102 books for « bianchini »Edit

‎Hesperi et Phosphori nova phaenomena sive observationes circa Planetam Veneris. Edition originale rare relatant pour la première fois la présence de tâches sur vénus.‎

‎Il s’agit du premier atlas de cette planète, dans lequel Bianchini détermine son axe de rotation. Rome, Giovanni Maria Salvioni, 1728.In-folio de 1 frontispice, viii pp. dont le feuillet de titre imprimé en rouge et noir, 92 pp., 10 planches hors texte dont 4 dépliantes, 3 gravures dans le texte. Déchirure sans manque de texte dans la marge de la p.29. Relié en demi-basane havane mouchetée récente, dos à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches mouchetées. 380 x 250 mm.‎

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‎Edition originale rare relatant pour la première fois la présence de tâches sur vénus.Il s’agit du premier atlas de cette planète, dans lequel Bianchini détermine son axe de rotation. Riccardi, I, 132 ; Graesse, I, 437.« C’est donc dans cet ouvrage que Bianchini a consigné ses observations des taches de la planète Vénus. Il a donné une détermination du mouvement de rotation de cette planète. Il fit imprimer son livre magnifiquement, le dédia au roi de Portugal Jean V, auquel il offrit en même temps une machine représentant le système de cette planète, ornée de figures d’argent doré. Le roi envoya en retour à l’auteur, outre une forte somme d’argent, une lunette de nouvelle invention faite à Londres, et dont le travail était admirable ; il accorda depuis, en 1731, deux ans après la mort de Bianchini, la croix de l’ordre du Christ au compte Gaspard Bianchini, son neveu, et il y ajouta, en 1732, une commanderie, en payant de son trésor les frais dus, pour l’expédition du diplôme, à la caisse de l’ordre, et toutes les autres dépenses. »François Bianchini (1662-1729) fut reçu membre de l’Académie physico-mathématique, établie par Monsignor Ciampini.« En 1717, il eut un accident qui interrompit des observations importantes qu’il avait commencées sur la planète de Vénus, et dont les premières remontaient même jusqu’en 1716 ; il les reprit. Il en fit surtout alors d’infiniment curieuses sur les taches de cette planète. Il les faisait avec cette machine qu’il avait présentée à l’Académie de Paris ; et, pouvant employer des lunettes plus fortes qu’on ne l’avait pu jusqu’alors, il fit des découvertes et des observations toutes nouvelles. Il continuait en même temps son travail sur les tombeaux de la maison d’Auguste ; « il s’enfermait le jour, dit encore Fontenelle, dans le colombier sépulcral et souterrain, et la nuit il montait à son observatoire. » Aussi vit-on paraître, dans deux années consécutives, 1727 et 1728, deux importants ouvrages, l’un sur le colombier, et l’autre sur Vénus. Ce fut par ces deux productions remarquables qu’il termina sa carrière. » Michaud.Le présent ouvrage est d’autre part un exemple important de l’illustration dans les livres italiens du XVIIIe siècle.Il est illustré d’un frontispice gravé par Rocco Pozzi d’après Stefani Pozzi, de 3 gravures dans le texte et de 10 planches hors texte consacrées aux découvertes de Bianchini, 3 d’entre elles (2 dans le texte et 1 planche hors texte) étant réalisées en mezzotinte.L’une des gravures illustrant le chapitre 2 représente le cratère lunaire Platon et 2 des planches à pleine page montrent des télescopes de l’époque.William Ashworth notait dans le catalogue de son exposition intitulé The Face of the Moon que : « This small engraving, which appears in the text as part of the introductory chapter, shows the crater Plato at the right, with Aristotle and Eudoxus at left, and the mountain range of the alps cut by the dramatic slash of the Alpine Valley. Bianchini noted with surprise that the valley did not appear on the great Cassini map, and he was right; Bianchini was the first to see and to portray this most impressive of lunar valleys” (p. 11).Bon exemplaire de cette rare originale du plus haut intérêt du point de vue de l’astronomie.‎

‎LA ISTORIA UNIVERSALE PROVATA CON MONUMENTI E FIGURATA CON SIMBOLI ANTICHI.‎

‎Dedicata alla Sacra Maestà Cristianissima di Lodovico XV, re di Francia e di Navarra &c. da Antonio Giuseppe Barbazza, pittore e incisore romano. nella Stamperia di Antonio e3' Rossi, Roma, 1747. In-4 p. (mm. 290x217), brossura muta coeva, 14 cc.nn., 572 pp.num., 11 cc.nn., 1 c.b.; con bella antiporta figurata, ritratto dell'A., ben illustrato, come da Indice, da 14 tavole f.t., per lo più a doppia pag., con numerose figure (obelischi, antichità, vasi, medaglie, sepolcri) e alberi genealogici, inclusa una grande carta geografica de' nomi delle regioni più celebri ai tempi di Omero, tutto inc. in rame da Petroschi e f.t. Vignetta al frontespizio con titolo in rosso e nero, testate, grandi iniziali figurate e finali xilografati. Questa storia è divisa in 32 capitoli dalla Creazione alle Olimpiadi d'Isito, ciascuno rappresentato da una pregevole immagine e con 18 vignette nel t., pure inc. in rame e tutte descritte nell'Indice."Seconda edizione" a cura del Barbazza che vi premette anche una Vita del Bianchini, tratta dalla Verona Illustrata di Scipione Maffei, e una sua lunga lettera al Lettore. Il Barbazza ritenne necessario far ristampare la prima edizione del 1697, divenuta molto rara, facendo riprodurre gli stessi rami della prima, intagliati da Pietro Sante Bartoli. Importante opera di archeologia sulla storia del mondo con una approfondita considerazione dei monumenti antichi, soprattutto delle civiltà assira ed egiziana. L'A., il veronese Francesco Bianchini (1662-1729), fu astronomo ma anche storico e archeologo.Cfr. Cicognara,2481: Quest'opera utilissima per la cronologia, la storia, e l'antiquaria è illustrata da molte bellissime incisioni in rame eseguite da P.S. Bartoli e sono da ritenersi fra le migliori produzioni di questo artista - Piantanida 460 (sempre per la I ediz.): Opera ricercata di cui l'A. riuscì a pubblicare soltanto la prima parte e che rimase incompiuta.. La prima parte comprende 40 secoli dalla creazione del mondo sino ad Augusto e riguarda le nazioni orientali e la Grecia. La seconda parte doveva comprendere 16 secoli da Augusto fino a Carlo V. Ritratto del Monsignor Bianchini restaurato per mancanze marginali; 1 macchia al margine bianco della p. 513, alc. cc. lievemente arrossate, altrimenti esemplare ben conservato, fresco e con barbe.‎

‎LA STORIA UNIVERSALE.‎

‎Provata con monumenti e figurata con simboli degli antichi. Battaggia, Venezia, 1825-1827. In-8 (mm. 233x161), 5 volumi, mz. pelle coeva con ang., filetti e titolo oro su tassello al dorso (con picc. spacchi o picc. manc.), pp. complessive 1730.L'opera è molto ben illustrata da 77 tavole fuori testo inc. in rame (come da Indice) fra cui: 1 ritratto dell'A., 1 carta geografica, 40 pregevoli composizioni copiate dalle tavole disegnate dall'A. per l'ediz. originale del 1697, qui inc. in rame dal Zuliani, e 31 (una in più rispetto all'Indice) - di carattere storico ed allegorico - disegnate da C. Rizzardini; unite anche 7 tavole genealogiche, più volte ripieg. Introduce l'opera la vita di Bianchini scritta da P.A. Paravia. In fine al V vol. Tavola cronologica delle principali epoche in politica, guerra, scienze ed arti, dalla età di Ciro ai nostri giorni, cioè dal 538 a.C sino l'anno 1815 dell'era volgare. "Terza edizione" di questa importante storia universale, scritta dall'erudito antiquario Francesco Bianchini (1662-1729). Cfr. Cicogna,2481 per la I edizione di Roma, 1697: Opera utilissima per la cronologia, la storia e l'antiquaria, illustrata da bellissime incisioni in rame - Brunet,I,847: ouvrage recherché - Gamba,1798: Migliore d'ogni altra è l'ediz. moderna di Venezia, 1825-28, con figg., in 5 volumi.Con lievi fioriture intercalate nel testo ma certamente un buon esemplare.‎

‎Maquettes de motifs de textiles pour la maison Bianchini Férier‎

‎ 1909. Gouache, aquarelle et mine de plomb.‎

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‎Ensemble de quatre projets de motifs de textiles portant le cachet et le monogramme de la maison Bianchini-Férier. L. DONGÉ. Boites à poudre, houppettes, flacons de parfum, bijoux et rubans sur fond vert, porte une signature. 30 x 26 cm. Avec la signature de l'artiste et la date de 22.Bouquet de fleurs. 22 x 18 cm.Fleurs et pétales. 32 x 25 cm.Bouquet de jacinthes. 22 x 17 cm. ‎

‎Observation d'un nouveau Phenomene, faite le 2 de Mars 1702. (Maraldi) + Observations d'une nouvelle Comete qui a paru au mois d'Avril & au mois de May de cette année 1702. à l'Observatoire. Avex quelques Remarques sur les Cometes. Par M. de...‎

‎(Paris, Jean Boudot, 1704). 4to. Without wrappers. Extracted from ""Mémoires de l'Academie des Sciences"". Année 1702. Pp. 101-134 and 4 folded engraved plates (celestial maps).‎

‎First printing of these 5 papers accounting the observations of the comet. Bianchini and Maraldi discovered the comet in the morning sky on April 20, 1702. The comet was a short distance above the horizon and was said to resemble a ""nebulous star"".An independent discovery was made by Maria Margarethe Kirch (Berlin, Germany on April 21, 1702 and by Philippe de la Hire (Paris, France) on April 24. The last observation of the comet was made by Bianchini and Maraldi on May 5, 1702.‎

‎Opuscula varia. nunc primum in lucem edita ex ejus manuscriptis libris autographis, qui ex testamento adservantur in Archivo amplissimi capituli sanctae Veronensis Ecclesiae‎

‎Rome, eredi di Lorenzo Barbiellini, 1754 2 tomes en un vol. petit in-4, XXIV-308-IV-314 pp., avec 5 tableaux dépliants hors-texte, vélin vert, dos lisse, pièce de titre crème, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Pièce de titre frottée, mais bon exemplaire.‎

‎C'est surtout comme astronome fréquentant la Cour pontificale que Francesco Bianchini (1662-1729) est passé à la postérité, mais la majeure partie de ces mélanges posthumes concerne des questions sur l'Antiquité, ses vestiges, les questions qu'elle posait dans son interprétation. Il faut en effet se rappeler que c'est lui qui, à la demande de François Ier de Parme (1678-1727), mena de 1722 à 1724 les premières investigations et fouilles sur les vestiges des palais impériaux sis sous les Jardins Farnèse du Palatin.Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, Lyon et Grenoble). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Loutre et velours imprimé, tissu de Bianchini (Croquis N°II, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 5 figures en noir représentant éventails de plumes, dentelles, etc. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Loutre et broché et lamé, tissu de Bianchini (Croquis N°III, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 5 figures en noir représentant le soulier, modèles de Perugia. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Zibeline et matelassé de soie, tissu de Bianchini (Croquis N°IV, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 6 figures en noir représentant le bouton dans la mode. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Guide vert des plantes et des fleurs‎

‎Solar Relié D'occasion bon état 08/01/1993 522 pages ‎

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‎Petit gris et satin broché, tissu de Bianchini (Croquis N°VII, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 4 figures en noir représentant les boucles d'oreilles. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Hermine et lamé argent et or, tissu de Bianchini (Croquis N°VIII, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 8 figures en noir représentant l'emploi de la fleur artificielle. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Hermine et velours imprimé et lamé de métal, tissu de Bianchini (Croquis N°I, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 19x24,5cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Au verso de l'illustration, 10 figures en noir représentant jarretières et jarretelles. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Allegretto pour une fosse/ preface de philippe sollers‎

‎Balland 1976 in8. 1976. Broché jaquette. 348 pages. Bacu dont la figure septante et treize printemps durant ne broncha pas d'un ris comme pétrifié dans le sérieux des choses" est trouvé mort un beau matin avec sur le visage un rire figé "très narquoisant". Scandale à Belcrac-Saint-Sou. Tant l'institutrice que le curé la veuve Bacu les jumelles Léone et Léonie Friton le feignant la belle sorcière Amandine Pantalone et Arlechino et bien sûr le maire et les gendarmes chacun à sa mesure s'el!force d'expliquer l'inexplicable cadavre hilare. Hilarité d'autant plus incongrue qu'il semble que le vieux trépassât assassiné. Mystère et suspens : "les langues vont belle salive". Mais n'en disons pas plus. Et que le lecteur pris par la magie du verbe se plonge dans l'univers paysan et rabelaisien de Renzo Bianchini Bon Etat‎

‎Le Plaisir à la mode. Manteau du soir, en tissus de Bianchini (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎LETTERE INEDITE DI LUIGIA STOLBERG CONTESSA D'ALBANY A UGO FOSCOLO.‎

‎E dell'abate di Breme alla Contessa d'Albany. Molino, Roma, 1887. In-16 gr. (mm. 185x115), bross. muta coeva con, applicata al piatto la bross. orig., pp. CXVIII,275,(3). "Edizione originale". Cfr. Ottolini,1619. Esemplare ben conservato.‎

‎Falkland : la guerre des Malouines‎

‎Glénat Groupe (7/2022)‎

‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782344043080‎

‎Jour J‎

‎Delcourt (10/2021)‎

‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782413011156‎

‎Oracle : messages des animaux‎

‎Le Lotus et l'éléphant (4/2024)‎

‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782017216506‎

‎Façonnés. ‎

‎ 1 Echantillonier de tissus, sous forte chemise cartonnée, dos et coins vélin crème, plats marbrés noir et jaune, 8 cahiers cousus, in-folio. ‎

‎Echantillons de tissus 30-58 et 1715-1738 (1697-1714 et 1739-1761 pages vierges). L'échantillon de tissus est fixé sur la page de gauche à droite, les caractéristiques du tissu. Echantillons de différents textiles et motifs : cachemire, dentelle, elastiss, tramés, carreaux, rayures, etc. ‎

‎Het Praktische Aquarium Handboek - Een Gids Voor Het Leven in Een Aquarium‎

‎Giuseppe Mazza Uitgeverij Helmond Reliure Rigide Illustrée Helmond 1975 383 pages en format 12 - 19 cm - nombreux dessins et photographies en couleurs ‎

‎Très Bon État ‎

‎Circeo Terracina - Fondi‎

‎ Istituto Poligrafico Dello Stato Broché Roma 1957 111 pages en format 13 -18 cm - 70 photographies ‎

‎Très Bon État ‎

‎Monaco - Une Affaire Qui Tourne‎

‎ Editions Du Seuil broché Bristol illustré Paris 1992 296 pages en format 16 -25 cm 2.02.013165.X‎

‎Très Bon État ‎

‎Le Guide Vert des plantes et des fleurs‎

‎Verone, Solar 1981 1 in -8 Broché couverture Illustrée 522[p.p] ‎

‎ Bon état Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg‎