intimement persuadé que cest ce quil y a de mieux a faire. Mandez-moi le plutôt possible, si quand et ou nous marchons...Lettre inédite (?) : inconnue de : Théodore Muret, Histoire de lArmée de Condé, Dentu, 1844, pp. 419-420.
[SION] CITOYEN DEMOLON EXPERT - LOUIS JOSEPH DE BOURBON CONDE EMIGRE ANCIEN PROPRIETAIRE
Reference : 21607
(1799)
nantes 1799 un document, de 2 pages, préimprimé en noir et manuscrit à l'encre brune d'une grande feuille sur papier vergé bleuté ligné et filigrané, format 22 centimètres de large par 34 centimètres de haut, en-tête "révolutionnaire" gravé en noir, en haut et au centre, timbre fiscal "Rep. Fra. Loire-Inférieure 1 F" en haut à droite en noir, fait à Nantes, le 10 septembre 1799,
Vieux Papier ORIGINAL d'époque ..En 1776, vente des forges de la Hunaudière et de leurs dépendances, au Prince de Condé. A compter de 1788, reconduction du bail de la forge avec ses dépendances (dont les marais de Queneux) et ses affouages. Cest toujours Louis Gérard Malherbe le principal bailleur et maître des forges. Survient la Révolution. Louis Malherbe sollicite du Comité de Salut public une prolongation de six ans du bail des forges de la Hunaudière devenues bien national mais cette proposition nest pas acceptée. Plus de maître des Forges mais un régisseur de biens de la nation qui jouera son rôle jusquà la vente aux enchères en septembre 1799 ......TRES RARE .......en bon état (good condition). en trés bon état