Orléans, Jacob, 1812.
Première édition. Une monographie très complète sur les météorites. L'auteur fait un long historique et examine les hypothèses sur leur origine. Parmi les savants qui lui ont fournis des matériaux ou des conseils, on relève les noms de Cuvier et de Haüy. Minéralogiste et agronome, Pierre Bigot de Morogues (Orléans, 1776-1840) étudia la chimie et la minéralogie avec Vauquelin et Haüy à l'École des mines de Paris. A la fin : 'Catalogue chronologique des chûtes de pierres', suivi de 'Description comparative de quelques pierres tombées du ciel'. Exemplaire très frais : non coupé, non ouvert, dans sa brochure d'origine, tel que paru. /// In-8 de IV, (4), 362 [notés 360] pp. Broché, couverture muette. (Reliure de l'époque.) //// First edition. A comprehensive monograph on meteorites. The author gives a long history and examines hypotheses on their origin. Cuvier and Haüy are among the scientists who provided him with material or advice. Mineralogist and agronomist Pierre Bigot de Morogues (Orléans, 1776-1840) studied chemistry and mineralogy with Vauquelin and Haüy at the École des Mines de Paris. At the end is a catalogue by date of meteorites et some descriptions of them. A very fresh copy: uncut, unopened, in its original paper cover, as issued. /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Orléans, Imprimerie de Danicourt-Huet, 1829. In-8 de (2)-34 pp.BIGOT DE MOROGUES (Pierre). De la Production Nationale considérée comme base du commerce, et Application de ce principe à la solution de la Question des Laines. In-8 de 174-(2) pp. 1 tableau replié.2 pièces reliées en 1 vol. in-8, cartonnage moderne.
Bigot de Morogues (1776-1840), géologue, agronome et économiste fut élève de Vauquelin et Haüy. Il s'intéressa notamment à la Sologne et fut nommé Pair de France en 1835. 1. Édition originale. Extrait des Annales de la Société Royale d'Orléans, tome IX. Le gouvernement ayant demandé à toutes les sociétés savantes des renseignements sur la cause de la stagnation du commerce des laines, ce mémoire fut destiné à montrer que cette stagnation était due au manque de vente à l'intérieur de la France, suites de la pénurie des fermiers, des propriétaires fonciers, et de tous les cultivateurs que la baisse opérée sur leurs produits par la concurrence étrangère avait forcé de restreindre leur dépense. La nécessité de limiter cette concurrence sur les marchés en est la conclusion dont l'ouvrage suivant a encore plus démontré la réalité. Feuillet de titre légèrement sali, pâle mouillure marginale sur les cinq premiers feuillets. Bourquelot, I, p. 491-XXXIII. 2. Édition originale. Extrait des Annales de la Société Royale d'Orléans, tome X. Le but de cet ouvrage fut de démontrer par des faits et des calculs positifs la nécessité d'accroître le plus possible la propriété nationale et celle provenant de son sol, qui doit servir de base, essentielle au commerce et fournir des salaires et des moyens d'existence à la population. Il y est démontré que tous les produits obtenus par les cultivateurs sont solidaires les uns des autres. Ces raisonnements sont appuyés sur un grand nombre de faits et de documents relatifs à la valeur des laines et des moutons dans divers pays, aux causes de la diversité de ces valeurs, à la nature des produits de chaque race, aux moyens de la propager et de les multiplier en France. Pâle mouillure marginale sur les cinquante derniers feuillets. Bourquelot, I, p. 491-XXXIV.
Orléans, imprimerie de Jacob Ainé, 1812, in-8, (4), IV, 360pp, Demi-basane havane, dos lisse orné, pièce de titre verte, tranches jonquille. Reliure de l'époque, Edition originale, très rare, c'est l''un des premiers écrits sur les météorites. Bigot de Morogues (1776-1840), géologue, agronome et économiste fut élève de Vauquelin et Haüy. POGGENDORFF, I, 189. Dos frotté, petit accroc à 1 mors supérieur. Cachet humide de l'institut catholique de Paris, étiquette au dos. Couverture rigide
Bon (4), IV, 360pp.
Orléans : Imprimerie de Danicourt-Huet, 1829 In-8, 174-(1) pages et 1 tableau dépliant. Demi-basane du XIXe siècle, dos lisse orné.
Mors frottés, l'un fendu en queue ; un feuillet détaché, rousseurs in fine. Passionnant recueil sur la France agricole des années 1830. Les années 1830 marquent en France un tournant pour le secteur agricole, qui connaît un important décollage économique avec l'introduction de nouvelles techniques révolutionnant la productivité. L'agriculture devient un sujet de prédilection pour les élus, économistes, agronomes, etc. [Suivi de :]- [LAINES]. Aux propriéraires des bêtes à laine. S. l. n. d. 3 pages et 1 tableau dépliant.- [LAINES]. A son excellence le ministre secrétaire d'Etat au département de l'intérieur. S. l. n. d. 27 pages.- DUVIVIER DE SAINT-HUBERT, P.-H. Traité philosophique des maladies épidémiques considérées sous le rapport des phénomènes morbides produits par le seigle ergoté […] et généralement tous les grains mal nettoyés… Paris : l'auteur, Delaunay, 1836. 136 pages.- [GIRAULT DE SAINT-FARGEAU, E.]. Ebauche d'un aperçu statistique de la France. S. l. n. d. [Paris : Firmin-Didot, 1836]. 215 pages."Cet essai, tiré seulement à 100 exemplaires, ne se vend pas".- BIGOT DE MOROGUES, P. Théorie du prix de revient du blé en France […] De la loi des céréales. Paris : Pourrat frères, 1834. 125 pages.- [LEVACHER D'URCLÉ, F.]. Projet de loi relatif à la réparation et à l'entretien des chemins vicinaux… S. l. n. d. [Paris : Goetschy fils, 1836]. 35 pages.- DU HAMEL, L.-J. Sur l'état de la société au 1er janvier 1834. Paris : G. - A. Dentu, 1834. (4)-IV-70-(1) pages.
MOROGUES Baron Pierre Marie Sébastien Bigot de (1776-1840), minéralogiste, homme politique, agronome et publiciste français.
Reference : 78
2 pages in-4, 265 x 207, adresse.
Belle lettre de recommandation concernant Jules Bataille, désignant sans doute Henri Jules Bataille, futur général de division, et Henry Souque, substitut du procureur du roi.Il lui fait passer la lettre de Jules Bataille, « jeune homme dont l'aisance le mettait à même de travailler sans cesse, sans rétribution, dans le cabinet de M. Saulnier et qui à ce titre l'a constamment accompagnée dans ses tournées départementales. Je connaissais son activité, son dévouement au Roi et son intelligence. M ; Saulnier notre ami commun l'employait constamment dans les affaires d'élection. J'ai donc cru devoir lui écrire et suis prêt à le faire encore si vous le jugez convenable. » Il lui donne l'adresse de Saulnier à Orléans. Ce dernier lui a également indiqué, « comme homme encore plus influent que lui sur les cantons de l'arrondissement de Montargis, M. Henry Souque, substitut du procureur du roi près le tribunal d'Orléans… Je pense (…) que l'un et l'autre peuvent être des agens fort actifs et fort utiles, qui seront heureux de vous servir et d'obtenir de vous une marque de confiance et d'estime. »