3 books for « bouhier d olivet »Edit

‎Tusculanes de Ciceron, traduites par Messieurs Bouhier; & d'Olivet (...)‎

‎ 1737 Paris, Gandouin, 1737, 2 tomes en 2 vol. in-12 de 398-(2) pp. d'errata ; 466-(6) pp. d'approbation, privilège et errata, rel. d'ép. demi-veau brun granité, dos à nerfs ornés de double-filets dorés, pièces de titres de maroquin rouge et de tomaisons de maroquin vert, coins de velin vert, plats de papier rouge moucheté, bel ex.‎

‎Ed. orig. de cette traduction. Ex dono manuscrit de l'un des traducteurs sur la page de garde du Tome 1er, de Jean BOUHIER (1673-1746) à son ami et concitoyen Jean-Baptiste Lucotte DU TILLIOT (1668-1750). L'ouvrage porte son Ex libris manuscrit sur la page de titre du 1er volume. Les deux auteurs, tous deux dijonnais partageaient les mêmes passions pour l'antiquité, l'érudition et la bibliophilie. ‎

‎Tusculanes de Cicéron, suivis des remarques sur les Tusculanes de Cicéron‎

‎Tusculanes de Cicéron, suivis des remarques sur les Tusculanes de Cicéron, avec une dissertation sur Sardanapale, dernier Roi d'Assyrie Messieurs Bouhier & d'Olivet, de l'Académie Française. Les Tusculanes (en latin : Tusculanae disputationes) sont une œuvre philosophique de Cicéron, dans laquelle l'auteur cherche à établir l'immortalité de l'âme et démontrer que le bonheur ne peut se fonder que sur la vertu. Il s'agit d'un manifeste du stoïcisme. Les Tusculanes prennent la forme d'un dialogue supposé entre Cicéron et un individu anonyme. Cicéron adopte comme technique argumentative de reprendre les arguments et exemples de ses prédécesseurs philosophes, pour fonder son propre raisonnement. Les cinq conférences des Tusculanes abordent les questions existentielles traitées traditionnellement par les écoles philosophiques : la mort et si elle est un mal ; la douleur et si elle est le plus grand de tous les maux ; la douleur de l'âme et si le sage est susceptible de chagrin ; l'âme du sage et les passions ; la vertu et si elle assure le bonheur. complet en 3 vols in12, 180x100, reliés pleine basane époque, fendillements des mors, accrocs, solidement reliés, bien frais, 398, 466 & 560pp. Chez Gandouin, Paris 1737‎

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‎Tusculanes de Ciceron suivi de Remarques sur les Tusculanes de Ciceron avec une dissertation sur Sardanapale, dernier Roi d'Assyrie.‎

‎ A Paris, chez Gandouin, 1737. 3 volumes in/8 reliure plein veau du temps, dos à nerfs à caissons dorés et pièce de titres, tranches rouges, vol 1 : 398 p., 1 f. - vol 2 : 466 p., 3 f. - vol 3 : 6 f. (avertissement, additions, errata, approbation et privilège), 6f. (lettre et table), pagination de 305 à 560 p. Exemplaires en excellent état. Ex-libris en page de garde et écrits à la plume sur garde volante.‎

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