13,2 x 20,5 1846 "Monsieur et honorable ami, j'ai en effet reçu il y a deux jours la circulaire de Mr. de Barrau. Je lui ai écrit avant hier pour l'en féliciter. Je vous remercie des renseignements et des avis que vous voulez bien me transmettre. Par le courrier de ce jour, j'écris à Mr Crémieux suivant votre désir. Il est absent de Paris, mais certainement il recommandera la candidature de Mr de Barrau à ses coréligionnaires politiques, je regrette que vous ne m'ayez désigné particulièrement aucun de ceux-ci. Recevez monsieur et veuillez faire agréer par messieurs d'Abbadie et de Mouvel [?] mes biens sincères et très affectueux compliments." Signature "Berryer". Pierre-Antoine Berryer fils, qui avait assisté son père lors de la défense du maréchal Ney, a été un des avocats les plus réputés de la première moitié du XIXe siècle. Il a été également un des fidèles tenants de la cause légitimiste. Il semble ici avoir été sollicité par le dacquois de La Neufville, parent de l'ancien évêque anticonstitutionnel de Dax, Mgr Quien de La Neufville (1726 - 1805). Berryer fait allusion à la circulaire aux électeurs de l'arrondissement de Dax en date du 7 juillet 1846 signée par le légitimiste Bernard-Xavier d'Abbadie de Duffau (1820-1893), à la veille des élections législatives d'août 1846. D'Abbadie de Duffau attendra 1871 pour être élu député. L'avocat Adolphe Crémieux (1796-1880), juif et franc-maçon, est à l'époque député de l'Indre et Loire. L'arrondissement de Dax comptait à l'époque la commune de Saint-Esprit (aujourd'hui quartier de Bayonne), qui avec ses 6 000 habitants était la ville au début du XIXe siècle la plus importante du département. Saint-Esprit comportait une importante communauté israélite, d'origine notamment portugaise depuis le XVIe siècle. Faut-il voir dans cette lettre le souhait de Neufville d'avoir le soutien de Crémieux par l'intermédiaire de Berryer ? Petite déchirure à l'ouverture de la lettre. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Ambroise Dupont 13 x 21 Paris 1839 Deux volumes in-8, reliure demi-basane fauve de l'époque, dos lisse orné de frises et de fleurons dorés, pièce de titre de cuir rouge, titre et tomaison dorés, "1839" dorée en queue, plats et gardes marbrés, 400 et 438 p. Edition originale. Souvenirs intéressants pour l'histoire du droit et du barreau de Paris de 1789 à la Restauration, de l'avocat Pierre Berryer (1757-1841), qui commença sa carrière sous l'Ancien Régime et qui fut l'avocat du général Moreau en 1804 et le défenseur du maréchal Ney en 1815 devant la Chambre des Pairs, avec son fils Pierre-Antoine (1790-1868). Le second volume est consacré à des questions juridiques, notamment de propriété littéraire. Bonne reliure, rousseurs abondantes, mais bon exemplaire.(B69) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Didier / L. Larose et Forcel 1883 1883.
Imprimerie De A. Bailleul 17 x 21 Paris 1815 In-4 cousu, couverture de carton de l'époque, titre manuscrit, s.d., [fin d'année 1815], [2]-20-[2] p. Berryer père (1757-1841), fut l'avocat et le défenseur du maréchal Ney en 1815 devant la Chambre des Pairs. Couverture de carton rustique, très défraichie et salie, rousseurs et coins cornés, mais solide exemplaire.(B56)
VAVIN/ MONTALIVET Comte/ REVERCHON/ DEGOUVE –DENUNCQUES/ BERRYER / LENOEL Emile/ Robert de MASSY/ PAILLET et BERRYER/ LE BERQUIER/
Reference : 12396
VAVIN/ MONTALIVET Comte/ REVERCHON/ DEGOUVE –DENUNCQUES/ BERRYER / LENOEL Emile/ Robert de MASSY/ PAILLET et BERRYER/ LE BERQUIER/ Biens de la Famille d’Orléans. Bel ensemble de documents d’époque, concernant les biens de la famille d’Orléans. VAVIN Hippolyte Henri Compte de la liquidation de la liste civile et du domaine privé du Roi Louis-Philippe. Rendu par M. VAVIN liquidateur général le 30 décembre 1851. In 4 broché, couverture imprimée, faux-titre, 1 feuille manuscrit au crayon de papier, titre, VII, faux-titre, titre, VII, 265p, imprimé par Henri et Charles NOBLET 1852.2 pages manuscrites. Bon exemplaire, rare. MONTALIVET Comte Confiscation des biens de la famille d’Orléans-souvenirs historiques. In 8 broché, faux-titre, titre, 48 pages, Paris Michel LEVY Frères éditeurs 1871.DEGOUVE-DENUNCQUES Biens de la Maison d’Orléans. Décrets du 22 janvier 1852. Défense du droit de propriété. Pétition au Sénat par l’auteur. Paris A. SANTON Libraire éditeur 1869. Faux-titre, titre, 112 pages, très bon état. REVERCHON Les décrets du 22 janvier 1852 titré à part du Correspondant du 25 novembre 1871. In 8 broché, faux-titre, titre, 91 pages, Paris Charles BOUNIOL & compagnie 1871. BERRYER Citoyen Assemblée Nationale Rapport fait au nom du Comité des finances, sur la proposition du Citoyen Jules FAVRE, tendant à déclarer acquis au domaine de l’état les biens composant le domaine privé de l’Ex-Roi Louis-Philippe. In 8 broché, 19 pages, très bon état. LENOEL Emile Assemblée Nationale Amendement rectifié au projet de loi ayant pour objet de rapporter les décrets du 22 janvier 1852 relatif aux biens de la famille d’Orléans. présenté par Emile LENOEL membre de l’assemblée nationale. Le 20 avril 1871. In 8 broché, 3 pages, et 12 pages manuscrites à la plume. Très bon état. DUPRAT Pascal Amendement rectifié au projet de loi ayant pour objet de rapporter les décrets du 22 janvier 1852 relatif aux biens de la famille d’Orléans. présenté par Emile LENOEL membre de l’assemblée nationale. Le 21 Novembre 1872. In 8 broché, 1 page et une page manuscrite à la plume. Les biens de la famille d’Orléans revendiqués par la Nation. In 8 broché, couverture imprimée, 16 pages, Paris Courniol libraire éditeur. Petit manque de papier, en marge, sur la première et la dernière page. Des indications manuscrites au crayon de papier en marges extérieures, 1page manuscrite à la plume (indemnité d’émigré). PAILLET et BERRYER Décrets du 22 janvier Biens de la Maison d’Orléans-tribunal civil de la Seine-question de compétence. Plaidoiries de MM. PAILLET et BERRYER Petit in 8 broché, couverture jaune imprimée (fragile- petites déchirures réparées) titre, 95 pages. Audience du 23 avril 1852. LE BERQUIER décret du 22 janvier Biens de la Maison d’Orléans seule question Le 7 août 1830, une loi en vigueur ordonnait-elle la réunion à l’état des Biens donnés ; In 8 broché couverture imprimée 10 avril 1852 imprimé par Henri et Charles NOBLET 1852. MONTALIVET Comte Confiscation des biens de la famille d’Orléans-souvenirs historiques. In 8 broché, faux-titre, titre, 48 pages Extrait de la Revue des Deux Mondes 1er décembre 1871. Paris Imprimerie L.Claye 1871. Avec dédicace imprimée De la part de l’auteur MASSY Robert de membre de l’Assemblée. Rapport n°966 Assemblée Nationale Année 1872 annexe au procès verbal de la séance du 9 mars 1872. Rapport fait au nom de la commission chargée d’examiner le projet de loi ayant pour objet de rapporte le décret du 22 janvier 1852 relatif aux biens de la famille d’Orléans in 8 carré broché. 21 pages. MALLEVERGNE député de Haute Vienne extrait d’un rapport fait au mois de juillet 1871 sur deux pétitions relatives aux décrets du 22 janvier 1852. Confiscation des biens de la famille d’Orléans. In 8 carré broché, 16 pages ( petit manque angle supérieur droit, et petites déchirures en marges extérieures, sans gravité.
10/06/1760 Berryer renouvelle à M. Choquet ses ordres afin quil soccupe personnellement de la vente des …sept quarts dindigo débarquez des Vaisseaux le Défenseur et le Diadème de lEscadre de M. de Bompar… Cette affaire étant …préjudiciable aux intérests du Roy… à cause dun retard de plus de six mois, M. Choquet est prié de se hâter de la conclure…Conseiller au Parlement de Paris, Berryer aura sa carrière assurée grâce à Madame de Pompadour. Devenue favorite du roi Louis XV elle le fait nommer lieutenant général de Police chargé de protéger les relations entre le roi et sa favorite. Il crée un « cabinet noir » afin de surveiller la correspondance de la marquise. On attribue à ce service la disgrâce de nombreux ennemis de Madame de Pompadour, notamment le comte de Maurepas et le comte d'Argenson.Tocqueville dépeignit Berryer comme un homme dur et hautain, « grossier avec beaucoup d'ignorance et encore plus de présomption et d'entêtement ». Sa brutalité lui vaudra la haine du peuple de Paris. Le 1er novembre 1758, avec l'appui de Choiseul et du maréchal de Belle-Isle, il est nommé secrétaire d'État de la Marine. Il sera remplacé par Choiseul en octobre 1761.
30/08/1760 Berryer ordonne lincarcération dune femme ayant rédigé un placet contre M. Moreau : ...sans fondement et par pure malice... En cas de complicité du mari, ce dernier se verrait ...chassé du port, sans pouvoir dans la suite y être reçu pour travailler... Conseiller au Parlement de Paris, Berryer aura sa carrière assurée grâce à Madame de Pompadour. Devenue favorite du roi Louis XV elle le fait nommer lieutenant général de Police chargé de protéger les relations entre le roi et sa favorite. Il crée un « cabinet noir » afin de surveiller la correspondance de la marquise. On attribue à ce service la disgrâce de nombreux ennemis de Madame de Pompadour, notamment le comte de Maurepas et le comte d'Argenson.Tocqueville dépeignit Berryer comme un homme dur et hautain, « grossier avec beaucoup d'ignorance et encore plus de présomption et d'entêtement ». Sa brutalité lui vaudra la haine du peuple de Paris. Le 1er novembre 1758, avec l'appui de Choiseul et du maréchal de Belle-Isle, il est nommé secrétaire d'État de la Marine. Il sera remplacé par Choiseul en octobre 1761.
[Librairie Académique Didier et Cie] - BERRYER, Pierre-Antoine
Reference : 63658
(1876)
4 vol. in-8 reliure pleine toile marron, couvertures conservées, Librairie Académique Didier et Cie, Paris, 1881, 1876, 1876, 1878
Bon exemplaire en très bon état. Contrairement aux attentes de son père (l'avocat Pierre-Nicolas Berryer), Pierre Antoine Berryer (1790-1868) débuta au barreau sans éclat. Attaché au légitimisme sa vie durant, il s'engage en 1815 dans les volontaires royaux. Mais il défend des personnalités de l'Empire aussi fameuse que le Maréchal Ney ou le général Cambronne. Sous les Orléans, il défendra Chateaubriand et le prince Louis-Napoléon Bonaparte, et sous le Second Empire, Montalembert et la famille Jeufosse (dans une affaire criminelle qui défraya la chronique...) ; il est élu à l'Académie Française en 1852. C'est ainsi plus d'un demi-siècle de l'histoire de France que l'on retrouvera dans ces 4 tomes...
In-8, broché, 34 p. Paris, Delaunay, décembre 1818.
Edition originale. Berryer père analyse la situation financière de la France à la suite de la crise et de la baisse des prix et des taux qui suivit Waterloo et se prononce sur l'opportunité de recourir à la dette. Il se montre favorable à une intervention massive de l'Etat pour réguler le marché: "Notoirement il y a toujours trop plein en produits, et trop peu de consommation à l'intérieur. L'État doit constituer des greniers régulateurs"Provenance : "Etienne de Monard" avec sa signature sur le titre et la mention "Metz 1819" manuscrite.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Aux Bureaux de la Gazette de France, 1869 ; 1 volume , in-8°, plein chagrin vert foncé de l'époque, encadrements de filets gras et maigres à froid, dos à nerfs, filet doré ondulé sur les nerfs, compartiments de double filet doré ornés d'un fer doré, nom doré, filet pointilé doré sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées, gardes et contre-plats de papier peigné; 160pp. Exemplaire enrichi d'un fac-similé de la Lettre de Berryer au Comte de Chambord du 18 novembre 1868 ( lithogr. de Meyer, 4pp. in-8° ) et d'une photographie de format carte de visite de Disdéri le représentant en pied ( contrecollée sur un feuillet en début d' ouvrage).
Pierre-Antoine Berryer , célèbre juriste, né en 1790 à Paris et mort à Augerville-la-Rivière( Loiret) le 29 novembre 1868, fut un ardent défenseur de la cause monarchiste et de la liberté de la presse. Le présent recueil renferment des textes du Comte de Chambord, de Jules Favre, Montalembert,etc. et les articles parus dans la presse. ( GrD2) Le papier du feuillet sur lequel est collé la photographie a jauni, quelques rares piqûres. Bel exemplaire finement relié en plein chagrin.
Berryer fait part de son regret de ne pouvoir le surlendemain assister à la soirée qu'il donne : ...je ne peux arranger les choses ainsi que je le souhaitais... ajoute-t-il en précisant qu'il ne sera pas à Paris.
Le ministre de la Marine ne peut accorder à l'avance à l'écrivain Descouches, parent de son correspondant, ...placé au Bureau des armemens pour les anciennes affaires (...) l'augmentation d'appointements... réclamée. Mais s'il fait preuve d'ardeur dans son travail, Berryer précise de sa main : ...Je luy accorderay une gratification qui luy en tiendra lieu mais ce ne sera que quand j'auray vu clairement que la besagne aura bien avancé...
P., Auguste Durand, 1860 ; 2 plaquettes in-8, brochées. 68pp. - 40pp. Couvertures imprimées servant de titres. Mouillure marginale au premier feuillet de la première plaquette.
Réunion de deux plaidoiries prononcées au Tribunal civil de Clermont (Oise) le 26 juillet 1860 par Me Berryer et le 27 juillet suivant pat Me Plocque, recueillies par J. Sabatier. Ces deux avocats étaient les défenseurs de Mgr de Dreux-Brézé dans l'affaire qui l'opposait à Alfred de Montreuil, concernant la succession du Marquis de Villette. Charles-Voltaire de Villette (1792-1859) était le fils de Charles de Villette, protégé de Voltaire, et de Mlle de Varicourt (fille adoptive de Mme Denis, nièce de Voltaire). Il mourut sans descendance en 1859 et voullu par testament léguer ses biens au duc de Bordeau (comte de Chambord), via un fidéiscommis dont Mgr de Dreux-Brézé devait être l'exécuteur testamentaire. "Il y a fidéicommis quand une personne via son testament transmet tout ou partie de son patrimoine à un bénéficiaire, en le chargeant de retransmettre ce ou ces biens à une tierce personne désignée dans l'acte. Le fidéicommis permet théoriquement au testateur de donner ses biens à quelquun qui ne peut légalement le recevoir, mais avec le risque de déclaration dillégalité et au risque que le disposant intermédiaire puisse détourner le bien et par exemple éliminer un héritier d'une succession". Peu avant sa mort M. de Villette aurait institué un parent, Alfred de Montreuil comme exécuteur testamentaire. C'est ce dernier qui conteste les dispositions du testament et remet en cause les dernières volontés de M. de Villette, voullant empécher que la succession ne revienne à l'héritier du trône de France, arguant que ce dernier était frappé d'incapacité par une loi de 1832, et que Mgr de Dreux-Brézé se rendait ainsi coupable d'illégalité. Dans une première longue, brillante et très instructive plaidoirie, Me Berryer expose les faits, les lettres et documents... qui montrent bien les intentions de M. de Villette, et dédouanent Mgr de Dreux-Brézé de vouloir trangresser la loi de 1832. La seconde plaidoirie en faveur de l'évêque de Moulins est menée par Me Plocque avec autant de brio.Dans un premier temps le parti du Marquis de Villette perdra le procès, mais la cour de cassation lui donnera raison en 1862. De nombreux souvenirs attachés à Voltaire faisaient partie de cette succession, dont le coeur de l'écrivain, que les héritiers Villette offrirent en 1864 à Napoléon III. Il se trouve aujourd'hui à la Bibliothèque Nationale, scellé dans le socle d'un des modèles en plâtre de la statue de Houdon "Voltaire assis".
P., Ambroise Dupont, 1839, 2 vol. in-8°, 400 et 438 pp, reliures demi-chagrin vermillon, dos à 4 nerfs soulignés à froid et ornés de filets, têtes mouchetées, couv. conservées, signets, rousseurs éparses, sinon bel exemplaire. "Avocat spécialisé dans les affaires de commerce, Berryer est avocat du Trésor public en 1791, puis travaille sous la Terreur comme sous-agent du Trésor. Ses souvenirs concernent essentiellement les aspects juridiques dont il s'occupa. Le volume 2 des souvenirs est classé par thèmes juridiques : problème des prises maritimes, législation des émigrés..." (Fierro 130, Tulard 137, Bertier 104).
Couverture souple. Broché. 26 pages. Couverture défraîchie. Fortes mouillures. Trous de ver au 2 e plat et aux dernières pages.
Livre. Editions Auguste Durand, 1862.
- Gravure 13,5 x 22 cm, Légères rousseurs.
Vieux papier. Lithographie signée Jean Noël. Imprimé par Benard, Vers 1850.
S.l., Imprimerie d'Édouard Proux, s.d. in-8, 16 pp.
Débat avec Guizot au sujet des affaires européennes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie de A. Belin, 1833 in-8, 32 pp., broché, couv. muette de l'époque.
. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie d'Anthelme Boucher, s.d. (1818); in-4, 11 pp., en feuilles, cousu.
Simon Canuel (1767-1840), en plus de sa conduite provocatrice dans l'affaire de l'insurrection de Lyon, prit part au complot ultra appelé "Conspiration du bord de l'eau" ; il fut arrêté à cette occasion, et mis au secret. C'est pendant sa détention que son avocat Berryer rédigea cette défense. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie d'Anthelme Boucher, s.d. (1818); in-4, 11 pp., dérelié.
Simon Canuel (1767-1840), en plus de sa conduite provocatrice dans l'affaire de l'insurrection de Lyon, prit part au complot ultra appelé "Conspiration du bord de l'eau" ; il fut arrêté à cette occasion, et mis au secret. C'est pendant sa détention que son avocat Berryer rédigea cette défense. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ambroise Dupont, 1839 2 vol. in-8, 400 pp. et 438 pp. , demi-maroquin aubergine, dos à nerfs, tête dorée (rel. de la fin du XIXe). Mouillure angulaire au tome 2. Dos passé.
Le premier volume est constitué des Souvenirs sur la fin de l'Ancien Régime, la Révolution, l'Empire, les débuts de la Restauration jusqu'au procès du Maréchal Ney.Le second volume est consacré à des questions plus juridiques qui agitèrent l'époque : questions de droit international, législation sur les émigrés, affaires de commerce...Pour la période de l'Empire, "à en retenir les chapitres XIX (portraits d'avocats), XX (le vote négatif des avocats lors du plébiscite sur l'Empire, l'affaire du maire d'Anvers, l'attitude du barreau en 1814 et en 1815), XXI (le procès du Maréchal Ney).Fierro, 130. Tulard, 137. Bertier, 137. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ambroise Dupont, 1839 2 vol. in-8, 400 pp. et 438 pp., demi-chagrin rouge, dos à nerfs, couv. cons. (muette pour le tome 1) (rel. postérieure). Rousseurs.
Le premier volume est constitué des Souvenirs sur la fin de l'Ancien Régime, la Révolution, l'Empire, les débuts de la Restauration jusqu'au procès du Maréchal Ney.Le second volume est consacré à des questions plus juridiques qui agitèrent l'époque : questions de droit international, législation sur les émigrés, affaires de commerce...Pour la période de l'Empire, "à en retenir les chapitres XIX (portraits d'avocats), XX (le vote négatif des avocats lors du plébiscite sur l'Empire, l'affaire du maire d'Anvers, l'attitude du barreau en 1814 et en 1815), XXI (le procès du Maréchal Ney).Fierro, 130. Tulard, 137. Bertier, 137. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bruxelles, A. Decq 1859 "Seule édition complète et authentique", vi + 187pp., brochure originale (dos renforcé, qqs. traces d'usage), texte frais et en bon état, G47635
DIDIER ET CIE. 1876. In-8. Relié demi-cuir. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 551 pages - contreplats marbrés. Dos trés légèrement frotté. 4 nerfs au dos - Piece de titre- fleurons, filets, titre, tomaison dorés au dos.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Classification Dewey : 340-Droit
Paris B. Warée fils aîné 1824 In-16, xii-180-4 pp. demi-reliure bradel de percaline ocre, pièce de titre noire, dos lisse, couverture conservée.
L'exemplaire du grand avocat légitimiste Pierre-Antoine Berryer (1790-1868), ainsi que l'atteste la dédicace manuscrite de l'auteur sur la page de faux-titre. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.