Dijon, chez l'auteur, 1870, in-16, demi-percaline brique, 49-[5] pp. (L79)
En tête du volume a été encarté un très amusant article du Progrès du 31 mars 1870, reprochant à M. Bodier d'avoir fait paraître sous son nom des pièces parues dix ans auparavant dans Les Grands Mystères d'Eugène Nus et lui conseillant "maintenant surtout que le public est édifié sur sa manière de procéder, qu'il laisse en paix la muse, et qu'il se plonge prosaïquement dans les délices que ne peuvent manquer de lui procurer la vente des escargots et le perfectionnement des vélocipèdes".Ex-libris AB.
"Dijon, chez l'auteur, Léon Bodier, maître d'hôtel et cafetier, rue de la Trémouille, 5 ; 1863. In 8 demi-chagrin, dos à nerfs orné, 2 ff.-5 planches-252 pp."
"Photographie collée de l'auteur ; frontispice de l'auteur ; frontispice gravé (""non je ne veux jamais envahir le Parnasse, j'y pourrais bien troubler le repos d'Apollon, je préfère plutôt plumer une bécasse, éplucher des navets, faire cuire un dindon"") ; "