Larousse. 2006. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 319 pages. Nombreuses photos monochromes et quelques reproductions en couleurs dans et hors texte. Couverture à rabats.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Selection du Reader's Digest, Larousse, 2004, 320 pages, grand in 4, reliure éditeur cartonnée, état d'usage, quelques usures et frottements, un coin frotté et écrasé.
Collectif – Robert Belot, Michel Cotte, Pierre Lamard (dir.).
Reference : 110671
(2000)
Berg International, 2000, gr. in-8°, 454 pp, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état. 39 études érudites
En France, contrairement à ce qu'on peut observer dans les pays anglo-saxons, la technologie apparaît souvent comme le parent pauvre de la réflexion historienne. Sa perception est opaque. Elle hésite entre le mépris, la peur ou l'idéalisation. On oublie que le processus technologique a participé au modelage des territoires et des espaces régionaux. Le fait technologique, qui est au cœur de notre modernité et favorise le décloisonnement des savoirs actuels, mérite pourtant de retenir l'attention des sciences sociales et humaines. Pour l'historien, il n'est pas d'objet de recherche impur. Tout appartient à l'histoire : la machine à laver comme la motocyclette, l'hélium comme les procédés Pal/Secam... Contrairement à un préjugé courant, l'individu demeure l'acteur fondamental du choix technologique. Dès lors, y a-t-il, de la part du décideur, stratégie délibérée ou simple réactivité à une conjoncture ou aux circonstances ? A contrario, le consommateur, avec sa culture et ses représentations, a-t-il la possibilité d'agir sur le marché et d'orienter le processus de création ? L'événement est aussi un facteur déterminant du changement technique. Les situations de contrainte, de crise ou de guerre sont des périodes d'accélération et de mutations technologiques. Cet ouvrage est donc une invitation à se démarquer de l'opinion commune, qui regarde l'acte technique comme la simple résultante de diverses formes d'assujettissement. En se rapprochant de la complexité du réel, en se défiant des modèles trop mécanistes et en acceptant la prise en compte des paramètres immatériels – voire irrationnels –, l'histoire des techniques peut prétendre à une vraie démarche d'investigation au cœur de l'action humaine. Cette publication est issue d'un colloque international organisé à Sévenans (France, 90010) en août 1999 par le Comité International d'Histoire des Techniques (ICOHTEC).