Heugel collection sans date d'édition. in12. Sans date. broché. 163 pages. Etat Correct d'usage
Opéra de Marseille 1998 15x20. 1998. Broché. 114 pages. Bon Etat intérieur propre couverture verso salie
Costolla editeur 1981 grand in8. 1981. agrafé. 38 pages. Bon Etat intérieur propre
Librairie de l'art, Paris 1888, 24,5x32,5cm, relié.
Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête. Ouvrage illustré de 14 lithographies originales d'Adolphe Fantin-Latour tirées sur Chine ainsi que de 12 portraits d'Hector Berlioz, de 3 planches hors-texte et de 122 gravures, fac-similé d'autographes, caricatures... Reliure en plein maroquin rouge, dos à cinq nerfs, roulettes dorées sur les coiffes, gardes et contreplats de papier peigné, bel ex-libris gravé encollé sur un contreplat, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, couvertures conservées, toutes tranches dorées, doubles filets dorés sur les coupes, parfaite reliure de l'époque signée Cuzin. Notre exemplaire est enrichi d'un billet autographe signé d'Hector Berlioz encollé sur une garde : "Jeudi 21 / Monsieur, soyez assez bon pour accorder quelques lignes à l'annonce de notre concert de mardi prochain. Vous obligerez beaucoup votre tout dévoué H. Berlioz." Bel exemplaire parfaitement établi et enrichi d'un billet autographe signé d'Hector Berlioz. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, Calmann-Lévy, 1879 ; in-12, demi-chagrin lavallière, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, titre doré (reliure de l’époque) ; [4], 361 pp.
Edition originale peu courante qui fut immédiatement rééditée en 385 pp. Précieuse notice biographique de Daniel Bernard qui a pu interroger des proches de Berlioz qui lui ont livré nombre d’anecdotes piquantes qui éclairent l’adolescence et les débuts du génial compositeur. Lettres à Ignace Pleyel, Rodolphe Kreutzer, Fétis, Ferdinand Hiller, madame Horace Vernet, Joseph d’Ortique, Hoffmeister, Robert Schumann, Maurice Schlesinger, Liszt, Buloz, Gürpenkerl, Michel Glinka, Louis Berlioz, Auguste Morel, Tajan-Rogé, Alexis Wolff, Guillaume Lenz, Lecourt, Brandas, B. Jullien, Hans de Bulow, Richard Wagner, Ernest Legouvé, l’abbé Girod, Bennet, madame Massart, Paul Smith, Johannès Weber, M. et Madame Darncke, Madame Ernst, Asger Haverik, Ernest Royer, Edouard Alexandre, Wladimir Strassoff, etc. Bel exemplaire, bien relié.
Phone number : 06 60 22 21 35
Mai 1864 Berlioz, en habitué du festival de Bade [il y avait créé son opéra Béatrice et Bénédict], organisé tous les ans par Edouard Bénazet, annonce à David Hermann Engel, la suppression du rendez-vous musical allemand :...M. Bénazet est venu passer quelques jours à Paris, et la saison de Bade est supprimée. Il m'a dit de suspendre tous mes préparatifs ; il n'y aura pas de festival. J'avais déjà parlé de vous et vous étiez adopté. Si cela se raccommode, je vous le ferai savoir.. Il ajoute, sans espoir ...Mais, ...Bellum ruit... Il nous manquait cela....Dans ses Mémoires, au chapitre 59, Berlioz écrivit : « M. Bénazet, le directeur des jeux, m'a engagé plusieurs fois à venir organiser et diriger le festival annuel de Bade, en mettant à ma disposition pour exécuter mes œuvres, tout ce que je pouvais demander. Sa générosité, en pareil cas, a dépassé de beaucoup ce qu'ont jamais fait pour moi les souverains de l'Europe dont j'ai le plus à me louer », puis dans une lettre à sa sœur Adèle, datée du 11 mars 1858 (Corr. Générale, n° 2283) : « À Bade c'est différent; on y gagne de l'argent, et on y fait de bonne musique, et on y trouve une foule de gens d'esprit, et on y parle français »..BERLIOZ ET LE FESTIVAL DE BADE EN ALLEMAGNE : Bade tient une place de choix dans la longue histoire des rapports entre Berlioz et l'Allemagne : nulle autre ville allemande ne sera visitée avec une telle fréquence. De 1853 à 1863 le compositeur français se rendra à Bade plus d'une dizaine de fois et y retournera chaque année à partir de 1856. Ce qui l'amenait à Bade : les Bénazet : le père Jacques Bénazet (mort en 1848), puis le fils Édouard Bénazet (1801-1867) qui prit la succession de son père à la direction du casino de Bade. Édouard Bénazet, qui a étudié au Conservatoire de Paris, était un homme cultivé qui entretenait de nombreuses connaissances dans le monde des arts. L'ambition de Bénazet était de rehausser la petite ville thermale au rang de centre artistique qui attirerait l'élite de la société européenne.Dans les années 1850, Bénazet s'emploie à réaliser son projet ; il créée de nouvelles salles de jeux, un grand champ de course à Iffezheim; un nouveau théâtre qui ouvre ses portes avec l'opéra de Berlioz « Béatrice et Bénédict » en 1862 (d'après la pièce de Shalespeare "Beaucoup de bruit pour rien"). Mais, Bénazet, se désintéresse peu à peu de Bade. Dans une lettre à Camille Pal, Berlioz livre sa crainte...de perdre 2000 f de rente, par cessation de mon engagement annuel pour Bade, la suppression des jeux est toujours annoncée et dès lors plus de musique. En outre, Bénazet paraît décidé à ne plus donner de festival... David Hermann Engel avait tenu l'harmonium au festival de Bade en 1859.Correspondance générale d'Hector Berlioz (P. Citron - Mac Donald, Flammarion 2001), Vol. VII, N° 2859.
Paris Richault & Cie, éditeur, sans date (fin XIXe) 1935 grand in 8 (28x19,5) 1 volume reliure demi basane aubergine, dos lisse orné de fleurons doré, portrait d'Hector Berlioz en frontispice, 32 pages de texte suivies de 390 pages de musique notée. Hector Berlioz, 1803-1869. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
LA REVUE MUSICALE, 1956. In-8 br. Numéro spécial Hector Berlioz. Sommaire : A. Richard, Leo Lack, C. Lefort, R. Dumesnil, A. Boschot, etc. Bibliographie berliozienne.
1879 Paris: Richault et Cie sd (ca 1879/1881/1892 ).reliure demi chagrin rouge à coins,dos lisse titré et orné d'une lyre dorée, Hopkinson, S. 117 Nr. 54 D (c). Folio. (V.Nr. 11607) [aprés 1854 ,32 S. (Libretto dt./frz.), 390 p. lithogr. S. 4;Portrait ,Mit vorwort und Porträt (Lithographie).
Libretto by the composer and A. Fandonnière from G. de Nerval's French version of Goethe's Faust. Cf. Loewenberg : Annals of Opera. At head of title: A Franz Liszt."Quelques morceaux du livret sont empruntés à la traduction française du Faust de Goethe par M. Gérard de Nerval; une partie des scènes I, IV, VI et VII est de M. Gandonnière; tout le reste des paroles est de Hector Berlioz." Words in French and German; also printed as text, p.[5]-30. Plate no.: 11607.Réimpr. de l'éd. de ca 1877 d'après l'éd. originale de 1854 - 1879 ou 1892 d'après le catalogue Macnutt
Paris Jules Labitte 1844 2 vol. relié 2 vol. in-8, demi-veau olive à coins bordé d'un double filet doré, dos lisses ornés d'un décor doré en long avec filets et arabesques, têtes dorées, non rognés, couvertures et dos conservés (Ad. Lavaux rel.), 420 et 370 pp. Édition originale du premier ouvrage d'Hector Berlioz, recueil de lettres, études et impressions de voyage lors de ses tournées musicales en Italie puis en Allemagne. Exemplaire lavé, en parfaite condition intérieure et à toutes marges, revêtu d'une charmante reliure pastiche dans le goût romantique (dos légèrement passés).
Alphonse Leduc Broché D'occasion état correct 09/11/2005 150 pages
Paris, Costallat & Cie 1918 In-4 28 x 18,5 cm. Cartonnage éditeur percaline olive, couverture en couleurs par G. Fraipont conservée, 1 partition, XVI-292 pp. Exemplaire en bon état.
Quelques morceaux du livret sont empruntés à la traduction française du Faust de Goethe, par M. Gérard de Nerval ; une partie des scènes I, IV, VI et VII est de M. Gandonnière ; tout le reste des paroles est de Hector Berlioz. Bon état d’occasion
Couverture souple. Broché. 46 pages. Légèrement défraîchi. Rousseurs.
Livre. Musique de Hector Berlioz. (Sans la partition). Mise à la scène par Raoul Gunsbourg. (Jouée le 18 février 1893 à Monte-Carlo). Editions Costallat et Cie (Collection : Bibliothèque théâtrale), Vers 1893.
13,5 x 21,5 1867 "Chère Madame Fornier, Je suis bien chagrin, je vais partir pour Pétersbourg mardi prochain (12) et je n'ai point de vos nouvelles !!.. ne me laissez pas m'en aller ainsi. Deux lignes seulement pour me dire comment vous vous trouvez et je vous serai bien reconnaissant. Voyez, je vous donne l'exemple du laconisme. Je vous écrirai plus tard de St Pétersbourg quand je serai au milieu de mes grandes et pénibles affaires musicales. Votre tout dévoué". [signature] H. Berlioz. Estelle Fornier (née Duboeuf) a été pour Berlioz l'amour de sa vie, mais un amour d'enfance inaccompli. Il l'avait rencontré en 1815 à Meylan (Isère), alors qu'il passe l'été chez son grand-père maternel. Il la reverra à Lyon 49 ans plus tard en 1864, puis à Genève en 1865, où Mme Fornier s'est installée. Berlioz a 62 ans. Elle refusera sa proposition de mariage. Une relation amicale s'installe nourrie d'une correspondance régulière. Berlioz a fait deux voyages en Russie, le premier en 1847, le second en hiver 1867-1868. Il est arrivé à St Pétersbourg le 17 novembre et logera au Palais Mikhailovski. Il repartira, éreinté selon sa correspondance, le 13 décembre 1868 après avoir donné six concerts dont deux à Moscou. La lettre, écrite sur papier de deuil, a été placée dans une enveloppe blanche (11 x 7) timbrée avec la marque PD (Payé Destination) adressée à "Madame Estelle Fornier, 10 quai des eaux-vives, Genève (Suisse). Or la marque postale indique le mois d'avril (année illisible). L'écriture de l'enveloppe est bien celle de Berlioz, mais il apparait que la lettre de novembre 1867 ait été placée dans une enveloppe antérieure. Par ailleurs, on sait que Mme Fornier a quitté Genève pour Paris en avril 1867, deux ans avant la mort de Berlioz. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Paris, Michel Lévy Frères, 1852. In-12 de : 2ff. blancs, faux-titre (au verso catalogue de la Bibliothèque contemporaine), titre, 436 pages, comprenant in-fine la liste des oeuvres complètes d'Hector Berlioz. Edition originale rare. Bon état intérieur. Petits manques de papier en marge droite à deux pages sans aucune atteinte au texte. Demi-chagrin rouge d'époque, dos lisse orné de quadruple filets dorés et large roulette en pieds. Petits frottements en tête et coins légèrement usés.
Cet ouvrage, publié en 1852, est un recueil de nouvelles déjà parues en feuilleton dans la presse, dont les sujets tournent autour de la musique. Le prétexte est le suivant : les musiciens d'un orchestre du nord de l'Europe ont l'habitude, "pendant l'exécution des opéras médiocres", de lire, d'étudier ou de se raconter des histoires à tour de rôle. "L'auteur" est le rapporteur et parfois lui-même le narrateur d'anecdotes et "petits romans". Ces histoires plus ou moins longues, mélangeant la réalité et la fiction, souvent farfelues, sont l'occasion pour Berlioz de développer ses idées sur "l'état présent de la musique, ses défauts, ses malheurs et ses chagrins", et sur les musiciens, les chanteurs ou le public : "le public des trois quarts de l'Europe est à cette heure aussi inaccessible que les matelots chinois au sentiment de l'expression musicale". On y trouve également une réflexion sur la critique, un article féroce sur l'administration de l'Opéra de Paris "amoureux fou de la médiocrité", des "esquisses biographiques" de Spontini et de Paganini, un hommage à Rossini. et encore une longue et curieuse "nouvelle de l'avenir" située en 2344 (vingt-cinquième soirée), Euphonia ou la ville musicale, qui décrit une ville idéale entièrement consacrée à la musique, où les habitants tous musiciens se déplacent en ballon. Parmi ces vingt-cinq soirées, sept ne sont pas occupées à bavarder, "les musiciens n'ont garde de lire ni de parler", tous attentifs à exécuter religieusement, remplis d'émotion, des pièces considérées par Berlioz comme des chefs-d'uvre : le Freyschutz de Weber, la Vestale de Spontini, Fidelio de Beethoven, le Barbier de Séville de Rossini, Don Giovanni de Mozart, Iphigénie en Tauride de Gluck et les Huguenots de Meyerbeer.
Berlioz avait été invité pour présider un concours orphéonique dans sa ville natale, Grenoble. Les membres du jury étaient composés entre autres de GOUNOD et dAmbroise THOMAS. Berlioz souffrait depuis de nombreux mois dune névralgie intestinale, et cest très malade quil assista aux cérémonies du festival orphéonique, ainsi quà linauguration de la statue de Napoléon Ier sur linvitation de son beau-frère Camille Pal.Le compositeur décline linvitation de son ami à se rendre aux Combes : ...Je suis malade et ne puis accepter votre aimable invitation, les rugissemens de ces musiques militaires augmentent mon mal ; je ne sais si Gouot (?) [Gounod] et Thomas sont ici ; excusez moi jaurais bien voulu revoir les Combes...Berlioz entretint une correspondance suivie avec Albert Du Boys, (1804-1889), un compatriote dauphinois.Pourtant cest à Paris que Berlioz le rencontra, lorsquil y vint étudier le droit en 1822 ou 1823. Secrétaire du vicomte Sosthène de la Rochefoucauld, directeur des Beaux-Arts de 1824 à 1830, Du Boys semble sêtre à ce titre rendu utile à Berlioz. Il écrivit, avant février 1823, les paroles du chant élégiaque « Le Montagnard exilé » et de la romance « Toi qui laimas, verse des pleurs », que Berlioz mit en musique. Du Boys fit aussi les paroles de la Ballade du pêcheur daprès Goethe (1827) et du Ballet des Ombres daprès Herder (1829). Correspondance générale dHector Berlioz (Pierre Citron - Hugh J. Mac Donald, Flammarion, 2001), vol. VII, N° 3372.
29/08/1852 Berlioz confirme qu'il a bien reçu ...le billet de cinq cents francs montant de mon prélèvement du mois de septembre. Je vous remercie de votre exactitude... ajoute-t-il. Il vient d'être...gravement malade, mais me voilà de nouveau sur pieds...Berlioz avait deux soeurs. L'ainé, Anne-Marguerite appelée aussi Nanci, épousa Camille Pal, un notaire grenoblois, en janvier 1832. Berlioz entretenait avec ses parents des rapports fidèles attestés jusqu'à la fin de sa vie par une ample correspondance. Il se montre courtois, notamment envers ses deux beaux-frères (Marc Suat, l'époux d'Adèle, notaire à Vienne, et Camille Pal, l'époux de Nanci). Ceux-ci avaient été chargés par Berlioz de gérer chacun une de ses propriétés dauphinoises. Berlioz donna pouvoir en 1853 à Camille Pal afin qu'il puisse récolter les arrérages d'une de ses fermes.Corr. générale (P. Citron, 1972-75), T IV, N° 1513.
Légende dramatique. Musique de Hector Berlioz. Partition Piano et Chant. Réduction nouvelle par Charles Malherbe.Paris, Costallat et Cie. 1908 - 292 pp. Portrait frontispice de H. Berlioz.Belle reliure demi chagrin fauve de l'époque signée. Dos lisse orné en long et doré. Tête dorée. Filet doré bordant les plats. Pas de rousseur. Très bon état. Format in-4°(29x20).
Costallat & Cie.. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos frotté, Rousseurs. 64 pages, photo de Berlioz, 1er plat détaché, tampons.. . . . Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
Quelques morceaux du livret sont empruntés à la traduction française du Faust de Goethe par Gérald de Nerval; une partie des scènes I, IV, VI et VII est de M. Gandonnière, tout le reste des paroles et de Hector Berlioz. Classification Dewey : 782.1-Théâtre musical, opéra
Michel Lévy frères, Paris 1862, 12,5x19cm, relié.
Édition originale. Reliure en demi chagrin, dos à cinq nerfs orné de fleurons dorés, date en queue, plats de papier marbré à motifs il-de-chat, premier plat de couverture conservé. Rare et précieux envoi autographe signé du compositeur?: «?à mon ami Seligmann - Hector Berlioz.?» Hippolyte-Prosper Seligmann (1817-1882), violoncelliste et compositeur, fut un membre actif de la Société philharmonique qu'avait créée Berlioz en 1849. Provenance : bibliothèque R. & B. L. avec son ex-libris encollé au dos de la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
A. Bourdilliat & Cie, Paris 1859, 11,5x18cm, reliure de l'éditeur.
Édition originale. Reliure de l'éditeur en pleine toile verte, dos lisse orné de caissons à froid, encadrement de filets à froid sur les plats, gardes et contreplats de papier jaune, contreplats salis, tranches mouchetées. Quelques petites rousseurs. Rare et précieux envoi autographe signé d'Hector Berlioz au crayon de papier sur la page de titre?: «?à mon ami Théodore Ritter, souvenirs affectueux.?» Théodore Ritter, fils du compositeur Eugène Prévost, fut l'élève de Berlioz pour lequel il réalisa une version pour piano de L'Enfance du Christ. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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1852 demi-basane ordinaire (dos un peu frotté). in-12, (1f. blanc, 1f. fx-titre/catalogue Bibliothèque Contemporaine, (2ff. titre/vus les traités; à mes bons amis de l'orchestre/blanc), 436pp., P. Michel Lévy 1852
Edition originale.Important errata. In-fine catalogue des Œuvres d'Hector Berlioz 1852.Trois passages allaient être supprimés par Berlioz dans l' édition suivante en 1853: un paragraphe sur Spontini dans la treizième soirée, l’analyse de Pigeon vole dans la dix-huitième, et une phrase sur Costa dans le deuxième épilogue.Suivant les exemplaires l'ordre des premiers ff. différe.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Berlioz est chargé dune commission par Franz Liszt.Berlioz s'affaire avant son départ pour la Belgique ...Je ne puis donc aller vous voir pour la commission dont Liszt ma chargé. Il sagirait de lui procurer les livrets, règlemens, et documents de toute espèce qui se rattachent à lorganisation de nos sociétés dartistes. Il a lintention de former une association allemande de la même nature et il a besoin dun guide tel que vous ; car cest vous qui avez en quelque sorte dicté page à page tous les écrits relatifs à ces belles institutions...Fondée en 1843 et présidée par le baron Taylor (1789-1879), lAssociation des artistes musiciens se constituait afin de pourvoir à lamélioration du statut social du musicien, notamment par un fonds de pension et de secours, et à la promotion de lart musical. Réunissant plusieurs milliers de membres partout en France mais aussi à létranger, elle organise, pour alimenter sa caisse, diverses manifestations dont de nombreux concerts, et parvient à fédérer dans un esprit fraternel dentraide les actions des artistes musiciens. Dirigée par un comité formé déminentes personnalités (Berlioz, Liszt, Meyerbeer, Auber, Thalberg, Zimmerman, Herz, Érard, etc.), lassociation laissa dimposantes archives, qui sétendent jusquen 1968.
[Berlioz, Hector] Caussé, Jeanne et Sarah (sous la direction de)
Reference : 22068
(2003)
ISBN : 2706817534
Maisonneuve & Larose 2003 In-8 broché, couv. illustrée en coul., 145 pp. Très bon état. Poids : 600 gr avec emballage d’expédition
Préface de Michaël Levinas. Berlioz dans son temps, à travers les textes d’Henri Blaze de Bury et de Paul Scudo que le Revue des Deux Mondes publia entre 1838 et 1869. En novembre 1840, Berlioz demande à François Buloz, directeur de la Revue, un droit de réponse afin de réparer " des erreurs de faits " commises lors de la critique de son Festival. Les textes reproduits ici renvoient au climat d'une époque tumultueuse, où tous les coups étaient permis : un aperçu complémentaire sur l'œuvre du compositeur. Très bon état d’occasion
...Je ne suis pas allé ce matin interrompre votre sommeil, ainsi que vous my aviez autorisé. Ceut été inutile. Mr F. De Conches [Feuillet de Conches] est encore à Fontainebleau où le Président chasse aujourdhui. Quand vous verrez Mr F. De Conches veuillez être assez bon pour lui dire que ma demande a pour objet de faire quelque chose de grand, dexceptionnel, et non dobtenir les moyens nécessaires à une exécution musicale seulement plus pompeuse que de coutume. Pour que mon but fut atteint, il faudrait faire au moins ce que les associations dartistes ont fait dernièrement, en exécutant mon Requiem pour le Baron de Trémont. On ne couronne pas un Empereur tous les jours ; et lÉglise de Notre-Dame nest pas une église de village....Le baron de Trémont, auquel Berlioz fait allusion dans sa lettre, décédé en juillet 1852, était un érudit, bienfaiteur d'art et de musique, connu pour sa collection d'autographes. Une messe solennelle lui fut dédiée dans léglise Saint-Eustache de Paris, pendant laquelle fut exécuté le Requiem de Berlioz, comme le rapporte Le petit courrier des Dames : « Tout le monde sait (...) que le Requiem de M. Berlioz est une de ses œuvres les plus remarquables et les plus complètes. Lexécution a été parfaite, et grâce à lempressement des artistes, chanteurs et instrumentistes, lœuvre du maître a produit un effet immense... ».Corr. générale (Pierre Citron, Flammarion, 1972-75), T IV, N° 1530.