9 books for « bonnaire louis de »Edit

‎Essai du nouveau conte de ma Mère Loye, ou les enluminures du jeu de la Constitution.‎

‎ s.l., 1722, 1 pleine basane, tranches rouge, mors fendus sur 3 centimètres, coiffes manquantes, coins et coupes émoussées, plats frottés. in-8, 2 ff. blancs, titre, 6 ff.n.c., 208 pp. ; ‎

‎Edition originale. Livre curieux et rare. C'est une satire trés violente contre le pape Clément XI, qui donna la "Constitution Unigenitus", contre les jansenistes et les 101 propositions du Nouveau Testament du Père Quesnel. L'auteur a imité le jeu del 'oie; mais au lieu du jardin de l'oie, c'est au concile qu'il faut arriver pour gagner. On y va par la tradition des apotres, dont le nombre est égal à celui des oies. Voici quelques termes de ce jeu: "Le labyrinthe, c'est l'erreur ou tombent ceux qui souscrivent à la condamnation des sots propos; le corps de la doctrine, c'est le puits ou l'on a caché la vérité; la mort, ou le jeu recommence, c'est celle de Clément XI; le cardinal De Noailles occupe la dernière case, etc. ". Cet ouvrage a été condamné à Arras en 1726. Louis De Bonnaire, oratorien, né à Ramerupt (Aude), mort à Paris en 1752. Réf. Biblio.: Colonia II, 92 - Barbier II, 213 - Cioranescu, 12635 - Libr. Jammes, le bucher bibliographique N° 294 - Peignot: livres condamnés. ‎

‎Chanson nouvelle, contenant le récit véritable et remarquable de ce qui est arrivé dans la ville de Reims à l'encontre de Gensinistres, sur l'air des Pendus.‎

‎ S.l., s.n., [vers 1720]. In-12, demi-basane fauve modeste du XIXe s., étiquette au dos, 23 pp. ‎

‎Très rare pièce satirique contre les jansénistes ("Gensinistres"), par l'abbé Louis de Bonnaire ( 1679-1752), prêtre de l'Oratoire originaire de l'Aube. La chanson est précédée d'une introduction rédigée en patois, intitulée " Avis des chanteurs ambulants de la la troupe de Champagne, au lecteur". Une nouvelle édition en fut donnée en 1856 à 102 exemplaires, par l'érudit Louis Paris qui décrivit l'original en ces termes : " Cette petite pièce... a conservé sa place dans les raretés bibliographiques du pays remois ".Provenance : Charles Henneguier (cachet armorié XIXe s. au titre). Dos frotté et fendillé en tête, coins émoussés, état convenable. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Les Leçons de la Sagesse sur les défauts des hommes. Premiere (2, 3eme) partie dans laquelle on traite des Préjugés qui font souffrir pour des offenses imaginaires…‎

‎ 1753 basane mouchetée, dos à n., tr. rouges. 3 vol. in-12, XLVIII-411pp., (1f.); 410pp.; X-469pp., P. Briasson 1753‎

‎" Il règne une antipatie comme naturelle entre les riches & les pauvres.". Dissipations des préjugés dus à l'éducation, à la nature humaine. Contre le duel, mais on pouvait s'y attendre.Cité dans l'Ined 615 pour la critique "assez vive" de l'Esprit des Loix. ‎

‎Essai du nouveau conte de ma Mère Loye, ou les enluminures du jeu de la Constitution‎

‎Sans lieu 1722 ‎

‎in-8, 7f. (titre, avertissement signé A2, lettre de l'auteur, 5.n.c.), 16p. (Description du Jeu) et 208p. :: Edition originale. Livre curieux et rare. C'est une satire très violente contre le pape Clément XI, qui donna la "Constitution Unigenitus", contre les jansénistes et les 101 propositions du Nouveau Testament du Père Quesnel. L'auteur a imité le jeu de l'oie; mais au lieu du jardin de l'oie, c'est au concile qu'il faut arriver pour gagner. Cet ouvrage a été condamné à Arras en 1726. Sans le feuillet d'errata (Barbier 2, 213); Jammes, le bucher bibliographique N° 294. :: Exemplaire non rogné sous cartonnage papier récent. La couverture muette de papier marbré doublé d'une partition manuscrite de l'époque, a été conservée. ‎

‎Essai du nouveau conte de ma mère loye. ou Les Enluminures du jeu de la Constitution‎

‎S.l., 1722 in-8, [7] ff. n. ch. (titre, avertissement, lettre de l'auteur à M. D***), 208 pp., manque la grande planche, comme souvent, demi-veau fauve marbré, dos lisse, gardes refaites (reliure moderne). Feuillet de titre et dernier feuillet réparés et remontés.‎

‎Edition originale de ce pamphlet célèbre contre l'Unigenitus. Il doit accompagner la grande planche du jeu, mais elle a souvent été détachée. L'auteur, un Oratorien, docteur de Sorbonne, né à Ramerupt (Aude), et mort à Paris en 1752, a imité le jeu de l 'oie ; mais au lieu du jardin de l'oie, c'est au Concile général qu'il faut arriver pour gagner (le but de l'Appel était quand même la convocation d'un Concile, on finit par l'oublier). On y va par la tradition des apotres, dont le nombre est égal à celui des oies. Voici quelques termes de ce jeu : "Le labyrinthe, c'est l'erreur ou tombent ceux qui souscrivent à la condamnation des sots propos ; le corps de la doctrine, c'est le puits ou l'on a caché la vérité ; la mort, ou le jeu recommence, c'est celle de Clément X I; le cardinal De Noailles occupe la dernière case, etc. ". Colonia II, 92 - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Les Leçons de la sagesse sur les défauts des hommes.‎

‎A Amsterdam Aux Defens de la compagnie 1745 3 voll. in 16°, pp. XL, (8), 343; 10, 341; (10), 390, frontespizi in rosso e nero, legature in piena pelle coeva, dorso a cinque nervi, titlo su tassello a fregi in oro, usure e mancanza ai dorsi,. Macchia scura al centro dei frontespizi.‎

‎Les enluminures du fameux almanach des PP. Jésuites intitulé la déroute et la confusion des Jansénistes -Essai du nouveau conte de ma mère loye ou les enluminures du jeu de la constitution‎

‎Les enluminures du fameux almanach des PP. Jésuites intitulé la déroute et la confusion des Jansénistes , anonyme [Isaac Louis de Sacy] , sans privilège, sans lieu, deuxième édition du 18 février 1654 , Titre, Lettre de l'auteur, description exacte du fameux almanach , 4 p. non foliotées,100 p. Essai du nouveau conte de ma mère loye ou les enluminures du jeu de la constitution , anonyme [abbé Louis De Bonnaire] , sans privilège, sans lieu, 1722. Titre, avertissement, lettre de l'auteur, 6 p. non foliotées, 208 p. , une page non foliotée d'errata. in-8 plein veau , coins émoussées, coiffe de tête arasée , fente en partie supérieure sur le mors recto, pièce de titre sur le dos en déficit, dos à nerfs, caissons ornés de fleurons, tranches rouges.‎

‎Réunion de deux pamphlets qui avaient en commun de se vendre avec une gravure qui fit leur succès. Le premier pamphlet est dirigé contre les jésuites en 1654. Il fit scandale essentiellement à cause de sa gravure qui l'accompagnait et qui fut tirée à plus de 16 000 exemplaires. Ce texte, souvent cité, rarement lu, contient de nombreuses références introuvables ailleurs sur le mouvement janséniste en province. Le second pamphlet est une parodie du jeu de l'oie écrit contre Clément XI. L'abbé de Bonnaire était un oratorien né à Ramerupt-sur-Aube vers 1680, mort en 1752. "Il se lance avec passion dans la querelle des Appelants, pour défendre avec passion les jansénistes. Dans son Essai sur le nouveau conte de la Mère l'Oie il s'attaque d'abord aux "évêques oisons" qu'on fait avancer sur le jeu de l'oie au hasard, tels des pions dont la marche dépend des coups de dés..." dit Dict. des lettres françaises XVIIIe p. 209. En 1713, Louis XIV obtient de Rome, avec la bulle - ou "constitution" - Unigenitus, la condamnation des propositions jansénistes. Parmi les multiples écrits, diatribes et estampes suscités par la controverse, l'oratorien Louis de Bonnaire, prêtre appelant contre la bulle, fait paraître anonymement cet Essai en 1722, sur la trame du jeu de l'oie. Très curieux pamphlet par cet oratorien appelant, composé sur la même trame que le jeu de l'oie, les dix-huit cases historiées du jeu de l'oie correspondent aux Enluminures . ‎

‎L’Esprit des lois quintessencié par une suite de lettres analytiques. Seconde Partie (seul).‎

‎s.l., s.n., M. DCC. LI., (1751), in-8vo, 380 p. (lettre 20 au 27 + post-scriptum), reliure en plein veau originale, dos orné or, tranches rouges.‎

‎On entend par l’appellation devenue traditionnelle de « querelle de L’Esprit des lois » les critiques que suscite l’ouvrage dès sa publication en novembre 1748 et les répliques de Montesquieu. L’abbé de Bonnaire publie L’Esprit des lois quintessencié par une suite de lettres analytiques (1751), qui vise à le résumer pour mieux le réfuter. (Dict. électronique ‘Montesquieu’ par Claude Loriol). ‎

‎Partition de la chanson : ça va bien ! Chansonnette Alcazar,Au 19e siècle‎

‎Partitions sur le Mariage Feuchot 1877 approx.‎

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