Amsterdam, apud Rod. &t Gerh. Wetstenios HFF., 1713. 2 vol. in-4. [11]ff, 356pp ; [1]f, 357- 717pp, 239pp d'Index. Plein veau vert de l'époque, filet doré encadrant les plats, petit fer étoilé dans les angles, dos à nerfs orné, pièces de titre de maroquin rouge, tomaison dorée, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrure.
Belle édition XVIIIe illustrée d'un frontispice de Goerce gravé par Bernards et vignette de titre."L'Horace de Bentley est regardé comme une des meilleures éditions que l'on ait de ce poète". D'abord édité à Cambridge en 1711, celle d'Amsterdam est préférée, notamment car les notes se trouvent sur la même page que le texte et qu'on y a ajouté l'index de Th. Treter, corrigé par Verburge. Quelques feuillets inversés entre les pages 185 et 192 de l'index. Quelques feuillets uniformément roussis.Décoloration aux dos et aux extrémités des plats, piqures sur les plats, coiffe supérieure d'un tome partiellement manquante.Brunet, III, 318-319.
A Amsterdam, chez J. Wetstein & G. Smith, 1738. In-8°, XXXVI-581-[1] pages Reliure plein veau caillouté, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre rouge, tranches rouges.
Edition originale française traduite par Arnaud de la Chapelle sur la septième édition anglaise. Page de titre en rouge et noir. Réponse au livre de Collins : Discours sur la liberté de penser qui suscita une grande indignation dans le monde ecclésiastique. Dans la préface, l'éditeur souligne que le titre est de son cru, mais qu'il le trouvait plus juste que le simple Remarques de l'auteur, car il fait référence directement à la formule qu'avait employé dans son livre Collins, que la religion & la friponnerie ecclésiastique sont deux termes synonymes ; et Collins avait déjà auparavant écrit : La friponnerie ecclésiastique portée à son comble. Thomas Bentley ne fut pas le seul à écrire une réponse à l'ouvrage de Collins mais c'est l'ouvrage dont la critique est la plus construite et la plus rigoureuse, et où l'auteur cherche à détruire méthodiquement toute légitimité de penser à Collins, ruinant ses références, renvoyant son Discours à une grossière satire.Coins émoussés et tampon de possesseur en page de garde, néanmoins bon exemplaire.
2 Bde. Leipzig, Gotth. Theophil Georg, 1864. 8°. XVIII, 572 S.; (2) 192, 299 (1) S. (Register). Mit 1 gest. Titelportrait. Halblederbde. d. Zt. mit goldgepr. Rückenschildern (stärker berieben u. bestossen).
Eine von zahlr. Auflagen der Oden, Epoden, Satiren u. Briefe von Horaz in lateinischer Sprache mit lateinischen Kommentaren von Bentley. - Mit alten Namenszügen auf fl. Vorsatz. Durchgehend stärker gebräunt.
Chêne. 1985. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 176 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et couleur, dans et hors texte. Jaquette en bon état.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 704.948-Erotisme
Classification Dewey : 704.948-Erotisme
Chez J. Wetstein & G. Smith, à Amsterdam 1738, XXXVI, 581pp. (1), relié.
Edition originale française traduite par Arnaud de la Chapelle. Page de titre en rouge et noir. Reliure postérieure XIXe en plein maroquin rouge à grains longs (cuir de Russie) signée Thouvenin en queue. Dos à nerfs orné de caissons à filets d'encadrement. Titre et date dorés. Filets d'encadrement sur les plats avec trèfle dans les écoinçons. Frise intérieure. Tranches dorées. Dos légèrement éclairci. Frottements en coiffe, mors et coins. Mors supérieur étroitement fendu en queue sur 3 cm. Une déchirure p. 274, une seconde p. 302, les deux en milieu de page. Malgré quelques défauts, bel exemplaire. Réponse au livre de Collins : Discours sur la liberté de penser qui suscita une grande indignation dans le monde ecclesiatique. Dans la préface, l'éditeur souligne que le titre est de son cru, mais qu'il le trouvait plus juste que le simple Remarques de l'auteur, car il fait référence directement à la formule qu'avait employé dans son livre Collins, que la religion & la friponnerie ecclésiastique sont deux termes synonymes ; et Collins avait déjà auparavant écrit : La friponnerie ecclesiatique portée à son comble. Thomas Bentleyne fut pas le seul à écrire une réponse à l'ouvrage de Collins mais c'est l'ouvrage dont la critique est la plus construite et la plus rigoureuse, et où l'auteur cherche à détruire méthodiquement toute légitimité de penser à Collins, ruinant ses références, renvoyant son Discours à une grossière satire. Ex-libris gravé du XXe E. Crawshaw. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Editions du Chêne, 1985. 23 x 29, 176 pp., très nombreuses illustrations en couleurs et en N/B, reliure d'édition pleine toile + jaquette imprimée en couleurs, très bon état.