S.l., 1789 in-8, viij pp., 186 pp., un f. n. ch. de corrigenda, broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé. Mouillures claires supra-paginales.
Rare et très détaillé pour les capitaineries d'Île-de-France. L'avocat Boucher de La Richarderie (1733-1810) avait joué un petit rôle local pendant la Révolution, mais abandonna la politique après le Terreur, et se mit à gagner sa vie avec sa plume.Thiébaud, 120. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Levrault, Schoell et Cie, et chez l'auteur, an XI (1803) in-4, xxiij pp., 396 pp., avec un frontispice et un tableau dépliant hors texte, sans le faux-titre, demi-basane blonde, dos à nerfs orné de filets et dent-de-rat dorés, pièce de titre brique, pièce de tomaison ovale (reliure de l'époque). Manque en coiffe supérieure, coiffe inférieure rognée, petites mouillures claires en début de volume.
Exemplaire tomé à posteriori, dans lequel on a séparé la partie du dictionnaire de l'exposé général, pour constituer un tome II (qui manque ici).La première édition de ce manuel de comptabilité moderne à l'usage des commerçants parut en 1704, et les rééditions augmentées ne cessèrent plus jusqu'à la nôtre. Mathieu La Porte (vers 1660 -1731) était un mathématicien, faisant partie, avec Jean Trenchant, François Barrême, François Le Gendre et Savary, des premiers auteurs de manuels de comptabilité.Quérard I, 439. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie nationale, Thermidor an III (août 1795) in-8, 8 pp., dérelié.
Obscur Jacobin, Boucher de Saint-Sauveur (1723-1806) siégea à la Convention, puis aux Anciens.Martin & Walter, 4443. Pas dans Le Clère. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Iouxte la copie imprimée à Paris, Guillaume Chaudière, R. Nivelle & R. Thierry, 1593 fort vol.in-8, [6] ff. n. ch. (titre, dédicace, préface), [645] pp. mal chiffrées 625 par suite d'une pagination particulièrement anarchique, [23] pp. n. ch. de tables, vélin rigide à recouvrements, dos à nerfs muet, tranches bleues (reliure de l'époque). Recouvrements abîmés.
Deuxième édition, publiée la même année que l'originale. Ces neuf sermons, dédiés au cardinal légat, s'appuient tous sur la thèse que la conversion de Henri IV n'est nullement sincère, mais constitue uniquement un stratagème pour lever les obstacles liés à la loi de catholicité dans la dévolution de la Couronne de France au Béarnais, le tout dans un ton absolu et extrémiste qui signale la secte.Jean Boucher (1548-1644), curé de Saint-Benoît de Paris, fut le théologien et le principal inspirateur spirituel de la Ligue, à la formation de laquelle il prit une part importante (il fut membre fondateur des Seize, puis du Conseil des Quarante). Lors de la prise de Paris, il n'eut d'autre recours que la fuite : il quitta la ville avec la garnison espagnole (22 mars 1594) pour se réfugier à Tournai.SHF, Hauser, 3074. Brunet I, 1151. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., 1610 in-8, [8] ff. n. ch. (titre, préface, extrait des registres de Parlement, sommaire), 323 pp., les pp; 289-297 [Lettre du Cardinal Montalte] étant rejetées à la fin du volume, avec plusieurs ff. vierges les séparant du f. 322-23, veau fauve, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches mouchetées de rouge (rel. du XVIIIe s.). Deux mors avec des manques, coins abîmés, petits trous de vers épars en marge supérieure, galeries de vers en marge inférieure.
Seconde édition (la première de 1595), publiée dans le contexte de l'attentat de Ravaillac, et pour rappeler les sources des précédents attentats. Avec 4 pièces ajoutées, toutes opposées aux doctrines du tyrannicide : Effects espouvantables de l'excommunication de Henry de Valois, & de Henri de Navarre (pp. 257-288) ; Lettre du Cardinal de Montalte (pp. 289-97) ; Discours par lequel il est monstré qu'il n'est loisible au subiet de médire de son Roy, & encor moins d'attenter à sa personne (pp. 297-304) ; Les Soupirs de la France sur la mort du Roy Henry IV (pp. 313-323).Très important pamphlet qui renouvelle les théories les plus extrêmes du tyrannicide à l'occasion de l'attentat manqué de Jean Châtel contre Henri IV (27 décembre 1594, dans la chambre même de Gabrielle d'Estrées). Comme le démontre amplement Hauser, il n'y a pas lieu de remettre en question l'attribution traditionnelle à Jean Boucher, alors exilé en Flandres.Le curé ligueur, pas remis de ses fureurs anciennes, veut démontrer que l'acte de l'assassin est non seulement juste, mais héroïque, exactement comme il l'avait fait pour l'assassinat de Henri III dans la seconde partie de son De Justa Henrici III abdicatione (1589). Bien sûr, tout cela s'appuie sur la doctrine du tyrannicide, l'incapacité de Henri IV à régner en raison de la fausseté de sa conversion, et se termine par un appel à un nouvel assassin, qui sera, espère t-il, plus heureux que Châtel.SHF, Hauser, 3122.Vignette ex-libris Libro liber. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Le Goupy, 1925 - 1926 2 vol. grands in-8, 188 pp., un f. n. ch. ; 176 pp., un f. n. ch., avec 72 planches hors texte, brochés sous couvertures illustrées.
François Boucher (1885-1966), archiviste-paléographe (de la promotion 1913), dirigea le centre de documentation du costume de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, puis devint conservateur au musée Carnavalet (dont il sera ensuite conservateur en chef) et conservateur des musées Victor-Hugo et Cognacq-Jay.Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Jacques Haumont, 1945 in-4, 186 pp., [2] ff. n. ch., avec de nombreuses illustrations dans le texte, broché sous couverture rempliée.
Un des exemplaires numérotés à la presse sur vélin du Marais (858/1000). Unique édition de ce récit sur les événements d'août 1944.François Boucher (1885-1966), archiviste-paléographe (de la promotion 1913), dirigea le centre de documentation du costume de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, puis devint conservateur au musée Carnavalet (dont il sera ensuite conservateur en chef) et conservateur des musées Victor-Hugo et Cognacq-Jay.Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Le Goupy, 1925 - 1926 2 vol. grands in-8, 188 pp., un f. n. ch. ; 176 pp., un f. n. ch., avec 72 planches hors texte, cartonnage papier bleu, couv. cons.
François Boucher (1885-1966), archiviste-paléographe (de la promotion 1913), dirigea le centre de documentation du costume de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, puis devint conservateur au musée Carnavalet (dont il sera ensuite conservateur en chef) et conservateur des musées Victor-Hugo et Cognacq-Jay. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Treuttel et Würtz, 1863-1868 8 vol. in-12, demi-veau vert d'eau, dos lisse, filets dorés et à froid (reliure de l'époque). Dos passé.
Édition originale peu communeTulard, 195. "Entré dans les douanes où servait déjà son père en 1803, Boucher a connu un avancement rapide et fournit sur cette administration de précieux renseignements. Ces mémoires se présentent à partir de 1805 sous forme de lettres. Source capitale pour l'histoire du blocus continental". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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BOUCHER, François / LONDERSEEL, Assuerus van / BOUCHARDON, Edme.
Reference : LCS-17828
Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. Paris, chez Huguier, vers 1735. Plein veau havane marbré, dos à nerfs richement orné, pièces de titre en maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 318 x 238 mm.
12 planches in-4 gravées par Le Bas et Ravenet d’après les dessins de Boucher. 1. Gaigne Petit – 2. A Racomoder les vieux souflets – 3. Des noisettes au litron – 4. Balais Balais – 5. Charbon Charbon – 6. A. Ramonner du Haut en bas – 7. A la crème – 8. Des patez – 9. Chaudronier chaudronier – 10. Des radix des raves – 11. La Laittiere – 12. Au vinaigre. Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. « Le père de Boucher, dessinateur de broderies, fut le premier maître de l’enfant. Mais devant les dispositions dont il témoignait, il se décida à le faire travailler sous une direction plus autorisée que la sienne. François Boucher entra dans l’atelier de Le Moine, dont il imita bientôt la manière, dans Le jugement de Suzanne. Il n’y resta que fort peu de temps, quelques mois à peine, puis vint travailler chez le père du graveur L. Cars, lequel était éditeur. Mariette nous dit à ce sujet que Boucher y dessinait pour les planches de Cars et qu’il recevait pour ce travail 60 livres par mois, non compris le logement et la table. Ce fut ainsi qu’en 1721 il fit les illustrations de l’Histoire de France de Daniel, gravées par Baquoy. Entre temps, il avait commencé à s’adonner à l’art de la gravure et ses premiers essais décidèrent M. de Julienne à lui confier le soin de graver les dessins de Watteau. Le jeune artiste, encore très épris de son art, travaille à la fois le dessin, la gravure et la peinture. Les 24 livres par jour que M. de Julienne lui donnait pour prix de son travail lui faisaient la vie assez facile, mais Boucher voulait entrer à l’Académie et s’efforçait de perfectionner sa technique. En 1723, il emporta le premier prix au concours de l’Académie, avec Evilmerodach délivrant Joachim. Il avait à peine 20 ans. Mais il ne possédait pas encore la faveur dont il devait jouir plus tard et l’influence contraire du duc d’Antin ne lui permit pas d’obtenir son envoi à Rome comme pensionnaire du roi. Deux ans plus tard, néanmoins, ayant réuni quelque argent, et grâce à la générosité d’un tiers, il fit le voyage d’Italie en compagnie de Carle Van Loo. Il ne semble pas d’ailleurs que Boucher ait tiré grand enseignement de l’étude des écoles italiennes, tout au moins de celles de la grande époque classique. Ses goûts le portaient naturellement vers une forme plus badine et moins étudiée, et des maîtres transalpins c’est assurément Albani, Tiepolo et Baroccio qui produisirent avec lui la plus grande influence. Agréé à l’Académie, dès son retour d’Italie en 1731, il devint immédiatement le peintre mondain, le portraitiste, semi-officiel des femmes à la mode, épouses ou maîtresses des financiers et des mythologies galantes, telles Vénus commandant des armes à Vulcain pour Enée. Il illustra dans le même temps, Molière et La Fontaine » (Benezit). - [Relié avec] : Londerseel, Assuerus van. (Anvers 1572 – Rotterdam 1635). Probablement élève de Peter van des Borcht. On lui doit notamment des bois dans le goût de Virgile Solis pour des figures de la Bible. On lui doit également des gravures d’ornements pour les joailliers, ainsi que cette remarquable suite de masques et danseurs constituée de 9 estampes à pleine page, vers 1600, à ce jour non répertoriée. - [A la suite] : Actions glorieuses de S. A. S. Charles Duc de Lorraine, 13 planches. - [Puis] : Médailles du Règne de Louis XV (par Godonnesche ou Fleurimont), 56 planches. - [Et] : Recueil de différentes Charges dessigné à Rome par Carloo Vanloo, Peintre du Roy, c. 1737. 12 planches. Premier tirage de cette superbe suite de 12 portraits d’hommes en pied de nations étrangères, gravées par Le Bas et Ravenet d’après Van Loo. - 30 planches diverses et portraits de la Marquise du Châtelet et de Voltaire, gravés par Fessard, J. P. Le Bas, Frère, Surugue, Aveline, d’après Jeaurat, Boucher, Wouvermans, Téniers, Watteau, etc. - [Enfin] : Bouchardon. Études prises dans le bas peuple, ou les cris de Paris, 1737-1746. In-4. 60 planches. Ce rare recueil se compose de 5 séries de 12 planches chacune, représentant les types des différents marchands et ouvriers ambulants de Paris. Ces planches, dessinées par Bouchardon, ont été gravées à l’eau-forte par Caylus et terminées par Fessard. Il est très rare de trouver une suite complète des 60 estampes. Première suite, 1737. Et se vendent à Paris chez Fessard. 1 pte. tache sur 1 pl. Seconde suite, 1737. Chez Fessard. Troisième suite, 1738. Chez Fessard. Quatrième suite, 1742. Chez Fessard. Cinquième suite, 1746. A Paris chez Joullain. « Très beau recueil dû au comte de Caylus » (Cohen). La signature du Comte de Caylus, auquel est dû ce très beau recueil, se retrouve encore, à la pointe, sur certaines des planches. La cinquième suite figure ici avant les numéros, comme dans le célèbre exemplaire Charles Cousin, Lord Carnavon, cité par Cohen en maroquin de Hardy. L’illustration superbe, montée sur onglets, constitue la plus belle suite de dessins exécutée par Bouchardon. Mêlant dans ceux-ci élégance et réalisme, ce grand sculpteur, excelle dans la représentation d'attitudes très variées et très vivantes et reproduit ainsi d'une façon très personnelle et pittoresque le monde si multiforme des petits métiers ambulants de Paris au début du XVIIIe siècle : porteur d'eau, vendeur de moulins, écosseuse de pois, écureuse, lanterne magique, vendeur de lardoirs, vinaigre, vendeuse de cerneaux, de petits pâtés, de pommes cuites au four, porteur d'eau, crocheteur, cureur de puits, raccomodeur de seaux et de souflets, mort aux rats, peaux de lapin, lacets, cotterets, balais, café, barbier, vielleux, diseuse de bonne aventure, tonnelier, crieuse de vieux chapeaux etc... Des planches de très belle facture, très pures et à très grandes marges. Remarquable et unique ensemble de 192 gravures sur très grand papier fort des XVIIe et XVIIIe siècles vraisemblablement réunies et reliées vers 1750 pour le roi Louis XV ou son entourage proche comme l’atteste la fleur de lys surmontée de la couronne royale frappée en queue du dos. Les estampes coûtèrent 64 livres, prix considérable au XVIIIe siècle et la reliure 4 livres. De la bibliothèque Edouard Rahir avec ex-libris adjugé au prix de 6 000 F le 7 mai 1935 (n°732).
S.l., s.é., s.d. [Circa 1750]. Dimensions (à vue) : 238 x 172 mm.
Jolie épreuve sous cadre doré et marie-louise satinée, signée dans la plaque de François Boucher et Laurent Cars ; appartenant à la suite venant illustrer les Oeuvres de Molière. Laurent Cars fut, ''à Paris, l'élève de Christophe. Peintre du roi, il travailla ensuite avec Le Moine. Il fut reçu académicien en 1773. Laurent Cars fut un des graveurs les plus estimés du XVIIIème siècle. Son dessin est savant, sa touche est moelleuse et expressive''. (in Bénézit). ''Cars vint à Paris exploiter une officine de gravures de thèses, où le jeune François Boucher fit ses débuts. Son oeuvre de graveur d'illustrations n'est pas moins remarquable que celui de peintre. Son nom reste attaché à juste titre à la traduction des figures de Jean-Baptiste Oudry pour les Fables de La Fontaine et surtout aux trente-trois compositions de Boucher pour le Molière de 1734''. (in Réau). Citant lesdites illustrations de Boucher pour Molière, Cohen indique qu'il s'agit là ''du chef d'oeuvre de Boucher comme illustration. C'est un des plus beaux livres de la première partie du XVIIIème.'' Cohen, Manuel de l'amateur de livres à gravures du XVIIIème, 712 - Sander, 1368 - Lewine, 361 - Portalis et Beraldi I, 319 - Bénézit II, Dictionnaire des peintres, p. 563 - Réau, La Gravure d'illustration, p. 53. Quelques discrètes tâches claires. Manque angulaire affectant le verre. Du reste, très belle condition.
Boucher Fils 51,5 x 28 et 52,5 x 27,5 Paris Deux planches comprenant quatre suites d'arabesques de François Boucher le Jeune (1736-1782), gravées à l'eau-forte, accolées deux à deux, 10,7 x 43 pour chaque suite, numérotées de 3 à 6, signature "Boucher F." en bas au dessus du trait des suites 4 et 6. Ces suites, dépliantes, sont extraites du Vème cahier d'arabesques de l'artiste. D. Guilmard "Les maîtres ornemanistes" p. 232. François Boucher le Jeune est le fils du peintre Boucher. Les modèles d'arabesques sont à la mode dans les années 1770. Les compositions, faites de femmes à l'antique, de vases, de faunes et de satyres, de guirlandes de fleurs, étaient destinées à être peintes, en miroir, sur des panneaux de boiseries, parfois associés à des ornements en stucs. Gravures décoratives.Très bon état.PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Estampes - Gravures - Dessins
Aux éditions Rieder, 1936. In-4 en feuilles sous étui (26,5 x 20,5 cm), double couverture. EDITION ORIGINALE, l'un des 20 exemplaires tirés à part sur Vélin d'Arches justifiés, celui-ci le n° XIX. Il est annoncé un seul dessin original pour ces derniers, nous joignons DEUX planches originales. Une composition originale en couleurs signée de l'artiste, et trois dessins originaux ayant servi à l'illustration du livre (dessin in-texte, lettrine, cul-de-lampe). Très agréable exemplaire illustré de 16 planches hors-texte, 1 carte dessinée hors-texte, et enrichi de deux planches originales de Lucien Boucher.-2kg. - Intérieur très frais, couverture blanche rempliée, imprimée en rouge et couverture brique illustrée en blanc (couverture de substitution pour le relieur), étui cartonné rouge.- Lucien Boucher est un dessinateur, graveur, affichiste et illustrateur français né à Chartres en 1889 et mort en 1971- Bel exemplaire, rare.
Boucher Fils Chereau 19,5 x 25,5 Paris Volume in-4, s.d. [circa 1780], reliure demi-veau fauve début XXe, dos lisse, titre et filets dorés, gardes peignées, page de titre moderne, comprenant 45 planches à l'eau-forte 280 x 80 ou 210 x 150, composées et gravées par François Boucher le Jeune, montées sur onglet en VIII cahiers : Cahier A : 6 pl. (dont le titre Premier Cahier), sur 6 ff. ; cahier B : 6 pl. (dont le titre IIe Cahier), sur 6 ff. ; cahier C : 6 pl. (dont le titre 3e Suite), sur 6 ff. ; cahier D : 6 pl. (dont le titre 4e Suite), sur 6 ff. ; Cinquième cahier : 6 pl. 430 x 250, (dont le titre Ve Cahier) sur 3 ff. dépliants ; cahier A : 6 pl. (dont le titre VIe Cahier) sur 6 ff. ; cahier B : 6 pl. (dont le titre VIIe Cahier) sur 6 ff. ; cahier C : 6 pl. (dont le titre VIIIe Cahier) sur 6 ff. D. Guilmard "Les maîtres ornemanistes" p. 232. François Boucher le Jeune (1736-1782) est le fils du peintre Boucher. Les modèles d'arabesques sont à la modes dans les années 1770. Les compositions, faites de femmes à l'antique, de vases, de faunes et de satyres, de guirlandes de fleurs, étaient destinées à être peintes, en miroir, sur des panneaux de boiseries, parfois associés à des ornements en stucs. Recueil bien complet. La page de titre du 1er cahier est grise, ainsi que les dernières planches, quelques marques d'humidité, mais bon ensemble.(ApB38) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Livre
Paris, Pélissier-Dentu, 1824 in-8, 56 pp., dérelié.
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Paris, Fain jeune, Le Normant, veuve Tilliard et fils, Debrai, Desenne, 1804 in-8, [6]-259 pp., des annotations manuscrites au crayon, broché sous couverture d'attente de papier caramel. Des mouillures marginales.
Unique édition de cet opuscule de circonstance, voire de propagande, qui avait pour but de légitimer l'exceptionnel déplacement de Pie VII à Paris à l'occasion du Sacre de Napoléon. Comme l'on sait, c'est sur l'insistance de l'Empereur que le pape se résigna à ce voyage en tous points hors normes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris-Nancy, Berger-Levrault, 1911 in-8, X-93 pp., 3 croquis h.-t., toile noire, couv. cons. (rel. de l'époque). Dos abîmé, trace d'étiquette de bibliothèque. Cachet (annulé).
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Paris, Berger-Levrault, 1930 in-12, 142 pp., portrait-frontispice, demi-percaline brune (reliure de l'époque). Coins émoussés. Qqs annotations. Cachet (annulé).
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Paris, Berger-Levrault, 1930; in-12, 142 pp., portrait-frontispice, demi-toile rose à coins (reliure de l'époque). Dos passé. Cachets (annulés).
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Paris, Charles-Lavauzelle, s.d. gr. in-8, 314 pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque). Dos sali avec trace d'étiquette. Cachet (annulé).
De l'armée antique à la Cyropédie de Xénophon. De l'application de ces principes à l'époque moderne. L'ouvrage se termine par l'exemple de l'armée japonaise. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Rousseau, 1923 gr. in-8, XI-190 pp., broché. Cachets (annulés).
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Orléans, Herluison, 1881 in-8, 30 pp., broché. Joint une lettre autographe de l'auteur.
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Paris, Picard, 1969 in-8, 306 pp., ill. h.-t., bradel demi-percaline violine, dos orné, couv. cons. (Lavaux). Ex-libris J. Camus.
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Paris, P.U.F., 1964 in-8, VIII-219 pp., broché. Joint un billet autographe de Philippe Salomon.
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1938 Couverture souple Paris, Aux éditions Rieder, 1938. In-8, broché (24 x 16,5 cm), couverture illustrée rempliée, plastique de protection. Frontispice, 317 (2) pages, 12 illustrations hors-texte en couleurs sous serpente, nombreuses vignettes in-texte. L'un des 2000 exemplaires numérotés sur vélin blanc. Edition réalisée sous la direction de Marcel Lubineau. Bel exemplaire.
Très bon