France-Empire 2006 15 4x3 2x24cm. 2006. Broché. Bon Etat intérieur propre
Gallimard/Electa/Centre Georges Pompidou, Paris, 1995. Fort in-4, cartonnage éditeur avec dos entoilé, 399 pp. Avant-propos, par François Barré - Préface, par Marie-Laure Bernadac & Bernard Marcadé - Introductions : Le voir et le genre, par Kathy Acker. - Le devenir-femme de l'art, par B. Marcadé - Images - Catalogue : Textes de M.-L. Bernadac ...
Nombreuses illustrations et planches en noir et en couleurs in et hors texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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France-Empire, 1977, fort gr. in-8°, 611 pp, broché, couv. à rabats, bon état
Les Carnets secrets d'Aristide Corre (Dagore pour la Cagoule). — La Cagoule ! Mystérieuse cagoule. Si mystérleuse qu’aujourd’hui encore, devant l’absence d’archives, de documents officiels (Ia plupart des dossiers de police et d’instruction ont été pillés ou simplement épurés pendant Ia Seconde Guerre mondiale par d’anciens Cagoulards) et surtout devant le truquage des pièces fournies aux divers interrogatoires d’avant-procès, devant les faux témoignages, les repentirs, les aveux extorqués et repris, les alibis fabriqués, les dénonciations, les soutiens politiques et militaires, journalistes, écrivains, historiens, en sont à s’interroger sur Ia réalité de ses actions de commando ou de plastiquage, l‘organisation interne du mouvement, son financement, son armement, ses relations avec les facismes italien, espagnol, allemand... La Cagoule – organisation secrète d’action révolutionnaire – fondée en 1936 par des membres dissidents de l’Action française, deçus et irrités par « le manque de combativité » du vieux mouvement royaliste et nationaliste, devant Ia « montée et les dangers » du Front Populaire et du communisme, avait son chroniqueur quotidien et, jusqu’à Ia pubIication de ce livre, chacun l’ignorait. Les Carnets d’Aristide Corre (Dagore pour Ia Cagoule) contiennent Ia plupart des secrets de I’organisation terroriste. Comment imaginer que celul, sans qui sans doute, le fondateur Eugène Deloncle, n’aurait rien entrepris, alt pu commettre l’imprudence de confier chaque jour à des cahiers : notations, réflexions, commentaires, informations concernant les crimes et les objectifs de la Cagoule. Assurément, nul homme n’aurait été plus mal choisi pour occuper le poste de chef du Deuxième Bureau, chargé du renseignement et de Ia mise en place des actions de l’organisation. Ce besoin d’écrire – noir sur blanc – qul est refusé à tout agent secret, Dagore allait se montrer incapable de le réprimer et, lorsque le policier Jobard perquisitionnera chez lui, les carnets reliés – racontant tout ou presque tout – seront là, bien rangés à quelques centimètres du bout de son nez, sur les rayons de la bibliothèque. II est vrai que Ia police a des excuses de ne pas avoir poussé plus loin ses investigations, elle venait de trouver chez Dagore une grande liste d'« abonnés » de I’O.S.A.R., ce qui permit, indicateurs infiltrés aidant, de mettre pratiquement fin à l’organisation. C’est par hasard que Christian Bernadac a retrouvé les précieux carnets secrets d’Aristide Corre et a décidé de les publier et de les présenter en les commentant. La vie d’Aristide Corre, telle qu’iI Ia raconte sans rien cacher ni de son action, ni de ses amours, est un document humain qul révèle un personnage hors série... — "En poursuivant des recherches sur les camps de concentration, le journaliste Christian Bernadac fut amené à rencontrer, en 1969, le père Joseph Fily, déporté à Dachau et ancien Cagoulard. Ce dernier lui communiqua les carnets d'Aristide Corre, qu'il avait en dépôt depuis 1942. Aristide Corre, dit Dagore, fut le chef du 2e Bureau de la Cagoule. Ami d'enfance d'Eugène Deloncle, il le suivit à l'Action Française, puis dans la constitution de l'organisation clandestine qui devait renverser le régime honni par l'extrême-droite. Recherché par la police française, Dagore se réfugia à Saint-Sébastien en octobre 1937 et il vécut en exil en Espagne jusqu'à la défaite de 1940. Engagé dans la Résistance, contrairement à ses amis Deloncle, Filliol et Darnand, il fut fusillé à la prison du Cherche-Midi le 31 mars 1942, sous la fausse identité de Claude Meunier, ce qui explique qu'à la Libération la police le recherchait toujours. Bernadac vient de publier ces carnets sous la forme de larges extraits annotés qui, au-delà des renseignements fournis sur l'Organisation Secrète d'Action Révolutionnaire, apportent une meilleure compréhension de la psychologie des principaux Cagoulards, tels que Deloncle, Filliol, Jeantet, sans oublier l'auteur méconnu, écrivain manqué qui mêle l'introspection à la conspiration. Il peut paraître surprenant de voir le responsable du 2e Bureau d'une organisation clandestine tenir régulièrement un journal dans lequel il consigne des notations parfois détaillées sur les réunions auxquelles il a participé ou sur les projets de "coups" à monter, même si elles apparaissent sous une forme qui n'est pas toujours très claire pour le non- initié. C'est ce qui fait l'intérêt de cette publication originale qui nous permet de mieux connaître le milieu Cagoulard, à défaut de tout savoir sur le "Complot" et ses prolongements. Aristide Corre signale souvent qu'il ne peut encore noter dans son journal ce qu'il a vu ou entendu le jour même, mais il y revient à coup sûr les jours suivants avec des précisions de plus en plus nettes, qu'il s'agisse du trafic d'armes, de la suppression de traîtres et d'ennemis ou de la constitution de dépôts d'armes et de munitions dans la région parisienne. Il écrit plus librement après son exil en Espagne, certes, mais sa situation d'isolement et de dépendance le préoccupe de plus en plus, au détriment des notations politico-militaires, qu'elles concernent la situation française ou la guerre civile. C'est pourquoi le lecteur reste souvent sur sa faim, à moins qu'il n'apprécie l'étalage des états d'âme et des phantasmes de l'auteur. La lecture de ces carnets apporte la confirmation que la Côte d'Azur a constitué pour la Cagoule un secteur important, que ce soit pour le trafic d'armes ou pour les contacts avec les services spéciaux italiens. Joseph Darnand est intimement lié à ces deux affaires et son nom revient souvent sous la plume de Dagore." (Jean-Louis Panicacci, Cahiers de la Méditerranée, 1977)
Michel Lafon 1999 16x24x4cm. 1999. Broché. 444 pages. Bon Etat intérieur propre
France empire 1977 fort in8. 1977. broché. 610 pages. Bon Etat intérieur propre couverture frottée sur ses bords
France empire 1997 in8. 1997. relie. 407 pages. Très bon état
France loisirs 1975 in8. 1975. Cartonné jaquette. 379 pages. Très Bon Etat de l'ensemble
France empire 1968 in8. 1968. broché jaquette. 444 pages. Très bon état
Gallimard 1986 12x17x1cm. 1986. Poche. 192 pages. Bon Etat intérieur propre
Vendome Libraidisque 1985 In8 - broché - 94 pages - articles de journaux collés dans l'ouvrage
Bon
France empire 1979 in8. 1979. broché. 413 pages. Très bon état
France-Empire 1977 in8. 1977. Broché.
jaquette défraîchie bords frottés intérieur propre
Presses pocket 1972 poche. 1972. Broché. 251 pages. Bon Etat intérieur propre
France empire 1971 in8. 1971. reliure plein basane. 318 pages. Très Bon Etat
PICASSO]. BERNADAC (Marie-Laure), PIOT (Christine).
Reference : 99588
(1989)
ISBN : 9782070111510
Paris Gallimard, Réunion des Musées Nationaux 1989 1 vol. relié in-4, cartonnage sous jaquette illustrée, étui, 454 pp., nombreux fac-similés en noir et en couleurs (ex-dono manuscrit sur la page de garde). Textes de Picasso établis, présentés et annotés par Marie-Laure Bernadac et Christine Piot. Préface de Michel Leiris. Très bon état.
Famot 1984 in8. 1984. reliure editeur. 311 pages. Bon Etat intérieur propre
Famot 1979 in12. 1979. Reliure editeur. 294 pages. Très Bon Etat
France-empire 1975 14x19. 1975. Broché avec sa jaquette. 318 pages. Très bon état (TB) de l'ensemble
Le grand livre du mois 1995 16x23. 1995. broché. 390 pages. Bon Etat intérieur propre