S.n., Londres 1774, in-8 (11,5x20,5cm), XI (1) 260pp. (2) ; (1bc.) 88pp., 2 parties reliées en un volume.
Edition originale, illustrée d'un frontispice allégorique et d'un portrait de Madame du Barry. La seconde partie porte pour titre : Precis Historique de la Vie de Mad. la Comtesse du Barry. Edition anonyme dont l'auteur serait Jean Frédéric Bernard selon Barbier. Reliure enplein veau marbré glacé d'époque. Dos lisse orné. Coiffe fragile avec manque. Mors fendus en tête. Mors supérieur fendu en queue. Mors fendillés. Frottements. Une mouillure jaune en marge au milieu de l'ouvrage, courant sur quelques pages de la seconde partie (à partir de la p. 50). Recueil composé de 12 nouvelles galantes et libertines se déroulant dans plusieurs lieux d'Europe. L'ouvrage fut d'abord attribué à Jean Frédéric Bernard, plus connu pour ses ouvrages de recherche et de compilation tels que L'éloge de l'Enfer, ou Recueil de voyages au nord, plutôt que par sa littérature. Cependant, Octave Uzanne nous apprend, dans sa préface de la réédition de 1881, que Jean-Frédéric Bernard était mort en 1752. Il faut donc, selon lui, attribuer ce recueil à François Bernard qui ne publia sous son nom qu'une Analyse de l'histoire philosophique et politique de Raynàl en 1775, mais qui se livra à de nombreuses traductions de l'anglais et de l'allemand. Bien que ce Bernard soit cité par Quérard, Uzanne ne nous en apprend pas plus sur "la vie de ce paisible Hollandais qui dut mourir, selon toute apparence, aux approches de la Révolution" car, écrit-il, "la lanterne de l'érudition devient une lanterne sourde lorsqu'elle interroge une telle profondeur d'obscurité." Uzanne est d'ailleurs assez critique sur les qualités littéraires de l'ouvrage dont il préface pourtant une réédition, mais lui reconnait comme qualité principale d'offrir "un coup d'il d'ensemble sur la bourgeoisie marchande du dernier siècle, un idéal de naturalisme gris, sans aucun des piments de l'imagination, mais, en somme, une donnée exacte des petits scandales arrivés un peu partout alors en dehors de France." Ces nouvelles n'en demeurent pas moins solidement construites et bien écrites, elles sont dans le goût de celles de Baculard d'Arnaud, un certain humour et une satire en plus. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 1775, 11,5x18cm, relié.
Nouvelle édition parue anonymement. Reliure à la bradel en pleine soie moirée bordeaux, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge comportant deux accrocs marginaux, gardes et contreplats de soie moirée bordeaux, tête bordeaux, reliure signée de Thiébaut. Le frontispice gravé fait défaut à notre exemplaire et a été remplacé par un portrait du XXème siècle de madame du Barry. Recueil composé de 12 nouvelles galantes et libertines se déroulant dans plusieurs lieux d'Europe. Agréable exemplaire. L'ouvrage fut d'abord attribué à Jean Frédéric Bernard, plus connu pour ses ouvrages de recherche et de compilation tels que L'éloge de l'Enfer, ou Recueil de voyages au nord, plutôt que par sa littérature. Cependant, Octave Uzanne nous apprend, dans sa préface de la réédition de 1881, que Jean-Frédéric Bernard était mort en 1752. Il faut donc, selon lui, attribuer ce recueil à François Bernard qui ne publia sous son nom qu'une Analyse de l'histoire philosophique et politique de Raynàl en 1775, mais qui se livra à de nombreuses traductions de l'anglais et de l'allemand. Bien que ce Bernard soit cité par Quérard, Uzanne ne nous en apprend pas plus sur "la vie de ce paisible Hollandais qui dut mourir, selon toute apparence, aux approches de la Révolution" car, écrit-il, "la lanterne de l'érudition devient une lanterne sourde lorsqu'elle interroge une telle profondeur d'obscurité." Uzanne est d'ailleurs assez critique sur les qualités littéraires de l'ouvrage dont il préface pourtant une réédition, mais lui reconnait comme qualité principale d'offrir "un coup d'il d'ensemble sur la bourgeoisie marchande du dernier siècle, un idéal de naturalisme gris, sans aucun des piments de l'imagination, mais, en somme, une donnée exacte des petits scandales arrivés un peu partout alors en dehors de France." Ces nouvelles n'en demeurent pas moins solidement construites et bien écrites, elles sont dans le goût de celles de Baculard d'Arnaud, un certain humour et une satire en plus. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A Tours, de l'Imprimerie de Mame, 1807-1809. Mémoire sur le scandaleux désordre causé par les jeunes filles trompées et abandonnées dans un absolu dénuement ; Et sur les moyens d'utiliser une portion de population perdue pour l'État et très-funeste à l'ordre social. A Tours, de l'Imprimerie de Mame, avril 1808. Mémoire sur les moyens de prévenir les vols et les assassinats, et de ramener les hommes qui les commettent aux travaux de la Société, et sur les moyens de simplifier l'Ordre judiciaire. A Tours, de l'Imprimerie de Mame, avril 1807. Ensemble 1 vol. grand in-8 à pagination continue de (4)-93 pp., veau havane raciné, dos lisse orné, double filet doré d'encadrement sur les plats (reliure de l'époque).
Réunion en un volume de trois brochures de Bernard-François Balzac, père de l'écrivain, adjoint au maire et administrateur de l'Hospice général de Tours. Dans le premier mémoire Balzac propose d'élever entre le Louvre et les Tuileries une pyramide colossale dédiée à la gloire de Napoléon. Il fait part au ministre de l'Intérieur de ce projet, auquel fut préféré l'Arc de Triomphe de Percier et Fontaine. « Ces brochures, d'une extrême rareté, révèlent en B.-F. Balzac un esprit curieux, disciple des encyclopédistes, ami des lumières et du progrès épris de liberté, mais partisan de l'ordre, quelque peu idéologue, mais aussi homme d'action d'esprit pratique et concret » (Catalogue de l'exposition Balzac, Bibliothèque nationale, 1950, n°16). Le présent exemplaire comporte en tête le curieux titre général reproduit ci-dessus, suivi d'une table analytique des matières des trois mémoires. Provenance : Jules Claretie (ex-libris) avec cette mention manuscrite : « Oeuvre du père d'Honoré de Balzac, Jules Claretie, 7 mars 1903 / chez Sapin » ; ex-libris Bibliothèque de M. Olivier de Gourcuff.Signature autographe de Bernard-François Balzac à la fin du premier mémoire. Bel exemplaire.
P , Edition spéciale des chemins de fer de l'état , petit in4° br , 134pp 64 dessins, encre ou crayon, à pleine page . Langue: Français
A Paris, chez Trouvé; Delafoêt; et chez tous les marchands de nouveautés, 1826, 1 broché. in-8 de 372 pages, exemplaire à pleines marges, ex-libris (tampon): "S. Dejour Montélimar" (Séverin Dejour , nougatier), légére mouillure au bas des 2 premiers et 2 derniers feuillets ;
Issu d'une famille bourgeoise, Bernard François Anne Fonvielle, naît le 19 août 1760 à Toulouse. Fédéraliste agissant contre la tyrannie jacobine, il prêche la révolte dans plusieurs départements. Poursuivi, il entreprend un long périple à l'étranger. Converti au royalisme, il s'établit à Marseille où il s'enrichit par des spéculations plus ou moins légales.Fonvielle est mort à Paris en 1839 dans un état voisin de la misère.Ouvrage provenant de la bibliothèque de Séverin Dejour, l'un des premiers confiseurs nougatiers de Montélimar. Il créat les nougats "la Ruche d'Or" en 1848 dans une ancienne usine à gaz, près de la gare de Montelimar. La confiserie fut modernisée en 1913 par Henri Guillot, qui plus tard, associé à son beau-frère, Charles Chabert, créèrent ensemble la célèbre marque "Chabert-Guillot" toujours en activité.
Phone number : 06 80 15 77 01
Bourg (Ain), imrimé par les soins de M. le comte de Menthon ; chez Janinet, 1820, 1 demi veau à coins, ex-libris cotrecollé sur la 1ère garde: "Sappey médecin à Cerdon dans l'Ain" (étiquette). in-12 de 214 pages ;
Phone number : 06 80 15 77 01
S.l., s.d. (1800) in-folio, [2] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et lisible, quelques ajouts et biffures, en feuille.
Cette copie manuscrite est à placer chronologiquement entre la composition de la pièce et sa présentation au comte de Provence pendant son séjour à Vérone (entre 1794 et mai 1796) d'une part, et la parution de la collective de l'auteur intitulée Essais de poésies, qui parut en 1800 à l'adresse de Paris.En effet, une note finale témoigne du dépit que Fonvielle nourrit au refus d'insérer cette poésie dans l'ouvrage : "Mr. de Fonvielle, auteur de l'Essai sur l'état de la France au 1er mai 1796 (...) a osé imprimer son Ode à Louis XVI, dans son recueil de poësies, signé de lui, imprimé en 1800, à Paris, en 2 volumes. Cette Ode ne fut pas insérée, malgré les pressantes sollicitations de l'auteur." Le jeune gouvernement consulaire, avec de surcroît Fouché à la tête de la police générale, ne pouvait effectivement guère tolérer ce qui pouvait raviver le souvenir de l'ancienne famille royale. Mais le sieur Fonvielle n'avait qu'à attendre une quinzaine d'années, et en effet son immortel poème put enfin connaître la gloire de l'impression .. en 1816 chez Dentu.Le Toulousain Bernard-François-Anne Fonvielle (1760-1839) fut, tout au long de sa vie, un personnage extravagant et fantasque, à la fois publiciste, homme d'affaires et fonctionnaire, bien évidemment à convictions et positionnements multiples. Selon un de ses observateurs, "il ne réussit qu'à faire figure d'aventurier dans la politique, les affaires et dans les lettres". Pendant la Révolution, il commença par militer aux côtés des Girondins. Fédéraliste agissant contre la tyrannie jacobine, il prêcha la révolte dans plusieurs départements. Poursuivi, il entreprit un long périple à l'étranger. Et brusquement, il se convertit au royalisme, s'établit à Marseille où il s'enrichit par des spéculations plus ou moins légales et put ainsi fournir un prêt de 142.000 livres à un émissaire du comte de Provence (le futur Louis XVIII), pour soutenir la cause royaliste. Mieux, au cours d'un voyage en Italie, il réussit à se présenter au comte de Provence comme ardent partisan du retour de la royauté. Et c'est à l'occasion de cette visite qu'il dut présenter son Ode.Cf. Quérard III, 158 et 159. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, 23 septembre 1832 in-folio, [3] pp. n. ch., couvertes d'une écriture régulière, soignée et très lisible, quelques ratures, en feuille. Manque de papier réparé en bas des deux feuillets, avec perte de quelques lettres.
Directement adressée au Roi, contre tous les usages, cette longue et profuse missive, dont on a ici un brouillon ou une copie, trace le portrait d'un solliciteur insistant et malheureux ("Je ne rappelerai point à Votre Majesté ce que j'ai pris la liberté de lui exposer par diverses suppliques. Le sort qu'elles ont eu dans votre cabinet, où sans doute on ne les a pas jugées dignes de passer sous vos yeux, puisque je n'en ai obtenu aucune réponse, m'avertit que je me suis abusé ...").Bernard-François-Anne Fonvielle, dit le chevalier de Fonvielle (1760-1839), aventurier instable et brouillon né à Toulouse, ancien Jacobin méridional, puis fédéraliste, passa au royalisme après le siège de Toulon, s'était beaucoup agité en tous sens et avait mené une activité de conspirateur sous le Directoire. Depuis la Restauration, il s'épuisait en sollicitations pour recouvrer une créance de 142 000 livres remontant au siège de Toulon, et pour obtenir une pension, alléguant de sa "fidélité" à la cause royaliste ; ce qui ne marcha pas avec la branche aînée, il l'essaya avec la branche cadette après 1830, et notre missive offre un bon exemple de sa manière larmoyante et répétitive, ainsi que de son style insupportable : mettant en avant son dévouement (bien récent) à la cause "gouvernementiste" et les opuscules qu'il avait publiés depuis 1830 en faveur du changement de régime, il revient sur la créance dont il s'estime lésé, et demande la réévaluation de la pension consentie par le ministère Villèle."Je jouissais d'une allocation de 6000 fr. par an sur les fonds du ministère de l'intérieur ; elle était le prix d'une concession par moi faite à Mr. de Corbière, qui me l'avait assurée ma vie durant. Successivement réduite, au mépris d'une convention positive, dont la déclaration des bureaux a vainement établi la réalité, elle n'est plus que de 2400 fr., mon unique moyen de subsistance. J'ai eu beau réclamer contre ce manque de foi ; j'ai eu beau exposer quelles étaient les conséquences d'un tel retranchement pour mon ménage composé de 11 personnes, la Restauration ayant commis le crime de laisser sans travail un homme tel que moi, après que deux pillages, en 1814, et 1815, m'auront chassé de mon domaine aux portes de Paris, et s'étant fait chasser elle-même sans m'avoir payé 142 000 fr. qu'elle me doit depuis 39 ans, et pour lesquels je n'ai rien obtenu depuis 16 ans, j'ai eu beau représenter que la révolution avait empiré mon horrible situation en faisant avorter une banque du bâtiment que j'étais à la veille d'instituer lorsque tonna le canon de juillet, ce qui m'a coûté au-delà de 40 000 fr., j'ai eu beau enfin appeler la justice ou même la pitié du ministère sur un père de famille exposé à périr avec tous les siens, tout est resté sourd à mes cris de détresse".Rétrospectivement, et sans doute cruellement, on voudrait ajouter : "et à raison ..." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Londres (?), chez P.G. Wauckner, 1775. Frontispice. IV. 96 pages. (17x10,5 Cm). Cartonnage moderne à la Bradel. Pièce de titre dorée. Rare édition de ce piquant pamphlet contre la comtesse du Barry. Illustré d'un portrait de la célèbre favorite, il est attribué au Hollandais François Bernard. L'auteur n'omet pas de lancer divers traits contre le roi, la noblesse ou les gens d'Eglise. Rousseurs. Traces de plis.
Rotrou Jocelyne de Michel Bernard François Verdureau F
Reference : CEH103AP
ISBN : 9782905580559
Solal Editeurs Broché D'occasion très bon état 01/01/1996 201 pages
Londres P. G. Wauckner 1775 In-12 (17,5 x 11,5 cm.) 104 pp. demi-reliure de maroquin citron, pièce de titre rouge, dos à nerfs décoré (reliure signée par E. Pouget).
Seconde édition après l'originale de 1774 qui comportait "un mauvais frontispice gravé par J. J. Bylaërt représentant une grossière Vénus, assise sur un trône en forme de conque, dans son temple de Gnide. Tandis que près d'elle, Mercure agite son caducée, il bambino Cupidon présente une gazette à sa mère, et au premier plan, un moine, un juge, un militaire et une dame souriante semblent attendre une parole aimable de la gracieuse déesse". "Compilation anecdotique, prétendue traduction de l'anglais" attribuée à François Bernard, polygraphe traducteur de l'anglais et de l'allemand. "Opuscule très osé, qui ne mérite notre intérêt et n'a attiré notre attention que par la crânerie et à la fois la naïveté des vices qui s'y produisent.(...) il était bon de montrer encore la créature de fange dans l'absolue réalité de son croupissement bestial, c'est à dire la fille du XVIIIe siècle, issue de la misère, placée, par sa faiblesse organique et ses désirs de lucre, sur le même degré d'abjection que la "ribaude folieuse" du moyen-âge, ou la misérable "Nana", une Brion de ce temps. "Octave Uzanne pour la préface de la réédition en 1881 de ce rare opuscule. Il n'est pas certain que cette édition a comporté un frontispice. Quelques rousseurs pâles. Bel exemplaire soigneusement relié au XIXème siècle. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
LEJARD André / MIOMANDRE Francis de / d'ARBAUMONT Claude / LACROIX Boris j. / CHAMPIGNEULLE Bernard / FRANÇOIS Lucien
Reference : 12554
Librairie Centrale des Beaux-Arts, revue trimestrielle, numéro 19, 4e trimestre 1950, format 318x245mm, broché, XXII pages publicitaires ( BACCARAT, JEAN BARD, SAINT LOUIS, BAGUÈS, LANCÔME, LELEU, etc..) + 52 pages,1er plat illustré par Boris J. LACROIX, couverture légèrement vermiculée sinon bon exemplaire.
Sommaire : Les Costumes de Théatre de Gischia par André Lejard, La Table dans la Maison ( Marcel GASCOIN, RENOU et GÉNISSET, Jules LELEU, Jacques KLEIN, Jacques ADNET, Jean ROYÈRE, H. MEYER, Colette GUEDEN ), Propos sur la Table par Francis de Miomandre, Les Parures de la Table ( Marc DU PLANTIER, Jean LUCE, BACCARAT, PICASSO Madoura, Colette GUEDEN, André BEAUDIN, RENOU et GÉNISSET, DAUM, Madeleine ARBUS, Paule MARROT, Sigvard BERNADOTTE, Jean PUIFORCAT, Jean DESPRÉS, TARDY ), Où des Éléments de série composent un intérieur personnel ( Marcel MICHAUD, AALTO, Jean ROYÈRE, MATEGOT ), Un Vase pour chaque fleur par Claude d'Arbaumont ( MARJOLAINE LUC LANEL , Jean LUCE, Pierre ROULOT, F. AGOSTINI, DAUM ), A.M. CASSANDRE de 1925 à 1950 par Boris j. Lacroix, Un Mobilier ancien un esprit d'aujourd'hui par Bernard Champigneulle , L'Embarras du choix... par Lucien François ( SABINO, BAGUÈS, Jean PERZEL, Pierre Chareau par B. Ch., etc...
A Leyde, chez J. Murray, Libraire, 1775 (premier texte), A Amsterdam, et se trouve à Paris, chez Kapen, Imprimeur de la Cour des Aides, au bas du Pont Saint-Michel, 1776 (deuxième texte), 2 parties reliés en 1 volume in-8 de 205x125x35 mm environ, 1f.blanc, viii-245-323 pages, 1f.blanc, plein raciné fauve, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorés, gardes marbrées, tranches rouges. Rousseurs rares et pages brunies, petite galerie de ver sur le premier plat, petits frottements sur les coiffes et mors, quelques note manuscrites sur la page de table du texte de Petit, sinon bon état.
Deux textes reliés en un volume : 1. François Bernard : Analyse de l'Histoire philosophique et Politique, Critique de l'ouvrage de Raynal (1175).2. Emilien Petit, Observations sur plusieurs Assertions extraites littéralement de l'Histoire philosophique... de Raynal (1776). Table des chapitres : Introduction, I. Sur la religion - II. Sur l'autorité civiles - III. Sur les colonies insulaires - IV. Tit. I. Des Isles en général - Tit. II. De l'esclavage - Tit. III. Des Isles Françoises - Tit. IV. Des Isles Angloises.Emilien Petit est conseiller député des Conseils Supérieurs des Colonies Françaises, chargé du Dépôt des Actes des Colonies et de la Rédaction d'un Code des Colonies par Louis XV (Quérard). Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
AuPont-aux-Dames 1775, In-8 (13,5x21,3cm), 72pp., relié.
Contrefaçon deLa gazette de Cythère ou histoire secrète de madame la comtesse du Barry, parue la même année, attribuée à François Bernard, qui aurait travaillé ici avec Pidansat de Mairobert. Reliure fin XIXe en demi veau glacé noisette. Dos orné de 5 petites fleurs. Pièce de titre de veau rouge. Frottement en tête. Tâches brunes en haut du dos et sur le plat inférieur. Exemplaire à grandes marges, sur papier fort. Violent pamphlet à charge contre la Comtesse Du Barry qui parut peu après la disgrâce de la maîtresse de Louis XV, alors dans un couvent et selon l'auteur, considérée comme morte au monde, alors que la Comtesse se réconcilia plus tard avec la famille royale, eut des activités contre-révolutionnaires qui la conduisirent à l'échafaud. L'ouvrage fut aussitôt traduit en anglais et en allemand. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bernard-François, chevalier de Fonvielle (1760-1839), poète, homme politique, publiciste.
Reference : 007288
Bernard-François, chevalier de Fonvielle (1760-1839), poète, homme politique, publiciste. L.A.S., 23 septembre 1832, 2p in-4. Il est question d'obtenir une somme du roi que son correspondant peut aider à obtenir. Il lui demande de transmettre des papiers en ce sens au comte de Montalivet et au baron Louis. Il mentionne le 5e volume de ses mémoires à paraître (les 4 premiers furent publiés en 1824). L'ouvrage en question est vraisemblablement l'Ecole des ministres qui sera publié en 1836. Il présente alors ses déboires financiers et ses exigences, mentionnant aussi les souscriptions pour ses volumes. Peu commun. [245]
A LONDRES. CHEZ P. G. WAUCKNER, LIBRAIRE. 1775. 1778. PETIT IN-8 BROCHE (11,5 X 18 X 1 CENTIMETRES ENVIRON) DE 104 PAGES, COUVERTURE GRISE MUETTE D’ORIGINE. OUVRAGE ANONYME ATTRIBUE A FRANCOIS BERNARD (BARBIER. II. 524). BON EXEMPLAIRE.
Fred Bernard, François Roca (Illustrations)
Reference : RO20265725
(2004)
ISBN : 2020639351
SEUIL JEUNESSE. 2004. In-Folio. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 30 pages illustrées en couleur + envoi/dessin de Fred Bernard en page de titre, voir 2e photo - environ 38 x 27 cm. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
TOM POUSSE ED.
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782353452743
AFNOR EDITIONS
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782124657643
AFNOR EDITIONS
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782124658299
Couverture souple. Broché. 134 pages. Couverture légèrement tachée.
Livre. 64 monuments commentés par des auteurs célèbres. 64 notices historiques. Préface de Robert Rey. Editions Mayeux, Vers 1940.
Couverture souple. 8 pages. Marge supérieure brunie. Petits trous de vers en marge.
Livre. Pro Baccalaureatus gradu consequendo. Montpellier, 1778.
Amsterdam, et Paris : Morin, 1775 In-8, 278 pages. Basane racinée de l'époque, dos lisse orné.
Edition originale. Critique de l'ouvrage de l'abbé Guillaume-Thomas Raynal, "Histoire philosophique & politique...". "Cette critique se réfère à la deuxième édition « qui vient de paraître à La Haye ». Elle fournit du reste quelques renseignements sur la première de 1770 (qu'elle dit imprimée à Paris) et sur le « succès prodigieux » qu'a connu l'œuvre « dans toute l'Europe », comme l'attestent les « contre-factions ». L'"Analyse" se donne pour un simple recueil de ses propos les plus scandaleux, : l'auteur y voit un « nouveau monument érigé, à côté de tant d'autres, à l'Irreligion » et assure n'avoir « extrait qu'une petite partie des textes dont la fausseté, l'absurdité, j'ose dire l'impiété, sont frappantes ». La réfutation donne ensuite ses buts : « faire l'apologie de la raison, du bon ordre, des lois, et surtout de la religion chrétienne. »" (DROIXHE, Daniel. Raynal à Liège : censure, vulgarisation, révolutions, Studies on Voltaire 286. 1991)."Réfutation de l'ouvrage de Raynal. B. critique les idées exprimées dans l'"Histoire…" sur le commerce, les hôpitaux, « la grande prodigalité des germes de la population » dans le midi, la fécondité des Chinois, etc." (INED, 432). INED, 432. Einaudi, 452 (pour adresse J. Murray, à Leyde, 1775 et édition de 245 pp.). Kress, 7074. Goldsmiths, 11257 (pour adresse à Leyde et édition de 245 pp.).