Texte autographe signé de l’allocution prononcée par Adam suite au décès de Benoist-Méchin. Dans cet éloge il mentionne abondamment l’allocution de l’historien du 11 juin 1980, «dite sans note, mais heureusement sauvée de l’oubli par un magnétophone providentiel » considérant celle-ci comme « un testament politique, moral, spirituel. En le faisant il savait que le dernier terme de sa vie était tant proche qu’il nous voulait ses héritiers ». Adam finit son texte par la mention de l’épitaphe souhaitée par Benoist-Méchin qu’il espère que la famille apposera (ce qui fut fait), et la complète par quelques mots qu’il souhaiterait voir ajoutés. 6 pages in- 8, dont une recto verso