Bertrand (Pierre), préface - Progrès Civique - Henri Dumay (fondateur) - Henri Bellamy (rédacteur en chef)
Reference : 85208
(1921)
Les Editions du Progrès Civique à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1921 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise In-8 1 vol. - 397 pages
1ere édition, 1921 "Contents, Chapitres : La Société des Nations - La guerre - La démoralisation - Les Mercantis - France et Allemagne - Vertu et gouvernement - Conseils aux citoyens - Démocratie et révolution - Principes et devoirs - Pour l'enfance - Le monde ouvrier - Les formes de la production - Les oisifs et les inutiles - Les maladies sociales, syphilis, tuberculose, alcoolisme - Sur l'hygiène - La coopération - La condition des femmes - La presse - Quelques idées - La pubilicité dans le Petit parisien - La publicité dans Le Matin - Index des noms cités, table - Le Progrès civique est un journal hebdomadaire français de l'entre-deux guerres fondé par Henri Dumay en 1919. Le Progrès civique, « journal de perfectionnement social », se veut un « journal honnête pour les honnêtes gens ». Sa ligne éditoriale est éclectique et représentative de toutes les gauches, de la plus extrême à la plus modérée. Le Progrès civique a paru tous les samedis, de 1919 à 1939. - Constitué en société anonyme, le Progrès civique a publié son premier numéro le 1er mai 1919. Le dernier a paru en 1939. Ses bureaux étaient installés à Paris, 5 rue du Dôme, (XVIe). C'est un journal indépendant, vraiment indépendant qui, selon sa direction : ne figure sur aucune liste ministérielle « de distribution de fonds secrets à la presse » ; qui ne reçoit de subvention daucun groupe politique, daucun syndicat patronal ou ouvrier ; qui ne sert les intérêts daucun particulier. Le Progrès civique a cependant recours à quelques annonceurs, « des maisons sérieuses », mais il ne publie de publicité financière à aucun prix. Ses collaborateurs ne bénéficient daucun permis de circulation gratuite en chemin de fer, et ne sauraient accepter dexonération de droit dentrée aux salles de spectacle. Le Progrès civique se veut aussi et surtout un « journal de perfectionnement social ». Pour l'un de ses rédacteurs, Régis Messac, « La première condition de ce perfectionnement social, cest la critique de la société existante, de toutes les sociétés existantes, une critique sans merci. ». Hubert Néant, présente le Progrès civique, comme un hebdomadaire de « tendance radicale et socialiste » (sic). Dans la première moitié des années 1920, dit-il, « ses rédacteurs attaquent le Bloc national, pourfendent les mercantis et autre profiteurs de la guerre, défendent autant les anciens combattants que les consommateurs, blâment les opérations militaires en Syrie et au Maroc, prônent la recherche de la paix internationale, et soutiennent la SDN. Sans approuver le communisme, ils recommandent le dialogue avec la Russie soviétique []. Dune façon générale, ils consacrent aux relations internationales et à léconomie mondiale des développements importants. » (source : Wikipedia)" couverture propre avec quelques rousseurs tres discretes, intérieur frais et propre, rousseurs sur la tranche centrale n'affectant pas l'intérieur, cela reste un bon exemplaire, en grande partie non coupé, on joint une carte orange du Progrès Civique