Amsterdam, aux dépens de la Compagnie, 1745. 3 vol. in-4, XXXVII-14-364 pp. + 491 pp. + 418 pp. + XX-47 pp., veau marbré brun de l'époque, filets à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de caissons dorés, tranches rouges (petits manques, épidermures, galeries de ver, ex-libris biffés aux titres, quelques rousseurs et taches).
Première édition collective du texte de Bossuet dans l'édition dite de Pérau ou Paris comprenant, et ce n'est pas toujours le cas comme le précise Brunet, la Justification des réflexions sur le Nouveau Testament. Elle constitue les volumes III à V établis par l'abbé Leroy pour les Oeuvres de Bossuet. Complet des errata de chaque volume. Brunet, I, 329; Tchemerzine, II, 439. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Frédéric Léonard, 1682 ; in-4 de 74 pp., brochure de l'époque, papier peigne.
Édition originale très peu commune. Connu sous le titre de Sermon sur l'unité de l'Eglise, le texte fut considéré comme le manifeste du gallicanisme et comme le point culminant de l'art oratoire de Bossuet. « Il aurait dû mourir après le Sermon sur l'unité de l'Eglise, comme Scipion l'Africain après la bataille de Zama » (Joseph de Maistre). C'est le seul des sermons de Bossuet à avoir été imprimé du vivant de l'auteur, qui se souciait peu de gloire littéraire. Vignette gravée par Edelinck d'après Watelé. Des rongeurs ont rogné l'angle inférieur des premiers feuillets, sans approcher du texte imprimé. Manques au dos.
Fribourg, (Fragnière), 1928, gr. in-8°, 64 p., non coupé, plus 1 f. d'errata, brochure originale.
Contient une préface de Charles Journet, et les 3 écrits: 1) La vie cachée en Dieu. / 2) L'oraison de simplicité. / Le mystère de l'unité de l'Eglise.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Chez Collignon. 1806. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos frotté, Quelques rousseurs. 374 +399 pages. Petits manques aux coiffes. Dos fané. Diverses annotations en page de garde et de titre. Contreplats marbrés. Quelques epidermures sur les plats. 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
Classification Dewey : 944-Histoire de France varia
Paris, Sebastien Marbre-Cramoisy 1671, 160x90mm, reliure veau marbré de l’époque. Tirre, encadrements et fleurons dorés au dos. Toutes tranches rouge. Garde marbré. Coiffes usées. Coins émoussés. Dorures au dos passées. Coins supérieurs des pages tachés.
3 ff. + 189 pages, lettrine, bandeau,
D'elusseux Paris 1726 In-12 ( 175 X 100 mm ) de 83 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées de rouge ( reliure de l'époque ). 1 mors fendu sur 3 cm, coins émoussés, sinon bon exemplaire.
Desaint & Saillant Paris 1746 In-12 plein veau nervé. Dos lisse. Pièce de titre noir, titre doré, filets dorés en place des nerfs. Caissons richement ornés de dorures, fleurons dorés, filet sur coupes.406 pages.Titre, Préface, Lettres.Edition originale.Rare édition originale de ces lettres adressées à Mme de Cornuau retirée après la mort de son mari en la communauté de La Ferté-sous-Jouarre.
Barthelemy Alix Paris 1736 In-12 pleine basane havane marbrée glacée de l'époque, dos à cinq nerfs et fleuronné, tranches dorées. CLXVII ( Mandement ), un feuillet ( faux-titre de la première partie ), 121 ( chiffré 211 ) pages, un feuillet ( faux-titre de la deuxième partie ), 225-[15] pages et un feuillet d'errata. Index. Texte latin suivi de sa traduction française. Edition originale. TCHEMERZINE II, 429.ROCHEBILIERE, 290. VERLAQUE, 87. Coins émoussés, coiffes usées, galerie de vers en marge de quelques feuillets, agréable exemplaire dans une reliure solide. Rare. Nombreux découpis de catalogues de ventes aux enchères collés dans le premier contreplat.
Sebastien Mabre-Cramoisy Paris 1682 In-12 plein cuir d'époque, dos à 5 nerfs, titre doré, caissons richements ornés de dorures, roulettes dorées sur les coupes. Coiffes absentes, mors frottés. 503 pages.Edition originale d'un des plus célèbres ouvrages de controverse de Bossuet.1 vignette.Titre, avertissement, table des articles, conférence, réflexions, privilège.Notices de catalogues de ventes aux enchères de cet ouvrage collées au premier contreplat.Usures aux mors avec fentes de 5 cm, coins émoussés, bon exemplaire dans une reliure solide.
Les Frères Estienne Paris 1775 In-12 plein cuir d'époque. Dos lisse, titre doré sur un pièce de titre bordeaux. Dos richement orné de dorures, tranches rouges.408 pages.Titre, Préface, Lettre de Bossuet à son Clergé, Dissertation, Préfaces sur les cinq livres sapientiaux, Table des sommaires, Approbation et Privilège.Ex-Libris de L.P.Marotte. Presbyteri.Très bel exemplaire.
Relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Jacques-Bénigne Bossuet, neveu du grand orateur et responsable de la publications de ces traités. Paris, Barthélémy Alix, 1731. 2 parties en 1 volume in-12 de 26 pp., (3) ff. de table, 155 pp., (1) f.bl., (1) f. de titre, 218 pp., (6) ff. Relié en plein maroquin rouge de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, grandes armes frappées or au centre, dos à nerfs richement orné, coupes décorées, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 162 x 92 mm.
Edition originale de deux traités majeurs de Bossuet. Bibliothèque de Backer, n°998 ; Bulletin Morgand et Fatout, n°129 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 336 ; Tchemerzine, I, 905 ; Brunet, I, 1139. Bossuet fut nommé précepteur du Dauphin en 1670 et le Traité du libre-arbitre est l’un des ouvrages composés pour l’éducation du futur souverain. Le sujet abordé traite du ‘moyen d’accorder notre Liberté avec la certitude des décrets de Dieu’. La question de savoir s’il existe des choix humains indépendamment de la souveraine grâce de Dieu venait de diviser les catholiques de France en deux camps : les jésuites, soutenus par le haut clergé ainsi que par le Roi, et les jansénistes de Port-Royal, minoritaires mais solidaires autour de brillantes autorités théologiques et intellectuelles telles que Arnault et Pascal. Or les années qui virent Bossuet précepteur du Dauphin coïncident presque exactement avec la Paix de l’Eglise de France (1668-1678). De plus, les jansénistes furent parmi les rares personnes à ne pas entrer en conflit avec Bossuet, même si sa situation à la Cour ne permettait pas à ce dernier d’afficher trop haut l’intérêt qu’il portait à la théologie de Port-Royal. Aussi la richesse du Traité du libre-arbitre réside principalement dans la synthèse fragile mais courageuse (c’est tout de même au futur Roi de France que Bossuet s’adresse), de deux doctrines pourtant farouchement opposées. Ce texte méconnu donne la très juste mesure d’une période de tolérance officielle bientôt vaincue par le raidissement des libertés en matière de religion. Le Traité de la concupiscence, composé vers 1693, reflète quant à lui l’époque suivante, période trouble où les positions doctrinales sont beaucoup plus rigides et les mœurs beaucoup plus libres. Evêque de Meaux depuis 1681, écouté par la cour qui se déplace de Paris et de Versailles pour ses prêches, docteur incontesté de l’Eglise de France, Bossuet s’en prend ici aux libertins, aux mondains, vitupérant contre le mensonge de leur esprit et la vanité de leur vie. Ce texte devait s’intituler Considérations sur les paroles de Saint Jean : ‘N’aimez pas le monde’ mais le neveu de Bossuet, évêque de Troyes et préfacier de cette édition, a préféré l’autre titre, plus sévère. Le lien avec Versailles s’est maintenu jusqu’à la fin de la vie de Bossuet. Il occupait une place essentielle au sein de la cour de France, il était conseiller du Roi en ses conseils et conseiller ordinaire en ses conseils d’Etat. « La conclusion de cette brève étude sur Bossuet un des génies les plus hauts et les plus féconds de notre littérature, n’est-ce pas à La Bruyère qu’il faut l’emprunter : « Orateur, théologien, philosophe… Parlons d’avance le langage de la postérité : un Père de l‘église ». Encore convient-il d’ajouter à cette place : un maître de la langue française qui n’eut peut-être jamais son égal, un de ceux à qui notre pays est le plus redevable de sa magistrature littéraire universelle. » (Rév. D. Delafarge). Prestigieux exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque aux armes de Jacques-Bénigne Bossuet, neveu du grand orateur et responsable de la publication de ces traités. « Jacques-Bénigne Bossuet (1664-1743), neveu du célèbre orateur, devint licencié en théologie, vicaire général de Meaux et abbé de Saint-Lucien de Beauvais, à la mort de son oncle, en avril 1704 ; il fut nommé évêque de Troyes en mars 1716, mais il n’obtint ses bulles que deux ans plus tard, en 1718 ; il se démit de son évêché le 30 mars 1742. L’évêque de Troyes avait hérité de la bibliothèque de son oncle qu’il augmenta considérablement. » (OHR, n°2299). Le présent exemplaire est cité en référence par Olivier-Hermal pour les fers apposés sur sa reliure (OHR, n°2299, fer n°3). Les éditions originales de Bossuet conservées en maroquin de l’époque armorié ont de tous temps été recherchées des bibliophiles.
Paris, Christophe David, 1732. In-4 de (4)-528-(8) pp., veau havane marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, double filet à froid d'encadrement sur les plats, double filet doré sur les coupes, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Nouvelle édition. Evêque de Condom en 1669, Bossuet subordonna ses activités d'homme d'Eglise à la tâche de précepteur du Dauphin qui lui fut confiée de 1670 à 1680 : pour son élève, il se fit philosophe et historien, notamment dans le Discours sur l'histoire universelle où il tentait de faire la synthèse de l'ordre divin et de l'activité humaine. Un des premiers traités historiques où apparaît une philosophie de l'histoire qui illustre « l'influence du génie du christianisme sur le génie de l'histoire » (Chateaubriand). Provenance : bibliothèque du Marquis de Vichy avec ex-libris armorié.Très bel exemplaire à grandes margesEn français dans le texte, 118 (pour l'édition de 1681).
J. De Gigord 1930 1930.
Jean Anisson Paris 1697 Fort in-8 plein veau d'époque. Dos à 5 nerfs, titre doré, caissons richement ornés de dorures. Roulettes dorées sur les coupes. Coiffes absentes, coins élimés.Edition parue la même année que l'originale, dans laquelle, Bossuet rectifia les erreurs contenue dans la première en avouant humblement et "franchement qu'il s'était trompé".Titre, Préface, Table des chapîtres, Approbations, Lettre de l'auteur, Instruction, Actes de la condannation des Quiétistes, Tables des matières, Privilège.Bel exemplaire.
Beaucé-Rusand Paris 1828 In-8 broché.318 pages.Oeuvres dédiées à Monseigneur le Duc de Bordeaux.Portrait en frontispice peint par Rigaud et gravé par Gaucher.Dos cassé et recollé.
Exemplaire à belles marges relié en maroquin doublé de maroquin de Chambolle-Duru. Paris, chez la Veuve de Sebastien Mabre-Cramoisy, 1689. In-12 de (2) ff., 562 pp., (1) f. de privilège. Plein maroquin brun doublé de maroquin rouge, plats et dos richement ornés aux petits fers, double filet or sur les coupes, riche dentelle dorée sur la doublure, tranches dorées sur marbrures. Chambolle-Duru. 163 x 90 mm.
«Edition originale des six grandes oraisons funèbres de J.-B. Bossuet, réunies en recueil.» (Tchemerzine, I, 862). Elle contient les Oraisons funèbres de Henriette Marie de France, Reine de la Grande-Bretagne; Henriette Anne d’Angleterre, Duchesse d’Orléans; Marie-Thérèse d’Autriche, Infante d’Espagne, Reine de France et de Navarre; Anne de Gonzague de Clèves, Princesse Palatine; Messire Michel Le Tellier, Chancelier de France; Louis de Bourbon, Prince de Condé. «Les ‘Oraisons funèbres’ sont les œuvres par lesquelles Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux (1627-1704), conquit une gloire universelle. Comme La Fontaine a recréé la fable, on peut dire que Bossuet a réinventé l’oraison funèbre. Il fut toute sa vie un prédicateur; sa carrière lui fut imposée, dès son ordination, par son directeur de conscience, Saint-Vincent de Paul, qui exerça une influence si décisive sur lui qu’il avait coutume de dire qu’il croyait en l’entendant, entendre parler Jésus-Christ lui-même. Ce n’est que parce qu’il devint un orateur célèbre que Bossuet se trouva, dès 1656, dans l’obligation de prononcer des éloges funèbres. On trouve dans les ‘Oraisons funèbres’ non seulement un pathétique qui porte, mais de rudes leçons pour les Grands. Bossuet n’est jamais un plat courtisan: il a le respect de l’histoire et s’il est contraint à d’indispensables ménagements, il demeure fidèle à la vérité et il sait se faire entendre; il demeure avant tout un homme d’Eglise, un évêque. L’orateur sacré est, pour lui, le successeur des prophètes d’Israël, il doit enseigner les Grands et les reprendre. Aussi ces éloges sont-ils, avant tout, l’occasion de solennelles exhortations chrétiennes, car Bossuet, comme l’a dit un de ces biographes, est ‘le catholicisme fait homme’. L’éloquence n’est pour lui qu’un moyen, mais ce moyen il le veut aussi parfait que possible: la simplicité et la noblesse de la langue, l’éclat de son style ne sont rien auprès de cette séduction foudroyante, de cette fascination du verbe qui fond du ciel sur les âmes, qui subjugue et convainc et par quoi Bossuet a mérité d’être appelé ‘l’aigle de Meaux’.» Précieuse édition originale «imprimée en beaux caractères et sur bon papier» dit Brunet, I, 1133. Elle fut réimprimée en 1699, 1704 et de nombreuses éditions suivirent au XVIIIe siècle. Superbe exemplaire à belles marges, relié en maroquin doublé de maroquin par Chambolle-Duru.
Edition originale posthume des Méditations sur l’Evangile de Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux (1627-1704), composée et adressée aux religieuses de la Visitation de Meaux en 1695. Paris, Pierre-Jean Mariette, 1730-1731. 4 volumes in-12 de: I/ (1) f.bl., 63 pp., (17), 519 pp., (1) f.bl. ; II/ (1) f.bl., (1) f., 464 pp., (6) ff., (1) f.bl.; III/ (1) f.bl., (2) ff., 454 pp., (8), (1) f.bl.; IV/ (1) f.bl., (2) ff., 506 pp., (18), (1) f.bl. Reliés en plein maroquin rouge de l’époque, double filet doré d’encadrement sur les plats, armes frappées or au centre, dos à nerfs richement ornés, coupes décorées, roulette dorée intérieure, tranches dorées. Reliure de l’époque. 163 x 90 mm.
Edition originale posthume des Méditations sur l’Evangile de Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux (1627-1704), composée et adressée aux religieuses de la Visitation de Meaux en 1695. Tchemerzine, I, 904 ; Picot, Catalogue Rothschild, 68; Bibliothèque Rahir, n°982; Catalogue du Baron Pichon, n°70 ; Brunet, I, 1139. « Bossuet les appelait alors ‘Réflexions sur l’Evangile’ ; c’est son neveu, l’abbé Bossuet, qui en donna la première édition, à titre posthume, sous le titre de ‘Méditations’, en 1730-1731. Les Méditations font partie du groupe d’ouvrages de piété, qui comprend également l’Elévation à Dieu sur tous les mystères de la religion chrétienne, 1695, et le Traité de la concupiscence, 1694. Ces ouvrages marquent l’époque de la vie de Bossuet où il se retire du monde et se consacre à sa tâche pastorale. Sa pensée aussi se retire en elle-même ; il s’aperçoit qu’il a trop temporisé avec le siècle et il éprouve le besoin de retrouver, dans toute leur pureté, les textes mêmes de la foi. Les Méditations sont un commentaire suivi des paroles prononcées par le Christ, considérées comme formant un unique Discours, qui va des débuts de sa vie publique jusqu’à sa mort ; de là, les sous-titres de l’œuvre : ‘Sermon ou Discours de Notre-Seigneur depuis le dimanche des Rameaux jusqu’à la Cène’. Ces divisions chronologiques sont elles-mêmes subdivisées en journées, qui constituent, chacune, une méditation séparée. Beaucoup moins abstraites et métaphysiques que l’Elévation, les Méditations sont d’une simplicité admirable ; la vigueur de la pensée se mêle à l’onction et à la douceur persuasive du ton. Le style n’y est plus noble et soutenu, mais sans artifices et comme sans apprêts, ce qui ne veut pas dire qu’il soit négligé. Sans doute, c’est ici qu’on trouve le vrai visage de Bossuet, le Bossuet docteur de l’Eglise et mystique, et qu’on découvre le fondement solide sur lequel repose l’édifice de ses prédications et de ses œuvres destinées au public. » Précieux exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque aux armes de Charles-Gaspard Guillaume de Vintimille du Luc (1655-1746), nommé évêque de Marseille en 1684, puis archevêque d’Aix en 1708 et enfin archevêque de Paris en 1729. « La collection de ce bibliophile émérite jouissait, de son temps, d’une grande réputation par la beauté des volumes et l’élégance des reliures » (Guigard, Armorial du Bibliophile, I, 379). Provenance : Charles-Gaspard Guillaume de Vintimille du Luc (armes frappées sur les plats) ; ex dono manuscrit presque effacé au titre du tome 3 : « Ce livre a été donné à la communauté des Ursulines de Joinville par Madame de St Genis La compaire y étant pensionnaire au mois de mai 1733 » ; ex libris gravé de Claude Gabriel Doüet de Vichy Conseiller au Parlement sur le contreplat de chacun des volumes ; cachet d’appartenance de la Bibliothèque du Grand Séminaire de Versailles apposé sur la p. 121 de chacun des volumes.
Desprez Paris 1761 In-12 ( 175 X 105 mm ) de CXXII et CIV - 256 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches marbrées de vert ( reliure de l'époque ). 2 coins émoussés, sinon bel exemplaire de cette édition précieuse pour les renseignements historiques et critiques sur le livre de l'exposition que le savant éditeur ( l'abbé LEQUEUX ) a réunis dans la préface qu'il a mise en tête du volume ( pp. III à CXX ).
Sébastien Mabre-Cramoisy Paris 1680 In-12 ( 155 X 850 mm ) de 176-4-215-1 pages, plein veau tabac, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches mouchetées( reliure de l'époque ). Coiffes anciennement et habilement restaurées, tampon ex-libris au deuxième contreplat, sinon bel exemplaire.
Sébastien Mabre-Cramoisy Paris 1679 In-12 ( 155 X 85 mm ) de 174-4-215-2 pages, plein veau tabac, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches mouchetées ( reliure de l'époque ). Coiffes anciennement et habilement restaurées sinon bel exemplaire de cette édition précieuse dont les 103 premières pages ( avertissement ) sont en édition originale.
Jean Anisson Paris 1697 In-8 de [56]-483-[1]-CXXX-[30] pages, pleine basane tabac, dos à 5 nerfs orné de caissons dorés, tranches mouchetées de rouge ( Reliure de l'époque ). Edition originale.Titre, préface, table des chapitres, approbation des Archevêques de Paris et de Chartres, Instruction, actes de condamnation, tables des matières et privilège et errata.Coiffes frottées épidermures, bon exemplaire, solide. Rare édition originale recherchée pour la condamnation des Quiétistes. Elle contient dans sa seconde partie, paginée en chiffres romains, les actes de condamnation des quiétistes et autres décrets, bulles, ordonnances et lettres autour du quiétisme.
A Paris, Chez la Veuve de Sebastien Mabre-Cramoisy, 1689-1690. L’Antiquité Éclaircie sur l’immutabilité de l’Estre Divin et sur l’égalité des trois personnes. Paris, J. Anisson, 1691.Etat présent des controverses et de la religion protestante. Paris, J. Anisson, 1691. 7 parties reliées en 1 vol. in-4 de (4) ff., 96 pp. ; (1) f. blanc, (3) ff., pag. 97 à 159 ; (1) f. blanc, (3) ff., pag. 161 à 249 ; (1) f. blanc, (2) ff., pag. 251 (291) à 276 ; (1) f. blanc, (4) ff., pag. 277 à 457 ; (6) ff., pag. 459 à 632 ; (1) f. blanc, (7) ff., pag. 633 à 837, (8) ff., veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Bon exemplaire de l'édition originale des six Avertissements (le sixième avertissement est divisé en deux parties).Bourseaud, p. 82 ; Tchemerzine I, 864-866, 868.
A Paris, Chez la Veuve de Sebastien Mabre-Cramoisy, 1688. 2 vol. in-4 de (20) ff., 506 pp., (17) ff. ; (4) ff., 680 pp., (21) ff., veau fauve granité, dos orné à nerfs orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Ex-libris de l’époque ’’Oratori Lugdun’’, ex-dono C. Soisson, petit cachet des jésuites de Lyon.Bon exemplaire. Coiffes restaurées. Boursault, p. 79 ; Tchemerzine I, 859.
Anisson Paris 1701 In-12 ( 165 X 95 mm ) de CLXV 402 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches mouchetées de rouge ( reliure de l'époque ). Minimes défauts à la reliure sinon bel exemplaire de l'édition originale.
Imprimerie Privilégiée Rouen 1784 In-12 ( 165x100 mm ) de 558 pages, pleine basane fauve, titre et tomaison dorés sur dos à 5 nerfs, fers et filets dorés dans les caissons. Tranches marbrées.Coiffes et coins émoussés.Première Partie Depuis le Commencement du Monde jusqu'à l'Empire de Charlemagne.